Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
1 avril 2018

WWIII : Israël, Etat-Nation du Peuple Juif, c'est maintenant. Bonne Pâques et bon Pessah pour nos amis Juifs...

Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. (ce Blog non professionnel, ne fait pas appel à la publicité ni à des subventions pour exister , il est gratuit et tenu par des bénévoles).

israel_etat

WWIII : Israël, Etat-Nation du Peuple Juif, c'est maintenant. Bonne Pâques et bon Pessah pour nos amis Juifs qui nous informent que les cloches Collomb-Macron-Philippe sont passées et nous ont rapporter 100 IMAMS de plus pour compléter l'équipe de Tariq Ramadan, en prison pour viol de femmes voilées.

Publié le 1 avril 2018 par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : Israël, « État nation du Peuple Juif » : c’est imminent et c'est maintenant. Bonne Pâques et bonne fête de Pessah pour nos amis Juifs dont l'Etat-Nation d'Israël (qui ne reconnaît que Jérusalem entière comme capitale, incorporant la Cisjordanie et GAZA), qui nous informent que les cloches Collomb-Macron-Philippe sont passées et nous ont rapporter 100 IMAMS de plus pour compléter l'équipe de Tariq Ramadan, en prison pour viol de femmes voilées. Il semblerait que la politique d'Israël se durcisse au point de ne plus accepter de palestiniens dans le Nouvel-ETAT-NATION! (voir texte plus bas)

L'esprit de Tariq Ramadan serait toujours intact et inviolable, tandis que l'ex UOIF se pavane et ressort une vidéo de la conquête de la France par les "Musulmans de France", ex UOIF et Frères Musulmans, que nous élites, ont réussi à ramené des colonies. Ils ne se contentent pas de les faire venir et de déclarer que la Charia, est déjà entrée comme Loi dans la Franc-Maçonnerie en remplacement de THOT fils  d'HORUS et de SETH, dont l'Œil nous regarde dans nos endroits les plus intimes.

le 15 mars 2018, le Comité de la Knesset a approuvé les principes de la Loi fondamentale qui définit l’État d’Israël comme « État nation du peuple juif ». Le Parlement doit, dans les toutes prochaines semaines, élaborer et approuver la version définitive du texte. Pour le Président du Comité, Amir Ohana, il s’agit de « la Loi de toutes les Lois ». De son côté, le Ministre du Tourisme Yariv Levin, l’a qualifiée de « projet de Loi phare du sionisme » qui « remettra Israël sur le bon chemin, à savoir que c’est l’État nation du peuple juif ».

Pour le président des Musulmans de France, «la pensée de Tariq Ramadan reste intacte»

- Avec AFP

Pour le président des Musulmans de France, «la pensée de Tariq Ramadan reste intacte»
© Jacques DEMARTHON Source: AFP
Amar Lasfar, président de l'UOIF (désormais Musulmans de France), en avril 2017 au Bourget
«Même s'il était condamné, sa pensée reste intacte», a déclaré Amar Lasfar. «Personne ne peut remettre en cause ce qu'a fait et ce qu'a apporté Tariq Ramadan», a-t-il ajouté. Le théologien n'a «pas bien géré sa défense [en] sous-estimant le combat médiatique», a-t-il déploré. 

Lors d'une conférence de presse le 31 mars, au deuxième jour du salon annuel des Musulmans de France (ex-UOIF), son président Amar Lasfar a une nouvelle fois appelé à respecter la «présomption d'innocence» au sujet du théologien suisse Tariq Ramadan, mis en examen et incarcéré pour viols. Il a également exprimé l'espoir que Tariq Ramadan soit bientôt «libéré» de prison et «blanchi».

«La pensée» du théologien suisse Tariq Ramadan, mis en examen et incarcéré pour viols, «reste intacte», a affirmé le président des Musulmans de France, Amar Lasfar, au deuxième jour du salon annuel du mouvement.

Lire aussi : L'UOIF se renomme «Musulmans de France» et appelle les musulmans à aller voter en masse

Quelque 160 000 personnes sont attendues jusqu'au soir du 2 avril pour cet événement présenté comme la plus importante manifestation musulmane d'Europe, entre forum religieux et foire commerciale.

