WWIII : Les Djihadistes Français formés dans nos Mosquées Laïques qui respectent le Coran et le Salafisme, ne peuvent plus aller à Damas dans la Ghouta Orientale, par le couloir humanitaire pour renforcer les 15000 frères qui se battent à renverser Bachar Al Assad.
Le Plan Secret de Macron au Liban avec l'Arabie Saoudite, pour tenter de tirer Michel Aoun de son alliance avec le Hezbollah, va-il réussir (fin de page)...
Pour Moscou: l’Occident cherche à épargner al-Nosra pour l’instrumentaliser dans sa politique de conquête de la Syrie et/ou d'intervention directe, puisque des camions de chlore Turc sont entré dans la Ghouta, ce qui est un dépassement de ligne rouge pour Macron, et que le couloir humanitaire ne sert pas, du fait que les terroristes à Fabius, qui font du bon Boulot, ne laissent personne sortir. La Justice Française doit-elle arrêter Fabius pour implication de meurtres par centaines de milliers, dans ses œuvres au Moyen Orient?
Depuis 4 heures 6 mars 2018
Moscou dispose de preuves confirmant le fait que plusieurs membres de la coalition internationale dirigée par les États-Unis cherchent à ménager le Front al-Nosra, branche syrienne d’Al-Qaïda qui a changé de nom à plusieurs reprises, a déclaré le chef de la diplomatie russe.
«Nos partenaires occidentaux, et avant tout les États-Unis, souhaiteraient (…) soustraire al-Nosra aux frappes et le ménager en cas de recours de plus en plus flagrant au plan B, consistant à vouloir renverser le régime de Damas», a indiqué Sergueï Lavrov lors d’une visite en Namibie dans le cadre de sa tournée africaine.
Lavrov a par le passé plusieurs fois rappelé que le Front al-Nosra, rebaptisé en Front Fateh al Cham, tout comme Daech, avait été reconnu par l’Onu en tant qu’organisation terroriste.
Selon les services de renseignement russe, avec 15.000 combattants, le groupe takfiriste Front al-Nosra reste l’un des principaux piliers du terrorisme en Syrie.
Source: Avec Sputnik
Notre ex-Président Sarkozy, lors d'une conférence internationale à Abou Dabi, financée par Fondation Carnegie pour la paix internationale, qui lui a remis un chèque de 3 millions de dollar, viré dans son compte offshore des Bahamas de la Banque à Macron, que la Justice n'a toujours pas élucidé, où étaient abordés les grands sujets mondiaux actuels, l'ex-président français aurait affirmé que la Russie était un acteur incontournable et qu'il était inenvisageable de ne pas dialoguer avec elle. Il avait bien appris la leçon que Poutine lui avait faite en juin 2007, alors à peine élu Président. Foutu pour foutu, Nicolas Sarkozy fait du fric, en divulguant à l'étranger les secrets de la France, et les USA du Deep State, ne désespèrent pas, qu'il pourra se venger de sa mésaventure et de son humiliation, avec le Président Poutine, pour l'attirer dans une salle de rencontres, afin de resserrer des liens internationaux pour la Paix, et pourquoi pas à saint Pétersbourg, là où il est possible d'y voir les spectres des Tsars.
Hôte de la conférence internationale «Abu Dhabi Ideas Weekend», conférence internationale organisée le 3 mars aux Emirats arabes unis et dont l'objectif affiché était de discuter des problématiques qui «balayent le globe», Nicolas Sarkozy aurait prôné, devant quelque 150 personnes, un renforcement du dialogue entre Occident et Russie.
Selon le site BuzzFeed, qui rapporte s'être procuré un enregistrement audio de l'ensemble de la conférence, l'ancien chef d'Etat français, alors qu'il était interrogé sur Vladimir Poutine, a déclaré : «La Russie est le pays qui a la plus grande superficie du monde. Qui peut dire qu'on ne doit pas parler avec eux ? C'est fou comme idée ! On a besoin de la Russie. On doit parler à Poutine, il faut lui parler surtout si on est pas d'accord.»
Nicolas Sarkozy aurait ajouté que la Russie était «un partenaire important dans le monde d'aujourd'hui», en particulier pour l'Europe – alors que les relations russo-européennes souffrent, notamment, du maintien des sanctions économiques contre Moscou liées à la crise ukrainienne.
Y a-t-il un risque que la Russie envahisse un autre pays ? Je ne crois pas, j'en suis sûr.
