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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
17 novembre 2017

WWIII : Le Nouveau Roi d'ARABIE SAOUDITE Mohammad Ben Salmane, échange la PALESTINE à ISRAËL contre une Guerre en IRAN.

LAOSOPHIE par opposition à Démosophie

Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. (ce Blog non professionnel, ne fait pas appel à la publicité ni à des subventions pour exister , il est gratuit et tenu par des bénévoles).

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WWIII : Le Nouveau Roi d'ARABIE SAOUDITE Mohammad Ben Salmane, échange la PALESTINE à ISRAËL contre une Guerre en IRAN.

Publié le 17 novembre 2017 par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : Le Nouveau Roi d'ARABIE SAOUDITE Mohammad Ben Salmane, échange la PALESTINE à ISRAËL contre une Guerre en IRAN. De la Chair et de Sang contre une contrée qui ne vaut plus rien, du fait de son hostilité au Royaume Saoudien et à Israël. Benyamin Netanyahu est d'accord et se frotte les mains, 

Bienvenue au Nouveau Roi que son père va intronisé avant de mourir comme Philippe II de Macédoine.

L'Arabie Saoudite est en ordre de marche avec ses frères Israéliens, dont les origines sont communes.

La dynastie saoudienne les révélations qui coutèrent la vie à son écrivain .

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Recherche et introduction de MOHAMMAD SAKHER, ce Monsieur que le régime saoudien avait fait exécuté pour les conclusions aux questions suivantes:

1. Les membres de la famille saoudienne appartenaient-ils à la tribu des "ANZA BEN (BIN) WAEL" comme ils prétendent l'être?
2. L'islam est-elle leur religion réelle?
3. Sont-ils tous d'origine arabe?
La dynastie saoudienne: son origine et quels sont les véritables ancêtres de cette FAMILLE "ROYALE"?

 

Abd ul Aziz

Dans les années 851 après l'Hégire, un groupe d'hommes du "CLAN AL MASALEEKH", une branche de la tribu "ANZA", était formé d'une caravane qui achetaient des céréales (blé et maïs) et autres aliments de l'Irak, dans l'intention de l'exporter vers le NAJD.  Le chef de ce groupe était un homme appelé "SAHMI BIN HATHLOOL". La caravane ayant atteint Bassorah, les membres du groupe sont allés vers un marchand de céréales, un Juif appelé "MORDAKHAI BIN IBRAHIM BIN MOSHE".

Au cours de leur négociation avec ce commerçant, MORDAKHAI leur a demandé: «D'où venez vous?» Ils répondirent: «De la tribu d'ANZA, du clan d'AL MASALEEKH». En entendant ce nom, leur interlocuteur Juif a commencé à serrer chacun d'entre eux  affectueusement en leur disant que lui-même, était aussi du clan AL MASALEEKH, mais qu'il était venu résider à Bassorah (Irak) à cause d'une querelle familiale entre son père et certains membres de la tribu ANZA. 
Après qu'il leur ait raconté son récit inventé, il ordonna à ses serviteurs de charger tout les chameaux des membres du clan; de blé, de dates et de "Tamman". C'était un acte remarquablement généreux qui avait étonné les hommes de MASALEEKH et qui a réveillé leur fierté en découvrant une telle affection (cousin) en IRAK - la source de leur subsistance. Ils croyaient chaque mot qu'il disait et parce qu'il était un riche marchand de produits alimentaires, dont ils avaient grandement besoin, ils l'ont apprécié (même s'il était un juif  dissimulé sous une apparence arabe du clan AL MASALEEKH).

Lorsque la caravane était prête à retourner au Najd, le marchand juif leur a demandé d'accepter sa compagnie, car il projetait d'aller avec eux pour visiter sa patrie d'origine. Après l'avoir entendu,  ils lui ont souhaité la bienvenue de tout coeur avec une attitude très chaleureuse.
Dès que la caravane a atteint le Najd avec MORDAKHAI, celui-ci commença à faire de la propagande, pour son propre intérêt, à travers ses compagnons (ses présumés cousins), de sorte que de nouveaux partisans se sont rassemblés autour de lui en grand nombre mais, de façon inattendue, il a dû affronter une campagne d'opposition, à son point de vue conduite par Cheikh SALEH SALMAN AL ABDULLA TAMIMI, qui était un savant religieux musulman à AL QASSEEM. Sa zone d'instruction comprenait le Najd, le Yémen et le Hedjaz, ce qui contraignît le cripto-juif (l'ancêtre de la présente famille SAOUDI en ARABIE) à s'écarter d'AL QASSEEM pour AL IHSA, où il changea son nom (Mordakhai) pour MARKHAN BIN IBRAHIM MUSA. Par la suite, il déménagea de son domicile pour s'installer à un endroit appelé Dir'iya près d'AL QATEEF, où il commença à répandre parmi les habitants, une histoire fabriquée à propos du bouclier du Prophète Mohammad (Que la paix et la bénédiction d'Allah soient sur Lui), qui avait été prit comme butin par un arabe païen, à la suite de la bataille deUHUD entre les païens arabes et les musulmans. Il disait que "ce bouclier avait été vendu par ce païen arabe à un clan juif appelé BANU QUNAIQA" qui le conservait comme un trésor!
Il a progressivement renforcé sa position parmi les bédouins à travers ces histoires, qui spécifiaient combien les clans juifs en Arabie étaient influents et méritaient une haute estime. Il a acquis une certaine importance, particulièrement parmi les bédouins, où il décida de s'installer définitivement dans la ville de Dir'iya, près de AL QATEEF, et projeta qu'elle devienne sa capitale du golfe Persique. Il aspirait à en faire son tremplin pour l'établissement d'un royaume juif en Arabie.

Afin de réaliser son ambitieux projet, il commença à approcher les bédouins arabes du désert pour soutenir sa position, qui eux, progressivement, l'ont déclaré comme leur roi!

A ce stade, après avoir vérifier sa véritable identité, les tribus d'AJAMAN et de KHALED sont devenues pleinement conscientes de ce plan sournois et elles ont décidé d'y mettre un terme. Elles ont attaqué son village et l'ont conquit, mais avant qu'il soit arrêté, il s'échappa de justesse.
Cet ancêtre juif de la famille saoudienne (Mordakhai) a cherché refuge sur une ferme appelée, à ce moment, AL MALIBEED GHUSAIBA, près d'AL ARID, actuellement connue sous le nom d'AL RIYADH. 
Il demanda au propriétaire de cette ferme de lui accorder l'asile. Le fermier était si accueillant qu'il lui donna immédiatement un abri. Mais ce crypto-juif (Mordakhai), en moins d'un mois, assassina le propriétaire des terres ainsi que tout les membres de sa famille pour ensuite prétendre, que tous ont été tués par les membres d'une bande de voleurs. Puis, il affirma qu'il avait acheté leur immobilier avant que leur calamité ne survienne! Par conséquent, il devint le propriétaire des terres et y résida.  Il donna ensuite un nouveau nom à ce lieu: Il l'appela AL DIRIYA - en mémoire du nom de la ville qu'il avait perdu.