Un visiteur prénommé Abdallah a spontanément abordé la question auprès d'une journaliste de l'AFP, regrettant «la stigmatisation des musulmans religieux» : «Chaque attentat nous blesse profondément. On le condamne haut et fort même si on ne descend pas dans la rue.» 

Par ailleurs, en début de soirée du 31 mars, Amar Lasfar a fait observer une minute de silence aux personnes rassemblées dans le hall des conférences en hommage à Mireille Knoll, une octogénaire juive tuée à Paris, et aux quatre victimes des attaques de l'Aude.

«Si le déni de procédure régulière dans l'affaire Tariq Ramadan persiste, cela confirmera que les valeurs historiques de la France [...] ne se traduisent pas de manière équitable pour tous les citoyens, et en particulier lorsque l'on est musulman», fait savoir le comité par un communiqué.

Le comité de soutien du théologien tient un stand au sein du salon, où des bénévoles vendent ses livres, recueillent des dons et font signer un courrier à l'attention du président de la République.

Comité de soutien à Tariq Ramadan

La 35e «rencontre annuelle des musulmans de France» se tient au Parc des expositions du Bourget (Seine-Saint-Denis) avec un grand absent : Tariq Ramadan, vedette récurrente du salon où ses conférences attiraient les foules. Le théologien a été mis en examen début février pour viols, dont l'un sur une personne vulnérable, après les plaintes de deux femmes. Début mars, une troisième femme a porté plainte, affirmant avoir subi de multiples viols entre 2013 et 2014. Il conteste ces accusations.

«Conquête de l'Occident» : une vidéo du président de l'#UOIF refait surface, le #FN s'indigne
➡️ francais.rt.com/france/49334-c

La 35e «rencontre annuelle des musulmans de France» se tient au Parc des expositions du Bourget (Seine-Saint-Denis) avec un grand absent : Tariq Ramadan, vedette récurrente du salon où ses conférences attiraient les foules. Le théologien a été mis en examen début février pour viols, dont l'un sur une personne vulnérable, après les plaintes de deux femmes. Début mars, une troisième femme a porté plainte, affirmant avoir subi de multiples viols entre 2013 et 2014. Il conteste ces accusations.

Comité de soutien à Tariq Ramadan

Le comité de soutien du théologien tient un stand au sein du salon, où des bénévoles vendent ses livres, recueillent des dons et font signer un courrier à l'attention du président de la République.

«Si le déni de procédure régulière dans l'affaire Tariq Ramadan persiste, cela confirmera que les valeurs historiques de la France [...] ne se traduisent pas de manière équitable pour tous les citoyens, et en particulier lorsque l'on est musulman», fait savoir le comité par un communiqué.

Par ailleurs, en début de soirée du 31 mars, Amar Lasfar a fait observer une minute de silence aux personnes rassemblées dans le hall des conférences en hommage à Mireille Knoll, une octogénaire juive tuée à Paris, et aux quatre victimes des attaques de l'Aude.

Un visiteur prénommé Abdallah a spontanément abordé la question auprès d'une journaliste de l'AFP, regrettant «la stigmatisation des musulmans religieux» : «Chaque attentat nous blesse profondément. On le condamne haut et fort même si on ne descend pas dans la rue.» 

Quelque 160 000 personnes sont attendues jusqu'au soir du 2 avril pour cet événement présenté comme la plus importante manifestation musulmane d'Europe, entre forum religieux et foire commerciale.

Lire aussi : L'UOIF se renomme «Musulmans de France» et appelle les musulmans à aller voter en masse 

Israël, « État nation du Peuple Juif » : c’est imminent©

By Marc - Mar 29, 2018 

 

http://www.jforum.fr/wp-content/uploads/2017/07/logojusticebertrand-45-c0a62.jpg

le 15 mars 2018, le Comité de la Knesset a approuvé les principes de la Loi fondamentale qui définit l’État d’Israël comme « État nation du peuple juif ». Le Parlement doit, dans les toutes prochaines semaines, élaborer et approuver la version définitive du texte. Pour le Président du Comité, Amir Ohana, il s’agit de « la Loi de toutes les Lois ». De son côté, le Ministre du Tourisme Yariv Levin, l’a qualifiée de « projet de Loi phare du sionisme » qui « remettra Israël sur le bon chemin, à savoir que c’est l’État nation du peuple juif ».