Affirmant que le président russe «respect[ait] la force» tout en étant pour autant «prévisible», l'ancien président français a insisté sur la nécessité de discuter avec lui, malgré l'existence de désaccords. «C'est impossible de faire sans [les Russes]», a-t-il synthétisé, balayant également les accusations, régulièrement portées en Occident, sur le caractère supposément belliqueux ou menaçant de la Russie : «Y a-t-il un risque que la Russie envahisse un autre pays ? Je ne crois pas.»
On rappelle les faits de 2007 :
Les scuds de Vladimir Poutine qui ont mis Sarkozy K.O. (et fait croire à tout le monde qu'il était ivre)
Dans un documentaire diffusé ce jeudi, France2 revient sur les coulisses ubuesques de la rencontre entre les deux chefs d'Etat.
POLITIQUE - L'épisode avait fait sourire le monde entier. Ses coulisses n'ont rien d'amusant. En juin 2007, à peine élu président de la République, Nicolas Sarkozy rencontre pour la première fois son homologue russe Vladimir Poutine au sommet du G8 à Heiligendamm (Allemagne). Après un entretien à huis-clos, le président français revient devant la presse visiblement essoufflé et cherchant ses mots. La presse belge imagine alors que le chef de l'Etat a un peu trop trinqué à la vodka avec le maître du Kremlin. Torrent de moqueries et succès assuré sur les réseaux sociaux.
Les premiers articles de presse émettent des doutes. Nicolas Sarkozy est réputé pour sa sobriété et il a manifestement encore toute sa tête quand il répond aux journalistes. Bien des années plus tard, le journaliste Nicolas Hénin, auteur du livre "La France russe", offre une toute autre lecture de l'événement. Selon lui, Nicolas Sarkozy n'aurait pas été enivré (Vladimir Poutine boit lui-même très peu) mais mis "K.O debout" par les menaces de son homologue, qui lui reproche alors de parler trop ouvertement des dérives autoritaires de la Russie. "Tu continues à parler sur ce ton, et je t'écrase", lui aurait notamment asséné le président russe.
C'est sur cet épisode que revient le documentaire "Le Mystère Poutine" diffusé ce jeudi 15 décembre sur France2. Interrogé, le journaliste Nicolas Hénin livre un verbatim inédit et particulièrement saignant de la rencontre. Des propos et des faits évidemment rapportés, aucune source objective n'ayant participé à cet entretien.
Selon les sources du journaliste, le discours de Vladimir Poutine aurait été "ponctué d'insultes, de propos humiliants de façon à vraiment imposer sa volonté à Nicolas Sarkozy" qui "va être juste éberlué".
Par la suite, Nicolas Sarkozy ménagera toujours ses relations avec Moscou, s'imposant comme un conciliateur au moment de la crise géorgienne. Pendant sa campagne malheureuse pour la primaire de la droite, l'ancien président plaidait, comme François Fillon, pour que la France mette un terme aux sanctions internationales visant la Russie suite à son annexion de la Crimée et pour un rapprochement avec Moscou, soutien militaire du dictateur sanguinaire syrien Bachar al-Assad, afin d'annihiler l'Etat islamique.
Ghouta orientale : Moscou propose aux miliciens de sortir…l’armée œuvre pour séparer son nord de son sud
Depuis 16 minutes 6 mars 2018
Le couloir humanitaire Wafidine
La Russie a proposé aux miliciens de la Ghouta orientale d’évacuer cette région située à l’est de Damas en sécurité ainsi que les membres de leur famille.
Selon l’agence Reuters, l’armée russe est disposée à offrir un déplacement et un couloir sécurisés à quiconque accepte cette proposition ainsi qu’une immunité juridique.
« Les combattants peuvent sortir ainsi que les membres de leur famille avec leurs armes personnelles », précise le communiqué de l’armée russe.
En réaction, la milice Faylak al-Rahmane a accusé la Russie de vouloir contraindre les habitants à quitter malgré eux la Ghouta orientale.
Niant d’avoir entrepris des contacts avec la Russie, son porte-parole Wael Alwane a dit pour la Reuters que « la Russie insiste sur l’escalade militaire et impose l’immigration forcée ».
