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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
20 mars 2018

WWIII : POUTINE FAIT CE QU'IL DIT ET DIT CE QU'IL FAIT. IL SOUTIENDRA LA SYRIE ET L'IRAN CONTRE LES USA, LA FRANCE....

Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. (ce Blog non professionnel, ne fait pas appel à la publicité ni à des subventions pour exister , il est gratuit et tenu par des bénévoles).

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WWIII : POUTINE FAIT CE QU'IL DIT ET DIT CE QU'IL FAIT. IL SOUTIENDRA LA SYRIE ET L'IRAN CONTRE LES USA, LA FRANCE ET L'EUROPE, AINSI QUE CONTRE ISRAËL SI LES SIONISTES BOUGENT LE PETIT DOIGT. NOUS LES FRANCAIS NOUS N'IRONS PAS FAIRE LA GUERRE EN RUSSIE, MAIS AVEC LA RUSSIE COMME DANS NORMANDIE-NIEMEN.

Publié le 20 mars 2018 par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : POUTINE FAIT CE QU'IL DIT ET DIT CE QU'IL FAIT. IL SOUTIENDRA LA SYRIE ET L'IRAN CONTRE LES USA, LA FRANCE ET L'EUROPE, AINSI QUE CONTRE ISRAËL SI LES SIONISTES BOUGENT LE PETIT DOIGT. NOUS LES FRANCAIS NOUS N'IRONS PAS FAIRE LA GUERRE EN RUSSIE, MAIS AVEC LA RUSSIE COMME DANS NORMANDIE-NIEMEN SOUS LE GENERAL DE GAULLE. LAISSONS CELA AUX ARABES QUI S'EMBAUCHENT EN NOMBRE DANS L'ARMEE FRANCAISE POUR ALLER TUER LES LEURS.

Mise en alerte de combat des forces aériennes russes

Mise en alerte de combat des forces aériennes russes

Les forces aérospatiales de la Fédération de Russie (ВКС РФ) ont été mises en alerte de combat en prévision de frappes de missiles de l’US Navy contre la Syrie. Il y a quelques heures des informations ont laissé entendre que la marine américaine largement déployée en Méditerranée, en Mer Rouge. La FRANCE est concernée.

Élection présidentielle russe de 2018

Trump ne félicite pas Poutine pour sa victoire: le Kremlin réagit, mais Poutine préfère cela à des félicitations glaciales de Macron.
© Sputnik. Michael Klimentyev Actualités
14:08 20.03.2018(mis à jour 14:52 20.03.2018) URL courte Dossier: Présidentielle 2018 en Russie (100)  36356

Même si Donald Trump refuse de féliciter son homologue russe qui a remporté dimanche les élections présidentielles, cela ne signifie pas que Vladimir Poutine n'ait pas l'intention de normaliser les relations avec Washington, a souligné le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.

Malgré l'absence de félicitations de la part de la Maison-Blanche à l'occasion de la victoire de Vladimir Poutine lors des élections présidentielles, Moscou reste ouvert à la normalisation des relations avec Washington dans la mesure où cela est nécessaire, estime Dmitri Peskov.

«Tout d'abord, il ne faut pas considérer cet acte comme inamical. Vous savez que Vladimir Poutine demeure ouvert pour une normalisation des relations avec nos partenaires américains là où cela nous intéresse et cela est nécessaire. Puis, vous savez que le Président reçoit un grand nombre de félicitation de la part des leaders étrangers. Les uns ne peuvent téléphoner pour cause de calendrier, les autres ont leurs propres raisons. Mais il ne faut pas dramatiser», a-t-il expliqué.

«Demain, il fera jour», a ajouté le porte-parole.

Le président sortant Vladimir Poutine a été reconduit à la tête du Kremlin, avec près de 76.7% des voix. Il devançait largement Pavel Groudinine, qui n'a récolté que 11,8% des suffrages. Le taux de participation a atteint, quant à lui, les 67,5%.

Toutes les semaines, dans les trois armées Air, Terre, Mer, on embauche 15000 volontaires avant de rendre la conscription obligatoire pour servir de chair à canon.