Inversement, la députée palestinienne de la Knesset, Aida Touma Souleiman, a critiqué le projet de Loi estimant qu’il institutionnalisera, de façon flagrante, un régime d’apartheid (sic).

Parmi les mesures majeures, « l’arabe » ne sera plus une langue officielle de l’État juif (à côté de l’hébreu, principe repris de la version proposée par Avi Dichter en 2011). Le Droit à l’autodétermination y est réservé au seul peuple juif et Jérusalem en est bien sa capitale. Sur le plan migratoire, le texte conserve les principes précédemment adoptés, à savoir que la mission d’Israël est de rassembler les exilés et d’accorder un droit au retour aux seuls membres de la communauté juive qui veulent s’y établir.

Pour autant, la finalité essentielle de la Loi sur l’État nation du peuple juif vise à corriger la contradiction issue de la Loi fondamentale de 1992 sur « la dignité humaine et la liberté » qui a défini l’État d’Israël comme un « État juif et démocratique ».

Sur le fondement de la Loi de 1992, des groupes palestiniens d’Israël se prétendant comme défendant « les droits de l’homme » ont présenté des requêtes devant les tribunaux pour qu’Israël respecte la notion d’égalité.

De même, le député palestinien de la Knesset Azmi Bishara, avait bien compris la faiblesse du système institutionnel israélien, la Loi de 1992 étant susceptible de devenir l’instrument légal de la destruction de l’État juif. Il avait alors, avec un groupe de députés palestiniens de la Knesset, diffusé un document intitulé « une vision de l’avenir » exigeant d’Israël qu’il se transforme en une « démocratie civique », c’est à dire « une démocratie consensuelle » où tous les citoyens auraient les mêmes droits. Le service de police Shin Bet avait du intervenir publiquement en qualifiant le document de « subversif » et en assurant « contrecarrer » toute entreprise dans ce sens.

L’affaire Kaadan a (une nouvelle fois) mis le problème en lumière : un citoyen palestinien d’Israël, Adel Kaadan (arabe israélien) avait saisi la Cour suprême israélienne pour être autorisé à vivre dans l’une des communautés exclusivement juive d’Israël. Il en avait été refusé par un comité d’admission qui avait bloqué son accès dans la collectivité. Ses avocats avaient alors invoqué l’existence d’une discrimination à l’égard des palestiniens d’Israël qui ne pouvait s’établir dans le lieu de leur choix.

Le Gouvernement de Netanyahou avait du intervenir, en 2011, pour régler le problème en donnant une base légale à ces « comités d’admission ».

Aussi, la Ministre de la Justice, Ayelet Shaked, a-t-elle invoqué l’affaire Kaadan pour justifier l’adoption de la Loi sur l’État nation du peuple juif : «Il est normal qu’une communauté juive soit, par définition, seulement juive ».Elle a donc annoncé entreprendre une « révolution constitutionnelle » pour remettre en question la loi fondamentale de 1992 sur la liberté et la dignité humaine afin de « remettre droite la voie ferrée, tordue il y a un quart de siècle ».

La Ministre de la Justice a alors lié le projet de loi sur l’État nation du peuple juif à d’autres révisions qu’elleentend apporter, notamment à la loi fondamentale relative aux pouvoirs de la Cour suprême. Avec la Loi de 1992, «  les décisions de justice au cours des 20 dernières années, ont fait référence aux valeurs universelles et non au caractère juif de l’État ». Désormais, la Cour Suprême israélienne ne pourra plus s’ériger en qualité de législateur et décider de la norme applicable (violant ainsi le principe de séparation des pouvoir). Elle se référera uniquement à la judéité de l’État.

Bien évidemment, pour les palestiniens d’Israël (que l’État juif appelle, historiquement, les « arabes israéliens »), la Loi sur l’État Nation du Peuple juif empêchera de faire d’Israël une démocratie normale de type occidentale. Par ailleurs, elle devrait encourager l’annexion des territoires de la zone C de Cisjordanie (sous contrôle civil, administratif et militaire exclusivement israélien en vertu des accords israélo-palestiniens de paix, dits d’Oslo). Ainsi, les détracteurs du projet, juifs ou non, critiquent-ils le texte au motif que l’État d’Israël ne sera pas «juif et démocratique» mais deviendra une « ethnocratie non démocratique ».

