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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
17 mars 2019

WWIII : MANOEUVRES OTAN, GUERRE DE LA COALITION CONTRE LA SYRIE ET LA RUSSIE, ALERTE AUX BOMBES NUCLEAIRES.

WWIII : MANOEUVRES OTAN, GUERRE DE LA COALITION CONTRE LA SYRIE ET LA RUSSIE, ALERTE AUX BOMBES NUCLEAIRES.

Publié le 17 mars 2019 par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

 

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WIII : MANOEUVRES DE L'OTAN, GUERRE DE LA COALITION CONTRE LA SYRIE ET LA RUSSIE, ALERTE AUX BOMBES NUCLEAIRES. LE PRESIDENT POUTINE DEPLOIE DES S400 A SAINT-PETERSBOURG et à Kaliningrad situé entre la Pologne et la Lituanie, dans une enclave isolée de la Russie. Branle bas de combat dans le Bosphore.

Face au déploiement du porte-avions français Charles De Gaulle en Méditerranée orientale et à la persistance de tensions autour d’Idlib, en Syrie, la Russie muscle son dispositif naval en Méditerranée orientale.

La dernière fois que le porte-avions Charles De Gaulle mettait le cap sur le Levant, Vladimir Poutine avait demandé à son État-major d’accueillir les Français comme des » alliés » et d’établir un « contact direct » avec eux. C’était en novembre 2015. Aujourd’hui, plus rien de tout cela. Le PA français marque une étape importante en Méditerranée orientale, où son action s’inscrit dans le cadre des opérations « Inherent Resolve » et « Chammal ». Il doit ensuite poursuivre son périple jusque dans l’océan Indien.

De son côté, Moscou a musclé son dispositif naval dans les eaux du Levant. La toute nouvelle frégate Amiral Gorchkov (flotte du Nord, Projet 22350) ainsi que son groupe de soutien (le navire Elbrouz, le remorqueur Nikolaï Chiker et le tanker Kama) doivent arriver sur zone dans les prochaines heures. Ils ont franchi le canal de Sicile aujourd’hui. Il s’agit du premier déploiement de la frégate Amiral Gorchkov en Méditerranée. Il y a fort à parier qu’il s’agira aussi de son baptême du feu avec une probable mise en œuvre de ses missiles Kalibr pour frapper des cibles en Syrie.

Ils rejoindront le détachement naval méditerranéen russe qui est emmené par la frégate Amiral Essen (flotte de la mer Noire, Projet 11356M). Cet escadron sera renforcé par le grand navire de lutte ASM Severomorsk (Flotte du Nord, Projet 1155), qui sort de 2 mois de réparations à Sébastopol. Ce dernier bâtiment a franchi le Bosphore vendredi matin.

Le grand navire de lutte ASM Severomorsk dans le détroit du Bosphore. 15 mars 2019. Photo : Yörük Isik @YorukIsik

Le grand navire de lutte ASM Severomorsk dans le détroit du Bosphore. 15 mars 2019. Photo : Yörük Isik @YorukIsik

Il a été précédé hier par le SSK B-265 Krasnodar (Flotte de la mer Noire, Projet 0636.3) qui a transité à travers les Détroits turcs, depuis la mer Noire, en direction de la Méditerranée. Conformément à l’article 12 de la Convention de Montreux (1936), le transit de ce sous-marin d’attaque à travers le Bosphore et les Dardanelles a été signalé en avance à la Turquie et semble justifié par la destination du B-265 : le chantier naval de l’Amirauté (St Pétersbourg), où il doit subir un entretien (il a été admis au service actif en novembre 2015).

