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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
11 février 2018

WWIII:La RUSSIE ne laissera pas faire. le Président Poutine déclare: "Les frappes aériennes américaines sont illégales en Syrie

Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. (ce Blog non professionnel, ne fait pas appel à la publicité ni à des subventions pour exister , il est gratuit et tenu par des bénévoles).

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WWIII: La RUSSIE ne laissera pas faire. le Président Poutine  vient de déclarer : "Les frappes aériennes américaines illégales en Syrie ne resteront pas impunies".

Publié le 10 février 2018 par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

L’armée syrienne est-elle tombée dans un piège tendu par les Etats-Unis ?

Hier soir, la force américaine qui occupe illégalement le nord-est de la Syrie a attaqué un groupe de soldats alliés au gouvernement syrien et leur soutien russe. L’incident s’est produit au nord-est de la ville de Deir Ezzor, à l’est de l’Euphrate. Les États-Unis affirment qu’ils ont tué une centaine de soldats syriens qui auraient attaqué leurs forces par procuration pour tenter de reprendre des champs pétrolifères.

 

 

 
L’Euphrate sépare les zones du sud-ouest sous contrôle du gouvernement syrien de celles du nord-est de l’Euphrate sous occupation américaine. Mais plusieurs endroits autour de Manbij, Raqqa et Deir Ezzor ne font pas partie de ces zones et sont sous le contrôle de l’autre camp. Les États-Unis affirment qu’il y a un accord sur une « ligne de démarcation » le long de l’Euphrate. Le gouvernement syrien affime que non.
Une petite zone de l’autre côté de l’Euphrate, au nord-est de Deir Ezzor, a été reprise il y a plusieurs mois par les forces du gouvernement syrien. Elle est proche de champs pétroliers que les États-Unis ne veulent pas voir aux mains du gouvernement syrien.
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« Les États-Unis veulent garder la Syrie faible et pauvre », explique le professeur Joshua Landis. Selon lui, les États-Unis occupent le nord-est de la Syrie pour empêcher la Syrie d’accéder à son pétrole et à ses terres agricoles les meilleures. Ils veulent que la Syrie devienne un bourbier pour la Russie et l’Iran, au profit principalement d’Israël.
Les précieux gisements de pétrole et de gaz sont actuellement entre les mains des tribus arabes locales qui étaient auparavant alliées avec l’État islamique et qui, selon les États-Unis, sont maintenant alliées aux Kurdes du YPG/PKK sous le nom de Forces démocratiques syriennes (FDS). Les FDS sont les forces locales par procuration des États-Unis pour maintenir leur occupation.
Dans le camp du gouvernement syrien, à Deir Ezzor, il y a quelques troupes syriennes, des milices locales de la région, ainsi que des membres de l’entreprise militaire privée russe Wagner Group. Wagner aurait un contrat avec le gouvernement syrien qui lui accorderait environ 25 % de toutes les recettes provenant des champs pétrolifères qu’il pourrait récupérer et protéger.
Hier soir, l’armée américaine a annoncé qu’elle s’était « défendue » contre une attaque des troupes du gouvernement syrien sur le sol syrien :
Les forces syriennes pro-régime ont lancé sans raison apparente une attaque contre le quartier général des Forces démocratiques syriennes le 7 février.
Les membres de la coalition chargés du conseil, de l’aide et de l’accompagnement, ont été regroupés avec nos partenaires des Forces démocratiques syriennes (FDS), pendant l’attaque, à huit kilomètres à l’est de la ligne de démarcation convenue le long de la rivière Euphrate.
Pour défendre la Coalition et ses forces alliées, la Coalition a mené des frappes contre les forces attaquantes pour repousser l’agression contre nos alliés engagés dans la mission de la Coalition mondiale pour vaincre Daesh.
Selon Reuters :
Plus d’une centaine de combattants alliés du président syrien Bachar al-Assad ont été tués pendant la nuit lorsque la coalition américaine et les forces locales soutenues par la coalition ont repoussé leur attaque dans l’est de la Syrie, a déclaré jeudi un responsable américain.
Les lourdes pertes humaines montrent l’ampleur de l’attaque menée, selon l’officiel américain, par environ 500 combattants ennemis, appuyés par de l’artillerie, des chars d’assaut, des systèmes de roquettes à lanceurs multiples et des mortiers. L’officiel a parlé à Reuters sous couvert d’anonymat.
Aucun soldat américain n’a été tué ou blessé au cours de l’incident, ont déclaré les autorités.
Des soldats américains se trouvaient avec les forces démocratiques syriennes (FDS) dont le quartier général, situé dans la province syrienne de Deir al-Zor, était la cible de l’attaque.
Un combattant des FDS a été blessé, a déclaré cet officiel.
Les États-Unis affirment également qu’ils avaient observé des préparatifs avant le déplacement syrien et qu’ils avaient pris contact avec le commandement russe en Syrie bien avant :
La coalition dirigée par les États-Unis avait alerté les responsables russes de la présence des FDS dans la région longtemps avant l’attaque repoussée, a déclaré l’officiel américain.
D’autres sources indiquent qu’il y a eu des pourparlers entre Wagner et les Arabes locaux qui surveillent les opérations pétrolières et gazières de « Conoco » actuellement improductives près de la ville de Khisham.