Pour sa part, l’armée russe a révélé que les miliciens s’étaient engagés à laisser les civils quitter la Ghouta en échange de l’entrée de l’aide humanitaire. Lundi après-midi, 46 camions d’aides ont été introduits dans la ville de Douma et les Nations unis comptent envoyer un deuxième convoi le jeudi prochain.
Séparer le nord du sud
Sur le terrain, la dernière évolution indiquée par Média de guerre, l’armée syrienne a conquis plusieurs fermes situées à l’est de la localité de Rayhane. Lundi soir, elle avait conquis la localité de Mahmadiyat. (Voir carte)
Analysant la tactique militaire de l’armée syrienne dans la Ghouta orientale, le général libanais à la retraite Charles Abi Nader a indiqué que l’avancée de l’armée reflète une volonté destinée à séparer son nord de son sud.
Le but étant comme il l’explique pour le site libanais d’information en ligne al-Ahed News de couper les liens entre Jaïsh al-Islam d’une part et toutes les autres milices, en l’occurrence front Tahrir al-Cham, Faylak Al-Rahmane et Ahrar al-Cham.
M. Abi Nader constate que la bataille se poursuit au moment même où les couloirs humanitaires sont entièrement ouverts pour permettre aux
Le couloir humanitaire Wafidine
civils de sortir. Mais le 8ème jour consécutif, ils sont restés désertiques. Seulement 2 enfants sont parvenus à les emprunter et à rejoindre le barrage de l’armée, alors que leurs parents ont été abattus sur le chemin.
Dans la capitale, le bombardement se poursuit. Ce mardi, 4 civils syriens sont tombés en martyrs et 13 autres ont été blessés à Jaramana, banlieue de Damas, par des tirs d’obus en provenance de la Ghouta.
Le plan secret franco-saoudien pour éloigner le président Aoun du Hezbollah
Depuis 9 heures 6 mars 2018
Wafiq Ebrahim, spécialiste libanais des questions stratégiques, dresse un tableau du climat politique au Liban avant les élections législatives. Il affirme que l’Arabie saoudite tente d’écarter Michel Aoun d’une alliance avec le Hezbollah.
L’Arabie tente de tirer Michel Aoun de son alliance avec le Hezbollah
Interrogé sur les hypothèses concernant les tentatives de Riyad de séduire le président libanais Michel Aoun via Saad Hariri, Wafiq Ebrahim a indiqué: « C’est vrai parce que l’Arabie saoudite, dépitée par ses défaites en Syrie, en Irak, au Yémen et son impuissance au Liban, tente de rallier le maximum de partis aux législatives afin de vaincre le Hezbollah et ses alliés et ainsi entraver leurs efforts de lutte contre les groupes terroristes dans la région. »
Plan Arabie-France-USA pour le Liban
Alors que l’Arabie saoudite avait été accusée d’avoir forcé Saad Hariri à la démission depuis Riyad en novembre 2017, le Premier ministre libanais s’est rendu de nouveau en Arabie saoudite.
Quatre mois plus tard, celui qui est finalement resté à son poste, a retourné à Riyad pour sans doute persuader les Saoudiens qu’il est toujours le Premier ministre du Liban.
Dans cet imbroglio géopolitique, les Saoudiens avaient bien programmé de maintenir Saad Hariri au poste de Premier ministre, d’écarter Nabih Berri de la présidence du Parlement et d’aborder les armes du Hezbollah lors des réunions parlementaires comme étant illégitimes.
Les désaccords entre Aoun et Berri persistent et le Hezbollah a empêché leur aggravation
Au sujet des différends entre le président Michel Aoun et le président du Parlement libanais Nabih Berri, et le rôle de réconciliateur du Hezbollah, il a précisé que le Hezbollah avait réussi à stopper la progression de leurs désaccords.
Le but du Hezbollah est de résoudre ces différends dans l’intérêt du Liban et il lui importe peu d’obtenir des sièges au Parlement. Michel Aoun a lui-même insisté sur le fait que les armes du Hezbollah servaient à lutter contre ‘Israël’ et le terrorisme.
