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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
5 mars 2018

WWIII : Ces religions qui n'ont pas le même DIEU, et qui font semblant de cohabiter, MUSULMANS et JUIFS auraient le même...

Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. (ce Blog non professionnel, ne fait pas appel à la publicité ni à des subventions pour exister , il est gratuit et tenu par des bénévoles).

BelkacemRamadan1

WWIII : Ces religions qui n'ont pas le même DIEU, et qui font semblant de cohabiter, MUSULMANS et JUIFS auraient le même mais ils se détestent et veulent s'entretuer. LES CHRETIENS ne seraient que fes GOYIM ou SOUS-HOMMES et LES FRANCS-MACONS des adeptes de SATAN-LUCIFER qui ont conquis les CHRETIENS CATHOS.

Publié le 5 mars 2018 par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : Ces religions qui n'ont pas le même DIEU, et qui font semblant de cohabiter, MUSULMANS et JUIFS auraient le même, c'est ce que disent les Rabbins mais ils se détestent et veulent s'entretuer, car pour eux le PEUPLE de la branche à Ismaël est tombé et la branche a été coupée. LES CHRETIENS ne seraient que les GOYIM ou SOUS-HOMMES soumis à ISRAËL dans un gouvernement Mondial cher à Attali, et LES FRANCS-MACONS des adeptes de SATAN-LUCIFER qui ont conquis les CHRETIENS CATHOS, par envahissement du VATICAN, et qui l'on transformé en coquille vide où l'on ne fait que croire en un Dieu tolérant censé exister, identique à tous les païens, et à tous ceux qui pensent qu'il existe, et qu'il sera là pour nous sauver car il aime tout le monde qui est beau et qui est gentil.

Ils attendent tous un Messie, les uns pour la première fois, les autres pour la seconde, et tous cohabitent avec la Franc-Maçonnerie qui leur promet de pouvoir s'entretuer selon la méthode Coué fondée sur l'autosuggestion et l'autohypnose, du Plan Albert Pike, afin de libérer l'Humanité bien pensante, ayant gagné de l'Argent sans rien faire, sinon à jouer sur les Marchés en connaissant des martingales et les rumeurs, et en sachant déplacer des capitaux qui ont été empruntés, et qui seront remboursés par le Contribuable en cas de défaillance des Bad Banques, de tous les tordus, les inutiles, les crèves la faim, les déchets, les goyim, les chômeurs, les prévaricateurs, les bouches à nourrir, les parasites, les profiteurs, les assistés, les rebus de la société, les arabes qui pour les Juifs sont de bons Arabes quand ils sont morts, et  dont la dhimmitude ne se fait plus sentir.

Peu de personnes savent ce qu’est la dhimmitude, et cependant, aujourd’hui, la dhimmitude est plus actuelle que jamais. La dhimmitude fut l’univers juridique, politique, spirituel des Juifs et des Chrétiens indigènes dont les pays furent conquis par le jihâd et gouvernés par la loi islamique : la shari’a. L’univers de la dhimmitude a englobé des millions de personnes, il a couvert trois continents – Afrique, Asie, Europe – il a duré de treize siècles à quelques siècles, selon les régions.

La dhimmitude vient du mot arabe « dhimmi », qui désignait les Juifs et les Chrétiens indigènes gouvernés et protégés par la loi islamique.

Il y eut deux vagues majeures d’islamisation des pays chrétiens par le jihâd. La première fut la vague arabe de 632 à 750, qui couvrit toute la rive sud de la Méditerranée, de l’Espagne à l’Arménie. La deuxième fut la vague turque, du XIe au XVIe siècle, elle couvrit l’Arménie, l’Anatolie, les Balkans et la Grèce.

Tous ces pays étaient peuplés exclusivement de Chrétiens, avec, selon les lieux, de larges communautés juives. Une partie de ces populations fut massacrée, une autre réduite en esclavage, une autre déportée, et une autre devint dhimmie.

Le mot dhimmitude définit l’ensemble des relations entre, d’une part, l’umma – la communauté islamique -, et, d’autre part, le Peuple du Livre (la Bible), c’est-à-dire les indigènes juifs et chrétiens (ahl al-kittab). Aujourd’hui l’intérêt de ce passé réside dans l’enseignement qu’il nous livre sur les relations que les peuples musulmans nouèrent, au cours des siècles avec le « Peuple du Livre », qu’ils combattirent par le jihâd, ou gouvernèrent dans la dhimmitude, et ceci sur trois continents.