Elu confortablement avec un score de participation et de vote que le plus petit état d'Europe envierait d'avoir, alors que Macron a dû triché comme on s'aperçoit 10 ans après que Nicolas Sarkozy l'avait fait, pour un score de 10% de la population des urnes, avec une comédie du Front National qui s'est couché moyennant finance.

Tous les partis qui trichent et rares sont ceux qui ne le font pas, changent un jour où l'autre de nom, car en plus de tricher ils accumulent des dettes immenses, et l'ex-président continue à toucher des subsides de patriarche du Pétrole.

Skripal: Londres refuse à Moscou des échantillons, un auteur du gaz explique pourquoi
© Sputnik. Vladimir Pesnya International 07:43 20.03.2018(mis à jour 09:51 20.03.2018) URL courte Dossier: Affaire Skripal (60) 421284

L’analyse des échantillons recueillis à Salisbury permettra d’établir que l’agent neurotoxique identifié comme A-234 et utilisé contre l’agent double russe Sergueï Skripal n’a pas été produit en Russie, a déclaré à Sputnik Léonid Rink, l’un des créateurs du gaz Novitchok.

Londres refuse de transférer à Moscou des échantillons du gaz innervant avec lequel ont été empoisonnés l'ex-espion russe Sergueï Skripal et sa fille Youlia, car leur analyse permettra d'identifier l'origine de la substance, estime dans une interview à Sputnik Léonid Rink, l'un des créateurs du gaz Novitchok, classifié par les Britanniques comme A-234.

«Pourquoi les Britanniques ne donnent-ils pas d'échantillon à Moscou? Parce que malgré tous les efforts déployés par les spécialistes, la technologie sera toujours légèrement différente. C'est une sorte d' "écriture"».

Selon lui, ceux qui ont synthétisé le gaz utilisé contre Skripal auraient pu ignorer la composition de nombreux composants de la substance. «De ce fait, l'échantillon de Salisbury constitue un "dactylogramme" pour un criminaliste. On pourra tout de suite dire qu'il n'a pas été "concocté" en Russie», poursuit-il.

Léonid Rink a par ailleurs qualifié de «non-sens» l'hypothèse selon laquelle le gaz neurotoxique aurait été transporté dans une valise de Youlia Skripal. Dans ce cas-là, l'échantillon n'aurait pas pu arriver à Londres intact, a-t-il expliqué.

Les accusations d'empoisonnement de l'ex-agent double Sergueï Skripal et de sa fille Ioulia ont été portées contre Moscou par Londres une semaine avant la tenue de la présidentielle russe. La Première ministre britannique Theresa May a affirmé que Moscou était impliqué dans cette affaire, sans toutefois présenter de preuves tangibles pour appuyer ses allégations, avant d'expulser 23 diplomates russes du Royaume-Uni.

Moscou a qualifié ces accusations gratuites de «cirque» avant d'expulser à son tour 23 diplomates britanniques.

Sergueï Skripal, un ancien colonel des services de renseignement militaires russes, ainsi que sa fille ont été retrouvés inconscients le 4 mars 2018 aux abords d'un centre commercial de Salisbury, au Royaume-Uni. Ils sont toujours à l'hôpital dans un état critique. Recruté comme agent double par les services britanniques en 1995 et condamné en Russie à 13 ans de prison pour trahison, M.Skripal a obtenu l'asile au Royaume-Uni en 2010 après un échange d'agents de renseignement entre la Russie et les Etats-Unis.

Pendant ce temps, la France est complice de crimes de guerre au Yémen ?

Amnesty jette un pavé dans la mare:

Amnesty et l'ONG ACAT se sont penchées sur le caractère potentiellement illicite de la vAmnesty jette un pavé dans la mare:ente d'armes françaises à des Etats, comme l'Arabie saoudite, accusés par l'ONU de PPde graves violations du droit humanitaire au Yémen.

Les ventes d’armes par la France à l'Arabie saoudite ou aux Emirats arabes unis, membres de la coalition arabe qui bombarde le Yémen, violent-elles les traités internationaux ? C'est en tout cas ce qu'a conclu un avis juridique rendu par le cabinet d’avocats parisien Ancile, commandé par Amnesty International France et l’association l’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT), publié le 20 mars.

