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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
10 février 2018

WWIII : TOI D.IEU TENEBREUX DES HEBREUX, D.IEU DE LA MANNE ET DES MIRACLES, POURQUOI AS-TU ABANDONNE CET F16 ?

Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. (ce Blog non professionnel, ne fait pas appel à la publicité ni à des subventions pour exister , il est gratuit et tenu par des bénévoles).

WWIII : TOI D.IEU TENEBREUX DES HEBREUX, D.IEU DE LA MANNE ET DES MIRACLES, POURQUOI AS-TU ABANDONNE CET F16 ISRAELIEN EN GALILEE SUR LA COLLINE D'ARMAGEDDON? AS-TU ANNONCE OFFICIELLEMENT LE DEBUT DE LA FIN D'ISRAËL POUR FAIRE FUIR LES JUIFS NON SIONISTES.

Publié le 10 février 2018 par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : TOI D.IEU TENEBREUX DES HEBREUX, D.IEU DE LA MANNE ET DES MIRACLES, POURQUOI AS-TU ABANDONNE CET F16 ISRAELIEN EN GALILEE SUR LA COLLINE D'ARMAGEDDON? AS-TU ANNONCE OFFICIELLEMENT LE DEBUT DE LA FIN D'ISRAËL POUR FAIRE FUIR LES JUIFS NON SIONISTES.

Nouveau raid aérien israélien de grande envergure frappant 12 cibles iraniennes et syriennes. C'est parti pour la grande bataille d'Armageddon, non loin de la colline du même nom où est tombé le F16 Israélien. Le Hezbollah va attaquer en Galilée. Des Millions d'Arabes vont déferlés sur les corps des Juifs Sionistes dans la Bataille de l'Armageddon.

Armageddon (de l'hébreu : הַר מְגִדֹּו / har M'giddo, transcrit Ἁρμαγεδών / Harmagedốn en grec), un petit mont en Galilée dans la région nord d' Israël, terme biblique mentionné dans le Nouveau Testament, est un lieu symbolique du combat final entre le Bien et le Mal. La Corée du Nord pourrait servir de dérivatif avant de se lancer dans la bataille finale.

Il se trouve que le F16 Sioniste est tombé non loin de là en Galilée, près de la ville de Nazareth où est né le Messie et Christ (que peut-il bien sortir de bon de Nazareth ?), et non loin du Mont Carmel où il est devenu Rabbi Essénien. Les Juifs qui utilisent non pas la force divine, mais la recherche de la Guerre armée en pensant être soutenu par l'Amérique vont mourir en ayant fait l'Alya (retour au Pays), tandis que les responsables Banquiers d'affaires ou autres pilotent le tout depuis Londres ou New-York. A méditer pour la Russie qui d'après nombreux devins, disent qu'elle va être erradiquée du paysage, mais rien n'est encore joué, D.ieu est aux commandes et favorise les intentions bellicistes des uns, pour les mettre devant l'autel du Sacrifice. Les Sioniste ont déjà soutenu la Shoah, laissez les se sacrifier eux-mêmes. Ci-dessous Netanyahu et des Joysticks donne les ordres qui viennent d'en haut.

Alya, Alyah, Aliyah est un mot hébreu (עליה ou עלייה, pluriel alyoth) signifiant littéralement « ascension » ou « élévation spirituelle ». Ce terme désigne l'acte d'immigration en Terre sainte (Eretz Israël, en hébreu) par un juif.

Les médias syriens ont fait état le 10 février d’un «nouvel acte d’agression israélien», qui s’est déroulé près de Damas, la capitale. Plus tôt dans la journée, un avion de combat F-16 israélien avait été abattu par les systèmes de défense anti-aérienne syriens.

Des bruits d’explosion, qui proviendraient de ces nouveaux raids aériens israéliens, ont été entendus dans la capitale, d’après plusieurs médias syriens, cités par al-Masdar. La défense anti-aérienne syrienne avait tiré de nombreux missiles surface-air pour intercepter les roquettes israéliennes, mais la majorité des projectiles ont tout de même atteint leurs cibles.