Il n’en est rien. La Loi sur l’État Nation du peuple juif n’est qu’une application du « Droit des peuples à disposer de lui même » : le peuple juif est libre de décider de son cadre institutionnel et des orientations philosophiques de sa société, sans l’interférence de tiers n’appartenant pas la nation juive.

Sur ce point, la présence de « députés palestiniens » qui siègent au sein de la Knesset est une parfaite aberration que la Loi nouvelle devrait régler, en l’interdisant. Israël appliquera alors la règle en vigueur dans les démocraties occidentales : les non nationaux ne peuvent être électeurs ou éligibles à l’occasion des scrutins nationaux. Ils le seront uniquement à l’occasion des scrutins locaux. Bien évidemment, les députés palestiniens de la Knesset pourront toujours apporter leur connaissance et leur maîtrise du fonctionnement démocratique des institutions, pour aider l’Autorité Palestinienne (dans les zone A et B de Cisjordanie) et le Gouvernement d’Ismaël Hanyieh (dans la bande de Gaza) à les mettre en place dans les territoires qu’ils contrôlent.

De même, et grâce la Loi sur l’État Nation du peule juif, Israël pourra définir qui en sont les membres, à savoir ceux dont la mère et juive ou ceux qui se sont convertis au judaïsme, tout comme le Code civil français définit qui est français ou comment il est possible d’acquérir la nationalité française.

S’agissant de la présence sur le territoire, Israël pourra étendre la Loi du 8 mars 2018 (sur le retrait du titre de résident permanent des palestiniens et leur expulsion, en cas de manquement à l’obligation de loyauté a l’égard d’Israël), à toute personne, juive ou non, qui porterait atteinte aux intérêts supérieurs de la Nation juive.

Enfin, l’État d’Israël pourra offrir aux juifs de diaspora (qui le souhaitent), en la subordonnant aux respects de conditions qu’il décidera, le bénéfice de la nationalité israélienne puisqu’ils font partie de la Nation juive et qu’Israël est leur État nation. La nationalité est, en effet, le lien juridique qui relie un individu à son État, quelque soit son lieu de résidence. (Tout comme ceux qu’Israël appellent « les arabes israéliens » sont bien des palestiniens pour les institutions palestiniennes).

Ainsi, le Premier Ministre Benjamin Netanyahou n’aura plus à attendre des palestiniens qu’ils reconnaissent Israël comme État juif, mais juste qu’ils en prennent acte. De même, le statut de Jérusalem et sa judéité ne seront plus sujet à discussion (pas plus que le caractère palestinien de Ramallah, Jenine ou de Tulkarem).

Tout à fait curieusement, le Gouvernement français a eu l’occasion de s’exprimer sur le projet de Loi définissant Israël comme étant « le foyer national du peuple juif » (JO Sénat 17/01/2018 p 22).

Après avoir indiqué « qu’il n’appartient pas à la France de se prononcer sur les discussions de parlementaires étrangers. De même, il nous serait sans doute difficile d’accepter le regard d’autres États sur nos propres débats », le secrétaire d’État du Ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères a indiqué que le texte suscitait des préoccupations pour la France (sic).

La première tiendrait au risque de discrimination à l’égard de la population arabe. Que la France se rassure : Israël distinguera comme la France, les nationaux, les non nationaux en situation régulière, et les non nationaux en situation irrégulière. Les arabes israéliens feront partie de la seconde catégorie et ne subiront aucune discrimination.

La seconde préoccupation porterait sur la conformité de ce projet à la solution à deux États, et le risque de discrimination entre citoyens juifs et arabes qui en constituerait un obstacle. Il n’en est rien. Les palestiniens peuvent toujours décider de créer un État palestinien sur les territoires de la zone A et B de Cisjordanie, et un autre sur la Bande de Gaza, puisque tel est la réalité géopolitique. Les arabes israéliens pourront alors s’inscrire sur les listes électorales palestiniennes et participer aux scrutins nationaux palestiniens.