La France pousse les Maronites à s’allier avec Saad Hariri
Sur l’éventualité du rapprochement du parti de Michel Aoun à celui de Saad Hariri aux élections législatives, il a déclaré: «Nous ne devons pas oublier que les relations de Michel Aoun avec le Hezbollah sont bonnes. À vrai dire, le parti de Michel Aoun est un parti pragmatique qui agit dans son propre intérêt. Donc, s’ils voient que le Hezbollah fonctionne dans le sens de ses intérêts, ils seront ravis de poursuivre leur alliance. N’oublions pas non plus que la France fait pression pour les Maronites du Liban… Aujourd’hui, le président français Emmanuel Macron se sert du Liban pour jouer un rôle au Moyen-Orient, d’où sa bonne entente avec le Courant patriotique libre, le parti de Michel Aoun. »
De son côté le porte-parole des brigades Hezbollah d’Irak, a accusé les Etats-Unis de vouloir créer des groupes terroristes pour justifier leur présence en Irak.
« Les forces américaines œuvrent pour imposer leur présence en Irak au gouvernement », a dit le porte-parole de ce groupe, Mohamad Mohyi, dans une interview avec la télévision satellitaire libanaise Al-Mayadeen.
La formation à laquelle il appartient fait partie des groupes qui ont rejoint la force populaire du Hachd al-Chaabi dans la lutte contre Daech en 2014. Elle avait auparavant effectué des centaines d’opérations de résistance contre les militaires américains.
Selon lui, il ne faut pas garder le silence quant à la présence des forces étrangères au pays, mais les affronter.
« Le gouvernement devrait répondre au sérieux la mise en exécution de l’agenda de sortie des forces étrangères », a-t-il insisté, rappelant la décision prise au sein du Parlement irakien dans ce sens.
Le gouvernement « devrait respecter la volonté du peuple et non la rendre inopérante dans des atermoiements », a ajouté M. Mohyi.
« La décision du Parlement irakien atteste de la volonté du peuple de résister à toute force étrangère … L’administration américaine insiste pour garder ses forces en Irak et pour se détourner de cette résolution », estime-t-il.
Hariri : Si le Hezbollah ne veut pas changer, je démissionne
Liban
"Ce qui s'est passé en Arabie saoudite, je le garde pour moi", a déclaré le Premier ministre lors d'un entretien à CNews.
Le Premier ministre libanais, Saad Hariri, a affirmé lundi qu'il démissionnerait si le Hezbollah ne veut pas changer, dénonçant à nouveau les ingérences du parti chiite, soutenu par l'Iran, dans les affaires intérieures des pays arabes.
"Choc positif"
Si l'Iran et le Hezbollah acceptent le nouvel équilibre qu'il propose, "bien sûr" il restera en fonction, a assuré M. Hariri lors d'une interview télévisée accordée à la chaîne française d'information en continu CNews à la Maison du centre, sa résidence privée, et diffusée dans la soirée. S'ils refusent, "oui" il partira, a-t-il ajouté.
Il s'agit du premier entretien télévisé du chef du gouvernement libanais depuis son retour au Liban et l'annonce, à la demande du président Michel Aoun, du gel de sa démission qu'il avait annoncée le 4 novembre dernier depuis Riyad. Saad Hariri avait alors accusé l'Iran et le Hezbollah de mainmise sur le Liban.
"J'aimerais rester Premier ministre", a déclaré M. Hariri, ajoutant que l'annonce de sa démission avait été un "choc positif". "C'était une manière de dire aux Libanais qu'il y avait un très grand problème", a-t-il justifié lors de cet entretien conduit par le journaliste français Jean-Pierre Elkabbach.
(Retrouvez l'intégralité de l'interview ici)
"Je veux rester"
"Là, on est en train de faire le dialogue, mais moi je voudrais rester", a dit Saad Hariri, souhaitant une issue positive aux concertations en cours. "Je voudrais que la stabilité du Liban soit la première chose pour tout le monde".
Prié de dire s'il resterait au pouvoir dans l'hypothèse où l'Iran et le Hezbollah entravaient les concertations, Saad Hariri a répondu par la négative. Mais "je crois que le Hezbollah est en train de faire un dialogue positif", a-t-il relevé. "Ils savent. On doit être neutre dans la région", a-t-il insisté.
"Le Liban a besoin de quelqu'un qui rassemble. Et lors de cette année où j'étais Premier ministre, j'ai rassemblé les Libanais", a ajouté le chef du gouvernement. "Ce qui s'est passé, et comment les Libanais se sont réunis autour de moi, montre peut-être que je suis le symbole de la stabilité. J'estime qu'il est de mon devoir de faire régner cette stabilité au Liban".