Ce cripto-juif (Mordakhai), n'a pas tardé à mettre en place un "GUEST HOUSE" appelé "MADAFFA" sur la terre qu'il avait usurpé à ses victimes et d'où, il rassembla autour de lui, un groupe d'hypocrites qui commencèrent à diffuser de fausses rumeurs à son sujet, en disant de lui qu'il était un éminent cheikh (savant) arabe. Il complota contre le Cheikh SALEH SALMAN AL ABDULLA TAMIMI, son principal ennemi, et prépara son assassinat dans la mosquée de la ville appelée (AL ZALAFI).
Après ces faits, il se sentit satisfait et en sécurité pour faire d' AL DIRIYA son domicile permanent. De là, il pratiqua largement la polygamie et de ce fait, il engendra beaucoup d'enfants à qui il leur donna de purs noms arabes.

Depuis, ses descendants ont augmenté et gagné en autorité sous le nom du CLAN SAOUDI, qui ont suivi ses pas en pratiquant des activités secrètes et des complots contre la nation arabe.  Ils ont illégalement saisi des secteurs ruraux et des terres agricoles en assassinant toute personne tentant de s'opposer à leurs plans diaboliques. Ils ont utilisé toutes sortes de tromperies pour atteindre leurs objectifs: ils achetaient la conscience de leurs dissidents, ils offraient leurs femmes et de l'argent à des personnes influentes dans leurs domaines, plus particulièrement ceux qui tentaient d'écrire la biographie réelle de cette famille juive. Ils soudoyaient des historiens afin de ''purifier'' leur histoire honteuse,  pour faire en sorte que leur lignée soit liée aux tribus arabes les plus importantes telles que  RABI'A, ANZA and AL MASALEEKH.
 
Un hypocrite bien en vue de notre époque, dont le nom est MOHAMMAD AMIN AL TAMIMI - Directeur / Responsable des bibliothèques contemporaines du royaume saoudien, composé d'un arbre généalogique (ARBRE FAMILIALE) de cette famille juive (les Saoudiens), les connectant à notre grand prophète , Mohammad (Que la paix et la bénédiction d'Allah soient sur Lui). Pour son travail déloyal, il a reçu une récompense de trente-cinq mille livres égyptiennes de l'ambassadeur saoudien au CAIRE, en EGYPTE, dans l'année 1362 après l'Hégire - (1943 après Jésus). Le nom de cet ambassadeur est: IBRAHIM AL FADEL. 

Comme mentionné précédemment, l'ancêtre juif de la famille saoudienne, (Mordakhai), pratiquait la polygamie en se mariant avec un grand nombre de femmes arabes, en engendrant de nombreux enfants. Sa pratique de la polygamie est, à l'heure actuelle, suivie "à la lettre" par ses descendants qui s'accrochent à leur patrimoine matrimonial!

Un des fils de MORDAKHAI s'appelait AL MAQARAN, arabisé de la racine juive (MACK-REN) qui engendra un fils appelé Mohammad, puis un autre fils appelé SAOUD, d'où le nom actuel de la dynastie saoudienne. 

Des descendants de SAOUD (aujourd'hui, la famille saoudienne) ont lancé une campagne d'assassinats des dirigeants proéminents des tribus arabes, sous prétexte que ces dirigeants étaient des apostats, des renégats de la religion islamique et des déserteurs de la doctrine de leur secte (wahhabisme), de sorte qu'ils méritaient la condamnation des saoudiens et devaient être abattu! 

Dans le livre sur l'histoire de la famille saoudienne pages (98-101), leur historien familial privé déclare que la dynastie saoudienne considèrent tous les habitants du NAJD comme des blasphémateurs; ainsi leur sang doit couler, leurs biens confisqués et leurs femmes prises comme concubines. Selon eux, aucun musulman n'est authentique dans sa croyance à moins qu'il n'appartienne  à la filiale sectaire de MOHAMMAD BIN ABDUL WAHHAB (dont les origines seraient aussi juive de Turquie, de la secte Dönmeh vivant dans la communauté juive de Bassorah, d'après des sources). Cette doctrine a donné le pouvoir à la famille saoudienne de détruire des villages avec tous leurs habitants, de tuer des hommes et des enfants, ainsi que violer leurs femmes; d'éventrer les femmes enceintes, de couper les mains de leurs enfants et les brûler! En outre, ils sont autorisés par une telle DOCTRINE BRUTALE, de piller tous les biens de ces supposés renégats (ceux qui ne suivent pas leur secte wahhabite).

Playboy  




Juin 1947: Nawaf Ibn Abdul Aziz, fils d'Abdul Aziz Ibn Saoud, roi d'Arabie Saoudite, à 14 ans, parlant à des étudiantes sur les marches de l'école Bayside à Long Island, New York. Les filles sont Dot Billings (à gauche), Matina Pappas (en haut à droite) et Helen Wilhelm. (Photo: Keystone / Getty Images)





En fait, leur famille crypto-juive hideuse a accompli tout ce genre d'atrocités au nom de leur secte wahhabite, qui a été inventé par un juif, afin de semer les graines de la terreur dans le cœur des gens des villes et des villages. Cette dynastie juive a commis de telles atrocités brutales depuis 1163 après l'Hégire. Ils ont nommé l'ensemble de la péninsule arabique en leur nom de famille (ARABIE SAOUDITE), comme si toute la région était leur véritable patrimoine personnel, et que tous les autres habitants sont leurs simples serviteurs ou esclaves, travaillant jour et nuit pour le plaisir de leurs maîtres (LA FAMILLE SAOUDI).

Ils contrôlent totalement les richesses naturelles du pays comme si elles leurs appartenaient. Si un pauvre du peuple lève la voix pour se plaindre contre l'une de leurs règles despotiques, ces crypto-juifs lui couperaient la tête sur la place publique. Une de leurs princesses qui visitait la FLORIDE (USA), avec son cortège, a loué quatre-vingt-dix suites dans un grand hôtel pour environ un million de dollars par nuit!  
 
Quelqu'un peut-il porter des commentaires sur cet événement extravagant? Si une personne le fait et, plus particulièrement de la péninsule arabique, son sort est assez connu: LA MORT PAR L'ÉPÉE SAOUDIENNE SUR LA PLACE PUBLIQUE!!
 


Des témoins sur l'ascendance juive de cette famille saoudienne:  
- la station de radio “SAWT AL ARAB” , au Caire en Égypte (dans les années 1960)

 et
 

- la station émettriceau Yémen de SANA'A ont confirmé les origines juives de la famille saoudienne. 

 
Le roi FAISAL AL SAOUD à cette époque n'a pu nier sa parenté familiale avec les juifs quand il a déclaré au WASHINGTON POST le 17 septembre 1969: 

"Nous, la famille saoudienne, sommes les cousins des juifs: nous sommes totalement en désaccord avec tout autorité Arabe ou Musulmane qui montrerait un antagonisme aux juifs, mais nous devons vivre en paix avec eux. Notre pays (l'Arabie) est la première fontaine, d'où le premier juif est sorti, et ses descendants se sont dispersés partout dans le monde." Telle fût la déclaration du roi FAISAL AL SAOUD BIN ABDUL AZIZ!!