La troisième préoccupation de la France concernerait Jérusalem. Le secrétaire d’État a juste mentionné (de façon évasive) que la position de la France était constante et que le Président de la République avait évoqué certains points avec le Premier Ministre israélien, en particulier celui de la « colonisation » (sic). Jérusalem est la capitale d’Israël depuis sa naissance et les implantations juives se situent sur la zone C de Cisjordanie. Il n’y a donc pas de colonisation.

En conclusion, il est indiqué que « le climat est tendu en ce moment et qu’il vaut mieux y regarder à deux fois avant de le tendre un peu plus ». Sur ce point, rappelons au gouvernement français que le climat est tendu depuis le 15 mai 1948, lorsque les États arabes de la région ont déclaré la guerre à Israël (le lendemain de sa naissance), que les tensions se sont poursuivies lorsque la Charte de l’Olp de juillet 1968 a institué le peuple palestinien et s’est fixée de détruire l’entité sioniste sur un fondement national, et qu’enfin, elles ont été ravivées avec la Charte du Hamas de 1987 qui a enjoint aux palestiniens de détruire Israël, sur injonction d’Allah.

Pour le 70ème anniversaire de sa naissance, Israël devrait donc honorer sa vocation historique, n’en déplaise aux palestiniens et à la communauté internationale.

Par Maître Bertrand Ramas-Muhlbach

J. Bougrab en colère : Collomb importe 100 Imams d’Algérie
5
124
 
 
 
 

image: http://www.jforum.fr/wp-content/uploads/2018/03/islam_5_548_365.jpg

Jeannette Bougrab furieuse : Collomb fait venir 100 imams d’Algérie pour le Ramadan !!!


 

image: http://static.resistancerepublicaine.eu/wp-content/uploads/2018/03/bougrab.png

Jeannette Bougrab furieuse : Collomb fait venir 100 imams d’Algérie pour le Ramadan !!!

 

Encore un superbe coup de gueule de Jeannette Bougrab, coup de gueule que nous partageons totalement. Et sa phrase choc, qui a été choisie comme titre pour le titre de l’article paru dans le Figaro Vox dit tout des manipulations de Collomb-Macron-Philippe  : «On nous casse les oreilles avec l’islam de France et on fait venir des imams d’Algérie !»

 

image: https://dl-mail.ymail.com/ws/download/mailboxes/@.id==VjN-TfGB5SQrovAnT0NXj6GzpbcUGsWEcBPQTkMUnnlRnCWlTKXLfUp05EOOYRVrfBUIkSNxgB2xfiFpptatesw1Uw/messages/@.id==AOtJyAoAAANlWr0axgrdQGJleww/content/parts/@.id==2.2/raw?appid=YMailNorrin&ymreqid=20dec76d-330b-d7dd-1c7d-a301b6016e00&token=zitEzqOML3j84e6ealFTT5U7-km5qEQF52lp7AcCuBbA654sUTBdYc5RRcRrhqgz4kHHmcurGuxtegbxFjmLmkUxl9cZRoaqJEAnAMDxEJy8n-OiwpzQ1N7mt6pVyDVB

 

– L’essayiste dénonce la venue de cent imams algériens en France pour le ramadan.
 
L’auteur de Lettre d’exil. La barbarie et nous(Éditions du Cerf, 2017) voit dans la décision de Gérard Collomb de faire venir cent imams d’Algérie pour diriger les prières du ramadan une trahison de la laïcité. L’ancienne secrétaire d’État chargée de la Jeunesse, de 2010 à 2012, est membre du Conseil d’État.

 

LE FIGARO. – Lors d’une rencontre avec son homologue Gérard Collomb, le ministre des Cultes algérien, Mohamed Aïssa, a annoncé l’envoi de cent imams algériens en France pour participer au ramadan. Quelle est votre réaction?

 

Jeannette BOUGRAB. – Les bras m’en sont tombés. Comment, dans un État laïque, le ministre de l’Intérieur, certes ministre des Cultes, se préoccupe de faire venir des imams d’Algérie pour le ramadan? On nous casse les oreilles avec la création d’un islam de France, et on fait venir des imams d’Algérie! L’Algérie n’était pas islamiste. La radicalisation est venue par des prédicateurs du Moyen-Orient, issus pour la plupart des Frères musulmans, mouvement fondé par le grand-père de Tariq Ramadan. Sans que les Algériens s’en rendent vraiment compte, cet islamisme s’est répandu. Organiser la venue d’imams étrangers en France est une hérésie.