(Lire aussi : Le Hezbollah se retirerait vers Qoussair « pour faciliter la tâche à Aoun »)
"Je le garde pour moi"
"J'attends la neutralité sur laquelle nous nous sommes mis d'accord au sein du gouvernement (...) On ne peut dire quelque chose et faire quelque chose d'autre". L'équilibre gouvernemental, a-t-il précisé, pourra être modifié en fonction des résultats des concertations.
Dans la journée, le chef de l'Etat avait convié les principaux dirigeants politiques du pays à des concertations portant sur les moyens d'appliquer la politique dite de "distanciation" par rapport aux conflits régionaux. Les discussions, qualifiées de "positives" par la présidence de la République, doivent se poursuivre après le retour vendredi du chef de l'Etat d'Italie où il effectuera une visite officielle de deux jours.
Des résultats de cette concertation dépendra le sort de la démission provisoirement gelée par le chef du gouvernement. Mais les chances d'une relance de l'exécutif, sans modification de la déclaration ministérielle, sont plausibles, affirme-t-on dans les milieux politiques.
Par ailleurs, le Premier ministre est revenu sur son séjour en Arabie saoudite au cours duquel des rumeurs persistantes autour de sa liberté de mouvement avaient progressivement émergé. "Ce qui s'est passé en Arabie saoudite, je le garde pour moi", a-t-il déclaré, en réponse aux questions insistantes du journaliste, tout en niant avoir été forcé à démissionner. M. Hariri a ajouté que le prince héritier saoudien Mohammad Ben Salmane (MBS) était un "grand réconciliateur".
M. Hariri avait quitté l'Arabie saoudite pour la France sur invitation du président français, Emmanuel Macron, qui avait fait un saut imprévu à Riyad, alors qu'il se trouvait aux Emirats arabes unis, pour s'entretenir avec "MBS" et tenter de débloquer la crise.
Par ailleurs, M. Hariri s'est dit ouvert à des élections législatives anticipées. "J'aimerais bien. Pourquoi pas?" a-t-il dit. "Je n'ai pas de problème avec des élections anticipées". Le scrutin est prévu en mai 2018.
Source: Avec PressTV
Article 45: Nous soutenons fermement le JCPOA (Traité sur le nucléaire iranien) et appelons toutes les parties prenantes à s’acquitter de l’intégralité de leurs obligations et à assurer l’application totale et efficace du JCPOA pour promouvoir la paix et la stabilité régionale. (vision totalement opposée à la vision israélo-US mais encore soutenue jusqu’à présent par l’UE).
Les pays BRICS et OCS ont bien conscience que la «coalition occidentale» sous leadership US tentera par tous les moyens d’empêcher la réalisation de leur projet et qu’une confrontation armée n’est pas à exclure. Ils préparent d’ailleurs leurs forces armées et multiplient les grandes manœuvres bilatérales (une dizaines de grands exercices navals ou terrestres impliquant les pays de l’OCS en 2017). Les budgets de défense BRICS et OCS sont dans une période de croissance forte et continue (entre 7% et 10% par an pour l’Inde et la Chine). La croissance économique pour les uns, l’effort de défense pour la Russie rendent possibles et expliquent ces fortes hausses. Les BRICS multiplient également les démonstration de Forces pour dissuader l’occident de tenter une option militaire. Voir ci après en vidéo :
La Chine, la Russie et l’Inde ont respectivement les 2ème, 3ème et 4ème budget de défense au monde en 2018. Ces trois états distancent très largement leurs rivaux immédiats (GB, Allemagne, Japon, Arabie Saoudite et France) surtout si l’on considère ces budgets de défense en
«Parité de Pouvoir d’achat»……
Enfin, il faut prendre conscience que ces deux ensembles, BRICS et OCS, ont vocation à s’élargir et que les candidats ne manquent pas.
Pour l’OCS, les prochaines admissions pourraient bien être celle de l’Iran, candidat et membre observateur de l’OCS depuis 12 ans, et celle de la Turquie, partenaire de discussion de l’OCS depuis 6 ans et membre de l’OTAN depuis 65 ans… Les dirigeants turcs, soutenus par leur opinion publique, se sentent de plus en plus mal à l’aise dans le camp occidental ……
Pour les BRICS, une admission du Mexique dont le président était invité au sommet de Xiamen en Septembre dernier et qui vient d’annuler une visite officielle aux USA, prévue de longue date, après une communication téléphonique orageuse avec Trump (à propos du mur), constituerait un coup de tonnerre dans le camp occidental. Une admission de l’Égypte, dont le président était lui aussi, présent à Xiamen, et qui prend peu à peu ses distances avec la coalition occidentale, n’est pas à exclure à moyen terme, peut être dans une nouvelle formule baptisée BRICS + .