Le B-265 Krasnodar dans le Bosphore. 14 mars 2019. Photo : Reuters

Le B-265 Krasnodar dans le Bosphore. 14 mars 2019. Photo : Reuters

Ce type de transit de SSK russe dans le sens mer Noire – Méditerranée est exceptionnel. Auparavant, le B-871 Alrosa (Flotte de la mer Noire, Projet 877V) avait réalisé ce type de franchissement, par exemple en 2011, quand il se rendait à St Pétersbourg pour y subir des réparations, via la Méditerranée, où il avait pris part à l’exercice Bold Monarch avec l’OTAN. C’était une autre époque…

La Russie dispose donc désormais de 3 SSK équipés de missiles Kalibr en Méditerranée : outre le B-265, le B-268 Velikiy Novgorod et le B-271 Kolpino, qui opèrent depuis Tartous et croisent dans les eaux du Levant depuis fin juillet 2017. A noter que le B-265 s’est entraîné, début février, à des tirs contre des cibles en surface, en mer Noire, dans le cadre d’un cycle de préparation au combat. Enfin, de son côté, le B-262 Stariy Oskol, qui se trouve à Sébastopol, aurait reçu sa dotation en missile Kalibr et s’apprêterait à appareiller en mer.

En additionnant le nombre de missiles Kalibr embarqués par les différentes plateformes déployées par la Russie en Méditerranée orientale, on arrive à une salve théorique de 34 missiles (6 par SSK ; 8 par frégate). A cela s’ajoute ceux embarqués sur les unités déployées en mer Caspienne. La frégate légère Daghestan (Projet 11661K) et le petit navire lance-missiles Ouglich (Projet 21631) ont quitté hier leur base de Makhatchkala (Flottille de la Caspienne) pour des exercices de tir, rajoutant 16 missiles Kalibr « dans la balance ».

Ces unités remplissent une mission de dissuasion conventionnelle en marquant le terrain et en surveillant l’activité navale des autres marines dans le secteur, et prioritairement, celle du PA français. Elles pourront certainement appuyer d’éventuelles opérations contre des fiefs terroristes à Idlib avec leurs missiles de croisières Kalibr. Il est à prévoir une possible escale de la frégate Amiral Gorchkov à Sébastopol dans les semaines à venir.

Photo : le grand navire de lutte ASM Severomorsk franchissant le Bosphore. Crédit : Yörük Isik.

source:http://www.rusnavyintelligence.com/2019/03/face-a-face-franco-russe-en-mediterranee-orientale.html

Après avoir perdu la guerre de terreur sur la Syrie, les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et l'Allemagne demandent de "faire plus, et plus question de quitter la Syrie ni de retirer des 14 bases Militaires Américaines qui grossissent à vue d'œil de même des 5 bases Française" 

 

Trois membres permanents du Conseil de sécurité et de l'Allemagne ont réitéré qu'ils ne fourniront aucun soutien ou assistance pour la reconstruction en Syrie jusqu'à ce qu'un processus politique crédible, complet et authentique commence irréversiblement.  

«La Russie et le régime d'Assad doivent respecter le droit des réfugiés syriens de retourner dans leurs foyers volontairement et en toute sécurité et de cesser de prétendre que les conditions sont appropriées pour la reconstruction et la normalité», ont déclaré les États-Unis, la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne dans une commune Déclaration.  

Ils ont également demandé à la Russie et au régime d'Assad de participer sérieusement aux négociations menées par l'Organisation des Nations Unies et sur la base de la résolution 2254 du Conseil de sécurité des Nations Unies sur la Syrie, car ce sont les seules négociations capables de parvenir à la paix en Syrie.  

Déclaration conjointe des États-Unis, de la France, de la Grande-Bretagne et de l'Allemagne sur la Syrie  

Détails de l'énoncé:  

Il y a huit ans, les Syriens ont demandé la liberté, la justice et la réforme, mais la réponse brutale du régime et de ses partisans a entraîné la plus grande crise humanitaire depuis la seconde guerre mondiale, tuant plus de 400 000 civils en raison de la torture, de la faim et des Attaques du régime.  