 

Une telle initiative n’est-elle pas encadrée? Les imams ne sont-ils pas choisis?

 

C’est une plaisanterie pas drôle quand vous savez qu’en Algérie, notamment en Kabylie, des militants laïques se battent chaque année pour ne pas avoir à subir la loi des intégristes leur imposant le jeûne. Ils risquent la prison pour cela. Certains sont jugés et emprisonnés. L’apostasie est interdite. On doit avoir le choix de pratiquer ou non une religion. De Tizi-Ouzou à Tunis, ils sont de plus en plus nombreux à se battre pour la séparation du spirituel et du temporel, à vouloir notre chère laïcité. Nous, on fait venir des imams! Le monde ne tourne décidément pas rond.

 

«Imaginez un seul instant la réaction des médias si le ministre de l’Intérieur s’occupait de recruter des curés dans les campagnes où les offices ne peuvent plus être célébrés.»

Dans ces quartiers en France gangrenés par l’échec scolaire, le chômage, la délinquance, la République française n’a rien de mieux à proposer à une jeunesse désabusée et désorientée que des imams. Où sont ces fameux hussards noirs de la IIIe République? 150.000 décrocheurs chaque année sortent de l’école sans aucun diplôme. Pensez-vous vraiment que l’imam va les ramener dans le droit chemin? Imaginez un seul instant la réaction des médias si le ministre de l’Intérieur s’occupait de recruter des curés dans les campagnes où les offices ne peuvent plus être célébrés.

N’y a-t-il pas une «expertise algérienne» qui pourrait nous aider dans la lutte contre l’islamisme radical, comme le soutient le ministre de l’Intérieur?

L’idéalisation de l’Algérie doit s’arrêter car si la guerre civile est finie, la paix n’est pourtant pas revenue. Comme le rappelle Boualem Sansal, «l’islamisme radical est toujours là, enraciné dans la population, ancré dans les institutions, se renouvelant constamment, s’adaptant aux conditions récentes, se répandant de nouveau et tissant des liens profitables avec l’internationale islamiste». La vie des Algériens est très dure. Beaucoup fuient leur pays.

La réconciliation nationale est-elle un «mythe»?

Oui, on a imposé aux Algériens une concorde civile. Laissez-moi vous citer juste un extrait d’une lettre d’un père à sa fille assassinée alors qu’elle n’avait que 16 ans. Katia refusait de porter le voile. Un lundi, alors qu’elle revenait de l’école au bras d’une amie, elle a été abattue par un islamiste à bout portant. Pour honorer la mémoire de sa fille chérie et alors que la maman venait de mourir de chagrin, il écrit: «Ta perte cruelle, son chagrin, son désespoir, ses souffrances, ton deuxième assassinat à travers cette réconciliation nationale ont fait que ta mère et moi-même n’avons pas pu tenir le coup […]. J’accuse ceux qui ont relâché et pardonné à ces sanguinaires aux mains tachées de sang. J’accuse le pouvoir algérien pour ses sympathies avec les bourreaux de nos parents. J’accuse cette réconciliation pour la paix qui a glorifié et amnistié ces monstres assassins.»Tout est dit.

Après l’assassinat de deux jeunes filles à Marseille, vous aviez dénoncé la persistance du déni. Après les attentats de Trèbes, est-ce toujours le cas?

 

«La France est-elle amnésique à ce point ?»

La France est dépassée. Son angélisme est déroutant. Elle a eu tort de penser que la bataille de Raqqa gagnée, la bête était achevée. Elle doit comprendre que le danger vient de l’intérieur du pays. Les nouveaux intégristes sont nés ici ou vivent ici depuis des années. Le concept de Jean Birnbaum parlant de «djihad de souche» décrit bien cette situation inédite. C’est un terrorisme de proximité correspondant d’ailleurs au mot d’ordre de Daech, qui demande à ses affiliés de commettre des attentats là où ils vivent. Ces fous d’Allah considèrent la France et ses symboles comme les ennemis de l’islam. En criant «Allah akbar», ils tueront à l’aveugle. Les actes les plus anodins comme les courses dans un supermarché deviendront anxiogènes car leur but est bien de faire régner la terreur.
La persistance du déni s’est illustrée dernièrement par les réactions hostiles à la publication dans vos colonnes de l’appel de cent intellectuels dénonçant l’islamisme et le séparatisme, comme ces séminaires organisés par des syndicats interdits aux Blancs. Le porte-parole du gouvernement a jugé que cette tribune réunissant des personnes venues d’horizons différents stigmatiserait les musulmans. Mais les premières victimes de l’islamisme sont les musulmans eux-mêmes. En Algérie, la décennie noire où le GIA massacrait à tout-va, c’est plus de 200.000 Algériens assassinés, des femmes ont été kidnappées, violées et égorgées. La France est-elle amnésique à ce point?