Les ONG, qui sous-entendent une complicité de Paris concernant les crimes de guerre perpétrés au Yémen, «appellent à un véritable débat public suite aux conclusions» de ce rapport.

L’OTAN menace la Russie

Plusieurs sites internet de l\'Otan ont été visés par une cyberattaque, le 16 mars 2014.Plusieurs sites internet de l\'Otan ont été visés par une cyberattaque, le 16 mars 2014.

Lors d’une conférence de presse conjointe, lundi 19 mars, à Bruxelles, avec le secrétaire au Foreign Office, Boris Johnson, le Secrétaire général de l'Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN), Jens Stoltenberg, a déclaré que cette instance projetait de riposter aux cyberattaques russes.

« Nous poursuivrons notre coopération avec l’Union européenne dans divers secteurs dont la cyberattaque afin de riposter aux actions de la Russie. Nous continuons également notre interaction avec nos alliés en Europe de l'Est. Cela montre l’importance de la coopération entre l’UE et l’OTAN. Nous sommes arrivés à la renforcer. C'est une partie de notre réponse à la Russie », a-t-il dit.

Vu l’inquiétude croissante des pays de l’Europe quant aux activités militaires russes dans la région, les pays de l’Europe de l’Est se sont accordés, le 6 octobre 2017, sur le renforcement de leurs coopérations en matière de défense et du développement d’échanges de renseignements concernant les vols de reconnaissance.

Pour faire face aux menaces grandissantes de l’OTAN déployée aux portes de la Russie et à l'influence des États-Unis dans la région, Moscou a commencé à renforcer sa flotte et sa puissance navale.

La tenue de manœuvres militaires conjointes, la construction de grands navires, dont beaucoup ont déjà été mis en service (corvettes, frégates, destroyers, grands navires de débarquement), et de porte-avions vont dans le cadre d’une stratégie russe visant à redresser sa marine au cœur des enjeux du XXIe siècle.

La nouvelle doctrine navale remplace celle qui était en cours depuis 2001, prenant en compte le refroidissement des relations avec l'Occident.

Depuis le rattachement de la Crimée à la Russie, les pays de l’Europe du Nord ont augmenté leur dépense militaire et renforcé leurs coopérations en matière de défense avec l’OTAN. De même, l’opération russe en Syrie et l’intoxication de l’ex-espion russe Sergeï Skripal en Grande-Bretagne ont mis le feu à la poudrière des relations entre l’Occident et la Russie, accusée d’être impliquée dans ce dossier.

Jens Stoltenberg avait déclaré en novembre 2017 que des centaines de milliers de militaires de l’Alliance seraient mis en état d’alerte du fait des relations tendues avec la Russie.

Selon le journal britannique The Times, le commandement de l’Otan prévoit de préparer des forces terrestres pour « contenir l’agression russe ».

Cela intervient alors que Moscou s’est dit inquiet à plusieurs reprises des activités de l’OTAN près de ses frontières occidentales. L’Alliance augmente sa présence à proximité de la Russie sous prétexte de protéger ses alliés.

Le porte-parole du Président russe, Dmitri Peskov, a déjà réitéré que la Russie ne présentait aucune menace pour l’Occident, mais réagirait aux actions potentiellement menaçant ses intérêts. 

L'écrivain Frédéric Pons analyse la situation en Russie après la réélection de Poutine
© Sputnik. Vladimir Astapkovich Lu dans la presse
15:12 20.03.2018(mis à jour 15:24 20.03.2018) URL courte Rossiïskaïa gazeta

Le politologue français Frédéric Pons, qui a écrit un livre consacré au président russe intitulé «Poutine», a accordé une interview au quotidien Rossiïskaïa gazeta.

Frédéric Pons, politologue, écrivain et auteur de l'ouvrage «Poutine» estime que la réélection de Vladimir Poutine est une bonne nouvelle pour la Russie et pour l'Europe, écrit Rossiïskaïa gazeta. Pour la Russie parce qu'il continuera de rétablir l'ordre dans le pays et de contribuer à son développement diversifié. Pour l'Europe parce que le continent, notamment la France, a besoin d'une Russie forte et stable — et c'est ce qu'elle est devenue avec Vladimir Poutine, selon le politologue.