Il a ajouté que le régime et ses partisans tentent de convaincre le monde que la vie est revenue à la normale, mais la réalité de leur suppression du peuple n'est pas encore terminée et il ya 13 millions syriens qui ont besoin d'aide humanitaire et beaucoup d'entre eux se voient refuser l'accès d les obstacles du système, en plus de 11 millions personnes sont devenues déplacées et incapables de retourner chez elles, soulignant la récente intensification de la violence à Idleb et le nombre de victimes civiles causées par les frappes aériennes.  

La solution militaire, que le régime espère atteindre avec le soutien de la Russie et de l'Iran, ne conduira pas à la paix. La seule façon de mettre fin à la violence et aux difficultés économiques et d'assurer un règlement durable du conflit est de parvenir à une solution politique négociée comme seul garant des garanties pour toutes les composantes de la société syrienne et des pays voisins.  

Cette déclaration vient à l'occasion du huitième anniversaire du déclenchement de la révolution syrienne contre le régime d'Assad, qui a commencé à susciter dans la ville de Daraa au sud du pays, après l'arrestation des services de renseignement les enfants ont écrit des slogans appelant à la liberté sur le mur de leur école. Des milliers de syriens ont participé à des manifestations de masse dans diverses villes et villes libérées pour souligner la révolution de l'adhérence et ses principes et continuer jusqu'à la réalisation de ses objectifs dans son intégralité. 

Europe/Russie: les USA poussent à la guerre 

Mar 17, 2019 06:04 UTC 

Les États-Unis viennent d’envoyer en Europe des bombardiers capables de porter des armes nucléaires. 

Ce n'est évidemment pas la première fois que des B-52H sont envoyés en Europe pour prendre part à des exercices réalisés dans le cadre de l'OTAN, mais ce déploiement a été décidé alors que les tensions entre Washington et Moscou sont montées d'un cran avec la fin annoncée du Traité sur les forces nucléaires intermédiaires (FNI).  

D'après le site web français "Opex360", spécialisé dans les questions militaires, l’US Air Force envoie six de ses bombardiers stratégiques B-52H Stratofortress, capables de porter des missiles de croisière et des bombes nucléaires, sur la base de la Royal Air Force (RAF) située dans le Gloucestershire, en Angleterre.  

D'après le site MilRadar, spécialisé dans le suivi des déplacements des avions militaires, après avoir quitté la base aérienne de Barksdale, en Louisiane, deux bombardiers stratégiques américains B-52H Stratofortress ont atterri sur la base de la Royal Air Force (RAF) se trouvant dans le Gloucestershire, en Angleterre, rapporte le site MilRadar. 

DRYER91 et DRYER92 sont les noms de codes des appareils américains capables de porter des missiles de croisière et des bombes nucléaires, a précisé MilRadar.  

En outre, selon le site Military.com, pas moins de 6 appareils seront basés à Fairford. Et cela en fait donc le déploiement de B-52H le plus important depuis mars 2003, quand les ֤États-Unis et le Royaume-Uni s’apprêtaient à lancer l'intervention militaire en Irak.  

Quoi qu’il en soit, et selon les données recueillies par le site russe PlaneRadar, l’un de ces B-52H envoyés en Europe, portant l’immatriculation 61-0009, a fait un détour par la mer Baltique, où il a mis le cap vers la frontière maritime de l’enclave russe de Kaliningrad. Puis, ayant gardé son transpondeur allumé, il fait un demi-tour pour ensuite se diriger vers les côtes britanniques, ce qui justifie d'ailleurs le déploiement, ce vendredi, d'un nouveau système de missiles antiaériens S-400 Triumph dans la région de Kaliningrad. Ce vol d'un B-52H à distance de tir de la  base navale de Kaliningrad est probablement un message envoyé en réponse à un raid simulé de l'aviation russe contre une station radar installée sur l'île norvégienne de Vardo, l'an dernier.   

Le 15 mars, un bombardier stratégique américain B-52H Stratofortress a effectué un vol le long de la frontière nord-ouest de la Russie, dans la région de la mer Baltique, d'après le ministère russe de la Défense. Il s'est approché de la frontière à 150 km tout au plus. Pour la deuxième fois cette semaine, un bombardier de l’US Air Force B-52H Stratofortress s’est approché de la frontière nord-ouest de la Russie, effectuant un vol au-dessus des eaux de la mer Baltique.  

