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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
3 mars 2018

WWIII : L'EGLISE ANTIQUE DE SAINTE MARIE-MADELEINE A SAINT-BAUZILLE DE MONTMEL, PIC SAINT LEON LE GRAND...

Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. (ce Blog non professionnel, ne fait pas appel à la publicité ni à des subventions pour exister , il est gratuit et tenu par des bénévoles).

St-Bauzille-sauvegarde

WWIII : L'EGLISE ANTIQUE DE SAINTE MARIE-MADELEINE A SAINT-BAUZILLE DE MONTMEL, PIC SAINT LEON LE GRAND, est administrée par le second diplomate Russe en France, en attendant la visite du Président Vladimir Poutine le 21 Juillet si tout se passe bien dans le Monde d'ici là.

Publié le 3 mars 2018 par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : L'ÉGLISE ANTIQUE DE SAINTE MARIE-MADELEINE A SAINT-BAUZILLE DE MONTMEL, PIC SAINT LÉON LE GRAND, est administrée par le second diplomate Russe en France, en attendant la visite du Président Vladimir Poutine le 21 Juillet si tout se passe bien dans le Monde d'ici là. Un grand Merci à lui, que Dieu le protège. (voir :WWIII : Un minuscule voyage pour la Paix semble désuet et représente le peu de réaction de la population civile déjà soumise, quant aux politiques ils sont tous arque-boutés sur la préservation de leurs prérogatives.) 
 
Le second diplomate en France de l'Ambassade de Russie, administre l'Association de Sauvegarde de l'Eglise Antique de Sainte Marie-Madeleine, à Saint Bauzille de Montmel, ici Artem Studennikov et sa femme (Ministre Conseiller de l'Ambassade de la Fédération de Russie) - Dîner de gala de la Fondation Avec au Château de Versailles le 5 février 2018. La Fondation Avec est une fondation reconnue d'utilité publique, créée en 1997 par le professeur David Khayat, elle œuvre dans le domaine de la lutte contre le cancer. © Julio Piatti / Bestimage
 
Vous vous êtes intéressés également à l'Eglise Antique du premier Siècle  de Saint Bauzille de Montmel au Pic Saint Léon le Grand, Eglise de Jésus-Christ et de l'Apôtre des Apôtres Marie-Madeleine ou Marie de Magdala,  qui y a habité de l'an 30 à l'an 50, Femme du Christ selon les documents originaux que nous avons recueilli sur ce site, Eglise bénie en 420 par le Pape Léon le Grand, site habité par les Wisigoths qui ont géré la Cathédrale Antique de Maguelone (qui vient de Magdala) à côté de Villeneuve-lès-Maguelone, Pic habité par un couvent de femmes du 10ème au 15ème siècle et rattaché au 12ème siècle aux Bénédictines et par la suite à l'Abbaye de Saint Félix de Montceau à côté de Gigean, et vous désirez apporter votre contribution comme le Président Vladimir Poutine à sa reconstruction, alors n'hésitez pas et rejoignez-nous.
 
Pourquoi l'Eglise fête Marie-Madeleine
Par décision du pape François, sainte Marie-Madeleine, est désormais fêtée par l'Eglise entière le 22 juillet. Une manière de mettre à l'honneur "l'apôtre des apôtres" et les femmes disciples de Jésus. Publié le 22 juin 2016:
 
Marie Madeleine reconnue Apôtre des Apôtres par le pape François , et pourtant l'évêché de Montpellier participe à la destruction de l'Eglise antique de Marie Madeleine à Saint Bauzille de Montmel, au Pic Saint Léon, en organisant du VTT et du Motocross sauvage dans les murs en les mettant à terre.
 
 
ECCLESIOLOGIE DE L'EGLISE
étymologiquement « étude de l'Église ») est une branche de la théologie chrétienne qui étudie le rôle du peuple de Dieu comme interlocuteur de Dieu dans l'histoire du salut de la race humaine : « Vous serez mon peuple et je serai votre Dieu » (Jer 30:22).
 
Aussi les exégètes admettent-ils généralement aujourd'hui que la constitution de la communauté primitive remonte à la personne et à l'activité de Jésus. Pour certains, il est vrai (ainsi W. G. Kümmel, R. Bultmann), ce n'est pas la personne de Jésus, mais l'action divine en lui qui est à l'origine historique de l'Église : Jésus lui-même n'aurait pas procédé à son institution ; il n'aurait fait que proclamer la bonne nouvelle aux « brebis perdues d'Israël », sans l'annoncer aux païens. Cette extension de l'annonce, d'où est résultée l'Église, serait une décision de Marie Madeleine, de Pierre et Paul, et des Anciens qui l'ont sanctionnée au Concile de Jérusalem.

Le « concile de Jérusalem » — ou « assemblée de Jérusalem » ou « réunion de Jérusalem » ou encore « concile des apôtres » — est un nom appliqué rétrospectivement à des discussions décrites dans le livre des Actes des Apôtres, quinzième chapitre1, tenues sous la direction de Jacques le Juste et qui sanctionnent l'ouverture de la communauté des Juifs chrétiens aux « païens » au milieu du Ier siècle.

D'après les Actes des Apôtres, à la suite du retour de Paul de Tarse et de Barnabé à Antioche, une controverse se pose au sein des tenants de Jésus de Nazareth sur la possibilité du salut des non-Juifs ; la question est alors portée à Jérusalem.

Une réunion d'apôtres, représentés par Marie Madeleine, l'Apôtre des Apôtres, par Pierre et Paul, et d’Anciens, représentés par Jacques le Juste, s'y tient pour répondre plus précisément à la question de savoir si la circoncision est nécessaire au salut ou si la seule foi en Jésus est suffisante. Faut-il être d'abord Juif avant d'entrer dans la communauté ? La circoncision et la filiation juive sont-elles secondaires au point d'admettre des non-Juifs ? La question se déplace sous l'influence des pharisiens chrétiens sur l'observance stricte de la Loi, y compris la circoncision tandis que Pierre expose comment les nations païennes sont devenues croyantes en entendant de sa bouche la parole, de l'Évangile.

La question est donc double et le discours de Pierre répond en fonction du salut tandis que celui de Jacques s'articule en fonction de la Loi. C'est, en filigrane, la question du rôle du Christ dans le salut de Dieu et l'organisation des rapports entre Juifs et non-Juifs dans les premières communautés judéo-chrétiennes.