Hassan Hassan Hassan @hxhassan – 12:17 – 8 fév 2018
5. Il est intéressant de noter qu’il y a environ une semaine, des rapports locaux laissaient entendre qu’il y aurait un accord imminent pour rendre l’usine d’exploitation au régime par le biais d’une faction arabe au sein des FDS.
La traduction d’un article du média d’opposition Al-Etihad semble confirmer qu’un accord avait été conclu :
Des militants ont déclaré que des forces d’Assad et des milices chiites se sont rassemblées près des villages de Bakkara Akidat, Dahla et Sabah, dans la banlieue est de Deir-ez-Zor (à l’est de l’Euphrate), près du champ gazier de Conoco qui est contrôlé par les forces kurdes.
Les sources ont ajouté que les forces démocratiques syriennes (FDS), dominées par les Kurdes, ont informé les forces de la coalition dirigée par les États-Unis de cette évolution. La coalition a exhorté les combattants des FDS à ne pas résister aux forces du régime et à rendre la région.
Les militants ont ajouté que les FDS avaient déjà retiré des armes lourdes de leurs zones détenues par les factions arabes et turkmènes.
Cette opération était-elle un piège ? L’armée américaine savait que quelque chose allait se produire dans la région. Des accords locaux avaient été conclus entre le gouvernement syrien et les Arabes locaux qui détiennent les champs pétrolifères. Les États-Unis avaient demandé aux FDS de laisser faire. Mais lorsque les forces alliées du gouvernement ont commencé à reprendre le champ de pétrole, comme convenu, les États-Unis les ont bombardés.
L’« attaque contre les forces de la coalition » qui sert aux États-Unis de justification pour leurs bombardements ne semble pas avoir eu lieu du tout. Comment expliquer autrement que l’attaque de tout un bataillon bénéficiant d’un fort soutien d’artillerie n’ait fait qu’une seule victime, un seul blessé, parmi les combattants ? La déclaration ultérieure de l’armée américaine à un journaliste ne brille pas par sa clarté :
Après que 20 à 30 tirs d’artillerie et de chars ont atterri à moins de 500 mètres de l’emplacement du quartier général des FDS, les Forces démocratiques syriennes soutenues par la Coalition ont pris pour cible les agresseurs avec une combinaison de frappes aériennes et d’artillerie.
L’armée américaine parle-t-elle de « l’emplacement des quartiers généraux des FDS » parce que le quartier général n’était plus là du fait que les FDS étaient partis ? Et depuis quand des tirs de char d’assaut atterrissant à 500 mètres de distance sont-ils considérés comme une attaque directe ? Les munitions des chars peuvent s’écarter d’un mètre ou deux du leur trajectoire. Il est impossible que des munitions atterrissant à environ 500 mètres de distance aient été destinées à frapper l’emplacement du quartier général. Quoi que les forces syriennes aient ciblé, si tant est qu’elles aient ciblé quoi que ce soit, ce n’était pas l’emplacement du quartier général des FDS.
L’histoire que l’armée américaine essaie de nous vendre sent très mauvais.
Cet incident rappelle l’attaque non provoquée des Etats-Unis contre les troupes syriennes en septembre 2016. Cette attaque aérienne a tué 100 soldats syriens d’un petit contingent encerclé qui résistait aux forces de l’État islamique. Cela avait presque permis aux Takfiris d’éliminer cette dernière position du gouvernement syrien à l’est.
Il y a eu récemment une série de provocations contre les forces russes et syriennes en Syrie. 
  • Deux attaques massives de drones ont ciblé le port aérien russe d’Hememim et sa base navale de Tartus. 
  • Cette semaine, des tirs de mortier en provenance de Ghouta-Est ont frappé avec précision la mission commerciale russe à Damas et l’ont gravement endommagée. 
  • Un point de distribution d’aide russe à Damas a également été attaqué juste au moment où des dirigeants d’organisations non gouvernementales russes s’y trouvaient en visite, 
  • un jet russe a été abattu avec un rare MANPADS dans le ciel d’Idleb. Ces trois opérations dépassaient les capacités matérielles et de renseignement des forces « rebelles ».
La propagande ridicule sur « l’attaque au gaz chloré » revient en force pour nuire à la Syrie. Malgré un accord de désescalade russo-turco-iranien conclu avec la Turquie, Al-Qaïda et d’autres forces « rebelles » dans le gouvernorat d’Idleb semblent toujours bénéficier d’un approvisionnement illimité à travers les frontières turques. Israël attaque des cibles en Syrie et tente d’étendre son occupation du plateau du Golan.
La guerre des États-Unis contre la Syrie et ses alliés se poursuit à plein régime, même si les États-Unis prétendent qu’il n’y a pas de guerre du tout. La volonté de créer le bourbier dont parle le professeur Landis se dissimule derrière des opérations clandestines, l’action « défensive », et le bla bla « humanitaire ».
Les États-Unis feraient bien de se méfier. Ils ne sont pas les seuls à pouvoir jouer à ce jeu-là. Leurs troupes dans le nord-est de la Syrie ont des lignes d’approvisionnement étroites et ne sont pas bien protégées. Elles sont vulnérables aux activités clandestines de l’autre camp, tout comme les forces américaines en Irak. Je ne serais pas du tout surpris si elles recevaient bientôt une attention inattendue et très meurtrières.
En effet, le Président Poutine  vient de déclarer : "Les frappes aériennes américaines illégales en Syrie ne resteront pas impunies".