L’armée israélienne a de son côté précisé dans un communiqué avoir mené une attaque «de grande envergure» en Syrie, frappant 12 cibles iraniennes et syriennes, dont trois batteries de défense anti-aérienne et quatre cibles iraniennes non précisées mais «appartenant au dispositif militaire iranien en Syrie».

Les hostilités ont commencé dans la nuit du 9 au 10 février avec l’interception par l’armée israélienne d’un drone présenté comme iranien au-dessus de son territoire.

«Un hélicoptère de combat a procédé à l’interception réussie d’un appareil sans pilote qui avait été lancé de Syrie et était entré en Israël», a fait savoir l’armée israélienne dans un communiqué. «En représailles, l’armée a visé des cibles iraniennes en Syrie», a-t-elle poursuivi. C’est au cours d’une attaque contre ces «cibles iraniennes» qu’un F-16 israélien s’est écrasé après avoir essuyé les tirs des systèmes de défense anti-aérienne syriens.

L’armée israélienne a prévenu qu’elle considérait «l’attaque iranienne et la riposte syrienne comme une violation grave de la souveraineté israélienne». Elle a annoncé surveiller la situation et être «totalement prête à de nouvelles actions, après évaluation de la situation et des nécessités». Selon Tsahal, Israël ne souhaite pas l’escalade, mais l’Iran et la Syrie «jouent avec le feu».

Samedi noir pour Israël!

Samedi noir pour Israël!

L'agence de presse syrienne, Sana, a confirmé ce samedi matin le crash d'un avion de chasse F16 israélien, abattu par la DCA syrienne.

L'appareil s'est écrasé dans le nord d'Israël dans la Galilée. Le nom de cette région fait régulièrement son apparition dans la presse régionale à titre de région la plus exposé aux opérations militaires du Hezbollah si Israël lançait une frappe contre le Liban. 

Le F16 israélien participait à un raid contre les régions syriennes situées sur les frontières avec le Liban quand il a été intercepté par les radars de la DCA avant d'être pris pour cible par des missiles syriens. La presse israélien affirme de son côté que les deux pilotes de l'appareil auraient pu s'éjecter avec le crash et qu'ils auraient été transférés à l'hôpital. 

Il s'agit d'une riposte sans précédent de l'armée syrienne à Israël qui a bombardé à des dizaines de reprises le sol syrien en soutien clair aux terroristes takfiristes, et ce depuis 2011, date à laquelle la guerre a commencé. 

Mais ce n'est pas tout. Selon la chaîne libanaise Al Mayadeen, citant les sources syrienne, fait également état de l'interception de plusieurs missiles israéliens tirés en direction du rif de Damas. 

Toujours selon Al Mayadeen qui relaie les sources israéliennes, un hélicoptère de combat israélien a également été pris pour cible dans les fermes libanaises de Chebaa qu'Israël occupe depuis 2006 après sa défaite face au Hezbollah. Ces évolutions rapides sur le front nord israélien ont littéralement pris de court le régime sioniste qui devra, désormais, prendre au sérieux les menaces de Damas. 

Le président syrien, Bachar Assad a affirmé il y a une dizaine de jours ne pas hésiter à prendre pour cible l'aéroport de Ben Gorion, si Israël continue à violer la souveraineté de la Syrie et à attaquer son territoire. Mais Assad n'est pas le seul à vouloir face face à l'agression israélienne. 

L'escalade des tensions sur les frontières nord d'Israël avec le Liban est aussi à prendre en compte dans la mesure où le gouvernement libanais vient d'autoriser l'armée du pays à riposter à toute agression de l'armée sioniste dans le cadre du litige gazier qui oppose Israël au Liban. 