Ces événements sont généralement datés de l'an 50,  quand Marie-Madeleine revient spécialement à Jérusalem pour cette occasion, avant de repartir pour Rennes les Bains, une dizaine d'années avant la mort de Jacques le Juste, « frère de Jésus ». Les indices littéraires amènent à diviser ce concile de Jérusalem en deux périodes distinctes : l'une en 50, dominée par Marie Madeleine, portant sur la question du salut, dans une théologie du Christ et de l'Esprit. L'autre, après 52 et avant 58 dominé par Jacques qui traite de questions pratiques concernant la communauté, dans un esprit de légalisme intelligent et pacifique, alors que Paul est en Asie mineure, en Grèce et en Macédoine, et en apprend les résultats à son retour en 58.

Il faut admettre toutefois, avec d'autres auteurs (comme O. Cullmann, F. M. Braun, P. Benoit), que la conscience messianique de Jésus est une donnée historique bien établie, en particulier grâce aux documents que nous possédons aujourd'hui en plus grand nombre sur le judaïsme intertestamentaire (apocalypses juives, documents de la mer Morte, targoums). Le Nouveau Testament présente l'Église comme fondée le jour de Pâques, dans la mort et la résurrection du Christ. Jésus a voulu rassembler autour de lui une communauté messianique ; il a reconnu l'échec de sa prédication auprès des institutions établies ; et il a offert sa mort à la place (substitution) du grand nombre, dans l'attente de la réconciliation de tout le peuple ; il a laissé entrevoir, de sa mort à l'avènement du Royaume, un temps nouveau, non de pure attente, mais de réunion des disciples autour des douze Apôtres. Il est ressuscité et la semence de sa prédication (kérygme) a été jetée.

Si l'on admet ces données, on peut reconnaître que Jésus lui-même a voulu fonder l'Église. L'élection des douze Apôtres est particulièrement significative. Elle est historiquement bien établie, puisque Judas fut remplacé pour compléter le nombre des douze (Actes, i, 15-26) et puisque Paul rapporte la confession de foi primitive des douze Apôtres (I Cor., xv, 5). Or ce nombre symbolise les douze tribus, l'Israël total qui doit être rassemblé.

Jésus-Christ apparaît selon deux méthodes :

1 - Sur le plan religieux, l'Église catholique (dont les maronites et les arméniens catholiques) emploie le terme de « transsubstantiation » pour expliquer que, dans l'Eucharistie, le pain et le vin, par la consécration de la messe, sont « réellement, vraiment et substantiellement » transformés ou convertis en corps et sang du Christ, tout en conservant leurs caractéristiques physiques ou « espèces » (texture, goût, odeur : les apparences) initiales, à condition de respecter la façon dont Jésus opérait par le pain et par le vin. La conséquence en est la « présence réelle » du Christ dans les espèces consacrées. La présence réelle est une doctrine de la théologie chrétienne selon laquelle Jésus-Christ est substantiellement présent dans l'eucharistie sous les apparences du pain et du vin après la consécration des offrandes pendant la messe. Ce principe signifie que la présence du Christ n'est pas simplement symbolique ou métaphorique.

Ce concept est lié à la doctrine catholique de la transsubstantiation, à celle, luthérienne, de la consubstantiation, ou encore à celle, calviniste, de la présence spirituelle, mais il ne se confond avec aucune d'entre elles. Différentes notions entrent en jeu et, depuis le XVIe siècle, ont contribué à creuser un écart entre le catholicisme et le protestantisme mais aussi, au sein de celui-ci, entre les principaux courants de la Réforme.

2 - Jésus est apparu aux Apôtres, à Marie-Madeleine, à des Chrétiens, et dans l'Eglise Antique de Saint-Bauzille de Montmel au Pic saint Léon, dans son corps céleste et non charnel, qui passe à travers la matière, et qui n'ont rien à voir avec des visions. L'Eglise catholique a limité ces apparitions dans la limite de 40 jours après sa résurrection, mais dans la Bible il n'y a pas de limite:

Actes 13

…30Mais Dieu l'a ressuscité des morts. 31Il est apparu pendant plusieurs jours à ceux qui étaient montés avec lui de la Galilée à Jérusalem, et qui sont maintenant ses témoins auprès du peuple. 32Et nous, nous vous annonçons cette bonne nouvelle que la promesse faite à nos pères,…

1 Corinthiens 15

…5et qu'il est apparu à Céphas, puis aux douze. 6Ensuite, il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois, dont la plupart sont encore vivants, et dont quelques-uns sont morts. 7Ensuite, il est apparu à Jacques, puis à tous les apôtres.…

Actes 9:17 Ananias sortit; et, lorsqu'il fut arrivé dans la maison, il imposa les mains à Saul, en disant: Saul, mon frère, le Seigneur Jésus, qui t'est apparu sur le chemin par lequel tu venais, m'a envoyé pour que tu recouvres la vue et que tu sois rempli du Saint-Esprit. ... dans la maison; et, lui imposant les mains, il dit: Saul, frère, le Seigneur, Jésus qui t'est apparu ...Saul, mon frère, le Seigneur Jésus, qui t'est apparu sur le chemin par lequel tu venais, m'a envoyé...le Seigneur Jésus, qui t'est apparu dans le chemin par où tu venais, m'a envoyé, afin que tu recouvres... ...

Apparitions de Jésus après Sa résurrection, il en est de même pour Marie la mère de Jésus:

Aucun fait n’est établi par autant d’auteurs inspirés et de témoins que la résurrection du Seigneur. près les trois jours passés dans le tombeau, preuve de la réalité de sa mort, le Seigneur est resté quarante jours avec ses disciples pour leur apporter les « preuves assurées » de sa résurrection (Actes 1:3).

Les disciples n’ont pas été victimes d’illusions ou de leur imagination. En effet, aucun d’eux n’a cherché le ressuscité, bien que Jésus leur eût annoncé qu’il ressusciterait le troisième jour (Matt. 16:21 ; 17:23 ; 20:19 ; Marc 10:34 ; Luc 9:22 ; 18:33 ; 24:7). Il semble bien que les ennemis de Jésus avaient retenu cette parole mieux que les disciples (Matt. 27:64). Les disciples n’ont été que progressivement convaincus de la réalité de la résurrection de Jésus. Il fallait un travail en profondeur dans leurs cœurs pour que s’impose à eux une conviction inébranlable de la résurrection de Jésus.