Le même jour, un avion de reconnaissance stratégique de l'US Air Force RC-135V, qui avait décollé depuis RAF Mildenhall, en Angleterre, a été repéré aux abords de la région de Kaliningrad, où il avait effectué un vol de plusieurs heures. L'avion de reconnaissance suédois Gulfstream 4 a également fait vendredi un vol au-dessus de la mer Baltique.  

En 2017, la dernière fois qu'un B-52H de l'US Air Force avait été signalé opérant près des frontières russes au-dessus de la mer Baltique, un chasseur Su-27 des Forces de défense aérospatiales avait été forcé de l'intercepter et de l'escorter hors de la zone.  

Les États-Unis et leurs alliés de l'OTAN ont considérablement accru leur présence près des frontières russes depuis la crise ukrainienne de 2014, en effectuant un nombre croissant d'exercices dans la région et en augmentant le nombre de soldats déployés en permanence dans les pays baltes, la Pologne et la Roumanie. L'armée russe détecte et surveille régulièrement des avions espions américains et des drones de reconnaissance opérant près des frontières russes dans les mers Baltique et Noire, ainsi que près de la Syrie dans la mer Méditerranée. 

Selon les chiffres du ministère russe de la Défense, le réseau de défense aérienne de la Russie a détecté et suivi plus d'un millier d'avions d'espionnage étrangers et d'UAV volant le long des frontières russes en 2018. 

Les États-Unis se préparent pour l’« Opération du jour de la résurrection » en Syrie Sat Mar 16, 2019 6:25PM  

Bombardement sur Baghouz. ©France Inter  

Une source irakienne a annoncé que les États-Unis étaient en train de préparer une lourde attaque aérienne sur Baghouz dans l’est de la Syrie, qualifiée par les pilotes d’« Apocalypse Now ».  

« Les États-Unis et leurs alliés ont l’intention de mener un bombardement massif sur Baghouz en Syrie, des raids analogues à ceux menés sur la partie ancienne de Mossoul », a déclaré une source irakienne citée par An-Nahraïn. 

« Les pays de la coalition dont les États-Unis sont prêts à lancer une opération massive à Baghouz en Syrie. Cette opération comprend des raids aériens massifs contre Daech, ce qui lui a valu parmi les pilotes le surnom d’“Apocalypse Now” », a indiqué cette source. 

« Pour l’instant, les frappes aériennes actuelles sont ciblées, mais les prochaines seront massives », a-t-elle ajouté. 

Des dizaines de Syriens ont perdu la vie lors des raids menés par les avions de combat américains à Deir ez-Zor. 

Dans ce contexte, des sources locales ont annoncé ce samedi 16 mars que dans les bombardements successifs des avions de la coalition américaine sur le camp de Baghouz dans la banlieue est de Deir ez-Zor, des dizaines de Syriens avaient trouvé la mort.  

« Les victimes sont essentiellement des femmes et des enfants », a rapporté SANA. 

La coalition illégale américaine a bombardé le 11 mars le camp Baghouz tuant 50 civils, dont des femmes et des enfants, et en blessant plusieurs autres. 

La Syrie a demandé à plusieurs reprises le retrait des forces de cette coalition dirigée par les États-Unis et composée de certains pays européens, dont la France. 

Le Conseil de sécurité des Nations unies ainsi que d’autres instances internationales ont opté pour le mutisme face au massacre des civils syriens. 

La Syrie avait auparavant accusé les États-Unis d’avoir utilisé des bombes au phosphore.  

La France et les USA tentent d’éliminer les dernières traces de leurs liens avec Daech à Baghouz, et ce, à coup de phosphore blanc et d’artillerie. 

Un printemps meurtrier pour la Syrie et le monde ?  