HAFEZ WAHBI, conseiller juridique saoudien, a mentionné dans son livre intitulé: "la péninsule arabique" que le roi ABDUL AZIZ AL SAOUD, décédé en 1953, a déclaré: 

"Notre message (MESSAGE SAOUDIEN) a rencontré l'opposition de toutes les tribus arabes. Mon grand-père SAOUD, a emprisonné un certain nombre de cheikhs (savants) de la tribu de MATHEER et lorsqu'un autre groupe de la même tribu est venu intercéder pour la libération des prisonniers, il a donné l'ordre à ses hommes de couper les têtes de tous les prisonniers puis, il a voulu humilier et porter atteinte aux intercesseurs, en les invitant pour manger à un banquet qu'il a fait préparé à partir de la chair cuite de ses victimes, avec sur le haut des plateaux de nourriture, les têtes coupées des exécutés!"

 
Les intercesseurs devinrent si paniqué qu'ils refusèrent de manger la chair de leurs parents et, en raison de leur manque de coopération, il ordonna à ses hommes de leurs couper la tête. Ce crime horrible a été commis par ce roi qui s'était auto-proclamé à des personnes innocentes, dont leur culpabilité a été l'opposition aux cruautés de ces dirigeants sanguinaires.

En outre, HAFEZ WAHBI indique que le roi ABDUL AZIZ AL SAOUD avait raconté cette sanglante histoire concernant les cheikhs (savants) de la tribu MATHEER, qui lui avait rendu visite afin d'intercéder pour leur éminent chef de l'époque, FAISAL AL DARWEESH, qui était prisonnier du roi. Il leur a raconté cette histoire afin de les empêcher d'intercéder pour la libération de leur cheikh (savant) sinon, ils auraient subi le même sort. Il a tué le cheikh et utilisé son sang comme liquide pour ses ablutions juste avant qu'il se lève de la prière (rituel d'après la doctrine de la secte wahhabite). La culpabilité de  FAISAL DARWEESH à cette époque, était d'avoir critiquer le roi ABDUL AZIZ AL SAOUD lorsque celui-ci signa le document que les autorités anglaises avaient préparé. Une déclaration pour donner la PALESTINE aux juifs. Sa signature a été obtenue à la conférence tenue à AL AQEER en 1922. 

Cela a été et est toujours le système de ce régime de la famille saoudienne juive: Tous les objectifs sont les suivants: le pillage des richesses du pays, voler, falsifier et commettre toutes sortes d'atrocités, l'iniquité et tout blasphémateur doit être exécuter, en conformité avec leurs propres règles, de cette secte inventée (wahhabite) qui légalise la décapitation de la tête de leurs opposants.

 
Bref résumé sur les figures de proue saoudiennes
 
roi Abdul Aziz (Ibn Saoud)
 









 

   
 

Également connu sous le nom d'IBN SAOUD. Le roi Abdul Aziz est le père du roi Fahd et 44 autres fils. Abdul Aziz a uni l'Arabie Saoudite par l'épée. Un bédouin sauvage dont l'auto-satisfaction, guerre après guerre, était de goûter le sang de ceux qu'il avait tué. Au cours du XXe siècle, il offrit ses services à l'empire ottoman et a été rejeté par les turcs en tant que personne peu fiable et non civilisée. Les britanniques, au cours de la même période, cherchaient à élargir leur zone d'influence en Arabie et virent en l'indiscipliné Ibn Saoud, un guerrier sauvage qui chercheraient à contrôler l'Arabie pour eux. Parmi les nombreuses familles régnantes au cours de cette période: les Hachémites (le roi Hussein de Jordanie), les Rasheeds (famille de commerçants respectée de l'Arabie Saoudite) et les Idrisses qui étaient réticents à traiter avec l'empire britannique après la Première Guerre mondiale sur les conditions britanniques. Les Britanniques trouvèrent en ABDUL AZIZ, un bandit disposé sur lequel ils pouvaient compter pour conquérir et préserver leurs intérêts. Puisque Abdul Aziz était un wahhabite et qu'il encourageait le fondamentalisme pour créer la peur dans les diverses tribus qu'il tentait d'unir. ABDUL AZIZ savait, ainsi que le roi Fahd, que ce fondamentalisme, qui avait prit racine, était devenu plus qu'une idéologie politiquement orientée, mais un mode de vie.
 
Le roi Fahd Bin Abdel Aziz
Les membres corrompus de la famille Al Saoud sont nombreux.  Cependant, le plus corrompu de tous et le maître de tous les maîtres, n'est autre que le roi lui-même:  le roi Fahd bin Abdel Aziz. Il a une domination absolue sur les pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires du gouvernement saoudien. Il est le juge, le jury, le procureur, l'avocat de la défense, et le bourreau.  Ayant un pouvoir total, lui et d'autres membres de sa famille ont vidé les coffres du gouvernement. Aujourd'hui, l'Arabie Saoudite est en faillite et cela laisse présager un avenir très sombre économiquement en raison de leurs politiques et leur manque de vision.
 
 Le prince Sultan bin Abdel Aziz
Troisième autorité du pays, mais pas moins corrompu que le roi Fahd est le sultan bin Abdul Aziz, qui a quatre titres, tous avec l'intention de conserver le pouvoir et de voler le pays. Il est l'adjoint du prince héritier, ministre de la Défense, le président de la compagnie aérienne saoudienne et l'inspecteur général du pays d'Arabie Saoudite. C'est comme être à la tête de la plus grande société chimique et, en même temps, l'agence de la protection pour l'environnement. Est-ce une blague? Le sultan est connu pour ses déviations sexuelles, y compris pédophilie. Il maintient plusieurs bordels pour ses propres plaisirs en Arabie Saoudite et à l'étranger.
 
Mohammad bin Fahd
Fils aîné du roi Fahd, Mohammad bin Fahd a été exposé à la corruption dès ses débuts avec la bénédiction de son père. Il a volé des fonds publiques à travers de grands projets de télécommunications. Des affaires en téléphonie, des offres cellulaires, en équipements, etc... Aujourd'hui, il est le gouverneur de la province orientale de l'Arabie Saoudite où, près de 25% des réserves mondiales de pétrole se trouvent. Son père veut qu'il devienne le prince héritier et que Bandar Bin Sultan reçoive le titre de nouveau ministre de la Défense.
 
 
Faisal bin Fahd
Faisal bin Fahd gagne le prix de l'imbécile de la famille. Stupide, entêté et sans aucun doute idiot, Faisal a passé sa vie à la poursuite de deux choses: la drogue et les femmes. Il obtient ses médicaments du Liban à travers ses associés et ses femmes de l'Europe, suivant les mêmes traces que ses ancêtres. C'est un homme qui n'a jamais rien fait de bien, de bon ou d'utile dans sa vie. Son père, le roi Fahd, l'a nommé à la tête des programmes sportifs pour la jeunesse. Il faut être malade pour désigner un toxicomane comme responsable de tous les programmes sportifs pour jeunes. C'est comme l'embauche d'un pédophile comme enseignant à la maternelle.
Bref, pour ceux qui sont curieux et veulent en savoir plus, voici ci-joint le lien en anglais: ICI

Tsahal se dit prêt à collaborer avec l'Arabie saoudite pour «faire face à l'Iran»

Tsahal se dit prêt à collaborer avec l'Arabie saoudite pour «faire face à l'Iran»© Baz Ratner Source: Reuters
Le Lieutenant-Général de Tsahal, Gadi Eizenkot

Le chef d'état-major de l'armée israélienne a confié sa vision de la diplomatie au Moyen-Orient dans une interview à Elaph. Entre appel du pied en direction de l'Arabie saoudite et références à Washington, le chef de Tsahal cherche à isoler Téhéran.