La Russie montre une voie de développement alternative, une voie indépendante du diktat américain, souligne-t-il. Plus la Russie sera puissante, plus influente sera l'Europe. C'est ce que disait le général Charles de Gaulle qui était convaincu que l'avenir de l'Europe était lié à la Russie de manière indissociable, rappelle Frédéric Pons.

Maintenant que l'élection présidentielle russe est terminée, le processus de rapprochement bilatéral devrait s'accélérer, notamment pendant le forum économique de Saint-Pétersbourg auquel le président français Emmanuel Macron est attendu. D'après Frédéric Pons, il faut probablement s'attendre à la révision des sanctions et à la recherche de solutions constructives aux problèmes internationaux, notamment syrien.

Au début des années 2000, le philosophe et écrivain russe Alexandre Zinoviev déclarait que l'arrivée de Vladimir Poutine «avait sauvé la Russie au moment critique, quand elle était au bord du précipice». Frédéric Pons partage ce point de vue. Selon lui, le processus d'effondrement du pays a été stoppé avec l'arrivée de Vladimir Poutine au Kremlin. Par des mesures énergiques, il a réussi à maintenir l'intégrité du pays, a remis à leur place les oligarques et, surtout, a redonné aux Russes leur confiance en eux et en l'avenir. La baisse de la courbe démographique s'est arrêtée, la natalité s'est stabilisée puis s'est redressée. Le patriotisme est redevenu une valeur qui a consolidé le peuple en lui apportant force vitale et fierté, qualités qui avaient aidé à gagner la guerre la plus sanglante de l'histoire de l'humanité.

Poutine a également réussi à rétablir l'autorité de la Russie dans les affaires internationales, qui s'était ternie avec la chute de l'URSS. Selon l'auteur du livre «Poutine», aujourd'hui, Moscou a regagné sa place parmi les principaux acteurs mondiaux comme les USA et la Chine. La Syrie en est un parfait exemple. Et la situation autour de l'Ukraine a également montré que la Russie ne permettrait pas de porter atteinte à ses intérêts à proximité de ses frontières.

Tenir sa parole, selon M. Pons, est une qualité primordiale pour un homme politique. S'il ne le faisait pas, il pourrait connaître le sort de François Hollande, par exemple. Ce dernier n'a pas tenu sa promesse de réduire le chômage en France, après quoi il n'a même pas tenté de briguer un second mandat. Poutine est un politicien d'une autre école, considère l'écrivain. Ses paroles sont en accord avec ses actes. Les Russes ont immédiatement noté et apprécié cette particularité assez rare au sein des élites politiques occidentales. D'où la popularité de Poutine. Il convient de rappeler son article intitulé «La Russie à la charnière des millénaires» écrit en décembre 1999. Il ne contient pas seulement une analyse objective de l'état du pays à l'époque, mais également le programme de ce qui devait être fait pour renverser les tendances négatives et faire renaître la puissance de la Russie. Il suffit de parcourir ce texte d'un peu moins de 20 ans pour comprendre que la plupart des points ont été mis en œuvre. Poutine a une vision à long terme des tâches du pays, conclut Frédéric Pons.

Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur de l'article repris d'un média russe et traduit dans son intégralité en français.

Urgent:
Assange affirme que les USA se préparent pour la guerre avec l’Iran
© Sputnik. Alex McNotton

International

18:12 30.11.2017(mis à jour 22:46 30.11.2017) URL courte
6320156

Le fondateur du site WikiLeaks a expliqué ce que pourrait signifier une probable nomination de nouveaux chefs au département d’État et à l’Agence centrale de renseignement (CIA).

Les possibles projets de l'administration américaine de désigner le directeur de la CIA, Mike Pompeo, secrétaire d'État, et le sénateur du Parti républicain, Tom Cotton, directeur de la CIA, sous-entend un conflit armé que les États-Unis entameraient contre Iran, a écrit sur son compte Twitter le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange.

