Souhaitez-vous comprendre d’où vient l’antisémitisme (comprenons ici la définition donnée par les juifs et le système médiatique, c’est-à-dire, même s’il s’agit d’une erreur linguistique et d’un raccourcis monomaniaque: la haine du juif).
Une parole religieuse qui ne condamne pas (voir encourage) la mort des non-juifs (« goys », « goyim »), c’est possible; ça s’appelle le « talmud ». Être dégouté de cette pensée est somme toute un sentiment humain, normal. Pour les extrémistes talmudiques juifs, c’est de l’antisémitisme que de dénoncer ceci 🙂 (c’est d’ailleurs maintenant une des entourloupes centrales que veulent nous faire gober gouvernement, médias et certains militants)
Il est important ici de préciser que tout juif n’est PAS talmudique; il semble que les enseignements de l’autre livre saint des juifs, la torah, ne verse pas dans le même extrémisme. (Notez que je ne suis pas sûr de cette précision)
Le Talmud est le livre central du judaïsme moderne (c’est-à-dire celui qui s’est construit après la venue du Christ).
C’est probablement le livre le plus haineux et le plus raciste qui ait jamais été écrit dans l’histoire de l’humanité. Tout y est permis à l’encontre des goyim (les non-juifs en hébreu, au singulier goy) qui sont abaissés au rang de bêtes. Le Christ y est insulté et son nom blasphémé des façons les plus ignobles et la Vierge qualifiée de prostituée.
Quand les sociétés chrétiennes découvrirent un jour avec effroi le contenu de ce livre (notamment grâce à des juifs convertis), au Moyen-Age, il fut interdit, brûlé (en particulier sous Saint Louis). Des versions expurgées furent alors éditées par les rabbins, pour le « grand public ». Ce sont encore celles qu’on peut trouver derrière des vitrines de magasins.
Voici un excellent documentaire qui pénètre dans la bibliothèque d’une synagogue, pour expliquer les différents livres saints des juifs, expliquer les différences, et pour montrer aux chrétiens (et aux autres) la réalité des écrits juifs, tous plus racistes et suprématistes les uns que les autres : (activer les sous-titres dans le lecteur)
Voici un recueil de quelques sentences de la version originale*, ponctuées de vidéos ou livres sur le sujet :
- Talmud, Ereget Rashi Erod.22 30 : Un goy est comme un chien. Les Ecritures nous apprennent qu’un chien mérite plus de respect qu’un goy.
- Talmud, Iebhammoth 61a : Les juifs ont droit à être appelés “hommes”, pas les goyim.
- Talmud, Iore Dea 377, 1 : Il faut remplacer les serviteurs goyim morts, comme les vaches, ou les ânes perdus. Il ne faut pas montrer de sympathie pour le juif qui les emploie.
- Talmud, Jalkut Rubeni Gadol 12b: Les âmes des goyim proviennent d’esprits impurs qu’on nomme porcs.
- Talmud, Kerithuth 6b p. 78 : Les juifs sont des humains, non les goyim, ce sont des animaux.
- Talmud, Kethuboth 110b : Pour l’interprétation d’un psaume un rabbin dit : ” le psalmiste compare les goyim à des bêtes impures “.
- Talmud, Orach Chaiim 225, 10 : Les goyim et les animaux sont utilisés de manière équivalente dans une comparaison.
- Talmud, Schene Luchoth Haberith p. 250b : Bien qu’un goy ait la même apparence qu’un juif, il se comportent envers les juifs de la même manière qu’un singe envers un homme.
- Talmud, Tosaphot, Jebamoth 94b: Lorsque vous mangez en présence d’un goy c’est comme ci vous mangiez avec un chien.
- Talmud, Yebamoth 98a : Tous les enfants des goyims sont des animaux
- Talmud, Zohar II 64b : Les goyim sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes.
- Talmud, Orach Chaiim 57, 6a : Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les goyim que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins.