Les peuples de la dhimmitude furent nombreux: Juifs, Grecs, Syriens, Egyptiens, Arméniens, Maronites, Berbères, Espagnols, Bulgares, Slaves, peuples de cultures, langues, religions différentes: catholiques, grecs-orthodoxes, monophysites, nestoriens, juifs.

Comment ces pays chrétiens furent-ils progressivement islamisés et ce, pour le sud méditerranéen, de façon irrévocable? Il y eut, certes, de nombreux facteurs, mais l’un parmi les plus importants, fut la corruptibilité des chefs chrétiens.

A toutes les époques et à tous les niveaux, notamment aux postes de responsabilités, des Chrétiens – chefs religieux, politiques, intellectuels, cadres, militaires – trahissent et collaborent avec les forces musulmanes. Si bien que les victoires de l’islam furent des victoires de Chrétiens islamisés ou ralliés à l’islam contre d’autres Chrétiens. Cette collaboration – alliance du patriarcat et du califat – fut active tout au long de la dhimmitude et jusqu’à aujourd’hui.

Tant que Juifs et Chrétiens se soumettaient à la loi islamique, c’est-à-dire acceptaient l’état de dhimmitude, l’Etat musulman théoriquement protégeait leur vie et leurs biens.
Il leur reconnaissait une liberté religieuse limitée, et le droit de s’administrer selon leurs lois civiles. Leur chef: patriarche, pour les Chrétiens, chef de la communauté pour les Juifs, les représentaient auprès du calife qui ratifiait leur nomination.

Les dhimmis toutefois devaient accepter des contraintes fort nombreuses d’ordre politique, économique et religieux. Chrétiens et Juifs jugés impurs et inférieurs par la loi islamique étaient soumis dans tous les domaines à un système d’inégalité et d’humiliation.

LES DROITS MONNAYABLES

Brièvement, les caractères principaux de la dhimmitude sont les suivants:

1) La dhimmitude est la conséquence du jihâd. Le concept de jihâd exclut toute légitimité d’une souveraineté politique autre qu’islamique. C’est pourquoi tout acte de guerre est licite, dans les pays non-musulmans (dar al-harb) excepté dans le cas de traités qui ne peuvent être que provisoires. (1)

2) La dhimmitude, institutionnalisée par les lois islamiques, est intégrée à la shari’a.

3) Les deux Peuples du Livre, Juifs et Chrétiens ont exactement le même statut juridique, les mêmes droits, les mêmes obligations sous les lois de l’Islam. Ils sont indissociables, et leur destin historique par rapport au jihâd et à la dhimmitude furent identiques et le sont encore.

Ici, j’ouvre une parenthèse pour préciser que malgré cette identité de destin, les Eglises orientales demeuraient tout autant judéophobes et hostiles l’une à l’autre. Car le monde de la dhimmitude est celui de l’esclavage spirituel, de la souffrance, de l’avilissement, de l’insécurité, de la haine de soi et des autres. Juifs et Chrétiens vécurent ainsi côte à côte, servant le maître musulman, s’entre-aidant parfois, se trahissant toujours. Une situation encore actuelle.

4) Les droits du dhimmi sont des droits concédés, c’est-à-dire qu’ils peuvent être annulés, ils ne sont pas attachés à la personne humaine. Ses droits à la vie et à la sécurité sont monnayables, il doit sans cesse les racheter par une capitation coranique, la jizya.

Le rachat de ses droits est indissociable d’une condition obligatoire d’humiliation, d’infériorité et de vulnérabilité extrême.

Telle fut la dhimmitude qui est intégrée à la shari’a, considérée par les Musulmans comme une législation d’inspiration divine. Et là réside le dilemme car ce système qui paraît juste aux Musulmans, nous semble à nous, Peuple du Livre, fondamentalement injuste.

Ainsi nous avons deux conceptions radicalement opposées de la justice.

La situation est différente dans les Etats musulmans modernes, car sous la pression des Etats occidentaux à la fin du XIXe siècle et sous la colonisation, la dhimmitude fut abolie et des législations inspirées de l’Occident furent adoptées.

Cependant la mentalité du jihâd existe toujours dans les groupes fondamentalistes et dans les masses, et la dhimmitude, c’est-à-dire la persécution ou la marginalisation des indigènes juifs et chrétiens dans les pays musulmans n’a jamais cessé.