Durant les quarante jours séparant la résurrection de l’ascension, Jésus ne s’est jamais montré au monde, mais il s’est présenté à plusieurs reprises et de différentes manières aux siens. Il était seul avec Marie Madeleine qui lui a donné la faveur de sa première apparition, dans le jardin du sépulcre et avec les deux disciples sur le chemin d’Emmaüs. Le Seigneur s’est présenté à ses disciples dans une chambre dont les portes étaient fermées. On ne voit personne d’autre que les disciples et Jésus au bord du lac de Tibériade. La parole de Dieu mentionne plusieurs apparitions du Seigneur :

Le jour de la résurrection :

1. à Marie de Magdala (Marc 16:9-11 ; Jean 20:11-18), signe de l'Apôtre des Apôtres.

2. aux femmes revenant du sépulcre (Matt. 28:8-10)

3. à Pierre (Luc 24:34 ; 1 Cor. 15:5)

4. aux deux disciples sur le chemin d’Emmaüs (Marc 16:12 ; Luc 24:13-32)

5. aux dix apôtres, en l’absence de Thomas (Judas s’était suicidé) (Luc 24:36- 43 ; Jean 20:19-23).

Pendant les quarante jours :

6. aux onze apôtres (Thomas compris), le dimanche suivant (Jean 20:26 ; 1 Cor. 15.5)

7. à sept disciples au bord du lac de Tibériade (Jean 21)

8. aux onze disciples sur une montagne en Galilée (Matt. 28:16-20)

9. à plus de cinq cents frères à la fois (1 Cor. 15:6)

10. à Jacques, le frère du Seigneur (1 Cor. 15:7)

11. aux apôtres et aux disciples sur le mont des Oliviers avant son ascension (Marc 16:19, 20 ; Luc 24:44-53 ; Act. 1:3-12).

Après son élévation dans le ciel

12. à Étienne, avant qu’il soit lapidé (Act. 7:55-60)

13. à Saul de Tarse sur le chemin de Damas (Act. 9:3-8 ; 1 Cor. 9:1 ; 15:8)

14. à Jean sur l’île de Patmos (Apoc. 1:10-18).

La prochaine apparition du Seigneur aura lieu lors de son retour pour venir chercher les siens (1 Thes. 4:16, 17) (apparition aux croyants et non pas au monde).

15. en permanence à Marie-Madeleine à Saint Bauzille de Montmel, au Pic Saint Léon, dans l'Eglise de sa femme, sa femme qui était son Eglise, et en même temps celle du Christ, fils unique du Dieu vivant (je suis, j'étais, je fus, je serai).

16. il libère Joseph d'Arimathie de sa prison. C'est chez Joseph d'Arimathie que se tient le dernier repas du Christ. Joseph conserve le vase de la Cène, dans lequel il recueille un peu du sang de Jésus, avant de le déposer dans son sépulcre. Jeté en prison par les autorités juives, privé de nourriture, il doit la vie à la seule contemplation du Graal. 

LANCE ROMAINE 1er siècle, Bronze, 40cm de long, 4cm large, collection personnelle.

Gravée sauf erreur CASSIUS GAIUS LONGINUS CHRISTUS REX écriture difficilement lisible. (dans ce texte les V sont remplacés par des U pour la compréhension.

Cette lance en Bronze provient vraisemblablement de la manufacture d'armes de bronze d'AREZZO en ETRURIE (ITALIE) (examen au spectromètre de masse concluant), qui fournissait les légions et en particulier la LEGIO XII Fulminata, stationnée à Jérusalem dans la forteresse Antonia près du Temple. Cette manufacture d'armes de bronze a fonctionné jusque dans les années 40 de notre ère.A l'époque le Bronze, provenant des mines Etrusques, était plus facile à travailler et moins cher que le fer. Les romains avaient de petits burins pour graver leurs noms sur leurs affaires, et le fait que cette lance ait été gravée suite à un évènement important, est tout a fait probable. D'autant plus, que la gravure en creux a presque totalement disparue, et que l'expert (Chakib SLITINE) en vendant cette lance, ne s'est pas aperçu du texte gravé, (visible par la technique de la tomodensitographie des métaux ou tomographie scanographie par rayons X des métaux, réalisé avec le CNRS).

 

 

 

 

Après douze ans d'emprisonnement, l'empereur Vespasien le fait libérer. Joseph, muni de la Sainte Lance et du Saint-Graal, quitte alors la Palestine et se rend « en Bretagne », c'est-à-dire le sud de la Grande-Bretagne actuelle, à Glastonbury selon certains textes30. Joseph d'Arimathie et son fils Galaad Ier se retrouvent dans la liste des bons chevaliers du cycle arthurien.

De la même façon que l'Eglise d'Angleterre, tire son autorité d'Apôtres directement venus de Jérusalem, sans passer par Rome, il lui est permis de ne pas reconnaître l'autorité du Pape, dont Saint-Pierre n'a jamais été évêque de Rome, pour la désignation de ses évêques et pour sa soumission à un Pape qui n'existait pas du Temps de Jésus-Christ, et dont le mandat de Saint-Pierre a été révoqué par Jésus-Christ lui-même (voir photos dans les commentaires issues d'ouvrages très anciens), de la même façon, l'Archevêque d'Arles, Prima des Gaulles, Saint Trophîme d'Arles, qui est signalé en même temps que l'arrivée aux saintes Marie de la mer de : Marie Madeleine, Marie Jacobé et Marie Salomé sont accompagnées de leur servante Sara. D'autres voyageurs les accompagnaient, comme le dénommé Sidoine, l'aveugle-né guéri par Jésus, ou encore saint Trophime, n'a pas à rendre de comptes ni à Rome, ni à Pierre, ni à l'Angleterre, et encore moins pour Marie-Madeleine, qui avait la primauté de Jésus sur tous les Apôtres.

 
L’Eglise des croyants, otage de l’Etat du Vatican?
 