Babylone, Jérusalem, censurés ou non expurgés
* il fallut « attendre le XIXe siècle, même si l’étude du Talmud en Pologne conduisit à une impression de l’édition complète avec restauration du texte original réalisée à Cracovie entre 1602 et 1605 (c’est dans un même esprit que certains demandèrent un peu plus tard qu’une traduction soit réalisée et à Vienne, demande qui fut même portée devant les corps législatifs), pour qu’un prêtre, l’abbé Chiarini (1789-1832), professeur de langues orientales à l’université de Varsovie publie à Paris, en 1830, une volumineuse Théorie du Judaïsme, dans laquelle il fit figurer une traduction partielle du Talmud dans laquelle il révéla les passages qui avaient été expurgés et censurés, Talmud de Babylone traduit en langue Française et complété par le Talmud de Jérusalem, qu’il fit d’ailleurs éditer en 1831. Ce fut ensuit un autre ecclésiastique, l’abbé August Rohling (1839-1931), docteur en théologie, professeur d’exégèse à l’Université de Münster, chanoine de la collégiale de Prague, s’appuyant sur les travaux de Johann Andreas Eisenmenger (1654-1704), professeur d’hébreu à Heidelberg, qui se pencha avec attention sur le sujet en utilisant des versions non expurgées du Talmud, et fit paraître en 1871 un ouvrage en Allemagne: Der Talmudjude (Le Juif talmudique), publié en France en 1888 par les soins de l’abbé Maximilien de Lamarque, docteur en théologie, dans lequel il citait de très nombreux passages censurés et expurgés du Talmud. » (source)
(Télécharger PDF) Israël Shahak (1933-2001) est un des nombreux “rescapés de l’Holocauste”.
Né à Varsovie en 1933, il passe son enfance au camp de Bergen-Belsen. En 1945, il émigre en Israël et sert dans l’armée juive Tsahal. Militant des droits de l’homme, il collabore au journal Haaretz et s’attaque à l’obscurantisme religieux juif et à son influence dans la vie politique de l’Etat colonial d’Israël.
Tout commence en 1965, lorsque Shahak est témoin d’un incident qui le marquera profondément. Dans un quartier de Jérusalem, un non-juif (goy) s’effondre brusquement, victime semble-t-il d’une crise cardiaque. Prié de mettre son téléphone à disposition pour appeler une ambulance, un juif religieux refuse, en invoquant la Halakha qui lui interdit de sauver un non-juif le jour du Sabbat. Shahak interroge peu après les membres de la Cour rabbinique de Jérusalem; ces membres sont nommés par l’Etat d’Israël. Ceux-ci répondent que la personne qui a refusé l’usage de son téléphone a agi conformément aux lois religieuses et ils se réfèrent à l’abrégé des lois talmudiques. Finalement les autorités rabbiniques tant en Israël que dans la diaspora n’ont jamais fait machine arrière et ont toujours refusé de modifier ou de supprimer la moindre prescription sabbatique. Il est donc interdit à un juif de profaner le jour du Sabbat pour sauver un
non-juif. Par contre la violation du Sabbat est permise pour sauver un juif. Dérouté et scandalisé par cette discrimination raciste, Shahak se met à étudier les lois talmudiques. Il nous livre le fruit de trente ans de recherches et d’un demi-siècle de vie dans la Terre promise.
Extrait :
Structure du Talmud [Source]
Donc, il convient absolument de comprendre que la source de l’autorité, pour toutes les pratiques du judaïsme classique (et orthodoxe actuel), la base déterminante de sa structure législative, est le Talmud, ou, pour être précis, le Talmud dit babylonien — le reste de la littérature talmudique (y compris le Talmud dit palestinien ou de Jérusalem) n’ayant qu’une autorité supplétive.