L'Iran menace Tel Aviv de créer «l'enfer pour les sionistes» après les frappes israéliennes en Syrie

L'Iran menace Tel Aviv de créer «l'enfer pour les sionistes» après les frappes israéliennes en Syrie© Morteza Nikoubazl / Reuters
Des membres des Gardes de la révolution iraniens

Le ton monte entre Israël et Téhéran après que l'Etat hébreu a mené des frappes en Syrie contre des cibles «iraniennes». Tel Aviv dit avoir agi après l'envoi d'un drone iranien dans son espace aérien depuis la Syrie, ce que dément l'Iran.

«Les affirmations sur le survol d'un drone iranien [dans l'espace aérien d'Israël] et l'implication de l'Iran dans l'attaque contre un avion de chasse sioniste est tellement ridicule qu'elle ne mérite pas de commentaire», a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères Bahram Qassemi dans une allocution diffusée par la télévision publique le 10 février. 

Il a par ailleurs souligné que Téhéran intervenait uniquement en Syrie «à la demande du [...] gouvernement légitime et légal» et que Damas avait «le droit de défendre [son] intégrité territoriale et de contrer toute forme d'agression étrangère».

Le porte-parole faisait référence aux tirs du dispositif syrien de défense anti-aérienne, qui a abattu un F-16 israélien effectuant des frappes contre des «cibles iraniennes» en Syrie. Tel Aviv a justifié son action en affirmant qu'un drone iranien envoyé de Syrie avait violé son espace aérien, ce que dément Téhéran. Tsahal a mené d'autres frappes en Syrie après que son appareil a été abattu.