Aujourd’hui, il n’y a pratiquement plus de Juifs dans les pays musulmans et de nombreux Chrétiens se convertissent ou émigrent.

De plus, si les islamistes rétablissaient la shari’a, l’idéologie du jihâd et de la dhimmitude reviendrait.
De plus, les intellectuels musulmans n’ayant jamais soumis le jihâd et la dhimmitude à un examen critique, ces politiques continuent d’être jugées parfaites.

LA PROTECTION AVILISSANTE

Il est certain qu’au Moyen-Âge, toutes les religions étaient oppressives et fanatiques.

Néanmoins, les autorités politiques et religieuses occidentales ont dénoncé les idéologies et les législations du passé, contraires à la dignité et aux droits de l’homme.

L’histoire de la dhimmitude est une histoire de souffrance et d’humiliation, d’usurpation de terres, de destruction de civilisations indigènes, d’exploitation fiscale des droits humains.

Et cette histoire a bien existé même si, à certaines époques, les pays islamiques accueillirent les persécutés juifs et chrétiens, même si les lois islamiques se référant au Coran interdisent les conversions forcées et assurent protection à l’indigène non-musulman, protection uniquement garantie dans le système avilissant de la dhimmitude.

Il est vrai que ce système, parfois plus ou moins tolérant que d’autres, s’intégrait aux préjugés et mentalités de l’époque, et que les périodes de massacres et d’esclavage résultaient aussi de situations incontrôlables.

Mais il n’en reste pas moins que les peuples dhimmis des régions arabisées et d’Anatolie et d’Arménie ne purent survivre que par le rançonnage permanent de leur propre existence tolérée dans l’insécurité et l’humiliation. Le génocide des Arméniens fut le premier de ce siècle.

Dans ce contexte de dhimmitude, Israël représente la libération d’un peuple dhimmi.

D’où la volonté de le sataniser dans les instances internationales, de l’avilir et de légitimer un terrorisme qui perpétue l’insécurité dans laquelle vivait le dhimmi et le droit que s’arrogeait le Musulman sur sa vie.

Tant que la légitimité d’Israël n’est pas reconnue, celle des autres peuples dhimmis chrétiens, libérés de la dhimmitude : Espagnols, Grecs, Slaves, Arméniens, n’est pas non plus assurée.

Si la dhimmitude doit être obligatoire pour un peuple de la Bible – les Juifs, alors elle l’est aussi pour l’autre peuple de la Bible, les Chrétiens.

Cette solidarité du Peuple de la Bible, inscrite dans le dogme et la législation islamique au long de treize siècles d’histoire, ni les Chrétiens d’Orient ni l’Occident ne l’ont comprise.

Au contraire, les Chrétiens d’Orient, certainement à cause de leur condition d’otages, se sont unis aux forces antisionistes, se faisant ainsi l’instrument de leur propre destruction.

L’ANTISIONISME, SOURCE D’ANTISEMITISME

Je prendrai deux exemples :

1) Le nationalisme arabe, qui fit des Chrétiens le fer de lance du jihâd contre Israël, fut l’instrument idéologique, politique, culturel, d’anéantissement du christianisme d’Orient et fit exploser le Liban.

Ici, je voudrais mentionner la propagande des Eglises irakiennes, syriennes et arabo-palestiniennes. Otages du monde arabo-musulman, elles sont utilisées par les Etats arabes pour propager en Occident l’antisémitisme et l’antisionisme. Prétendant avoir toujours bien vécu dans le monde musulman, elles attribuent la détérioration de leurs relations avec l’islam à la création de l’Etat hébreu, accusé de provoquer le radicalisme islamique.

Accusations démenties par l’histoire, car la destruction du christianisme oriental et les nombreux massacres qui ponctuèrent ce processus, précédèrent de plusieurs siècles le rétablissement de l’Etat hébreu.

2) L’antisionisme occidental, conséquence de l’arabophilie, constitue aujourd’hui l’une des sources majeures de l’antisémitisme. Or, la délégitimation d’Israël implique celle de l’Occident, car la haine anti-occidentale et la haine contre Israël s’enracinent dans le même dogme, la même législation, la même histoire. Et cette association s’inscrit dans treize siècles de dhimmitude.

Sur le plan idéologique, l’antisionisme est une menace contre l’Occident lui-même, contre les valeurs qu’il s’efforce de promouvoir dans la Charte des Nations-Unies et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

Je soulignerai que la dhimmitude prétend apporter un message de paix et de réconciliation.