09/05/c_136583711.htm ), sous la houlette de la Chine, de la Russie et de l’Inde sont en voie de réalisation dans un délai qui n’est plus très lointain.
*
L’état des lieux de la coalition occidentale en ce début 2018 est beaucoup moins réjouissant. Sur le plan économique, cinq séries de données méritent une attention particulière.
1 – Une croissance dont on peut dire qu’elle est de trois fois inférieure à celle des pays BRICS: de 2 à 2,3% contre 6,8% à 6,9%. L’image à garder en mémoire est celle d’une voiture «occidentale» roulant à 50 à l’heure alors que la voiture BRICS roule à 150 à l’heure sur l’autoroute de la croissance……..et les prévisions du FMI pour les années à venir (2019 et 2020) ne prévoient pas de réduction significative de ce différentiel de croissance …..
2 – Une dette abyssale, incontrôlée et incontrôlable, qui ne sera plus très longtemps supportable (compte tenu de la faible croissance) et qui va peser de plus en plus sur la crédibilité du dollar et, au-delà, sur la crédibilité de la gouvernance économique mondiale, des agences de notation (occidentales) et du système de Bretton Woods conçu par les occidentaux pour les occidentaux.
Je laisse à chacun le soin de découvrir le montant de la dette US et surtout son évolution sur le site: http://www.usdebtclock.org/ dont les données sont fiables.
A près de 21.000 milliards de dollars, la dette US devance celle de l’UE (16.000 milliards de dollars) et celle du Japon à près de 10.000 milliards de dollars. Elle augmente d’un trilliard par an soit 3 milliards de dollars par jour……
Je laisse aussi à chacun la possibilité de constater le fait que les pays BRICS ont des endettements publics dont le total est dix fois moins élevé que l’endettement occidental pour une croissance globalement trois fois plus forte…….. : http://www.usdebtclock.org/world-debt- clock.html
La dette publique US se répartit schématiquement en 3 tiers. Un tiers est détenu par l’administration américaine (Federal Reserve) qui s’emprunte à elle-même en faisant tourner la planche à billet. Un second tiers est détenu par les fonds de pensions et les citoyens américains. Seul le troisième tiers (6 310 milliards sur 20 500 milliards au 31/12/2017) est détenu par des créanciers étrangers.
Sur ces 6 310 milliards: la Chine + Hong Kong en détiennent 1 380, le Brésil 250, l’Inde 145 et la Russie 102. Les BRICS détiennent donc, au total, 1 877 milliards de dollars de créances américaines soit 30 % du total aux mains des créanciers étrangers et 9% de la totalité de la dette US. http://ticdata.treasury.gov/Publish/mfh.txt
Chacun peut imaginer le levier (pour ne pas dire l’arme) que constitue ces 1877 milliards de dollars de créance. Une remise brutale sur le marché d’une partie significative de ces bonds du trésor US pourrait provoquer un choc boursier considérable et un effondrement du dollar, de l’économie US, et un chaos mondial (ce qui, à ce jour, n’est souhaité par personne).
3 – La nouvelle politique économique de Trump est simple, mais constitue un pari extrêmement risqué:
– réduire les taxes des entreprises et des particuliers pour relancer la croissance: donc réduire les rentrées fiscales,
– augmenter les dépenses d’investissements (infrastructure nationale, mur frontalier avec le
Mexique, budget de défense……).
Chacun peut comprendre qu’une telle politique va se traduire par l’explosion du déficit budgétaire et donc d’une dette déjà astronomique et entraînera inévitablement une baisse de la confiance dans la solvabilité des USA et dans un dollar qui ne s’appuie aujourd’hui que sur un Himalaya de dettes.
Les «Shutdown» budgétaires qui affectent les administrations US successives se répètent à un rythme qui va en s’accélérant. Ces faits ne sont pas non plus de nature à renforcer la confiance dans le dollar……
Par ailleurs, il est peu probable que les pays BRICS-OCS acceptent encore longtemps de financer l’effort de défense US, via la dette, sachant que cet effort est ouvertement dirigé contre eux.
La Chine et la Russie ont été clairement nommée en tête des principales menaces dans la dernière «Stratégie de Défense Nationale» US de Janvier 2018.