Dans un entretien accordé au site d'information en ligne Elaph publié le 16 novembre, le chef d'état-major israélien Gadi Eizenkot déclare qu'Israël est prêt à coopérer avec l'Arabie saoudite : «Nous sommes prêts à échanger notre expérience et les informations issues de nos services de renseignement avec les pays arabes modérés pour faire face à l'Iran.» 

Gadi Eizenkot a également estimé qu'il y avait de «nombreux points d'intérêt commun» entre l'Etat hébreu et Riyad. Ses propos ont été confirmés par l'armée israélienne. 

Donald Trump dans un jeu de quilles

Le haut gradé évoque aussi la diplomatie américaine : «Avec le président Donald Trump, il existe l'opportunité pour une nouvelle alliance internationale dans la région et un plan stratégique majeur pour mettre fin à la menace iranienne.»

Le chef d'état-major se félicite de la situation sécuritaire d'Israël, qu'il juge meilleure que jamais et en veut pour preuve les bonnes relations de voisinage de l'Etat hébreu : «Nous sommes très bien considérés dans les pays modérés de la région.»

Par contraste, il saisit cette occasion pour accuser Téhéran de tenter de déstabiliser la région : selon lui, l'Iran fournit des armes aux groupes terroristes dans tout le Moyen-Orient.«Nous devons absolument empêcher cela»

RT France @RTenfrancais Netanyahou accuse l'Iran de vouloir «détruire Israël» depuis la Syrie et n'exclut pas d'«agir seul»https://francais.rt.com/international/45633-netanyahou-accuse-iran-vouloir-detruire-israel-depuis-syrie-exclut-agir-seul …09:26 - 16 nov. 2017

Interrogé sur ce qu'il estime être l'objectif de Téhéran, Gadi Eizenkot répond : «L'Iran cherche à prendre le contrôle du Moyen-Orient en créant un croissant chiite qui irait du Liban à l'Iran, puis du Golfe à la mer Rouge. Nous devons absolument empêcher cela.»

Il souligne cependant qu'Israël n'a aucune intention de lancer une attaque contre le Hezbollah sur le territoire libanais. Ces propos bellicistes du chef d'état-major israélien font écho à ceux du Premier ministre Benjamin Netanyahou, qui déclarait devant son Parlement le 14 novembre : «Nous sommes maîtres de nos frontières, nous protégeons notre pays et continuerons à le faire. J'ai également informé nos amis, en premier lieu Washington, mais aussi nos amis de Moscou, qu'Israël poursuivrait son action en Syrie, y compris dans le sud du pays, en accord avec nos échanges précédents et en accord avec nos besoins en matière de sécurité.»

Lire aussi : Pour contrer «l'hégémonie» de Téhéran, Macron veut renégocier l'accord sur le nucléaire iranien

Révélation : Les Saoudiens envisageraient d’abandonner la Palestine en échange d’une guerre contre l’Iran

 

Par Moon of Alabama | Novembre 14, 2017

Les tyrans de l’Arabie Saoudite ont le projet de vendre la Palestine. Cela leur semble le seul moyen d’obtenir le soutien des États-Unis pour leur campagne fanatique contre l’ennemi iranien.

Un mémorandum interne saoudien transmis au journal libanais Al-Akhbar, en révèle les principaux éléments. (Note: L’authenticité du mémo n’a pas été confirmée. En théorie, il pourrait s’agir d’un « faux » envoyé au journal par un autre camp, mais Al-Akhbar a la réputation de publier de vrais documents fuités et je fais confiance au jugement de ses éditeurs.)

Selon le mémo, les Saoudiens sont prêts à renoncer au droit du retour des Palestiniens. Ils renoncent aussi à la souveraineté palestinienne sur Jérusalem et n’insistent plus sur la création d’un véritable Etat palestinien. En échange, ils demandent une alliance (militaire) américano-saoudo-israélienne contre leur soi-disant ennemi de l’est du golfe Persique.

Il y a eu des négociations sur la question entre les Saoudiens et les sionistes sous l’égide des États-Unis. Le « conseiller » que Netanyahou et Trump « partagent, l’enfant prodige, Jared Kushner », est le pivot de ces négociations. Il a fait au moins trois voyages en Arabie Saoudite cette année, le dernier très récemment.

Les opérations saoudiennes du mois dernier, à la fois contre l’opposition interne du clan Salman et contre le Hezbollah au Liban, doivent être analysées dans le contexte de la préparation d’un plan plus large. Pour récapituler:

  • La semaine dernière, l’actuel chef des Palestiniens, Mahmoud Abbas, a été convoqué à Riyad. Là, on lui a dit d’accepter tout ce qui sera présenté comme un plan de paix américain ou de démissionner. On lui a ordonné de couper tous les liens palestiniens avec l’Iran et le Hezbollah:

Depuis ces mises en garde qui pourraient menacer le nouvel accord d’unité palestinienne signé par le Fatah et le Hamas soutenu par l’Iran dans la bande de Gaza, les médias palestiniens ont manifesté une rare unité en attaquant tous l’Iran dans leurs colonnes.

  • Le 6 novembre, une lettre du Premier ministre israélien Netanyahou aux ambassades israéliennes a été intentionnellement « fuitée ». Dans ce document, Netanyahou commande à ses diplomates de solliciter partout le total soutien aux projets saoudiens contre le Liban, le Yémen etc. Le même jour, Trump a tweeté:

Donald J. Trump @realDonaldTrump – 15:03 – 6 nov. 2017

J’ai toute confiance dans le roi Salman et le prince héritier d’Arabie Saoudite, ils savent exactement ce qu’ils font …

(Le tweet a fait l’objet d’une énorme promotion de la part des bots Twitter saoudiens.)

Le tyran saoudien a enlevé le premier ministre libanais, Saad Hariri, et déclaré la guerre au Liban. Son but est de chasser ou isoler le Hezbollah, la résistance chiite du Liban qui est alliée à l’Iran et s’oppose aux projets saoudiens pour la Palestine.

  • Le 11 novembre, le New York Times a mentionné la rédaction d’un « plan de paix » par les États-Unis, mais il a fourni peu de détails. Les chances de réussite d’un tel plan sont considérées comme faibles.

Le journal libanais de gauche Al-Akhbar s’est procuré une copie du plan (en arabique) sous la forme d’un mémorandum du ministre saoudien des Affaires étrangères Adel Al-Jubeir au prince-clown saoudien Mohammed Bin Salman (traduction automatique en anglais):

Le document, qui est dévoilé pour la première fois, prouve tout ce qui a été divulgué depuis la visite du président Trump en Arabie Saoudite en mai dernier sur les efforts américains pour qu’un traité de paix soit signé entre l’Arabie saoudite et Israël. On a eu ensuite des informations sur les rencontres entre Riyad et Tel Aviv, la plus importante étant la visite du prince héritier saoudien à l’entité sioniste.