«Tom Cotton pourrait prendre la tête de la CIA et Pompeo celle du département d'État, relate le New York Times. De tels changements préparent une guerre avec l'Iran.»

 

YouTube ‎@YouTube

 

Tom Cotton is to take over CIA, Pompeo take over State according to NYT/Haberman+Baker. Such a move puts "ducks in a row" for war with Iran. Cotton is a prominent Iran & WikiLeaks & Russia hawk funded by neocon+Israeli linked groups https://www.nytimes.com/2017/11/30/us/politics/state-department-tillerson-pompeo-trump.html …https://www.youtube.com/watch?time_continue=416&v=Kig8j_I8i10 …

D'après Assange, «Cotton est un véritable agressif à l'égard de l'Iran, de WikiLeaks et de la Russie, il reçoit des fonds de la part de néoconservateurs et de groupes liés à Israël».

Auparavant, le New York Times, a rapporté, citant ses sources dans l’administration américaine, que le chef de cabinet de la Maison-Blanche, John Kelly, a élaboré un «plan de transition», selon lequel M.Pompeo pourrait remplacer Rex Tillerson.

D’après ce média, ces changements pourraient avoir lieu avant la fin de l’année 2017 ou au début de l’année 2018.

Russie/Israël : le pacte rompu...

Les forces \Les forces \"Wagner\" placées sous le commandement russe en Syrie. ©Jforum

Le cirque auquel s'est livré le PM israélien en pleine Conférence de Munich ne trompe personne : En Syrie, Israël vient d’être mis échec et mat. Depuis le 10 février 2018, date à laquelle un escadron de l'armée de l'air israélienne a été pris de court dans le ciel de la Syrie, perdant l'un de ses F-16, Tel-Aviv ne cesse de chercher des coupables.

Aux dernières nouvelles, l'armée de l'air israélienne vient de mettre à la porte, quatre de ses pilotes pour cause de manquement à leur devoir qui « aurait provoqué le crash ». Mais le malaise que traverse en ce moment l'état-major de l'armée israélienne est beaucoup plus profond pour être apaisé par ce genre de manœuvre propagandiste. Le document sur la stratégie militaire israélienne publié en 2015 réclamait la force aérienne du pays comme étant « le seul facteur distinctif » susceptible de peser sur les rapports de forces au Moyen-Orient.  Le texte affirmait le « caractère indispensable » pour Israël de son aviation, qualifiée par ailleurs de « garante à la fois de la sécurité territoriale et de la sécurité frontalière » face aux ennemis les plus sérieux d’Israël que sont l’Iran et le Hezbollah. 

Et dire que cette priorité a été gagnée au prix de moult combats : après la défaite israélienne de 2006 face au Hezbollah, l’armée de l'air a mis tout son poids dans la balance pour accuser le contingent terrestre d'avoir provoqué une « guerre inutile », guerre qu'Israël a lamentablement perdue. Or, le 10 février, ce dont se jouissait l'armée de l'air israélienne a soudainement disparu. Ce que reflète la presse israélienne des débats houleux qui animent en ce moment les milieux politiques et militaires en Israël n'est que la pointe de l'iceberg : voici les questions qui taraudent tous les esprits et pour lesquelles ni le QG de l’armée israélienne ni son appareil de renseignement n’ont aucune réponse :

Quelle stratégie de défense aérienne sous-tend le crash du F-16 israélien?

Si les S-200 syriens sont à l'origine du crash, qu'en sera-t-il alors des S-300 et des S-400 que Damas a déployés sur son territoire à la faveur du soutien russe?

Mais il y a une question, plus persistante encore, qui revient sans cesse dans la quasi-totalité des analyses :  Pourquoi avoir choisi à riposter aux frappes d’Israël à ce stade particulier de la guerre alors que ces frappes datent déjà du début de la guerre en 2011? La réponse relèverait d’un ensemble de raisons à la fois politiques et militaires que les chroniqueurs israéliens ne peuvent ne pas lier à la Russie ou mieux à la guerre féroce que les États-Unis mènent en ce moment contre la Russie et l’axe de la Résistance. 