Note : Pour les chrétiens et les catholiques, le carême rappelle cette longue marche dans le désert du peuple juif , libéré de l’esclavage auquel il était soumis en Égypte, pour aller vers cette nouvelle terre, promise par Moise au nom de Yahvé. Aujourd’hui, cette marche se poursuit, mais le Moise des temps modernes (le Vatican) s’est transformé en un allié de l’ennemi des peuples, qu’est l’empire, assoiffé de pouvoir et de domination.
 
Pour la très grande majorité, des catholiques, « Église » et « Vatican » se confondent. Pourtant, ils sont ce qu’il y a de plus opposé.
 
L’Église n’est-elle pas la communauté des croyants en Jésus de Nazareth, en sa vie et en son message que nous révèlent les Évangiles et l’Esprit Saint qui distribue ses dons comme bon il l’entend?
 
Elle est au service de celui qui en est l’inspiration et dont l’objectif est de redonner à l’Humanité l’image et la ressemblance de son Créateur.
 
N’a-t-il pas dit à ses disciples : « Je suis la Voie, la Vérité et la Vie et ce que vous ferez aux plus petits des miens c’est à moi que vous le ferez » ?
 
Pour lui, l’hypocrisie, le mensonge, l’injustice et tout pouvoir de domination sont des contaminants qui empoisonnent l’Humanité et toute vie en société. Par contre, la compassion, la miséricorde, la bonne foi, la solidarité, la vérité et la justice sont des ingrédients qui renforcent le respect et l’amour, donnant vie à la communauté humaine. À ses disciples et apôtres, il leur rappelle que pour le suivre il faut tout laisser. Il n’y a pas de place pour servir deux maîtres, Dieu et Mammon ou encore les peuples et l’Empire.
 
L’État du Vatican, par contre, est, d’abord et avant tout, un pouvoir politique. Comme tous les États, il a son gouvernement dont le Pape fait figure de président et le Secrétaire d’État, de premier ministre. La Curie romaine est composée de divers ministères, appelés dicastères et d’une fonction publique qui opère à l’intérieur de chacun de ces dicastères. L’État du Vatican a des représentants dans la majorité des pays du monde et occupe un siège à l’Assemblée générale des Nations Unies. Il représente, pour certains États, un pouvoir d’influence important qu’ils ont intérêt à cultiver. En tant qu’État, le Vatican couvre tout autant les activités religieuses de ses membres, prêtres, évêques et cardinaux, à travers le monde, que les activités politiques, à travers les nonciatures apostoliques. Il est tout à la fois une source d’information de premier plan et une source d’intervention auprès des fidèles et des pasteurs.
 
La distinction entre le service à Dieu et le service à Mammon devient de moins en moins subtile. Il faut noter que la Doctrine s’est substituée aux Évangiles et que les pasteurs et disciples ont été transformés en fonctionnaires du culte.
Aujourd’hui, plus que jamais, nous constatons ce glissement d’une Église au service des Évangiles à une Église au service de Mammon. Ce glissement n’a d’autres sources que la domination complète de hauts dirigeants du Vatican sur l’Église et la Doctrine. Pour illustrer cette affirmation, à résonnance radicale, je vous propose l’analyse qu’en fait l’Historienne Annie Lacroix-Riz, bien connue dans le monde pour ses travaux sur le Vatican et ses engagements avec certains pouvoirs dominants tout au long des deux grandes guerres mondiales (1914-1939). Je vous laisse en compagnie de cette conférencière pour découvrir le visage caché du Vatican tout au long de cette période.
 
Également, rôle du Vatican dans les relations internationales.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Concordat_du_20_juillet_1933
 
LA GRANDE ALLIANCE DU VATICAN ET DE WASHINGTON (1978-2018)
Avec l’arrivée au Vatican du cardinal polonais, Karol Józef Wojtyła, qui régnera sur l’Église et le Vatican sous le nom de Jean-Paul II, de 1978 à 2005, la puissance impériale des É.U. trouvait l’homme qu’il lui fallait pour combattre les révolutions sociales en Amérique latine. Ils se sont vite mis d’accord pour combattre, en Amérique latine et dans les Caraïbes, entre autres, ces révolutions, considérées, par ces derniers, de communistes, de socialistes, de marxistes. De nombreux prêtres et de plus en plus d’évêques, à l’époque, s’identifiaient à la « théologie de libération » qui accompagnait la lutte des pauvres pour plus de justice sociale et de respect du droit des personnes et des peuples. Leur sympathie pour cette théologie de libération en faisait des ennemis de l’Empire et du Vatican.
 
On raconte que le bref pontificat du pape Jean-Paul Ier, ami de Mgr Helder Camara, évêque du Brésil, et sympathisant de la théologie de libération, avait l’intention d’en reconnaître officiellement les fondements et les objectifs. De quoi inquiéter Washington et ses alliés sur le Continent latino-américain. Sa mort, à peine 33 jours après son élection, a été ressentie avec beaucoup de tristesse, par la grande majorité des peuples, alors que d’autres y trouvèrent un grand soulagement. Ces derniers furent, d’ailleurs, les premiers à se réjouir de l’élection au Pontificat de ce collaborateur acharné du syndicat Solidarnosc sous la gouverne de Lech Walesa. En ce nouveau pape, tous les ingrédients y étaient pour mener une lutte sans répit contre les révolutions sociales en Amérique latine, étant toutes considérées comme communiste et marxiste.
 
Je vous réfère à quelques articles qui couvrent cette période où s’activèrent les papes, J.P. II, Benoit XVI et, d’une certaine mesure, le pape François. La lutte de Washington, appuyée par le Vatican et les épiscopats latino-américains, contre toute révolution sociale visant la reconquête du contrôle de l’État et de ses richesses par le peuple entre dans la catégorie de la lutte contre le communisme.
 
 
Le cas du pape François se présente différemment. Par son Exhortation apostolique Evangelii Gaudium et celle de Amoris laetitia, il s’est rapproché des peuples, des gouvernements et organisme sociaux qui sont profondément engagés pour la justice sociale, l’indépendance et la souveraineté de leurs peuples et pour la reprise en main de leurs richesses naturelles.
 