Le document révèle l’importance des concessions que Riyad a l’intention de faire pour aider à liquider la question palestinienne, et son souci d’obtenir en retour de l’aide contre l’Iran et la résistance menée par le Hezbollah.

La note du ministère saoudien des Affaires étrangères commence par un exposé de la stratégie prévue:

Pour contrer l’Iran en augmentant les sanctions contre les missiles balistiques et en reconsidérant l’accord nucléaire, le Royaume a affirmé dans l’accord de partenariat stratégique avec le président américain Donald Trump qu’un effort conjoint américano-saoudien était la clé du succès. […]

Le rapprochement de l’Arabie Saoudite avec Israël comporte le risque de mécontenter les peuples musulmans du Royaume, car la cause palestinienne est un héritage spirituel, historique et religieux. Le Royaume ne prendra pas ce risque à moins d’être sûr que les États-Unis partagent sincèrement leur approche envers l’Iran qui déstabilise la région en parrainant le terrorisme, en menant des politiques sectaires et en s’ingérant dans les affaires des autres.

Le document saoudien décrit les étapes du processus vers un accord en cinq points:

Premièrement: les Saoudiens exigent la « parité des relations » entre Israël et l’Arabie Saoudite. Sur le plan militaire, ils exigent qu’Israël renonce à ses armes nucléaires ou que l’Arabie saoudite soit autorisée à en acquérir.

Deuxièmement: En échange, l’Arabie saoudite utilisera son pouvoir diplomatique et économique pour faire accepter le « plan de paix » entre Israël, les Palestiniens et les pays arabes concocté par États-Unis. Les Saoudiens feront pour cela des concessions extraordinaires, selon le mémo:

  • La ville de Jérusalem ne deviendrait pas la capitale d’un Etat palestinien mais serait soumise à un régime international spécial administré par les Nations Unies.
  • Le droit au retour des réfugiés palestiniens qui ont été violemment expulsés par les sionistes serait abandonné. Les réfugiés deviendraient citoyens des pays où ils résident actuellement (aucune demande d’une pleine souveraineté pour un État palestinien n’est mentionnée).

Troisièmement: lorsque l’Arabie Saoudite et les États-Unis (Israël) se seront mis d’accord sur les  « principes généraux de la solution finale » pour la Palestine, une réunion de tous les ministres des Affaires étrangères de la région serait organisée pour qu’ils les soutiennent. Des négociations finales suivraient.

Quatrièmement: En coordination et en coopération avec Israël, l’Arabie saoudite utiliserait son pouvoir économique pour convaincre le public arabe d’accepter le plan. On trouve dans le texte une remarque exacte : « Au début de la normalisation des relations avec Israël, la normalisation ne sera pas acceptée par l’opinion publique dans le monde arabe. » Le plan consiste donc essentiellement à soudoyer les Arabes pour qu’ils l’acceptent.

Cinquièmement: Le conflit palestinien détourne l’attention du vrai problème que les dirigeants saoudiens ont dans la région, à savoir l’Iran: « Par conséquent, les parties saoudienne et israélienne sont d’accord sur ce qui suit:

1-Contrecarrer toutes les activités qui servent les politiques agressives de l’Iran au Moyen-Orient. L’affinité de l’Arabie saoudite avec Israël doit s’accompagner d’une position américaine sincère contre l’Iran.

2-Augmenter les sanctions américaines et internationales liées aux missiles balistiques iraniens.

3-Augmenter les sanctions contre le financement iranien du terrorisme dans le monde.

4-Réexaminer le groupe (cinq + 1) dans l’accord nucléaire avec l’Iran pour assurer la mise en œuvre littérale et stricte de ses dispositions.

5-Limiter l’accès de l’Iran à ses actifs gelés et exploiter la détérioration de la situation économique iranienne pour augmenter la pression intérieure sur le régime iranien.

6-Une coopération intensive en matière de renseignement dans la lutte contre le crime organisé et le trafic de drogue de l’Iran et du Hezbollah. »

« Le mémo est signé par Adel al-Jubeir. (Mais qui étaient les « conseillers » qui le lui ont dicté?)

Le plan américain pour la paix en Palestine est de contraindre les Palestiniens et les Arabes à faire tout ce que veut Israël. Les Saoudiens accepteront tout, en posant de très légères conditions, si les États-Unis et Israël les aident à se débarrasser de leur ennemi juré, l’Iran. Mais tout cela est impossible. Ni Israël ni les États-Unis n’accepteront une « parité de relations » avec l’Arabie saoudite. L’Arabie Saoudite n’a rien de ce qu’il lui faudrait pour devenir un État dominant du Moyen-Orient arabe. L’Iran ne peut pas être vaincu.

L’Iran est au cœur du mouvement chiite et au cœur de la résistance à l’impérialisme « occidental ». Les populations chiites et sunnites au Moyen-Orient (ex-Égypte) sont d’importance à peu près égale. L’Iran a environ quatre fois plus de citoyens que les Saoudiens. Il est beaucoup plus ancien et lettré que l’Arabie Saoudite. Il a une population éduquée et des capacités industrielles bien développées. L’Iran est une nation, pas un conglomérat de tribus du désert comme l’est la péninsule arabique sous al-Saoud. Sa position géographique et ses ressources le rendent invincible.

Pour vaincre l’Iran, les Saoudiens ont lancé des guerres par procuration en Irak, en Syrie, au Yémen et maintenant au Liban. Ils avaient besoin de soldats au sol pour gagner ces guerres. Les Saoudiens ont recruté et envoyé se battre les seuls mercenaires qu’ils ont trouvé. Leurs hordes de fanatiques d’al-Qaïda et de l’EI ont été vaincues. Des dizaines de milliers d’entre eux ont été tués sur les champs de bataille en Irak, en Syrie et au Yémen. Malgré une campagne de mobilisation mondiale, presque toutes leurs forces disponibles ont été vaincues par les résistances locales sur le terrain. Ni l’Etat colonial, ni les Etats-Unis, ne sont disposés à envoyer leurs soldats se battre pour la suprématie saoudienne dans la région.

Le plan de l’administration Trump pour parvenir à la paix au Moyen-Orient soulève beaucoup d’espoir mais il ne tient pas compte de la situation concrète. Les Saoudiens promettent de soutenir le plan américain si l’Administration de Trump accepte de combattre leur ennemi juré, l’Iran. Mais les deux chefs sont aussi limités qu’impulsifs et leurs plans ont peu de chance de réussir. Ils tenteront quand même de les mener à bien en faisant énormément de dommages collatéraux. L’entité sioniste n’a nullement besoin de faire la paix. Elle montre déjà peu d’empressement à accepter ce plan de paix et elle essaiera uniquement d’en tirer un profit personnel.

Par Moon of Alabama | Novembre 14, 2017

Article original:http://www.moonofalabama.org/2017/11/the-saudi-tyrants-devilish-plan-sell-out-palestine-for-war-on-iran.html#more

Traduction : Dominique Muselet

MBS sollicite l’aide d’Israël, Jubeir veut désarmer le Hezbollah; Berlin met en garde Ryad

Depuis 4 heures 17 novembre 2017
gabriel
 
ben-salmaneLe roi saoudien Salmane ben Abdelaziz va prendre sa retraite et nommer officiellement son fils, le prince héritier Mohammed ben Salmane à sa succession, dès la semaine prochaine, a rapporté jeudi le quotidien britannique Daily Mail, citant une source proche de la famille royale saoudienne.