De son côté, le général Hossein Salami, commandant-adjoint des gardiens de la Révolution cité par l'agence de presse iranienne Tasnim le 10 février a mis en garde Tel Aviv contre toute «action agressive», soulignant que l'Iran pourrait créer «l'enfer pour les sionistes».

Evoquant la politique de sanctions des Etats-Unis envers l'Iran, il a affirmé que Téhéran avait potentiellement le pouvoir de détruire «toutes les bases militaires américaines dans la région».

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a pour sa part affirmé : «Israël veut la paix, mais nous continuerons à nous défendre avec détermination contre toute attaque et contre toute tentative de l'Iran de s'ancrer militairement en Syrie ou ailleurs.»

«Israël tient l'Iran et ses hôtes syriens pour responsables de l'agression d'aujourd'hui», a-t-il ajouté, évoquant l'envoi présumé d'un drone iranien dans l'espace aérien israélien, depuis la Syrie. Tsahal a en outre accusé Téhéran et Damas de «jouer avec le feu».

Benjamin Netanyahou s'est entretenu le 10 février au téléphone avec le président russe Vladimir Poutine et avec le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson.

Washington s'est rangé aux côtés d'Israël, affirmant dans un communiqué du département d'Etat : «Les Etats-Unis sont vivement préoccupés par l'escalade de la violence à la frontière d'Israël et soutiennent fermement le droit souverain d'Israël à se défendre.» Le département a par ailleurs dénoncé «les activités nuisibles de l'Iran dans la région».

Moscou a pour sa part appelé les différents acteurs à la plus grande retenue, estimant que les frappes israéliennes en Syrie pourraient déstabiliser encore davantage la région et mettre en péril les zones de désescalade.

Israël

La nouvelle DCA syrienne : le cauchemar d’Israël ?
© Sputnik. Vladimir Vyatkin Points de vue
16:26 11.02.2018(mis à jour 16:32 11.02.2018) URL courte
Mikhail Gamandiy-Egorov
Israël a vu une fois de plus sa prétendue « supériorité aérienne » être mise à mal. Les changements de rapports des derniers mois sur le front syrien et plus généralement régional ne font que s’affirmer chaque jour un peu plus.

Dans notre article de décembre dernier, nous avions justement abordé ce changement de donne qui devenait de plus en plus évident sur la scène régional, en rapport avec l'arrivée de la fin de la supériorité aérienne de l'Etat sioniste au Proche-Orient. Evidemment, les critiques n'ont pas manqué de mettre en doute ce processus, prétendant que même si la DCA syrienne se montrait plus efficace que dans le passé et qu'elle ait pu abattre plusieurs missiles israéliens lancés contre des sites en territoire syrien, cela ne changeait en rien la capacité israélienne à dominer le ciel régional.

Tout change désormais. En réalité tout a commencé à changer bien avant. Depuis que les avions du Tsahal n'osaient plus s'aventurer dans le ciel syrien et menaient toutes leurs attaques contre la Syrie depuis l'espace aérien libanais: c'était déjà le début fortement révélateur. Quant à la Syrie, et comme on le disait dans les analyses précédentes, tant qu'elle était avec ses alliés focalisée à détruire les principaux foyers terroristes sur son territoire, le principal étant Daech et cet objectif a été atteint à plus de 95%, il lui était évidemment difficile de se focaliser sur les attaques sporadiques israéliennes et d'y répondre efficacement. Surtout que pour rappel et comme l'avait dit plusieurs fois le président syrien Assad la DCA syrienne était fortement affaiblie suite aux destructions menées par les terroristes vis-à-vis de ces installations, et ce depuis le début du conflit.

Depuis, la Russie avait annoncé son intention de mettre à niveau la DCA syrienne avec la participation de spécialistes russes, et cela en complément de la présence des systèmes russes existants dans la République arabe — destinés à protéger les installations et le personnel russes en terre syrienne. Les ennemis de la Syrie, et aussi de la Russie, n'avaient pas manqué à chaque mauvaise occasion de mettre en doute les capacités défensives de la DCA russe, prétextant justement le manque d'action face aux attaques menées notamment par l'aviation israélienne contre des cibles syriennes. Ils souriront mois souvent dorénavant.