Selon les médias israéliens, le chef d’état-major d'Israël, Gadi Eizenkot vient de convoquer une réunion urgente des officiers et des commandants de l'armée israélienne pour examiner " les différentes dimensions" de la riposte syro-libanaise aux agressions de ce samedi de l'armée sioniste. Israël qui semble avoir cherché à attaquer une base de l'armée syrienne dans le rif de Damas, vient de recevoir une cuisante réponse de l'armée syrienne et de ses alliés. 

F-16 israélien abattu par la DCA syrienne

Ce que l’on sait sur les nouveaux raids de l’aviation israélienne en Syrie
© REUTERS/ Ronen Zvulun

International 13:08 10.02.2018(mis à jour 13:21 10.02.2018) URL courte 19273

Drone iranien détruit, F-16 israélien abattu par la DCA syrienne en riposte, et 12 cibles bombardées par l’État hébreu sur le territoire de son voisin… En espace de quelques heures, la tension sur la frontière entre la Syrie et Israël est montée d’un cran. Sputnik retrace les événements et fait le point.

La tension est montée d'un cran entre la Syrie et Israël ce samedi matin. L'État hébreu a mené une série d'attaques aériennes en Syrie, frappant des cibles militaires syriennes mais aussi iraniennes, et perdant l'un de ses appareils au cours du plus sévère accès de tensions impliquant les trois pays depuis des années.

Comment tout a commencé?

L'accès de fièvre a commencé dans la nuit avec un drone iranien lancé de Syrie et qui, à en croire l'armée de l'État hébreu, a violé l'espace aérien du pays.
Un hélicoptère de combat l'a intercepté et «en représailles», l'armée de l'air a attaqué des éléments du système de lancement de l'appareil sans pilote, selon la même source. Les avions israéliens ont alors essuyé «de multiples tirs de missiles antiaériens».

Un F-16 israélien abattu

Un F-16 s'est écrasé dans la région de la vallée de Jezréel, à l'est d'Haïfa, dans le nord d'Israël. La défense antiaérienne syrienne a affirmé avoir touché plusieurs avions de combat israéliens. L'État hébreu a de son côté déclaré que seul un F-16 a été touché.

Combien d'attaques y a-t-il eu?

La presse officielle syrienne a fait état de deux attaques distinctes. La première qualifiée «d'agression» contre une base militaire a déclenché une réplique de la défense aérienne syrienne et s'est soldée par le crash du F-16, affirme une source militaire syrienne.

Les médias officiels syriens ont fait état d'une autre attaque israélienne contre des positions militaires qui a été repoussée dans le sud de la Syrie. «L'ennemi israélien a repris ses agressions contre certaines positions militaires dans la région du Sud et notre défense aérienne lui a répondu et a repoussé l'agression», a déclaré une source militaire syrienne dans un communiqué, citée par Reuters.

L'aviation israélienne confirme elle aussi cette seconde vague de raids, une attaque «de grande envergure» selon elle. Au total, 12 objectifs ont été frappés, y compris trois batteries de défense antiaérienne et quatre cibles «appartenant au dispositif militaire iranien en Syrie», a affirmé l'armée.

Ce que disent Damas et ses alliés

À Damas, l'agence officielle Sana a affirmé que les raids israéliens avaient visé une base militaire dans le centre du pays. Des raids ont aussi visé des cibles proches de Damas et dans le sud syrien.

Dans un communiqué de leur commandement conjoint, le Hezbollah, l'Iran et la Russie, ont nié samedi toute violation de l'espace aérien israélien par un drone. Le document indique par ailleurs que l'appareil abattu, basé sur la base T-4 dans la province de Homs, était utilisé pour repérer les positions de Daech.

L'Iran a quant à lui accusé Israël de «mensonges» et a souligné le droit de la Syrie à la «légitime défense».

Ce que cherche Israël

L'ambassadeur d'Israël à Moscou, Harry Korne, a affirmé samedi que les miliciens du Hezbollah libanais, soutenus par l'Iran et les rebelles chiites qui soutiennent Bachar el-Assad, devaient être immédiatement écartés de la zone dite de «désescalade» dans le sud de la Syrie.