« A moins d’un changement de la situation, le Roi Salmane annoncera la nomination de MBS à la tête de l’Arabie Saoudite la semaine prochaine », a déclaré la source au Daily Mail, qui a ajouté qu’après son couronnement, le prince Mohammed ben Salmane concentrera ses efforts sur l’Iran, tout en craignant une probable intervention militaire saoudienne contre l’Iran.

A en croire cette source, le nouveau roi tentera également d’obtenir le soutien de l’armée israélienne pour éradiquer le Hezbollah au Liban.

« Contrairement aux conseils des anciens de la famille royale, Mohammad ben Salmane est convaincu qu’il doit frapper l’Iran et le Hezbollah ».

Le Daily Mail précise que « son plan consiste à déclencher les hostilités au Liban, mais il espère pouvoir compter sur le soutien militaire israélien et il a déjà promis des milliards de dollars d’aide financière directe à Israël s’il accepte sa proposition ».

Et de poursuivre: « MBS ne peut pas affronter le Hezbollah au Liban sans Israël. Son plan B serait de combattre le Hezbollah en Syrie ».

Jubeir veut désarmer le Hezbollah

SAUDI-FRANCE

Pour sa part, le ministre saoudien des Affaires Etrangères, Adel Jubeir, a haussé le ton contre le Hezbollah, en prétendant que la crise au Liban avait été provoquée par le Hezbollah « qui a pris le régime libanais en otage », le qualifiant d' »outil entre les mains des Gardiens de la Révolution Islamique iranienne ».

Selon ses propres termes, « le monde entier s’accorde, de façon quasi unanime, sur la qualification du Hezbollah d’organisation terroriste. Il faut désarmer le Hezbollah et de trouver un moyen de traiter avec lui. Des mesures ont été prises à cet égard ».

Berlin met en garde contre l’esprit d’aventure des Saoudiens

Parallèlement, le chef de la diplomatie allemand, Sigmar Gabriel, a prévenu que « le Liban risque de retomber dans de graves confrontations politiques et peut-être militaires. Afin de prévenir ceci, nous avons en particulier besoin du retour (au Liban) du premier ministre actuel (détenu en Arabie), d’une réconciliation dans le pays et d’empêcher une influence de l’extérieur ». « Les comportements saoudiens envers M.Hariri ne sont pas habituels », a dit M.Gabriel lors d’une conférence de presse jeudi à Berlin avec son homologue libanais Gerban Bassil.

Et d’ajouter à l’adresse des dirigeants saoudiens: l’esprit d’aventure qui s’étend depuis plusieurs mois ne sera pas accepté par l’Europe et nous ne garderons pas le silence.  »

« Après la crise humanitaire et la guerre au Yémen ainsi que le conflit avec le Qatar, il y a eu une nouvelle méthode dans le traitement de certaines choses qui ont atteint leur apogée avec le Liban », a poursuivi M.Gabriel.

Avec AlQuds al-Arabi, Reuters, médias israéliens, AlAkhbar

Querelle entre l’Arabie et l’Égypte : Le Caire veut éviter un conflit avec l’Iran

 
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« En cas de conflit avec l’Iran, l’Arabie saoudite et d’autres pays du golfe Persique attendent que l’Égypte rallie leur cause. Autrement dit, ils s’attendent à ce que l’armée égyptienne — la plus grande des pays arabes — s’implique dans une éventuelle guerre.

Mais il est évident que l’Égypte ne désire pas s’impliquer dans une confrontation militaire. Surtout pas dans une guerre par procuration opposant l’Arabie saoudite à l’Iran. C’est justement ce genre de guerre qui a semé le chaos dans la région », écrit l’Associated Press.

Néanmoins, l’agence a omis de préciser que Riyad, allié des États-Unis dans la région, a semé la pagaille au Moyen-Orient, avec ses exactions au Yémen et le massacre de milliers de civils d’une part, et son soutien aux terroristes en Syrie et en Irak d’autre part. Au milieu de ce méli-mélo, l’Iran a pris le parti du Yémen, de la Syrie et de l’Irak, en luttant contre le terrorisme en vue de rétablir la paix dans la région.

Le rapport ajoute : « Le refus du Caire de s’engager dans un conflit avec l’Iran pourrait créer une mésentente avec Riyad. Le Caire a jusqu’alors employé une politique de deux poids deux mesures, ménageant d’un côté les pays du golfe Persique, contrecarrant les débordements avec l’Iran de l’autre.

Le président égyptien al-Sissi avait déclaré que toute menace en provenance des pays du golfe Persique représentait une menace pour la sécurité de son pays. “La région est suffisamment sujette à l’instabilité et aux menaces. Il nous faut éviter un nouveau conflit avec l’Iran ou le Hezbollah. Réglons nos différends à travers la diplomatie”, avait-il affirmé.

Pourtant, certaines autorités égyptiennes ont haussé le ton à l’égard de l’Iran en employant tout de même une tout autre rhétorique que celle de leurs homologues du golfe Persique. »

Source: PressTV

 
Le Lobby francophone, une force pour les Français d’Israël

Hélène Mazouz, directrice du Lobby francophone à la Knesset, veut encourager l’alyah des Juifs de France en améliorant leur intégration à tous les niveaux de la société israélienne, afin de pouvoir fournir des soldats à l'Armée Israélienne.

Réunion du Lobby francophone à la Knesset. (Crédit : Facebook)

L’union fait la force et la nécessité de faire entendre la voix des olims de France est donc plus que jamais d’actualité. Le message passera t-il ?

Pour aller jusqu’au bout d’une démarche qui se veut offensive, la création d’une force politique autonome est évoquée. Mais Hélène Mazouz n’y croit guère, et Guy Meimoun se montre réservé : « Je crois que nous ne sommes pas assez nombreux et fédérés pour créer notre propre parti. Il faut utiliser notre force électorale et que chaque communauté se mette en relation avec le maire de sa ville, avant les prochaines élections municipales. C’est comme ça qu’on peut faire pression.»