Par Alexandre Devecchio
Mis à jour le 28/03/2018 à 19h36 | Publié le 28/03/2018 à 17h50FIGAROVOX/ENTRETIEN


En savoir plus sur http://www.jforum.fr/jeannette-bougrab-en-colere-collomb-importe-100-imams-dalgerie.html#9MVaZX7yHHZ9HcpO.99

Jeannette Bougrab furieuse : Collomb fait venir 100 imams d’Algérie pour le Ramadan !!!

29 Mar 2018 Christine TasinDhimmitudeIslamLes RésistantsMacron


Encore un superbe coup de gueule de Jeannette Bougrab, coup de gueule que nous partageons totalement. Et sa phrase choc, qui a été choisie comme titre pour le titre de l’article paru dans le Figaro Vox dit tout des manipulations de Collomb-Macron-Philippe  : «On nous casse les oreilles avec l’islam de France et on fait venir des imams d’Algérie !»

– L’essayiste dénonce la venue de cent imams algériens en France pour le ramadan.

L’auteur de Lettre d’exil. La barbarie et nous(Éditions du Cerf, 2017) voit dans la décision de Gérard Collomb de faire venir cent imams d’Algérie pour diriger les prières du ramadan une trahison de la laïcité. L’ancienne secrétaire d’État chargée de la Jeunesse, de 2010 à 2012, est membre du Conseil d’État.

LE FIGARO. – Lors d’une rencontre avec son homologue Gérard Collomb, le ministre des Cultes algérien, Mohamed Aïssa, a annoncé l’envoi de cent imams algériens en France pour participer au ramadan. Quelle est votre réaction?

Jeannette BOUGRAB. – Les bras m’en sont tombés. Comment, dans un État laïque, le ministre de l’Intérieur, certes ministre des Cultes, se préoccupe de faire venir des imams d’Algérie pour le ramadan? On nous casse les oreilles avec la création d’un islam de France, et on fait venir des imams d’Algérie! L’Algérie n’était pas islamiste. La radicalisation est venue par des prédicateurs du Moyen-Orient, issus pour la plupart des Frères musulmans, mouvement fondé par le grand-père de Tariq Ramadan. Sans que les Algériens s’en rendent vraiment compte, cet islamisme s’est répandu. Organiser la venue d’imams étrangers en France est une hérésie.

Une telle initiative n’est-elle pas encadrée? Les imams ne sont-ils pas choisis?

C’est une plaisanterie pas drôle quand vous savez qu’en Algérie, notamment en Kabylie, des militants laïques se battent chaque année pour ne pas avoir à subir la loi des intégristes leur imposant le jeûne. Ils risquent la prison pour cela. Certains sont jugés et emprisonnés. L’apostasie est interdite. On doit avoir le choix de pratiquer ou non une religion. De Tizi-Ouzou à Tunis, ils sont de plus en plus nombreux à se battre pour la séparation du spirituel et du temporel, à vouloir notre chère laïcité. Nous, on fait venir des imams! Le monde ne tourne décidément pas rond.

«Imaginez un seul instant la réaction des médias si le ministre de l’Intérieur s’occupait de recruter des curés dans les campagnes où les offices ne peuvent plus être célébrés.»

Dans ces quartiers en France gangrenés par l’échec scolaire, le chômage, la délinquance, la République française n’a rien de mieux à proposer à une jeunesse désabusée et désorientée que des imams. Où sont ces fameux hussards noirs de la IIIe République? 150.000 décrocheurs chaque année sortent de l’école sans aucun diplôme. Pensez-vous vraiment que l’imam va les ramener dans le droit chemin? Imaginez un seul instant la réaction des médias si le ministre de l’Intérieur s’occupait de recruter des curés dans les campagnes où les offices ne peuvent plus être célébrés.