Depuis le début de la guerre en Syrie, Israël suit avec la plus grande attention l'évolution de la situation chez son voisin, veillant à ne pas être aspiré dans le conflit tout en frappant ponctuellement des positions de l'armée syrienne ou des convois d'armes à destination du Hezbollah, autre soutien de Bachar el-Assad.

Israël et la Syrie restent officiellement en état de guerre depuis des dizaines d'années. Les relations sont d'autant plus tendues que trois des ennemis d'Israël opèrent sur le théâtre syrien: le gouvernement de Bachar el-Assad, le Hezbollah et l'Iran.

« Nous assistons à un cycle d’actions-réactions » entre Israël et les alliés de la Russie: la Syrie, le Liban, l'Iran et le Hezbollah.

Ofer Zalzberg, analyste principal à l’International Crisis Group, examine l’escalade militaire dans le sud-ouest de la Syrie, qui s’est traduite, samedi, par des frappes israéliennes autour de Damas.

image: http://img.lemde.fr/2018/02/10/0/0/4496/2992/534/0/60/0/19303c9_5899880-01-06.jpg

Les restes d’un avion de combat israélien qui s’est écrasé après avoir été touché par la défense anti-aérienne syrienne, samedi 10 février. / AFP / Jack GUEZLes restes d’un avion de combat israélien qui s’est écrasé après avoir été touché par la défense anti-aérienne syrienne, samedi 10 février. / AFP / Jack GUEZ JACK GUEZ / AFP

https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/167316-180210-israel-un-drone-iranien-abattu-un-avion-de-combat-tombe-les-pilotes-sains-et-saufsLa matinée de samedi 10 février a été marquée par la plus sérieuse escalade militaire entre Israël et la Syrie depuis des années. A l’origine : un drone attribué par l’armée israélienne à l’Iran, qui avait pénétré dans l’espace aérien israélien. Tsahal a aussitôt lancé un raid pour détruire son site de lancement, au cours duquel un avion F16 a été touché et s’est écrasé en Israël. Le pilote est grièvement blessé.

Cet incident a entraîné une réplique massive des forces israéliennes, qui ont visé douze sites, syriens et iraniens autour de Damas (Syrie). Deux jours avant cette escalade, l’organisation International Crisis Group avait publié un rapport très documenté sur le risque d’un nouveau front en Syrie, impliquant Israël. L’un de ses auteurs, Ofer Zalzberg, analyse les ressorts de la détérioration sur le terrain.

Ce n’est pas la première fois qu’Israël répond militairement après qu’un drone a pénétré dans son espace aérien. Mais, ce matin, l’armée israélienne a agi avec une rapidité et une ampleur sans précédent. Cela signifie-t-il que les acteurs testent leurs lignes rouges respectives ?

Ofer Zalzberg : Effectivement, un incident impliquant un drone syrien n’est pas une chose nouvelle. Ce qui est nouveau, c’est un drone iranien pénétrant dans l’espace aérien israélien. Pour les officiels israéliens, il s’agit d’une violation par l’Iran de l’espace israélien — l’appareil a été détruit 30 km au sud de la clôture entre Israël et la Syrie — et d’une indication claire de la collecte de renseignements par l’Iran sur Israël afin de se préparer à un conflit armé.

Nous assistons à un cycle d’action-réaction, dans lequel les parties font preuve d’une prise de risque supérieure à celles dans le passé récent : l’Iran, afin d’accroître ses capacités de renseignement sur Israël ; Israël, afin de tracer les lignes rouges qui protègent son espace aérien ; et enfin la Syrie, afin de protéger son espace aérien de frappes israéliennes.

Même si personne ne semble désireux, dans l’immédiat, de déclencher une nouvelle guerre, qui pourrait se transformer en conflit régional, pourquoi la tension monte-t-elle depuis le début de l’année ?