4 – La remise en cause des grands traités internationaux par l’administration Trump n’est pas bonne pour la cohésion du clan occidental. Le retrait du partenariat Transpacifique qui regroupait douze pays représentant 40 % de l’économie mondiale ouvre de nouvelles opportunités aux BRICS. La remise en cause de l’ALENA indispose autant le Canada que le Mexique. Le projet de Partenariat Transatlantique entre les USA et l’UE est au point mort.
Le retrait US de l’accord sur le climat et de l’UNESCO, la menace de retrait de l’accord sur le nucléaire iranien, et la reconnaissance unilatérale de Jérusalem comme capitale d’Israël, quasi unanimement condamnée à l’ONU, font perdre aux USA toute légitimité à exercer un leadership mondial et contribuent à leur isolement.
5 – La politique de sanctions économiques unilatérales et tous azimuts (Russie, Iran, Corée du Nord, Chine, Syrie…..) condamnée par les BRICS-OCS et menée par la coalition occidentale, mais surtout par les États-Unis, «maîtres du monde», qui ignorent superbement l’ONU et tordent les bras de leurs propres alliés ( https://youtu.be/BGJrkmLIWB8 ), sont de plus en plus contre- productives en contribuant à la division du camp occidental et à la cohésion des blocs BRICS- OCS.
Une guerre économique entre les USA et l’UE serait dommageable pour les deux parties et, dans tous les cas, n’affectera pas sensiblement les BRICS ……
Sur le plan économique, la situation occidentale déjà peu reluisante est aggravée par les divisions qui se développent au sein de l’Union européenne, avec le BREXIT bien sûr, mais aussi avec les divergences qui opposent l’est et l’ouest de l’UE sur la politique migratoire, sur les sanctions anti-russes et surtout sur leurs conséquences économiques.
Des divisions profondes se sont également développées au sein de chacun des états de l’UE sur les solutions à appliquer face à la crise migratoire. Les chefs d’états des grands pays de l’UE (France, Royaume Uni et Allemagne) doivent composer avec leurs opinions publiques. Tous plutôt mal élus, ils ne représentent plus vraiment les aspirations majoritaires de leurs peuples et doivent, pour les deux derniers gouverner avec des coalitions parlementaires fragiles.
Sur le plan militaire, l’OTAN a perdu de sa superbe avec le désarmement massif qui a suivi la chute du mur de Berlin. La forte réduction des budgets de défense affectant les pays de l’UE conjuguée aux ingérences US tous azimuts coûteuses dans les affaires du monde ne permettent plus un renouvellement et un maintien en condition satisfaisant des matériels. Ces matériels ont vieilli et ont une disponibilité technique opérationnelle très insuffisante dénoncée par plusieurs chefs d’état major ou rapports parlementaires dans différents pays de l’OTAN.
Dans toutes les armées de l’OTAN, le taux de sélection et de fidélisation des personnels est faible et leur turn-over est beaucoup trop élevé. Leur sous entraînement et le faible niveau de leur moral ont également été dénoncés dans différents rapports ou auditions de chefs militaires éminents.
Au delà des rodomontades politiques et médiatiques, force est de reconnaître que la défense des pays de l’OTAN n’a jamais été aussi fragile, depuis sa création, face aux principaux adversaires potentiels désignés. (Chine et Russie)
***
Il semble encore prématuré de tirer des faits présentés ci-dessus une conclusion générale et définitive sur l’évolution du bras de fer qui oppose les blocs OCS-BRICS à la coalition occidentale et à l’OTAN.
La victoire dans ce bras de fer ne sera probablement pas le fruit d’un affrontement militaire qui serait catastrophique pour l’état qui en prendrait l’initiative. Elle sera plus probablement, comme pour la guerre froide, le fruit de l’effondrement économique, plus ou moins brutal, d’un système à bout de souffle qui ne peut pas tenir dans la durée. Un tel effondrement peut désormais survenir à tout moment. De nombreux économistes le prédisent aujourd’hui.
Les perspectives à très court terme (deux à trois ans), ne sont assurément pas favorables au clan occidental. Ce camp, qui est le notre, aura-t-il les capacités économiques et la forte volonté politique nécessaires pour conserver durablement son rôle dominant dans les affaires du monde ? Les opinions publiques occidentales sont elles prêtes à accepter les remises en cause inévitables de leurs «acquits» et à faire les sacrifices consentis par le camp d’en face pour pouvoir rivaliser avec lui ?