Tout d'abord, et n'importe quel expert en la matière le confirmera, mettre en place un système anti-aérien digne de ce nom demande du temps, ainsi qu'une formation adéquate pour le personnel qui va le gérer à terme. Surtout (!) en temps de guerre. Quoiqu'il en soit, l'événement qui s'est déroulé ce 10 février est plus que révélateur: lorsqu'un système de fabrication soviétique, le fameux S-200 utilisé par l'armée syrienne, vraisemblablement sérieusement amélioré par les spécialistes russes, a été en mesure d'abattre la fierté du Tsahal: en l'occurrence le fameux avion F-16 et ce d'autant plus dans le ciel israélien, seul un idiot pourrait encore mettre en doute les capacités des systèmes russes beaucoup plus sophistiqués.

Selon le commandement syrien, plusieurs avions israéliens auraient été touchés. Israël n'a reconnu que la perte d'un seul, ajoutant que les deux pilotes ont réussi à s'éjecter, tous deux étant hospitalisés, l'un deux dans un état grave. Connaissant la capacité du commandement militaire israélien à minimiser via ses communiqués officiels ses pertes, on peut effectivement se poser la question si seulement un avion ait été abattu par la DCA syrienne, ou à défaut d'être abattu comme le premier — mis hors d'état de nuire. En tout cas, le budget israélien peut désormais calculer les pertes mais surtout analyser la fameuse question: est-il encore maitre du ciel régional?

Par ailleurs et au-delà du F-16 abattu, la DCA modernisée de la République arabe a détruit durant ces derniers jours plusieurs dizaines de missiles israéliens tirés contre son territoire. Et là aussi c'est un changement majeur: si dans le passé un peu plus lointain la Syrie pouvait se vanter au mieux d'avoir abattu une partie des missiles tirés par les Israéliens à son encontre, depuis les derniers jours et avant même l'événement majeur du crash du F-16 en Galilée, Damas pouvait fièrement annoncer que la très grande majorité des missiles du Tsahal tirés contre les positions syriennes ont été interceptés.

Au-delà de ce succès stratégique indéniable, face à un Etat surarmé se permettant beaucoup plus qu'il ne devrait se permettre, la Syrie confirme une fois encore le statut de pays défendant la fierté et la dignité du monde arabe. Et ce après avoir cassé la colonne vertébrale des terroristes, issus d'une centaine de pays qui s'étaient déferlé en terre syrienne avec le « généreux » appui financier, militaire et médiatique des élites de grand nombre de pays: occidentaux, et golfistes. Sans oublier Israël — qui tout au long de ces dernières années n'a jamais été dérangé par la présence à ses « portes » de terroristes de Daech ou d'Al-Qaida, ne les ayant jamais frappé et en allant même à leur offrir des soins médicaux dans les meilleurs hôpitaux israéliens, tout en poursuivant à attaquer périodiquement l'armée gouvernementale syrienne, y compris lorsque celle-ci menait de rudes combats contre ces mêmes terroristes salafistes.

P.S. Simple supposition personnelle mais il est à penser que l'enquête russe sur l'origine des drones d'attaque utilisés par les terroristes dans la nuit de la célébration du Nouvel an 2018 contre la base russe de Hmeimim ait abouti. Et que le responsable ait été déterminé. Sachant que selon les experts militaires russes, les dits drones d'attaque sophistiqués ne pouvaient être que de production étasunienne, ou… israélienne. Sur le plan diplomatique, le ministère russe des Affaires étrangères, commentant les frappes israéliennes et la riposte syrienne, a rappelé que le respect de la souveraineté de la Syrie était primordial, tout en ajoutant qu'il était inacceptable de mettre en danger la vie de militaires russes opérant en Syrie contre les terroristes. A bon entendeur.

​Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.

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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
  • La Laosophie est une philosophie de l'existence, très ancienne puisque nous l'avons fait remonter aux sources mêmes du début de la Philosophie Grecque, soit au VIIème siècle avant notre ère par l'intermédiaire de la première femme philosophe, SAPPHO.
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