Tandis que les combats progressent, [le chef de l’Etat syrien, Bachar Al-] Assad et ses alliés ont repris de plus en plus de territoires et se sentent maintenant confortés. Dès lors, ils peuvent enfin réorienter des ressources et prendre des risques pour compromettre les opérations aériennes israéliennes en Syrie. Cette attitude nouvelle peut avoir un impact sur la capacité d’Israël à frapper les convois d’armement du Hezbollah allant de Syrie vers le Liban, transportant notamment des missiles de haute précision qui peuvent causer des dégâts majeurs à Israël dans une guerre future avec le Hezbollah.

A quelle conclusion avez-vous abouti dans votre rapport, publié le 8 février, dans lequel vous mettiez en garde contre une escalade possible en Syrie ?

La Russie, qui est un soutien important du régime d’Assad, est la seule puissance en Syrie en mesure de faciliter la conclusion de deux nouvelles séries d’arrangements, destinées à réduire le risque d’une confrontation plus large. Cela doit être fait dans deux domaines. Dans le sud-ouest de la Syrie, la Russie doit négocier des arrangements pour conforter l’accord de désescalade, éloignant les forces soutenues par l’Iran de la ligne de cessez-le-feu entre la Syrie et Israël. Et elle doit chercher à négocier un modus vivendi entre Israël et l’Iran en Syrie, dans lequel l’Iran renoncerait à construire des ateliers de fabrication de missiles à haute précision et des infrastructures militaires, tandis qu’Israël accepterait la présence de forces étrangères dans le reste de la Syrie, en attendant la conclusion d’un accord sur l’avenir du pays. En l’absence de tels arrangements, les risques d’une escalade entre Israël, l’Iran et le Hezbollah seront bien plus élevés. Les événements de la nuit dernière en sont l’illustration.

Comme vous le notez dans votre rapport, ces derniers mois ont été marqués par des contacts intensifiés entre Israël et la Russie. Sont-ils productifs ? Israël peut-il vraiment compter sur Moscou pour juguler les plans iraniens ?

La coordination entre Israël et la Russie existe dans la mesure où Israël est, dans les faits, autorisé à frapper des cibles du Hezbollah et de l’Iran en Syrie. Les Syriens sont parfaitement au courant du fait que la Russie aurait pu utiliser ses technologies antimissiles avancées pour empêcher les frappes israéliennes, mais elle ne l’a pas fait. Mais en même temps, les Israéliens savent bien, à la lumière des incidents de la nuit dernière, que la Russie a permis au drone de traverser la Syrie et d’entrer dans l’espace aérien israélien.

Dès lors, nous voyons que la Russie fait de son mieux pour ne pas se retrouver prise au milieu du conflit entre l’Iran et Israël et pour maintenir des relations correctes avec les deux parties. On comprend bien que cela va être de plus en plus difficile. Si Moscou veut préserver des relations de coopération avec les deux parties, il est de son intérêt de parvenir à de tels arrangements. Dans leur cadre, il lui sera plus facile de protéger ses alliés à Damas. Dans le contexte d’un large conflit avec l’Iran et le Hezbollah en Syrie, Israël pourrait procéder à des frappes incapacitantes contre l’armée syrienne.

Quelles seraient les conséquences si les milices chiites soutenues par l’Iran intégraient l’armée syrienne ?

La première conséquence serait qu’il y aurait des forces armées fidèles à Téhéran au sein de l’armée syrienne. Cela rendrait bien plus improbable la possibilité pour Israël et la Syrie de revenir à la situation antérieure à 2011, quand leurs frontières étaient, de facto, les plus calmes de toutes celles qu’a Israël. Pour dire les choses simplement, il sera plus difficile de stabiliser la dynamique entre Israël et la Syrie, même si toutes les forces iraniennes et celles du Hezbollah quittent le pays.

Syrie: bombardements israéliens contre des positions syrienne et iranienne

L'aviation israélienne a bombardé samedi matin plus de douze cibles syrienne et iranienne en Syrie, y compris trois batteries de défense anti-aériennes et quatre cibles iraniennes non précisées mais "appartenant au dispositif militaire iranien en Syrie", a affirmé l'armée dans un communiqué.