1) Paix entre les Eglises et les peuples, car la dhimmitude fut la conséquence de leurs haines réciproques et de leur aveuglement.

2) Paix entre les Peuples de la Bible. Or, aujourd’hui, les forces antisionistes cherchent à développer la haine antisémite et anti-israélienne en Occident.

On ne voit pas pourquoi seuls les Juifs seraient privés de souveraineté nationale dans leur pays. Quiconque est anti-israélien est ipso facto anti-chrétien.

Et certains Chrétiens orientaux, émissaires, en Europe, du jihâd anti-israélien, en occultant leur propre histoire de dhimmi, ne font que creuser leur tombe et celle de l’Europe.

Car les destins des deux Peuples du Livre sont unis et inséparables. Quand Israël se bat contre les valeurs du jihâd et de dhimmitude, il mène aussi le combat du Chrétien.

L’un ne se sauvera pas sans l’autre. Et si les deux se combattent mutuellement, tous deux risquent de périr.

Soyons aussi attentifs aux forces qui cherchent à semer la haine entre l’Occident et Israël pour les utiliser l’un contre l’autre. Chrétiens et Juifs doivent comprendre que leurs intérêts sont communs.

Qu’ils le veuillent ou non, c’est le chemin déterminé par l’histoire depuis treize siècles et dont le but, tel qu’il m’apparaît, est la réconciliation des trois religions monothéistes.

Aujourd’hui, si nous voulons établir des relations de coexistence pacifique entre Juifs, Chrétiens et Musulmans, il est essentiel, tout d’abord, d’annuler le principe de l’impureté de l’infidèle, encore en vigueur, aujourd’hui, comme le prouvent l’interdiction, pour les non-Musulmans, de visiter la Mecque et Médine, et, en Arabie, les restrictions imposées au culte des habitants chrétiens.

Il serait aussi légitime de demander aux peuples musulmans de reconnaître les souffrances incalculables qu’ils ont infligées aux populations indigènes, chrétiennes et juives, soumises à la dhimmitude.

Histoire occultée, car les peuples dhimmis n’ont pas droit à la parole ni à leur histoire.

Or, cette histoire doit être reconnue, car une non-reconnaissance impliquerait la nature inférieure des dhimmis chrétiens et juifs, le déni de leurs droits et sentiments humains.

Leur déshumanisation justifierait la législation discriminatoire et avilissante de la dhimmitude et conforterait l’idéologie qui divise le monde en deux catégories d’humanité : une humanité supérieure, les Musulmans, et l’autre, les non-Musulmans, voués à l’avilissement.

La modification des mentalités et des préjugés du passé exige la reconnaissance des droits égaux et inaliénables des êtres humains et la satisfaction de la demande que les dhimmis soient rétroactivement reconnus dans leur dignité humaine.

Le poids historique du passé doit être assumé, comme ce fut le cas pour l’Allemagne, les Croisades, l’Inquisition, l’esclavage des Noirs d’Afrique et la colonisation.

Si nous croyons à l’égalité et à l’identité des êtres humains, nous ne pouvons tolérer que les victimes de la dhimmitude soient seules flétries par le mépris de l’oubli.

L’EXAMEN CRITIQUE DU PASSE

Tant que les droits humains du Peuple du Livre ne seront pas rétroactivement reconnus par un examen critique de la dhimmitude, il y aura deux systèmes de valeurs fondamentalement opposés : l’un, moderne, qui reconnaît l’égalité des hommes et l’inaliénabilité des droits humains, et l’autre, fondé sur l’inégalité des droits, ce qui implique, s’ils sont concédés, qu’ils peuvent être retirés unilatéralement par ceux qui les concèdent.

Ceci perpétue la séparation des êtres humains en deux groupes: ceux qui concèdent les droits et ceux qui bénéficient, dans la gratitude et la soumission, de ces droits concédés. Ces principes sont contraires à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

DENONCER LA DHIMMITUDE

La dénonciation des politiques impérialistes et fanatiques de l’expansion islamique confortera les éléments rénovateurs musulmans et favorisera l’harmonisation de nos valeurs.

Ce changement des mentalités représente une énorme tâche.

Encore récemment, des Musulmans égyptiens furent emprisonnés parce que leurs livres furent jugés blasphématoires. Et tout le monde connaît l’Affaire Rushdie » (2).