C’est particulièrement le cas de la Bolivie et du Venezuela. Sauf que dans ces deux cas, les épiscopats nationaux, avec l’appui discret du Vatican, s’opposent à ces peuples et gouvernements. Dans le cas du Venezuela, l’épiscopat vénézuélien se présente et agit ouvertement comme une véritable opposition politique.
 
Pour comprendre cette coopération, pourrait-on dire naturelle, entre le Vatican et les épiscopats , il faut se rappeler que la nomination des évêques se fait en fonction des intérêts qui unissent le Vatican et Washington. Il faut également savoir que deux pactes ont été signés entre Washington et le Vatican pour mener conjointement la lutte contre la révolution de ces peuples. Dans un article portant sur la prostituée de l’Apocalypse y figure le contenu de ces deux pactes.
 
EN CONCLUSIONS :
 
Depuis le début de la constitution d'une Eglise admise par les Romains et reformatée ou réformée par l'empereur Constantin, au troisième siècle de notre ère, devenue Eglise Universelle du Monde Romain et donc Eglise d'ETAT, avec reprise des fêtes Païennes, abandon de textes anciens et d'évangiles, et abandon de ce qui pouvait choquer, notamment la prédominance des femmes et en particulier de Marie-Madeleine, sur les apôtres et sur la destinée de l'Eglise, car le Christ, ce messager de Dieu, par qui nul être sur Terre, ne peut aller à Dieu sans passer par lui et ses enseignements, a donné la Primauté de son Eglise Antique à Marie Madeleine, ainsi que des enseignements spécifiques que n'ont pas eu les apôtres.
Marie-Madeleine était jalousée par les apôtres et notamment par Pierre qui non seulement a renier le Christ trois fois, mais qui voyait en elle, une concurrente déloyale et gênante vis a vis des promesses du Christ, et de sa renommée auprès des apôtres tous masculins, et tous considérant la femme, comme non égale à l'homme.
Une entrée dans un autre espace : Elle accompagne la mort , attitude plutôt féminine puisqu'il n'y a pas d'hommes au pied de la croix. Elle regarde la mort en face, n'a pas peur de son émotion. Elle voit au delà de la mort, au delà du « moi », elle est témoin de la résurrection, l'Amour est plus fort que la mort, elle expérimente l'immortalité. (Ev Jean 20, 14-16)
Elle devient apôtre des apôtres,d'initiée, elle va devenir initiatrice, Jésus le lui demande : « Va dire à mes frères, je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu, et votre Dieu »(Ev de Jean 20, 17) Elle va donc annoncer la Bonne Nouvelle, la mort n'existe pas ! « Partout où sera proclamé l'évangile dans le monde entier, on redira aussi, à sa mémoire, ce qu'elle a fait » (Marc 10,9).
Deux fragments écrits en grec, issus du papyrus Rylands 463 (en) (découvert en 1935) et du papyrus d'Oxyrhynque 3225 (identifié en 1985), datés du début IIIe siècle, recoupent le contenu du codex de berlin, mais ne permettent pas de combler ses lacunes. Ils permettent toutefois d'établir que l'évangile original avait été écrit en grec au cours du IIe siècle.
Le texte a pour thème principal la mortalité, l'ascension du Christ et l'ascension de l'âme selon le gnosticisme. Marie de Magdala y est présentée à la tête des apôtres dans ce récit. Dans cet évangile, le Sauveur transmet d'abord ouvertement son enseignement à ses disciples, puis secrètement à Marie-Madeleine au cours d'une vision intérieure.
L’Evangile selon Thomas : « Jésus dit : ‘voici, moi, je l’attirerai [à propos de Marie-Madeleine] pour que je la rende mâle afin qu’elle aussi devienne un esprit vraiment pareil à vous, mâles ! Car toute femme qui sera faite mâle entrera dans le royaume des cieux' ».
L’évangile de Philippe (3ème siècle) : « La Sagesse, qu’on appelle « la stérile », est la mère des anges et la compagne du Sauveur. Jésus aimait Marie plus que tous les disciples. Il l’embrassait souvent sur la bouche et parlait d'elle en disant ma femme est mon Eglise. Les autres disciples le virent aimant Marie, ils lui dirent : ‘Pourquoi l’aimes tu plus que tous ?’ Le Sauveur répondit : ‘Comment se fait-il que je ne vous aime pas autant qu’elle ?’ ». Ce texte est en fait à double sens : le baiser sur la bouche dans certaines sectes gnostiques n’a pas de signification amoureuse : il désigne comme l’accolade, la fraternité des initiés, ce qui n'est pas le cas avec Marie-Madeleine.
La « Psitis Sophia » (Ouvrage gnostique, attribué à Valentin mais sans doute plus tardif (3ème siècle), où Marie ne joue d'autre rôle que de transmettre un enseignement secret, à caractère fantastique, qu'elle aurait reçu du Seigneur. Ce texte met Marie-Madeleine au plus haut, ainsi qu’en témoignent les paroles suivantes prêtées au Christ :
« Marie la bienheureuse, toi que je rendrai parfaite en tous les mystères des habitants d’En-Haut, parle librement, toi dont le cœur est droit vers le Royaume des cieux, plus que tous les frères. Courage, Marie, tu es heureuse entre toutes les femmes, puisque c’est toi qui seras le Plérome de tous les Pléromes et la perfection de toutes les perfections… C’est pourquoi, là où je serai y seront aussi mes douze Dianes, mais Marie la Madeleine et Jean le vierge sont supérieurs à tous les disciples… »
 