L'armée syrienne a riposté déclenchant les sirènes d'alerte qui ont retenti à plusieurs reprises samedi matin en Galilée ainsi que dans la région du Golan (nord de l'Etat hébreu).

Les médias syriens avaient au préalable déclaré que "la défense antiaérienne syrienne cible samedi matin des avions de combat israéliens menant des frappes contre plusieurs positions près de Damas".

Plus tôt, un drone iranien lancé depuis la Syrie a été abattu dans le nord de l'Etat hébreu par un hélicoptère de combat israélien déclenchant la sirène d'alerte à la roquette dans la région du Golan, a annoncé l'armée dans un communiqué.

Peu après l'incident, des missiles anti-aériens ont été tirés depuis la Syrie contre l'aviation israélienne, et un F-16 s'est écrasé dans la région de la vallée de Jezreel, à l'est de la ville de Haïfa, dans le nord d'Israël.

Les pilotes ont été retrouvés sains et saufs, après s'être éjectés de leur avion. Blessés, dont l'un grièvement, ils ont été emmenés à l'hôpital Rambam de Haïfa.

L'armée israélienne a riposté en frappant des positions iraniennes en Syrie.

"Les Forces de défense israéliennes ont ciblé des systèmes de contrôle iraniens en Syrie qui avaient envoyé le drone dans l'espace aérien israélien. Tirs anti-aériens syriens intenses, un F16 s'est écrasé en Israël, les pilotes sont sains et saufs", a déclaré sur Twitter un porte-parole militaire, le lieutenant Jonathan Conricus.

"L'Iran entraîne la région vers une escalade de violence dont il paiera le prix", a également déclaré l'armée.

"Cette attaque constitue une grave violation de la souveraineté israélienne", a-t-elle ajouté.