Juifs et Chrétiens sont unis dans ce combat, qui vise, par une rénovation profonde de la mentalité islamique, à l’abolition du principe de dhimmitude.

Mais ils sont aussi unis avec les Musulmans réformistes.

Et c’est là le défi d’Israël : en reconnaissant la légitimité d’Israël, l’islam acceptera le principe de l’égalité des hommes et des peuples et abolira le jihâd et la condition de dhimmi.

Et s’il le fait pour les Juifs, il le fera pour les Chrétiens et le reste de l’humanité

C’est là le sens profond de la restauration de l’Etat d’Israël, car, par sa médiation, s’opérera la réconciliation de la famille humaine. Ou bien c’est le jihâd nucléaire, surtout contre l’Occident.

Le fondamentalisme, l’explosion démographique et les problèmes économiques créeront bientôt autour de l’Europe, du Caucase à l’Afrique du Nord, tel un croissant, le front du jihâd. Jihâd nucléaire qui conduira à la destruction de notre planète.

Voilà le défi historique qui nous unit, Juifs et Chrétiens.

Une tâche à laquelle nous devons rapidement nous atteler avec les Musulmans réformistes, car le temps presse. Si l’Europe veut éviter un retour aux prises d’otages et au terrorisme, on doit définitivement rejeter les idéologies qui les justifient.

Bat Ye’or

Apprendre la langue arabe : se préparer à la dhimmitude©

 

Apprendre la langue arabe : (pour mieux) se préparer à la dhimmitude (, mon enfant)

 

Que répondre aux esprits étriqués chez qui l’arabe n’inspire que la crainte de voir l’identité nationale broyée par le communautarisme? Pour commencer, que le plurilinguisme est créateur de richesse, de transmission et d’empathie.

Le Jihad soft de la Taqiyya

Par Gilles FALAVIGNA

Un billet du 27 février 2018 de Slate signé Rachid Zerrouki titre : la langue arabe est une des plus belles de France.

Il y aura plusieurs niveaux d’interprétation de cet article, du littéral à ce qu’il dissimule, de manière plus ou moins consciente de la part de son auteur. Nous pouvons commencer par le titre.

La langue arabe est une des plus belles de France. D’entrée, nous sommes positionnés dans l’émotif et le jugement de valeur. A quel titre l’arabe ne serait-il pas une belle langue ? Néanmoins, une vraie question est de savoir si la langue arabe est une langue de France et là, l’affirmative est un postulat.

La France a connu des flux d’immigration italiens, polonais, portugais importants. L’italien, le polonais ou le portugais sont-ils des langues de France ? Qui oserait le prétendre ? Serait-ce alors le nombre de personnes qui parlent cette langue qui fait qu’elle est ou non de France ? Combien de gens parlent le picard, l’alsacien, le breton ou d’autres véritables langues ? Sur le principe hégémonique, le picard devrait être exclu des langues françaises.

Il y a également d’autres niveaux d’interprétation du phénomène revendicatif. Tout d’abord, les langues de France sont de véritables langues et non pas des patois qui existent, eux aussi. Mais il n’y a qu’une langue française. La langue est un des piliers de ce qui constitue une Nation. Nous sommes typiquement dans la mécanique islamique de conquête. Quand elle n’est pas par le sabre, quand l’Islam est minoritaire, elle se fait en douceur, petit à petit jusqu’à devenir une force conséquente. La relation dominant-soumis s’exprime alors. La Troisième République s’est imposée par la laïcité et l’interdiction dure de la pratique des langues dites régionales dans un principe centralisateur. Intégrer la langue arabe aux langues françaises, c’est globaliser une victimisation identitaire qui signifie que l’Arabe est Français.

Sur ce point, la dialectique est pernicieuse car elle utilise en inversion l’identité. Le Picard est Français, de fait parce qu’il a abandonné la langue picarde. Affirmer que la langue arabe est une langue française, c’est affirmer que l’identité française est une identité arabe. Nous allons rapidement revenir sur ce sujet car la langue arabe possède une spécificité au regard de la Nation. C’est celle de l’Islam universaliste.