Evangile de Marie-Madeleine retrouvé à Saint Bauzille "Jésus dit":
"Ma mère m'a donné la vie, pour que je sois le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi". Les disciples ont demandé à Jésus de récuser Marie-Madeleine comme apôtre, et comme la plus importante d'entre nous. Mais il leur dit "Marie vaut bien mon attachement particulier à elle, car elle a reçu de moi l'enseignement le plus complet, que personne d'entre-vous ne saurait donner", "Ma femme sera capable d'être mon meilleur disciple, elle est mon Eglise et j'habite avec elle pour la vie".
le futur Ressuscité s’écrie : "En vérité je vous le déclare, partout où sera proclamé l’Evangile dans le monde entier, on racontera aussi, en souvenir d’elle, ce qu’elle a fait". (Matthieu 26-13, Luc 2-1, Marc 14-9, Corinthiens, Thessaloniciens,...). Autrement dit, Il associe le plus solennellement possible Son œuvre avec une femme. Puis, après Sa résurrection, la façon qu’Il a de crier son nom Marie !... Ceux qui ignorent l’amour ne comprendront pas ; 2000 ans après les évènements l’on sent encore l’émotion, le frisson, la ferveur du Sauveur... Enfin et surtout le Christ - comme par hasard - choisit Béthanie, d’où est originaire Marie-Madeleine, pour remonter auprès de Son père. Tout est symbolique dans la vie du Messie - on ne peut que garder silence admiratif.
Jésus le lui demande : « Va dire à mes frères, je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu, et votre Dieu »(Ev de Jean 20, 17) Elle va donc annoncer la Bonne Nouvelle, la mort n'existe pas !
« Partout où sera proclamé l'évangile dans le monde entier, on redira aussi, à sa mémoire, ce qu'elle a fait » (Marc 10,9).
 
 
 

LE PAPYRUS DE Marie Madeleine

Etait-elle la femme de Jésus ?

Un papyrus du IIIe siècle récemment découvert comprend cette phrase « Jésus dit, quant à ma femme… » Cette découverte relance le débat sur le célibat de Jésus.

C’est Karen L. King, professeure d’histoire ancienne à la faculté de théologie d’Harvard, qui a révélé hier l’existence de ce manuscrit lors d’un congrès à Rome.

Les spécialistes des papyrus et de la langue copte s’accordent sur l’authenticité et l’ancienneté de ce manuscrit. Il s’agit d’un joli fragment de papyrus de la taille d’une carte de crédit, écrit en langue copte :

Voici une traduction de ce qui est inscrit sur ce fragment :

…Pas pour moi. Ma mère me l’a donné vie…  …Les disciples dirent à Jésus,…  …nier, Marie est digne de cela…  …Jésus leur dit : ma femme…  …Laissez les gens méchants enfler…  …Quant à moi, j’ habite avec elle, afin de…  …une image…

La question de savoir si Jésus a été marié on non n’est absolument pas abordée dans nos évangiles, ni dans un sens (il serait célibataire), ni dans l’autre (il serait marié ou aurait été marié). On peut donc dire que cela n’a pas d’importance du point de vue de la foi et du salut. Cela concerne principalement la vie de l’homme Jésus plus que sa fonction de Christ. 


Mon acte de foi:

Je crois en l’Église, la communauté de ceux et celles qui témoignent au quotidien de leur foi en Jésus en se faisant humbles, amants de la vérité et de la justice, solidaires des blessés de la vie, miséricordieux et accueillants à l’endroit de toutes les personnes de « bonne foi ». Cette bonne foi qui est tout le contraire de l’hypocrisie, de la manipulation et du mensonge.
 
Le récit du jugement dernier nous en donne les grandes lignes. (Mt.25,31-46)
Par contre, je ne crois pas au Vatican, ni en ses œuvres ni en ses pompes. En lui, je ne vois pas celui qui est à la source de ma foi, Jésus de Nazareth, pas plus d’ailleurs que l’Esprit qui illumine les Évangiles. Le discours de Jésus aux grands prêtres et aux docteurs de la loi de son temps s’applique merveilleusement bien à ceux qui règnent sur le Vatican. (Mt.23)
 
 
Oscar Fortin

TEXTE CONFIRMANT MARIE-MADELEINE “APÔTRE DES APÔTRES”, au dessus de Pierre, au dessus de Paul, au dessus de Jean, au dessus de Saint Pierre, au dessus de Rome, au dessus de Saint Pierre de Rome, au dessus du Vatican, au dessus de toutes les Eglises du Monde, mais il reste à réhabiliter Marie Madeleine pour ne pas la confondre avec la pécheresse des Evangiles, erreur relativement récente, car les anciens faisaient bien la distinction.

On connaît le pourquoi du comment, mais si l'Eglise veut se racheter, il est nécessaire de le faire car on ne peut et on ne doit pas comparer la Prostituée des 7 collines de l'Apocalypse à la pécheresse, qui est distincte de Marie-Madeleine.

Trouvaille à l'Eglise Antique de Saint Bauzille de Montmel, ci-dessous deux fioles dans l'une d'elles, il y avait ces cailloux rouges.

 