La Vallée de Jezréel : le champ de bataille d'Israël

La Vallée de Jezréel est l’une des plus grandes vallées d'Israël et l’une de ses régions les plus fertiles. La géographie du pays en a fait un axe important reliant le nord au centre et l'est à l’ouest. Dès l’Antiquité, la route principale de la vallée connectait l'Egypte à la Syrie et à la Mésopotamie. De nos jours, l'importance de la vallée en termes de transport ne s’est pas démentie.
La large plaine alluvionnaire du Kishon, principal cours d'eau de la région, dans le nord d'Israël, a pris son nom de l’ancienne ville biblique de Jezréel, dont les vestiges de poterie datant de l’Age de Fer et de l’époque romaine se trouvent aujourd’hui au kibboutz Yizre'el, à 7 km au sud d’Afulah.
Citée dans le livre de Josué, la Vallée de Jezréel était alors dominée par les Cananéens.
Formant une flèche inclinée pointant vers Haifa, elle est bordée au nord par les monts de la Basse-Galilée et de Nazareth, au sud par le mont Carmel et ceux de Samarie et à l’est, par le Gilboa. La faille résulte de bouleversements géologiques. La plaine est longue d'environ 60 km et large en moyenne de 25 km.
Son sol noirâtre volcanique, formé d’alluvions, est arrosé de nombreuses sources. Jadis, l'indigo et la canne à sucre y étaient cultivés De nos jours, d’une grande fertilité grâce à sa richesse basaltique, il se prête à la culture des céréales (maïs, sésame, millet),  du coton, du tabac, des arbres fruitiers, de la vigne, des oliviers et divers genres de légumes.
Historiquement, la vallée fut habitée par des peuples sémites depuis plus de 6000 ans. Faisant communiquer la côte méditerranéenne avec l’Orient dès la plus haute Antiquité, la vallée fut un des champs de batailles les plus sanglants : Egyptiens, Hyksos (tribus sémites établies en Palestine), Cananéens, Mongols, Grecs, Romains et Croisés s’y battirent respectivement. Chacun la revendiquait en raison de sa haute valeur stratégique.
Après la conquête des Hébreux, les tribus de Manassé, Zébulon et Issachar s’y établirent. Plus tard, la prophétesse Déborah, aidée de l’armée menée par Baraq, écrasa les forces cananéennes et la vallée devint israélite. Au temps de Gédéon, les Midianites et les Amalécites  traversèrent la vallée et campèrent dans la partie est. Mais la victoire de Gédéon, aidé de seulement 300 hommes, sécurisa la vallée sur son flanc oriental.
Au temps des Rois, Jezréel devint le chef-lieu de district du royaume de Saul, servant de base à l’armée. Lorsque les Philistins tentèrent de diviser le royaume en deux,  malgré la bataille désastreuse et la défaite de Saul, le district de Jezréel resta israélite. Puis David fit de l’endroit la capitale d’hiver du royaume d’Israël, renforçant ainsi son pouvoir dans la région.
Salomon, quant à lui, imposa sa suzeraineté sur ce territoire. Il y fit construire ses fameuses écuries. De récentes fouilles à Jezréel ont mis à jour une riche collection de vases datant de son règne.
A la chute de l’Empire assyrien, Josiah, roi de Judée, étendit son royaume vers le nord. En 609 avant J.-C., il tenta de barrer le passage de la vallée au Pharaon Necoh. Mais il perdit la bataille ainsi que la vie.
Au IXe siècle av. J.-C., la vallée de Jezréel fut également la résidence du roi d’Israël Achab, et de son épouse phénicienne Jézabel, mère de la cruelle Athalie. Jézabel poussa son mari au despotisme et introduisit le culte de Baal en Israël, persécutant les fidèles Hébreux. Adversaire la plus acharnée du prophète Élie, elle le fit mettre à mort. Jézabel survécut quatorze années à Achab avant d’être assassinée par Jéhu qui la défenestra et la jeta en pâture aux chiens. Il s’empara alors des trônes d’Israël et de Juda. Le nom de Jézabel reste synonyme d’ignominie chez les Juifs.
Du temps des Maccabées, les villages de la plaine appartenaient à la dynastie hasmonéenne. Sous l’Empire romain, Pompée les confisqua aux Juifs. Plus tard, la vallée appartint à la dynastie du roi Hérode jusqu’à son extinction. Les Romains en firent alors un camp de légionnaires nommé Maximus Legionis, situé près de Megiddo à Caparcotnei.
Au Moyen-Age, les Croisés construisirent une église sur le lieu de l’ancienne ville biblique de Jezréel.
Après la période des Croisés, la vallée devint marécageuse, abandonnée aux Nomades. La malaria s’y développa, ce qui rendit le lieu inhabitable. Lors de sa campagne égyptienne, Napoléon battit les Turcs près de Afoula.
En 1918, le rapide passage de la cavalerie australienne dans la plaine fut décisif pour la victoire d’Allenby. Peu après l’établissement du Mandat britannique sur la Palestine, d’importants lotissements furent acquis par le KKL qui acheta les terres de cette région, couvertes de marais et de fourrés inextricables, appartenant à une riche famille syrienne. En 1920, la vallée fut assainie par des travaux de drainage afin de réduire la salinité des nappes d'eau souterraines et d’assèchement afin de restaurer la fertilité de centaines d'hectares de champs agricoles, transformant les marais en plaine fertile. Les pionniers juifs réussirent à vaincre la malaria, à fonder les premières implantations évoluant en villages prospères, à construire des routes. Ces implantations devinrent le symbole des bâtisseurs sionistes et du développement progressif de la région.
Aujourd’hui, la  plaine de Jezréel se trouve au  cœur du centre des affaires et du high-tech d’Israël, unissant ainsi patrimoine antique et monde moderne à la fois. Carrefour stratégique depuis l’Antiquité à nos jours, l'importance de la vallée en termes de transport ne s’est pas démentie. Ainsi, le projet de rouvrir l’ancienne ligne de chemin de fer ottomane de la vallée de Jezréel reliant Haïfa, Bet Shean et Irbid en Jordanie verra le jour en 2008. Il coûtera 20 milliards de shekels. Cette ligne avait été ouverte en 1901 et reliait Haifa à Dera en Jordanie, avec l'objectif de parvenir jusqu'au Hedjaz.
La beauté des paysages et les sites historiques de la  vallée de Jezréel en ont fait une région touristique qui attirent de plus en plus de visiteurs.