A chacun de répondre à cette intéressante question. Pour moi, la messe est dite.
Coalition occidentale = USA + Israël + UE + Canada + Japon + Australie + Qques fans ……..
BRICS = Brésil + Russie + Chine + Inde + Afrique du Sud (+ nombreux fans)
OCS = Organisation de Coopération de Shangaï = Russie + Chine + Inde + Pakistan + Kazakhstan + Kirghizistan + Tadjiikistan + Ouzbékistan (+ nombreux fans)
Document-choc : un journaliste israélien filme l’appel au djihad dans une mosquée parisienne
05 Mar 2018Christine TasinA ne pas manquer, Conflit de civilisation, Djihad, Islam, Les Résistants
C’est une véritable bombe… La preuve par neuf. Cela se passe dans la mosquée Omar, rue Jean-Pierre Timbaud…
« Allah ! hisse l’étendard du djihad ! »
On entend clairement cette phrase en arabe, précédée de :
« Et il n’y a de puissance que dans les tirs
Dieu, renforce l’islam et les musulmans
Donne à qui soutient la religion la victoire et abats les idolâtres
Et extermine les ennemis de la religion
Continue à soutenir tous nos frères moudjahidines «
Ce qui précède interdit complètement que l’on nous prenne pour des imbéciles en affirmant que le djihad serait intérieur et une quête individuelle…
C’est un des épisodes du fameux documentaire tiré de l’infiltration du journaliste israélien Zvi Yehezkeli, déguisé en cheikh arabe apportant de l’argent, dans les milieux musulmans français et étrangers.
Nous vous avions présenté son Djihad silencieux en trois articles :
http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/12/samy-debah-fondateur-du-ccif-jai-recu-beaucoup-dargent-du-qatar-et-des-freres-musulmans/
http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/15/le-djihad-silencieux-lislam-fera-son-retour-et-nous-controlerons-leurope-et-loccident/
http://resistancerepublicaine.eu/2018/02/08/le-djihad-silencieux-annonce-la-guerre-civile-et-montre-comment-le-halal-finance-le-terrorisme/
Je regrettais qu’un document de cette importance ne soit pas visible en France, c’est pourquoi j’ai demandé à Philippe Grimberg s’il pouvait en faire la traduction., ce qu’il a fait, je ne sais comment nous pourrons jamais l’en remercier.
Le sujet du reportage ? De la dynamite ; le reportage ? De la dynamite. Avec, entre autres, cet enregistrement fait dans la mosquée Omar, rue Jean-Pierre Timbaud.
C’est cet enregistrement qui clôt la première partie du reportage, 43 minutes hallucinantes sur les Frères musulmans, les librairies vendant en plein Paris les discours de Qaradawi dont la diffusion est interdite en France, les écoles musulmanes subventionnées par l’Etat français… et des révélations savoureuses, si on ose l’adjectif, sur les Frères musulmans et ce qu’ils ont fait de la France.
Quant à cet appel au djihad dûment enregistré, comment se fait-il que ce soit un journaliste israélien qui l’ait fait et qui le diffuse ?
On ne me fera jamais croire que les RG et ceux qui les ont remplacés ne seraient pas capables de faire la même chose que Zvi Yehezkeli et d’infiltrer la mosquée. Jamais. Il est sûr et certain qu’il existe d’autres enregistrements, qu’ils ont été transmis aux différents Ministres de l’Intérieur à de multiples reprises…
Et la mosquée Omar est toujours ouverte. Et les musulmans s’y pressent, nombreux, chaque vendredi.
Comme le CCIF est toujours admis comme association anti-raciste officielle alors que son fondateur a clairement admis dans le reportage de nos amis israéliens qu’il avait reçu de l’argent du Qatar et des Frères musulmans pour faire son sale boulot, islamiser la France.
Que fait Collomb ?
Je vous incite à lui poser la question, poliment et courtoisement :
https://www.interieur.gouv.fr/Contact/Ecrire-au-ministre-de-l-Interieur
Je vous invite également à interpeller les différents medias et journalistes, les différents députés, il faut que la question soit posée au gouvernement, insistez lourdement auprès des députés patriotes, bien entendu, ce sont sans doute les seuls à oser mettre les pieds dans le plat :
http://www2.assemblee-nationale.fr/deputes/liste/alphabetique