 
Trump vient de demander au Congrès 150 milliards de dollars pour des opérations militaires au Moyen-Orient, à un moment où les États-Unis y cesseraient leurs efforts et où très peu de troupes sont stationnées et quasiment aucune au combat. C'est plus d'argent que les États-Unis ont dépensé quand ils avaient 20.000 hommes au combat. Pourquoi? 

Alors que l'Amérique parle officiellement de la paix en Syrie, il se passe quelque chose de tout à fait différent. Des informations arrivent d'Irak et d'actifs russes à l'intérieur de la Syrie. Vous voyez, le processus de paix d'Idlib est perturbé; Al-Qaïda reçoit des fonds et des armes massifs et a pratiquement éliminé toutes les forces alliées turques. L'Amérique essaie de transformer Idlib en son propre bastion. 

Idlib assiste à de grandes découvertes de pétrole et de gaz. C’est une curieuse coïncidence, découverte quelques mois à peine avant la survenue d’une fausse guerre civile en Syrie, ciblant des régions riches en pétrole et le centre industriel de la Syrie. Et puis, confirmée par Damas, les États-Unis ont restauré leur centre de commandement à Amman, en Jordanie, un centre partagé avec Israël et l’Arabie saoudite, un centre de commandement non seulement pour «les alliés» mais, pour être honnête, pour ISIS et al-Qaïda aussi. 

À propos du MOC, de The National, une histoire de 2013: 

«Un centre de commandement des opérations secret en Jordanie, composé de responsables militaires occidentaux et arabes, a apporté un soutien vital aux rebelles se battant sur le front sud de la Syrie en leur fournissant des armes et des conseils tactiques pour attaquer les objectifs du régime. 

Selon des combattants rebelles et des membres de l’opposition, le centre de commandement, basé dans un bâtiment du renseignement à Amman, achemine des véhicules, des fusils de tireur d’élite, des obus de mortier, des mitrailleuses lourdes, des armes légères et des munitions aux unités de l’Armée syrienne libre. missiles convoités anti-aériens et anti-chars. 

Les fonctionnaires à Amman ont nié l'existence d'un centre de commandement. «Nous rejetons ces allégations. La Jordanie n’est un hôte ni une partie d’une coopération contre la Syrie. L’intérêt de la Jordanie est de voir une Syrie stable et sûre, capable de maintenir ses problèmes à l’intérieur de ses frontières », a déclaré Mohammad Al Momani, ministre des Affaires des médias. 

"Nous ne ferons rien qui nourrira la violence en Syrie", a-t-il déclaré. 

Des personnalités de l’opposition syrienne au courant des opérations rebelles à Deraa, à environ 75 km au nord d’Amman, ont déclaré que la Jordanie hébergeait le centre de commandement et avait chargé des hauts responsables des services de renseignements jordaniens de collaborer avec les États occidentaux et arabes pour aider les terroristes islamistes à planifier des missions et à faire passer des munitions la frontière." 

Appuyés par des informations crédibles provenant de sources russes, syriennes, kurdes et irakiennes, nous savons que les États-Unis préparent le déploiement d’une force composée de 2.500 cadres de l’État islamique, y compris de hauts commandants, qui, selon des sources irakiennes, seraient entraînées à l’insu du Gouvernement irakien. 

Dans le même temps, à Deraa, dans le sud de la Syrie, des services de renseignement syriens nous ont appris que des manifestations avaient déjà commencé. Des cellules terroristes cachées ont commencé à se manifester publiquement. Elles portaient souvent des armes après avoir signé des accords de réconciliation. Le gouvernement de Damas voit dans ces manifestations un prélude à une intervention militaire en Syrie qui devrait coïncider avec toute tentative syrienne de libérer Idlib. 

Deraa est le front où l'armée israélienne a été la plus active, entrant en Syrie par la Jordanie, selon nos sources, et escortant les recrues de l’État islamique en Syrie et en Irak, venues d'aussi loin que les Philippines, l'Australie et la Malaisie, en utilisant Nouvel aéroport de Tel Aviv. 