Le message sera t-il entendu ? Et Hélène de conclure : « Le Lobby francophone appartient aux Français. Utilisez-le, pour organiser des réunions, pour rendre visibles les problèmes ! » Alors, demain, tous membres ? Guy tient à préciser : « Le Lobby est ouvert à tous et il est apolitique. Il y a des traducteurs pour ceux qui s’expriment en français. »

Et Guy de déplorer : « Pourquoi cette indifférence ? Parce qu’on ne montre pas que la communauté francophone a un pouvoir. Un pouvoir électoral et un pouvoir à tous les niveaux ! Maintenant, le souci majeur de cette communauté est qu’elle n’est pas solidaire. Les Francophones sont très individualistes. On se bat aujourd’hui avec le Lobby pour leur faire comprendre qu’on doit s’entraider. Pas seulement à un niveau individuel, mais déjà entre associations. Nous sommes tous là pour soutenir la communauté francophone. Au Lobby, on essaie de faire l’interface entre ce tissu associatif, les olim et la Knesset. Il n’y a pas d’autre alternative ! Les Français d’Israël doivent se joindre à nous. Dans leur intérêt. »

Dans ce cadre, on pourrait légitimement s’étonner qu’un staff d’assistantes sociales francophones ou tout au moins spécialement formées pour les olim n’aient pas été mis encore en place par les services publics. Guy précise néanmoins : « Dans certaines villes cela existe. ». Pour Hélène comme pour beaucoup de Francophones, les aberrations administratives demeurent cependant incompréhensibles : « La reconnaissance du permis et des diplômes français ne nécessitent pas un gros budget de la part du gouvernement. Ce n’est pas une question d’argent, mais de volonté. C’est une question de priorité, c’est tout. »

Guy en convient : « Il y a un système d’information à mettre en place pour expliquer tout ce qui reste difficilement compréhensible pour les Français. » Hélène enfonce le clou : « Dans chaque ville où se trouve une communauté française, nous essayons de faire en sorte de la fédérer, afin que la municipalité comprenne qu’il faut mettre en place une information spécifique pour ce public-là. C’est un package où se trouve tous les problèmes du quotidien. Le Lobby veut aussi faire passer ce message au gouvernement de faciliter enfin cet accès à l’information. »

Cette « illisibilité » du quotidien peut avoir des conséquences lourdes : « Beaucoup de familles sont en situation de surendettement, avec une dette qui double très vite. Ils n’arrivent pas à déchiffrer les lettres qu’on leur adresse. Ils ne peuvent plus sortir du pays, etc. Ils sont bloqués pour tout ! Pour un Israélien né ici, c’est déjà difficile, alors imaginez-vous pour un Français qui ne peut même plus sortir du pays pour aller chercher des aides ! Certains ne savent même pas ce qu’ils doivent, ni comment régler leur créance. »

Elle explique : « Je crois que ces formations sont beaucoup plus importantes. Le gouvernement ne donne pas encore d’informations claires sur ces sujets. Il n’y a pas de site internet qui centralise tout ça. Le Lobby agit aussi pour qu’il y ait une meilleure communication sur comment inscrire ses enfants à l’école, sur comment payer ses factures, avec une info en français. Traduire ce type de documents n’est pas si coûteux que ça. »

Il faut orienter les olim. On a organisé récemment une réunion avec MATI sur la création d’entreprise, en détaillant les droits, les crédits et les subventions auxquelles ont droit les nouveaux immigrants », ajoute-t-il. Hélène Mazouz suggère, elle, des formations simples, où les olim recevraient des informations essentielles sur les koupat holim [caisses de sécurité sociale], le Bitouah leumi, le système des banques et de recouvrement de dettes.

Certes. Mais à compétences égales, une entreprise israélienne ne préférera-t-elle pas embaucher une personne née dans le pays, qui maîtrise la langue, qui a fait ses classes, plutôt qu’un olé [nouvel immigrant] nouvellement arrivé ? Guy tempère : « Pour la langue oui, c’est vrai, mais pas pour le service militaire. C’est encore un autre cas. Il faut être objectif et ne pas dire que le Misrad Haklita [ministère de l’Intégration] doit placer les gens, non, il faut que le Misrad Haklita s’occupe de les intégrer, en leur donnant les outils pour pouvoir affronter le marché du travail. »

Sofa Landver, ministre de l'Alya et de l'Intégration. (Crédit : AFP)

Sofa Landver, ministre de l’Alya et de l’Intégration. (Crédit : AFP)

Pour Guy, il est nécessaire aussi de trouver un moyen d’intégrer les Français en amont, avant qu’ils ne viennent. Pour cela, il suggère des oulpan alternatifs que mettrait en place l’Agence juive. Il reprend, énergique : « La mentalité française n’est pas un handicap. Il faut arrêter de dire ça. »

Mais Guy nous coupe : « Tout ça on le sait ! Pourquoi on existe ? Pourquoi on se bat ? Pour ça ! J’ai une association et je suis confronté à tous ces problèmes que vous avez évoqués, et d’autres encore que vous ne pouvez même pas imaginés. Il y a encore plus grave que ça… Il y a des malades qui arrivent en Israël et qui ont une pathologie sévère. Ils ne sont pas reconnus par le Bitouah Leumi immédiatement. Que font-ils pendant un an ? Comment mangent-ils ? Comment payent-ils leur loyer, leurs médicaments, comment font-ils pour se soigner ? Il y a beaucoup de problèmes, on le sait. Ce qu’il faut faire, et on l’a fait avec intelligence je pense, c’est de gérer non pas les cas un par un, mais à la base. »

Alors, comment le gouvernement peut-il laisser ainsi s’embourber dans les difficultés des Juifs de France venus pour la plupart par sionisme, par pur idéal [et avec toutes leurs économies, ndlr] ? Laisser une infirmière de métier s’enliser dans un call-center ou un médecin repartir en France faute de reconnaissance de diplôme ? Juif de France, futur Israélien laissé pour compte ?

Pour les classes moyennes et les plus modestes issues de l’immigration française, les entraves à une bonne intégration ne cessent pourtant de se multiplier : les emplois au rabais et les tracasseries administratives sans fin atteignent parfois durablement le moral.

Hélène soupire : « La ministre de l’Intégration [Sofa Landver, Yisrael Beytenu] connaît très bien ce sujet car elle a aussi fait son alyah des pays de l’Est. La question est de savoir si aujourd’hui la communauté française fait partie de ses intérêts et de ses priorités… »

Nurit Koren, au centre, députée du Likud et présidente du Lobby francophone. A gauche, Hélène Mazouz, directrice du Lobby, à la Knesset. (Crédit : Facebook)

On le sait, l’emploi des olims dans les différentes sphères de la vie active israélienne est loin encore d’aller de soi. Énormément d’olims travaillent aujourd’hui dans des sociétés francophones, sans rapport, parfois, avec leur formation d’origine ou leurs compétences acquises en France. Alors, faut-il placer les gens en entreprise ?

Autre dossier sensible, l’intégration professionnelle des olim. Les pouvoirs publics doivent-ils encadrer, voire subventionner l’emploi des nouveaux immigrants de France pour éviter une ghettoïsation des actifs ? L’État ne devrait-il pas être beaucoup plus à l’avant-garde sur ce terrain-là et pourquoi pas, carrément interventionniste ?

« Dans chaque ville nous nommons maintenant un coordinateur, afin d’être visible et que chaque maire puisse intervenir et agir auprès de la communauté francophone de sa ville », ajoute-t-elle. Pour aller plus loin, ne faudrait-il pas une représentation significative des Francophones dans les administrations elles-mêmes ? Intégrer carrément les Français dans la fonction publique ? Guy en convient : « C’est le but. »

Hélène précise : « Qualita s’est créée pour fédérer plusieurs organisations et nous essayons aujourd’hui de faire avancer les choses ensemble. Cette association a mis en place le ‘Hub pour l’emploi’ et elle a aussi lancé une radio francophone. Tout cela est magnifique. De notre côté, nous nous attachons à changer la mentalité des acteurs de la vie politique israélienne. Pour cela, nous souhaitons intervenir dès les municipales. »

Le Lobby est apolitique. Guy martèle : « Que vous soyez de gauche, de droite ou des extrêmes, il n’y a aucune différence pour nous. Ce qui compte, c’est que vous mettiez la main à la pâte pour nous aider. » De quelle manière le tissu associatif francophone collabore t-il aujourd’hui avec le Lobby ? Quel est le rôle de partenaires comme AMI ou Qualita ?