Il y a d’abord ces missiles livrés par les Américains à Ahrar al-Cham qui ont servi aux terroristes pour lancer une vaste offensive le mois dernier contre la base aérienne russe à Hmeimim. L’attaque n’a pas fait de victime, mais a endommagé plusieurs avions de combat russes. Inquiets de n’avoir plus aucun contrôle sur le rythme avec lequel les milices terroristes disparaissent, les Américains ont voulu passer un message au camp d’en face : en l’absence de tout contact avec I’Iran et le Hezbollah, ils ont cherché à stopper la Russie via Ahrar al-Cham.

Il s’est ensuivi alors un second clash, le crash d’un SU-25 russe à l’est d’Idlib, provoqué par des lance-roquettes US livrés aux terroristes d’al-Nosra. Mais les Américains n’en sont pas restés là.

Le troisième événement aura été le raid particulièrement sanglant de l’aviation US contre l’armée syrienne et ses alliés russes et de la Résistance. Des dizaines de forces dites « Wagner » qui opèrent sous le commandement russe auraient péri à l’est de Deir ez-Zor. Le bilan définitif n’est toujours pas connu, mais les chiffres varient entre 5 (sources russes) et 200 (sources occidentales) morts.

À Afrin aussi, la politique américaine a cherché le face-à-face : elle consiste à contrer l’avancée de l’armée syrienne et de ses alliés et à faire en sorte que la Turquie s’y engage militairement, quitte à rendre « ingérable » la situation et à faire échec au processus d’Astana.

La Russie ne pouvait plus attendre : à une Amérique qui faisait faux bond, il fallait une réponse!

La Russie est-elle responsable du crash du F-16 israélien ?

Rien n’est moins sûr . Et pourtant les Russes y seraient pour quelque chose. Face à Israël qui écourtait sans honte les intervalles de ses raids aériens contre la Syrie, prenant invariablement pour cible bases militaires, centres de recherches ou lieux de campement, Moscou a choisi de retirer son veto : il ne s’est plus opposé à ce que l’armée syrienne active ses batteries de missiles antimissiles et ses radars puissants et à s’en servir pour chasser les avions ennemis : «  on vous suit du regard. Faites ce que bon vous semble! »

Le F-16 israélien aura été la riposte russe aux États-Unis. Cette riposte n’aurait pas non plus épargné la Turquie, autre allié des Américains, dans la mesure où les armes anti-hélicoptères russes viennent de tomber entre les mains des Kurdes, armes qui auraient vraisemblablement visé ces derniers jours un hélicoptère de combat turc, non loin des frontières avec la Syrie.

Aux dernières nouvelles, Erdogan aurait accepté que l’armée syrienne entre à Afrin pour éviter une escalade des tensions, près d’un mois après le début d’une incursion militaire qui a tout pour ressembler à un enlisement. Le triple coup anti-russe des USA a-t-il servi à Israël ? Vu le détachement américain vis-à-vis de son allié la réponse est mille fois « non » …

Macron et son invité Hashim Thaçi, “parrain de la pègre” kosovare et trafiquant d’organes présumé

Mercredi dernier, le Président Kosovar Hashim Thaçi annonçait fièrement sur Twitter sa rencontre avec le Président Macron :

Nous sommes donc heureux de constater l’osmose entre Macron et le président kosovar, “le plus dangereux des parrains de la pègre” kosovare et trafiquants d’organe présumé selon un rapport de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (rapport consultable en français ici [cliquez sur l’exposé des motifs en bas] ou ici [et en pdf ]) :

Nous vous renvoyons pour en savoir plus sur ces deux billets :

Le Président du Kosovo Hashim Thaçi responsable d’un trafic d’organes, selon le Conseil de l’Europe

Dick Marty sur le trafic d’organes au Kosovo : « Qui sera assez fou pour témoigner ? »

 

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Commentaires
Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
  • La Laosophie est une philosophie de l'existence, très ancienne puisque nous l'avons fait remonter aux sources mêmes du début de la Philosophie Grecque, soit au VIIème siècle avant notre ère par l'intermédiaire de la première femme philosophe, SAPPHO.
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