Nous rendons hommage à toutes les sœurs et à tous les frères qui souvent sont restés volontairement de simple sœurs ou prêtres réguliers, pour ne pas s'occuper de Politique, et ne pas soutenir des tyrans pour le bien-être de l'Eglise, et de son pouvoir séculier.
Selon le désir exprès du Saint-Père François, la Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements a rendu public un nouveau décret, daté du 3 juin 2016, solennité du Sacré Cœur de Jésus, par lequel la célébration de Sainte Marie Madeleine, actuellement mémoire obligatoire, sera élevée dans le Calendrier Romain Général au rang de fête. La décision s’inscrit dans le contexte ecclésial actuel, qui demande de réfléchir plus profondément sur la dignité de la femme, sur la nouvelle évangélisation et sur la grandeur du mystère de la miséricorde divine. C’est saint Jean Paul II qui a porté une grande attention non seulement à l’importance des femmes dans la mission même du Christ et de l’Eglise, mais aussi, et avec un accent spécial, à la fonction particulière de Marie de Magdala comme premier témoin qui a vu le Ressuscité, et première messagère qui a annoncé aux apôtres la résurrection du Seigneur (cf. Mulieris dignitatem, n. 16). Cette importance continue aujourd’hui dans l’Eglise – comme le manifeste l’engagement actuel pour une nouvelle évangélisation – qui veut accueillir, sans aucune distinction, hommes et femmes de toute race, peuple, langue et nation (cf. Ap 5,9), pour leur annoncer la bonne nouvelle de l’Evangile de Jésus-Christ, pour les accompagner dans leur pèlerinage terrestre et leur offrir les merveilles du salut de Dieu. Sainte Marie Madeleine est un exemple d’évangélisatrice vraie et authentique, c’est-à-dire, une évangéliste qui annonce le joyeux message central de Pâques (cf. Collecte du 22 juillet et nouvelle préface).
Le Saint-Père François a pris cette décision justement dans le contexte du Jubilé de la Miséricorde pour signifier l’importance de cette femme qui a démontré un grand amour pour le Christ et fut par lui tellement aimée, comme l’affirme Raban Maur en parlant d’elle (« dilectrix Christi et a Christo plurimum dilecta » : De vita beatæ Mariæ Magdalenæ, Prologus) ainsi que saint Anselme de Cantorbéry («electa dilectrix et dilecta electrix Dei» : Oratio LXXIII ad sanctam Mariam Magdalenam). Il est certain que la tradition ecclésiale en Occident, surtout après saint Grégoire le Grand, identifie dans la même personne: Marie de Magdala, ainsi que la femme qui a versé le parfum dans la maison de Simon le pharisien, et la sœur de Lazare et de Marthe. Cette interprétation s’est maintenue et a eu une influence chez les auteurs ecclésiastiques occidentaux, dans l’art chrétien et dans les textes liturgiques relatifs à la Sainte. Les Bollandistes ont amplement exposé le problème de l’identification des trois femmes et ont préparé la voie pour la réforme liturgique du Calendrier Romain. Avec la mise en œuvre de la réforme liturgique, les textes du Missale Romanum, de la Liturgia Horarum et du Martyrologium Romanum se réfèrent à Marie de Magdala. Il est certain que Marie Madeleine a fait partie du groupe des disciples de Jésus, elle l’a suivi jusqu’au pied de la croix et, dans le jardin où se trouvait le sépulcre, elle fut le premier “témoin de la miséricorde divine” (Grégoire le Grand, XL Hom. In Evangelia, lib. II, Hom. 25,10). L’Evangile de Jean raconte que Marie Madeleine pleurait, parce qu’elle n’avait pas trouvé le corps du Seigneur (cf. Jn 20, 11); et Jésus a eu de la miséricorde envers elle en se faisant reconnaître comme le Maître et en transformant ses larmes en joie pascale.
En profitant de cette opportune circonstance, je désire mettre en évidence deux idées relatives aux textes bibliques et liturgiques de cette nouvelle fête, qui peuvent nous aider à mieux comprendre l’importance pour aujourd’hui d’une telle Sainte femme.

D’un côté, elle a l’honneur d’être la « prima testis » de la résurrection du Seigneur (Hymnus, Ad Laudes matutinas), la première à voir le sépulcre vide et la première à écouter la vérité de sa résurrection. Le Christ a une spéciale considération et miséricorde pour cette femme, qui manifeste son amour envers Lui, en le cherchant dans le jardin avec angoisse et souffrance, avec des « lacrimas humilitatis », comme dit Saint Anselme dans la prière que nous avons citée. A ce propos, je désire souligner le contraste entre les deux femmes présentes dans le jardin du paradis et dans le jardin de la résurrection. La première a propagé la mort là où était la vie ; la seconde a annoncé la Vie à partir d’un sépulcre, lieu de la mort. C’est ce que fait observer Grégoire le Grand : «Quia in paradiso mulier viro propinavit mortem, a sepulcro mulier viris annuntiat vitam» (XL Hom. In Evangelia, lib. II, Hom. 25). De plus, c’est justement dans le jardin de la résurrection où le Seigneur dit à Marie Madeleine: « Noli me tangere ». C’est une invitation adressée non seulement à Marie, mais aussi à toute l’Eglise, pour entrer dans une expérience de foi qui surpasse toute appropriation matérialiste et toute compréhension humaine du mystère divin. Elle a une portée ecclésiale ! C’est une bonne leçon pour chaque disciple de Jésus : ne pas rechercher des sécurités humaines et des titres mondains, mais la foi au Christ Vivant et Ressuscité ! Justement parce qu’elle a été témoin oculaire du Christ Ressuscité, elle a été aussi, d’un autre côté, la première à en donner le témoignage devant les apôtres. Elle accompli la mission que lui a donné le Ressuscité : « Va trouver mes frères pour leur dire … Marie Madeleine s’en va donc annoncer aux disciples : « J’ai vu le Seigneur ! », et elle raconta ce qu’il lui avait dit (Jn 20,17-18). De cette manière elle devient, comme on a déjà noté, évangéliste, c’est-à-dire messagère qui annonce la bonne nouvelle de la résurrection du Seigneur ; ou comme disaient Raban Maur et saint Thomas d’Aquin, « apostolorum apostola », puisqu’elle annonce aux apôtres ce que, à leur tour, ils annonceront au monde entier (cf. Raban Maur, De vita beatæ Mariæ Magdalenæ, c. XXVII; S. Thomas d’Aquin, In Ioannem Evangelistam Expositio, c. XX, L. III, 6). C’est avec raison que le Docteur Angélique utilise cette parole en l’appliquant à Marie Madeleine: elle est le témoin du Christ Ressuscité et elle annonce le message de la résurrection du Seigneur, comme les autres Apôtres. C’est pourquoi il est juste que la célébration liturgique de cette femme ait le même degré de fête que celui qui est donné à la célébration des apôtres dans le Calendrier Romain Général et que soit mise en évidence la mission de cette femme, qui est un exemple et un modèle pour toute femme dans l’Eglise.

Arthur Roche
Archevêque Secrétaire de la Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements

 

L'ultimatum de Poutine : "échec et mat" contre l'impérialisme et le Pape du Nouvel Ordre Mondial. Poutine veut réduire tout en Cendres, 40 jours avant Pâques.

 

Le discours sur l'état de l'Union du président russe Vladimir Poutine pourrait être le discours le plus important depuis son discours aux États-Unis en septembre 2015 à la veille de l'intervention de la Russie dans la guerre contre la Syrie.

 

La sobre analyse de Poutine et l'acceptation des contraintes démographiques sur la croissance de l'économie russe étaient bien reçues. Il met en évidence les vrais défis pour la Russie au cours des quinze prochaines années. Le changement pour ceux d'entre nous qui analysent l'économie russe est de regarder cela uniquement en termes de croissance par habitant et non de croissance absolue.
Mais, cette admission de Poutine met en évidence la toile de fond de sa sortie publique de la nouvelle et redoutable technologie des armes de la Russie.

Le fait qu'il ait fait cela au plus fort de sa campagne de réélection devrait faire rire jaune les cyniques. Bien joué, Monsieur Poutine.