Les informations selon lesquelles des recrues d'ISIS en Australie auraient été acheminées via Israël ont été vite «nettoyées» par les médias, dont le sioniste Facebook. 

L'histoire plus large 

L'Amérique se prépare à la guerre au Venezuela et en Iran; et des rapports crédibles, comme mentionné ci-dessus, montrent que les États-Unis sont en train de réorganiser et de rééquiper des unités de l'Etat islamique basées dans des bases irakiennes pour se redéployer contre la Syrie. En dépit de tout accord, en dépit de tout conclave ou de tout dialogue public, le Congrès et le peuple américain se font dire que cela est fait pour empêcher la Russie de conquérir le monde et de "menacer la démocratie". 

La folie de ceci est indiscutable comme s’il s’agissait d’une religion, c’est en fait une religion; c’est la base du «néo-conservatisme» et de l’infection qui sévit à Washington DC à la demande de John Bolton dans la Maison Blanche et de Sean Hannity, porte-parole des médias pour le «Taliban» américain. 

Les "ennemis de la Russie" à Washington se sont cachés, attendant leur heure depuis des années. Ils sentent maintenant que c'est «leur moment dans l'histoire». 

Bien que la Russie soit une démocratie chrétienne et que la Chine soit le plus grand partenaire commercial des États-Unis et le plus gros investisseur en dette américaine, une alliance secrète imaginaire étayée par des conjectures nous a ramenés en 1972, en 1938 ou en 1914, un monde fictif créé pour justifier le programme de domination globale. 

La grande alliance communiste de la guerre froide plane désormais sur le monde entier, si l’on en croit la presse occidentale, empoisonnant ses ennemis, gazant des civils, les communistes se cachant derrière chaque arbre et chaque buisson. 

Le déséquilibre militaire 

Jetons un coup d’œil aux forces déployées au Moyen-Orient, par exemple. La Russie, selon les derniers chiffres, compte environ 20 avions sur leur base syrienne, appuyant des opérations antiterroristes dans ce pays. 

Les États-Unis ont environ 800 avions de combat dans la région. Cela inclut Diego Garcia, al-Oudeid au Qatar (une base massive), six bases en Irak, deux en Turquie, une en Israël, trois en Jordanie, cinq au Koweït, trois aux EAU, une à Bahreïn et une toute petite base à Oman. Nous pouvons ajouter à cela deux grandes bases aériennes en Afghanistan et 65 installations plus petites. De récents accords avec les Taliban diminueront cette capacité sur cinq ans, selon les rapports. 

Là encore, les États-Unis exploitent toujours des installations en Syrie, du moins pour le moment. 

À cela, nous ajoutons le nouveau budget militaire Trump pour 2020.  

De CNN: 

 «Le président Donald Trump demandera un budget de 718 milliards de dollars au Pentagone pour 2020, ce qui représente une demande globale de 750 milliards de dollars pour la défense, ont annoncé deux responsables américains à CNN. 

Ce chiffre inclut à la fois le budget du Pentagone et les éléments du budget du Département de l’énergie nucléaire relatifs aux armes nucléaires. 

La demande du Pentagone représente une augmentation de 4,7% par rapport au budget de cette année. 

Les responsables ont déclaré à CNN que le budget de la défense «de base» était sollicité pour un montant d'environ 544 milliards de dollars, dont 9 milliards supplémentaires alloués à un fonds «d'urgence». Les 165 milliards restants iraient aux «opérations de contingence à l’étranger», un compte permettant de financer des opérations militaires à l’étranger dans des pays comme l’Afghanistan, la Syrie et l’Iraq. C’est une augmentation spectaculaire par rapport au budget de 2019, qui visait 69 milliards de dollars pour ce compte opérationnel. 

La décision de l’administration Trump de faire une importante demande d’OCO, qui avait déjà été rapportée par plusieurs médias, avait déjà été critiquée par de hauts législateurs démocrates. 