Il reprend : « Le problème est en effet inhérent à toutes les villes et toutes les municipalités : jusqu’à présent, il n’y avait pas de représentativité. Pour qu’il y en est une, nous essayons de fédérer, de rassembler. Nous organisons des conférences un peu partout, même dans les petites villes, pour que chaque Français qui a un problème puisse avoir un interlocuteur et qu’il ne soit pas seul. Maintenant ça bouge, parce que le Lobby fait la liaison avec la Knesset et les responsables gouvernementaux, quels qu’ils soient. »

Hélène Mazouz a confié également à l’énergique sexagénaire la tâche de mettre en place des coordinateurs qui agiront dans chaque grande municipalité où se trouve une communauté française. Au Sud, au Nord, au Centre, à Raanana ou à Zichron Yaakov : autant de bénévoles qui investissent le terrain pour prendre le pouls d’une communauté, et être à son écoute.

Guy Meimoun, coordinateur sur Rishon Letzion et directeur de la communication du Lobby, précise : « Il y a un gros malaise aujourd’hui, à plusieurs niveaux. Déjà, la communauté française existe en Israël mais elle n’est pas représentative, et n’est pas représentée. Hélène a réussi à faire prendre conscience à des ministres et à des députés qu’il y a là une communauté qui peut-être un vrai atout électoral. Ce qui se traduirait, pour nous, par une puissance et un lobby qui pourrait agir dans notre sens pour nous aider à nous intégrer et à régler les problèmes qui sont complètement absurdes au niveau administratif. »

Guy Meimoun, coordinateur sur Rishon Letzion et directeur de la communication du Lobby francophone. (Crédit : Facebook)

Guy Meimoun, coordinateur sur Rishon Letzion et directeur de la communication du Lobby francophone. (Crédit : Facebook)

La jeune et entreprenante directrice du Lobby est intervenue récemment en audience spéciale auprès de deux ministres pour parler du sort de ces familles francophones prises dans la spirale du surendettement. Une mission délicate, si l’on considère que beaucoup de foyers israéliens sont dans la même impasse et que le problème n’est pas seulement inhérent aux Francophones.

« On essaie de faire avancer les choses. Aujourd’hui, des députés des différents partis m’encouragent et veulent s’engager sur certains dossiers, dont notamment ceux liés aux infirmières et médecins français dans l’impossibilité d’exercer leur métier. Aujourd’hui, lorsque nous faisons des réunions au sein du Lobby, des ministres viennent, veulent écouter. Lors de l’une de ces rencontres à Netanya, trois ministres se sont déplacés. Les politiciens ont compris aujourd’hui qu’il est dans leur intérêt d’aller vers la communauté francophone. »

D’une voix posée et grave, elle précise : « Je parle de vraies difficultés. Ces familles n’ont rien à manger, elles sont dans des situations vraiment très difficiles. D’autres dossiers, comme les équivalences de diplômes et la reconnaissance du permis de conduire français sont aussi sur la table des négociations [Benjamin Netanyahu est récemment intervenu sur le dossier]. Pour le permis, nous sommes toujours en contact avec le ministre des Transports, Yisrael Katz, pour trouver une solution. »

Hélène explique au Times of Israël que lors des réunions, les membres du Lobby évoquent, entre autres, les questions liées à l’intégration, à l’éducation des enfants d’olim, mais aussi les problèmes liés au Bitouah Leumi ou au surendettement de certaines familles francophones.

Cette militante active d’un des premiers partis politiques tourné vers l’électorat francophone précise : « Il y a deux ans, j’ai rencontré de nombreux députés avec Nurit Koren [députée du Likud et alors nouvelle présidente du Lobby Francophone]. Elle m’a alors dit : « Écoute, je ne connais pas le sujet et je ne sais pas exactement quels sont les problèmes d’intégration de la communauté française en Israël. Je ne connais pas la langue non plus, mais je sais en revanche qu’il existe une importante alyah de France. De ce fait, le Lobby doit continuer à exister. Veux-tu en devenir la directrice ? »

On peut se demander tout d’abord ce qui a pu donner envie à Hélène Mazouz de se battre sur ce front-là. La jeune femme se souvient : « Avant de connaître mon mari [qui est Français, ndlr] je ne me sentais pas vraiment concernée. Je pense d’ailleurs que si tu n’es pas francophone et que tu n’as pas de contact avec des Français, tu ne peux pas vraiment les représenter. »

Autant de situations de détresse qui cassent les stéréotypes d’une alyah de France confortable et exempte de tout problème. Ces cas d’urgence, le Lobby francophone tient aussi à les mettre en lumière. Décryptage d’un combat en quête de forces vives.

Héléne Mazouz, coordinatrice du lobby francophone à la Knesset (Crédit : Facebook)

Héléne Mazouz, coordinatrice du lobby francophone à la Knesset (Crédit : Facebook)

Face à cette réalité, des bénévoles membres du Lobby investissent le terrain et se battent au quotidien pour venir en aide à une communauté où les problèmes abondent. Car, outre les questions du permis de conduire et de la reconnaissance des diplômes fréquemment évoquées, c’est le surendettement de beaucoup de familles francophones et la situation des olim handicapés en attente de la reconnaissance de leur statut par le Bitouah Leumi [Assurance nationae] qui interpellent et inquiètent.

En coordination avec la députée Nurit Koren, elle reprend donc les dossiers liés à l’alyah francophone et prend en même temps la mesure de la force électorale que constitue cette communauté. La jeune directrice compte aujourd’hui sur ce levier pour sensibiliser la classe politique aux défis de l’alyah de France. Une immigration dite de qualité et très sioniste, mais qui a toujours du mal à se faire entendre et à faire valoir ses droits.

Son objectif ? Encourager l’alyah et œuvrer avant tout pour une meilleure intégration des Juifs de France qui viennent s’établir dans le pays. Disons-le, pour cette jeune femme qui dégage une force tranquille, la tâche est rude et noble.

Créé sous l’impulsion du l’ex-député Yoni Chetboun, du parti Habayit Hayehoudi, le Lobby a depuis été repris en main par une enfant du pays. Mère de 4 enfants et mariée à un nouvel immigrant français, Hélène Mazouz, c’est son atout, est très impliquée dans la vie politique israélienne mais aussi très proche de la communauté française.

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C’est dans un café à proximité du Consulat français que nous retrouvons Hélène Mazouz, la directrice du Lobby Francophone à la Knesset et Guy Meimoun, son directeur de la communication.

 

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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
  • La Laosophie est une philosophie de l'existence, très ancienne puisque nous l'avons fait remonter aux sources mêmes du début de la Philosophie Grecque, soit au VIIème siècle avant notre ère par l'intermédiaire de la première femme philosophe, SAPPHO.
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