Il n’est pas question, ici, de fournir une description détaillée du Talmud et de la littérature talmudique : nous nous limiterons à quelques points principaux, nécessaires à notre propos. Fondamentalement le Talmud se compose de deux parties. D’abord, la Mishnah, code de lois lapidaire en six volumes divisés chacun en plusieurs traités (en hébreu), rédigés en Palestine vers l’an 200 à partir du corpus juridique bien plus vaste (et en grande partie oral) composé au cours des deux siècles précédents. La seconde partie, de loin prépondérante, appelée Guémarah, est un volumineux recueil d’explications et de commentaires de la Mishnah. Il y a deux Guémarah, plus ou moins parallèles : l’une a été composée en Mésopotamie (« Babylone ») entre 200 et 500, l’autre en Palestine entre 200 et une date inconnue (mais bien avant l’an 500). Seul le Talmud babylonien (c’est-à-dire la Mishnah plus la Guémarah mésopotamienne), bien plus abondant et bien mieux organisé que le palestinien, est considéré comme définitif et comme source indiscutable d’autorité. Nettement inférieur, en revanche, le statut accordé, en tant qu’autorité législative, au Talmud hiérosolymitain (palestinien) ainsi qu’à un certain nombre de compilations, formant ce qu’on appelle la « littérature talmudique » et contenant des textes que n’ont pas repris les rédacteurs des deux Talmuds.
Contrairement à la Mishnah, le reste du Talmud et la littérature talmudique sont écrits tantôt en hébreu tantôt en araméen, cette dernière langue prédominant dans le Talmud babylonien. D’autre part, ils ne traitent pas uniquement de questions juridiques. Sans aucun ordre ni aucune raison apparente, l’exposé juridique est souvent brusquement interrompu par ce que l’on appelle la « Narration » (Aggadah) — pot-pourri de récits et d’anecdotes mettant en scène rabbins et gens du peuple, personnages bibliques, anges, démons, faits de sorcellerie et miracles (42). L’Aggadah, en dépit de sa grande popularité à travers les âges au sein du judaïsme, a toujours été considérée (y compris par le Talmud) comme un aspect secondaire. Le plus précieux, pour le judaïsme classique, ce sont les parties législatives du texte, notamment l’exposé des cas jugés problématiques. Le Talmud considère qu’il y a plusieurs catégories de Juifs et les définit comme suit, par ordre ascendant : les ignorants, ceux qui ne connaissent que la Bible, ceux qui connaissent aussi la Mishnah ou l’Aggadah, et enfin, ceux qui ont étudié et qui peuvent discourir sur les aspects juridiques de la Guémarah. Seuls ces derniers sont capables de diriger leurs compagnons juifs en toutes choses.
- La Mishnah est remarquablement sobre à cet égard ; la croyance dans les démons et la sorcellerie ne s’y manifeste que rarement. Le Talmud babylonien, au contraire, regorge des plus grossières superstitions.
Le droit talmudique, tout en se présentant comme un ensemble complet, total et d’une autorité rigoureuse, se prête à d’infinis développements, sans que cela requière la moindre modification de sa base dogmatique. Tous les aspects aussi bien individuels que sociaux de la vie des Juifs y sont considérés, en général avec une extrême minutie — d’où un arsenal fabuleux de peines et de châtiments pour tous les péchés et infractions imaginables. Pour chaque cas, les règles fondamentales sont énoncées dogmatiquement et sans contestation possible. Ce que l’on peut discuter, et que l’on discute de fait en long et en large, c’est l’élaboration et la définition pratique de ces règles. Il faut donner quelques exemples.
« N’accomplir aucun travail » le jour du sabbat. Le concept de travail est parfaitement défini : il comprend 39 types d’activités, ni une de plus ni une de moins, selon des critères qui n’ont rien à voir avec la peine ou la difficulté ; il s’agit uniquement d’une question de définition dogmatique. Il est interdit d’écrire par exemple. Mais combien faut-il écrire de caractères pour violer le sabbat ? (Réponse : Deux.) Le péché est-il le même quelle que soit la main utilisée ? (Réponse : Non.) Mais pour réduire la tentation, un interdit annexe frappe, le jour du sabbat, tout objet pouvant servir à écrire : il ne faut même pas y toucher.