N’y a-t-il pas une «expertise algérienne» qui pourrait nous aider dans la lutte contre l’islamisme radical, comme le soutient le ministre de l’Intérieur?

L’idéalisation de l’Algérie doit s’arrêter car si la guerre civile est finie, la paix n’est pourtant pas revenue. Comme le rappelle Boualem Sansal, «l’islamisme radical est toujours là, enraciné dans la population, ancré dans les institutions, se renouvelant constamment, s’adaptant aux conditions récentes, se répandant de nouveau et tissant des liens profitables avec l’internationale islamiste». La vie des Algériens est très dure. Beaucoup fuient leur pays.

La réconciliation nationale est-elle un «mythe»?

Oui, on a imposé aux Algériens une concorde civile. Laissez-moi vous citer juste un extrait d’une lettre d’un père à sa fille assassinée alors qu’elle n’avait que 16 ans. Katia refusait de porter le voile. Un lundi, alors qu’elle revenait de l’école au bras d’une amie, elle a été abattue par un islamiste à bout portant. Pour honorer la mémoire de sa fille chérie et alors que la maman venait de mourir de chagrin, il écrit: «Ta perte cruelle, son chagrin, son désespoir, ses souffrances, ton deuxième assassinat à travers cette réconciliation nationale ont fait que ta mère et moi-même n’avons pas pu tenir le coup […]. J’accuse ceux qui ont relâché et pardonné à ces sanguinaires aux mains tachées de sang. J’accuse le pouvoir algérien pour ses sympathies avec les bourreaux de nos parents. J’accuse cette réconciliation pour la paix qui a glorifié et amnistié ces monstres assassins.»Tout est dit.

Après l’assassinat de deux jeunes filles à Marseille, vous aviez dénoncé la persistance du déni. Après les attentats de Trèbes, est-ce toujours le cas?

«La France est-elle amnésique à ce point ?»

La France est dépassée. Son angélisme est déroutant. Elle a eu tort de penser que la bataille de Raqqa gagnée, la bête était achevée. Elle doit comprendre que le danger vient de l’intérieur du pays. Les nouveaux intégristes sont nés ici ou vivent ici depuis des années. Le concept de Jean Birnbaum parlant de «djihad de souche» décrit bien cette situation inédite. C’est un terrorisme de proximité correspondant d’ailleurs au mot d’ordre de Daech, qui demande à ses affiliés de commettre des attentats là où ils vivent. Ces fous d’Allah considèrent la France et ses symboles comme les ennemis de l’islam. En criant «Allah akbar», ils tueront à l’aveugle. Les actes les plus anodins comme les courses dans un supermarché deviendront anxiogènes car leur but est bien de faire régner la terreur.
La persistance du déni s’est illustrée dernièrement par les réactions hostiles à la publication dans vos colonnes de l’appel de cent intellectuels dénonçant l’islamisme et le séparatisme, comme ces séminaires organisés par des syndicats interdits aux Blancs. Le porte-parole du gouvernement a jugé que cette tribune réunissant des personnes venues d’horizons différents stigmatiserait les musulmans. Mais les premières victimes de l’islamisme sont les musulmans eux-mêmes. En Algérie, la décennie noire où le GIA massacrait à tout-va, c’est plus de 200.000 Algériens assassinés, des femmes ont été kidnappées, violées et égorgées. La France est-elle amnésique à ce point?

Par Alexandre Devecchio
Mis à jour le 28/03/2018 à 19h36 | Publié le 28/03/2018 à 17h50FIGAROVOX/ENTRETIEN

 lefigaro.fr/vox/societe

Publicité
Publicité
Commentaires
Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
  • La Laosophie est une philosophie de l'existence, très ancienne puisque nous l'avons fait remonter aux sources mêmes du début de la Philosophie Grecque, soit au VIIème siècle avant notre ère par l'intermédiaire de la première femme philosophe, SAPPHO.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Derniers commentaires
Newsletter
2 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 56 606
Pages
Publicité