Ceux qui s’opposeraient à l’enseignement de la langue arabe seraient des esprits étriqués qui ne voient pas que le plurilinguisme est créateur de richesse, de transmission et d’empathie, nous dit l’article de Slate. Encore une fois, le problème n’est pas là. L’esprit étriqué sera de concevoir la République Une et indivisible et dont la seule langue est le français. Question empathie, est-ce aux Français d’origine d’en faire preuve ? N’est-ce pas également à l’immigré d’en faire preuve en parlant, en France, LA langue française ? Les partisans de l’enseignement de l’arabe à l’école de la République sont également ceux qui affirment que l’immigration est une chance pour la France. Eh bien, si le plurilinguisme est créateur de richesse, de transmission et d’empathie, considérons offrir par une discrimination positive aux immigrés, une plus-value pour la France par leur apprentissage du français sans favoriser l’apprentissage de l’arabe aux autres. Car de quoi parlons-nous ? Devrons-nous échanger en arabe avec les populations immigrées ? Est-il vraiment question d’optimiser les relations commerciales avec le Maghreb ? Les britanniques ou américains se débrouillent très bien sans cela.

Dans son article, l’auteur revient sur la beauté de la langue arabe, la langue aux mille noms pour désigner l’amour. L’arabe, du fait d’être une langue de déclinaison, serait « clarté, logique, système, et abstraction», citant Jaroslav Stetkevych.

Il y a une double fausseté à l’affirmer, c’est d’abord tromper l’autre sans avoir forcément conscience de son erreur.

Le fait d’être une langue de déclinaison n’ouvre pas à la nuance et l’hébreu, langue matricielle de l’arabe en témoigne. La langue de déclinaison, au contraire, permet la précision du sens. Qu’il puisse y avoir mille noms pour désigner l’Amour n’est en rien une spécificité de la langue arabe. Elle peut posséder clarté et logique. Mais cela dans un système qui est celui du monde arabo-musulman. Pour ce qui est de l’abstraction, les travaux des principaux chercheurs, de Prémare à Luxenberg aboutissent à la conclusion du maintien du monde arabo-musulman dans le Moyen-âge, par l’incapacité de conceptualiser de la langue arabe. Elle possède, par contre, d’autres spécificités.

L’arabe est la langue de la révélation coranique. Les docteurs de l’Islam y trouvent la substance du message coranique. La diversité par la déclinaison n’est pas la nuance mais la pertinence du nom. Ainsi :

Combattre, racine qtl, signifie tuer ; attaquer, racine jzw, signifie razzier… Il n’y a pas conceptualisation. Au contraire, il y a un mode opératoire précis qui est le sens unique du mot. Combattre ou, en français, s’opposer, affronter sont du concept. En langue de la révélation coranique, c’est du concret, tuer.

El qalam est le fondement de la langue arabe. C’est le discours. Grammaticalement, c’est la langue parlée. El qalam est trois choses : le nom, el ism ; le verbe, el fi’ad qui présente l’accompli et l’inaccompli ; la particule, el harf est ce qui construit la grammaire. Ce sont les prépositions. Et la grammaire se déterminera par la lettre.

L’auteur de l’article Slate insiste sur la richesse du vocabulaire de la langue arabe. Mais la construction d’une pensée se fait par son articulation, son objectif, et c’est le rôle de la grammaire. Il y a l’accompli et l’inaccompli. Le monde arabo-musulman est dans la conquête, la réalisation de son objectif. Initier à la langue arabe dans les écoles françaises, c’est participer à un Jihad « doux » et il est important de rappeler le sens du mot jihad, racine jhd, qui signifie faire son possible. Alors qu’avant toute autre chose, l’arabe est la langue de la révélation coranique, il est notable que l’article analysé ici, ne l’évoque à aucun moment. Une interprétation qui en vaut une autre : Taqiyya, l’art de la dissimulation.

Forum Juif et Israelite Nazareen - Suiveurs de YHWH - Torah et Yeshoua

Comment fut inventé le peuple juif

Les Juifs forment-ils un peuple ? A cette question ancienne, un historien israélien apporte une réponse nouvelle. Contrairement à l’idée reçue, la diaspora ne naquit pas de l’expulsion des Hébreux de Palestine, mais de conversions successives en Afrique du Nord, en Europe du Sud et au Proche-Orient. Voilà qui ébranle un des fondements de la pensée sioniste, celui qui voudrait que les Juifs soient les descendants du royaume de David et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars.

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Commentaires
Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
  • La Laosophie est une philosophie de l'existence, très ancienne puisque nous l'avons fait remonter aux sources mêmes du début de la Philosophie Grecque, soit au VIIème siècle avant notre ère par l'intermédiaire de la première femme philosophe, SAPPHO.
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