1Et j'entendis une voix forte qui venait du temple, et qui disait aux sept anges: Allez, et versez sur la terre les sept coupes de la colère de Dieu.

2Le premier alla, et il versa sa coupe sur la terre. Et un ulcère malin et douloureux frappa les hommes qui avaient la marque de la bête et qui adoraient son image.

3Le second versa sa coupe dans la mer. Et elle devint du sang, comme celui d'un mort; et tout être vivant mourut, tout ce qui était dans la mer.

4Le troisième versa sa coupe dans les fleuves et dans les sources d'eaux. Et ils devinrent du sang. 5Et j'entendis l'ange des eaux qui disait: Tu es juste, toi qui es, et qui étais; tu es saint, parce que tu as exercé ce jugement. 6Car ils ont versé le sang des saints et des prophètes, et tu leur as donné du sang à boire: ils en sont dignes. 7Et j'entendis l'autel qui disait: Oui, Seigneur Dieu tout-puissant, tes jugements sont véritables et justes.

8Le quatrième versa sa coupe sur le soleil. Et il lui fut donné de brûler les hommes par le feu; 9et les hommes furent brûlés par une grande chaleur, et ils blasphémèrent le nom du Dieu qui a l'autorité sur ces fléaux, et ils ne se repentirent pas pour lui donner gloire.

10Le cinquième versa sa coupe sur le trône de la bête. Et son royaume fut couvert de ténèbres; et les hommes se mordaient la langue de douleur, 11et ils blasphémèrent le Dieu du ciel, à cause de leurs douleurs et de leurs ulcères, et ils ne se repentirent pas de leurs oeuvres.

12Le sixième versa sa coupe sur le grand fleuve, l'Euphrate. Et son eau tarit, afin que le chemin des rois venant de l'Orient fût préparé.

13Et je vis sortir de la bouche du dragon, et de la bouche de la bête, et de la bouche du faux prophète, trois esprits impurs, semblables à des grenouilles. 14Car ce sont des esprits de démons, qui font des prodiges, et qui vont vers les rois de toute la terre, afin de les rassembler pour le combat du grand jour du Dieu tout-puissant. 15Voici, je viens comme un voleur. Heureux celui qui veille, et qui garde ses vêtements, afin qu'il ne marche pas nu et qu'on ne voie pas sa honte! 16Ils les rassemblèrent dans le lieu appelé en hébreu Harmaguédon.

17Le septième versa sa coupe dans l'air. Et il sortit du temple, du trône, une voix forte qui disait: C'en est fait! 18Et il y eut des éclairs, des voix, des tonnerres, et un grand tremblement de terre, tel qu'il n'y avait jamais eu depuis que l'homme est sur la terre, un aussi grand tremblement. 19Et la grande ville fut divisée en trois parties, et les villes des nations tombèrent, et Dieu, se souvint de Babylone la grande, pour lui donner la coupe du vin de son ardente colère. 20Et toutes les îles s'enfuirent, et les montagnes ne furent pas retrouvées. 21Et une grosse grêle, dont les grêlons pesaient un talent, tomba du ciel sur les hommes; et les hommes blasphémèrent Dieu, à cause du fléau de la grêle, parce que ce fléau était très grand.

 

 

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Commentaires
Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
  • La Laosophie est une philosophie de l'existence, très ancienne puisque nous l'avons fait remonter aux sources mêmes du début de la Philosophie Grecque, soit au VIIème siècle avant notre ère par l'intermédiaire de la première femme philosophe, SAPPHO.
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