Autre travail archétypique interdit le jour du sabbat : broyer le grain, que ce soit en le moulant, le pilant, etc. D’où découle, par analogie, l’interdiction de broyer quoi que ce soit de quelque manière que ce soit. Ce qui signifie entre autres l’interdiction de pratiquer la médecine le samedi (sauf si un Juif est en danger de mort), pour que ne soit pas commis le péché de piler des substances médicamenteuses. Inutile de faire remarquer qu’à l’époque actuelle un tel risque est inexistant (et qu’il l’était déjà, d’ailleurs, dans la plupart des cas, à l’époque talmudique), car, par précaution supplémentaire, le Talmud interdit explicitement (le jour du sabbat) médicaments liquides et boissons reconstituantes. Ce qui a été une fois décrété le reste à jamais, aussi absurde que ce puisse devenir. Tertullien, un des premiers Pères de l’Église, a écrit : « Je crois parce que c’est absurde ». En remplaçant « je crois » par « je pratique », on obtient la formule de base de la plupart des règles talmudiques.
Mais nous n’avons pas encore touché le fond de l’absurdité atteinte par ce système. Toute récolte (cueillette, moisson) est évidemment frappée par l’interdit sabbatique. Il ne faut donc pas prendre de branches aux arbres. D’où l’interdiction de se déplacer à cheval (ou au moyen de tout autre animal) pour ne pas être tenté de briser une branche pour s’en faire une cravache. Inutile d’objecter que vous êtes déjà pourvu d’un fouet, ou qu’il n’y a pas d’arbre dans la région : ce qui a été une fois interdit, le demeure à jamais. En revanche, le domaine de l’interdit peut être élargi et renforcé : ainsi, il est interdit de se déplacer à vélo le jour du sabbat.
Les mêmes méthodes — ceci sera mon dernier exemple — sont aussi utilisées pour des cas purement théoriques, n’ayant vraiment aucune application pratique. Quand le Temple existait, seule une vierge pouvait devenir l’épouse du Grand Prêtre. Bien que durant presque toute la période talmudique il n’y eût plus ni Temple ni Grand Prêtre, le Talmud consacre tout un développement, particulièrement contourné (et bizarre) à la définition exacte du terme « vierge », s’agissant de la future épouse d’un Grand Prêtre. Une fille dont l’hymen s’est déchiré accidentellement entre-t-elle encore dans cette catégorie ? Y a-t-il une différence selon que l’accident s’est produit avant ou après l’âge de trois ans ? Par l’effet du métal ou du bois ? Était-ce en grimpant à un arbre ? Et si oui, était-ce en montant ou en descendant ? Cela est-il arrivé pour des raisons naturelles ou non naturelles ? Etc. Etc. Tout cela étant examiné dans les plus menus détails. Dans le judaïsme classique, il fallait maîtriser des centaines de problèmes de ce genre pour être considéré comme un homme instruit. Les grands docteurs de la Loi se reconnaissaient à leur capacité d’ajouter de nouveaux développements à ces problèmes ; comme on l’a vu par les exemples cités, il y a toujours matière à une telle activité — pourvu qu’elle se fasse dans la direction fixée — et de fait, elle a continué après la rédaction définitive du Talmud.
Cependant, il existe deux grandes différences entre la période talmudique (qui se termine vers l’an 500) et la période du judaïsme classique (à partir de l’an 800 environ). 1) Le Talmud est le produit d’une aire géographique limitée, et 2) la société dont il traite est une société juive « complète », fondée sur l’agriculture. (Et ceci vaut aussi bien pour la Mésopotamie que pour la Palestine.). Alors qu’à l’époque les Juifs s’étaient répandus dans tout l’empire romain et dans de nombreuses provinces de l’empire des Sassanides, l’élaboration du Talmud — comme il appert clairement du texte lui-même — fut une affaire strictement locale. Aucun penseur vivant dans des pays autres que la Mésopotamie et la Palestine n’y participa, et le texte ne reflète pas de conditions sociales extérieures à ces deux régions.