"Le budget du président reposera apparemment sur un gadget géant de l’OCO pour soutenir les dépenses de défense. Si cela est vrai, il ne s’agit là que d’une tentative flagrante de se moquer du processus budgétaire fédéral, d’obscurcir le coût réel des opérations militaires et d’abandonner gravement d’autres investissements vitaux pour notre sécurité nationale et économique », John Yarmuth, président du Comité du budget de la Chambre des représentants. Le président de la commission des forces armées de la Chambre, Adam Smith, a déclaré dans une déclaration commune le mois dernier. 

Alors que les montants demandés pour ce compte avaient atteint des niveaux similaires au cours des premières années de l'administration Obama, environ 150.000 soldats américains avaient alors été déployés dans le cadre de missions de combat actives en Irak et en Afghanistan, contre 14.000 en Afghanistan et quelque 7.000 en Irak. et la Syrie aujourd’hui, où les forces américaines jouent désormais un rôle consultatif. " 

Chine 

Alors que la Russie est accusée de truquage électoral et d'espionnage, nous apprenons maintenant que le propriétaire d'un salon de bordel / massage basé en Floride, Li Yang, a travaillé en étroite collaboration avec Trump, faisant venir des "délégations" secrètes chinoises qui restent à Mar a Lago et « concluent des marchés » avec Trump, Kushner et leurs riches partisans. 

Le résultat final a été que, malgré les interdictions commerciales imposées à la Chine et les affrontements militaires des États-Unis avec ce pays, le déficit commercial des États-Unis avec la Chine a augmenté de façon spectaculaire, de près de 40%. Est-ce une politique vaine ou une supercherie artificielle, cachée derrière une agression militaire, une politique basée sur la corruption? 

Les bombardiers lourds américains et les navires de guerre sillonnent la côte chinoise comme une menace supposée, alors que des responsables américains corrompus sont et ont été au lit avec la Chine depuis le début 

Russie 

Utiliser la Russie comme un ennemi en s’inspirant d’une fausse histoire de l’après-guerre, lorsque la propagande extrémiste aux États-Unis est devenue aussi effrénée qu’elle est aujourd’hui, est une pure fabrication. Oui, la Russie dispose de technologies de pointe, dont beaucoup sont supérieures à celles des États-Unis. 

La Russie n’a pas de bases militaires dans 160 pays, 12 porte-avions et un complexe industriel militaire de mille milliards de dollars par an qui ne respecte pas son gouvernement. 

Ainsi, bien que la Russie puisse construire des armes capables d’égaler la plupart des technologies américaines, la taille extrêmement inférieure de son économie militaire rend l’idée de parité en nombre d’armes une pure folie. 

Pourtant, à ce jour, le Pentagone s’entraîne pour des scénarios avec de milliers de bombardiers russes à longue portée ou de flottes de chars modernes soutenus par des armadas aériennes, repoussant l’OTAN à la mer. Une génération d'officiers américains est désormais isolée de la réalité. 

Conclusion 

On pourrait alors se demander pourquoi maintenir des politiques de dépenses militaires insoutenables et une confrontation fondée sur des menaces qui ne peuvent tout simplement pas exister. Il ne fait aucun doute que les États-Unis ont mis au point une politique de guerre indirecte / asymétrique contre tout pays indépendant riche en ressources naturelles. Pourtant, l'Amérique elle-même est endettée de plus de 21.000 milliards de dollars et sombrera rapidement dans un effondrement économique. 

Nous n'offrons pas de réponse ici; une seule question et celle-là est simple, pourquoi ne pose-t-on pas de questions pertinentes? 

Gordon Duff  

 

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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
  • La Laosophie est une philosophie de l'existence, très ancienne puisque nous l'avons fait remonter aux sources mêmes du début de la Philosophie Grecque, soit au VIIème siècle avant notre ère par l'intermédiaire de la première femme philosophe, SAPPHO.
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