Maintenant, à propos de ces nouvelles armes. Je m'en remets à Alex Mercouris à The Duran pour son  regard perspicace et en profondeur sur ces nouvelles armes. The Saker, qui est absolument l'un des meilleurs analystes des capacités militaires de la Russie, considère que ces nouvelles armes ont permis à Poutine de faire  "échec et mat" à l’ Empire.
Plus d'agression parallèle
Poutine a très bien joué le jeu au cours des dernières années. Utilisant la stratégie de «l'agression parallèle» pour répondre à une escalade américaine, il a gardé un couvercle sur les hostilités en Syrie et en Ukraine, tout en remportant de petites victoires, jouant sur le temps.
L'annonce de ces nouvelles armes, cependant, va changer ce plan de match. Poutine va maintenant attaquer.
Voici quelques idées sur ce que cela implique:
1. L'annonce de ces armes soulève la question suivante: «De quoi Poutine ne nous parle-t-il pas?» Cela devrait effrayer beaucoup de gens au Pentagone et de civils qui croient que la réponse des États-Unis devrait répondre par l'escalader.
2. Armer l'Ukraine avec plus d'armes lourdes pour reprendre le Donbass sera contré par la Russie parce qu'il n'y a aucune raison de ne pas le faire.
3. Maintenant, nous savons (par opposition à suspectons) pourquoi « l'Etat profond » des États-Unis a été si insistant à pousser le récit anti-russe. La fenêtre s'est fermée sur tout changement de régime potentiel en Russie.
4. Les déploiements américains en Afghanistan et en Syrie, et le soutien aux armées mercenaires telles que ISIS/EI et les Kurdes font partie d'une stratégie de subversion visant à affaiblir la Russie et à la forcer à combattre dans des guerres conventionnelles coûteuses tout en étendant les lignes d'approvisionnement logistique des États-Unis, leur principale compétence en matière de guerre. .
Ces nouvelles armes représentent un changement d'état dans la technologie des armes, mais, en même temps, sont des moyens de dissuasion bon marché contre toute escalade. Elles s'inscrivent dans le budget de la Russie, encore une fois limité par la démographie et par réalités domestiques de la Russie.
Le bourbier narratif
Et c'est pourquoi le point # 4 ci-dessus est le plus important. Nous, Américains, ne sommes pas en train de gagner  en technologie. Donc, tout ce que nous pouvons faire, c'est d'employer des politiques de broyeurs de viande et de forcer la Russie et ses alliés à dépenser de l'argent pour contrer l'argent que nous dépensons.
C'est un jeu qui ruine tout le monde. Et il est plus facile pour Poutine de vendre la nature défensive de sa position aux Russes que pour le gouvernement américain de vendre au peuple américain son soutien à Al-Qaïda et à l'EI pour « vaincre les Russe ». Maintenant, cette réalité a franchi la barrière du secret.
La lutte de Trump contre le récit du RussiaGate s'harmonise intérieurement avec l'exposition de notre duplicité en Syrie. Le point important du scandale d'Uranium One n'est pas qu’Hillary Clinton ait éviscéré nos réserves d'uranium. Non, le point important est que les gens qui hurlent sur la Russie aujourd'hui faisaient des affaires juteuses avec elle hier.
Même l'Américain le plus stupide voit l'hypocrisie là-dedans.
Poutine se présente maintenant avec cette annonce qui met un terme aux jeux politiques qui se jouent dans les médias et aux États-Unis pour s'accrocher à un récit cousu de mensonges sur la malfaisance russe et syrienne dans la guerre.
Vous pouvez crier au « loup des armes chimiques » autant de fois que vous voulez, jusqu’à ce que  personne n'y croie plus.
Ne pas en arriver à la D.M.A.
Les États-Unis connaissaient tous ces systèmes d’armes. Si nous ne les avions pas développé, alors où sont passées toutes nos dépenses pour les espionner ? Nous savons également de première main à quel point la guerre électronique russe (EW) est bonne, c.f. la frappe aérienne sur Al-Shairat en avril dernier où moins de 40% de ces Tomahawks ont atteint leurs objectifs [1].
Le Saker a fait remarquer à maintes reprises que les forces armées russes, jusqu'à présent, sont conçues autour d'une réponse rapide à moins de 1000 kilomètres des frontières de la Russie. Elles ne sont pas conçues pour une projection de force globale.
Ces nouvelles armes changent fondamentalement cette donne. Et une grande partie de l'actuel combat au couteau géopolitique se terminera rapidement à cause de cela.
La diplomatie russe a contrecarré les tentatives des États-Unis pour dominer le paysage géopolitique depuis quatre ans et demi (depuis que Poutine a battu Obama lors de la fausse attaque aux armes chimiques en 2013). Maintenant, Poutine a donné à tout le monde une autre chose à considérer, le Gros Bâton russe.
Et j'invoque volontairement Teddy Roosevelt ici. La politique étrangère de Poutine s'est transformée en cela. C'est son moment de 'marcher doucement et porter un gros bâton'. Il bâtit sur ce point depuis quatorze ans, depuis que Bush-le-minus  a sorti les États-Unis du Traité ABM.
Maintenant que nous sommes à ce point, nous n'avons pas de réponse raisonnable aux armes russes. La déclaration du département de la Défense était risible. Tout ce que nous pouvons faire, c'est essayer de rapprocher nos armes inférieures des frontières de la Russie pour nous rapprocher de la  M.A.D (Mutual assured destruction, Destruction Mutuellement Assurée)  une situation dans laquelle nous sommes en ce moment.
Poutine vient de recadrer le monde sur ce sujet.
Les points chauds actuels commenceront à se résoudre au cours de la prochaine année.
L'escalade par les États-Unis en Ukraine est simplement un moyen de provoquer les dures critiques de Poutine à la veille d'une élection. Les cris du genre «Poutine est un traître» ou  «Poutine est un agent sioniste» se font de plus en plus entendre en marge des commentaires centrés sur la Russie.  Poutine vient de les détruire en changeant complètement les règles d'engagement. Si Poutine était vraiment ce type, un imbécile aux mains de sionistes travaillant secrètement pour les sionistes, alors il aurait laissé la Russie sans défense et ne l'aurait pas annoncée la veille de sa réélection après avoir préparé pendant des mois les marteaux dont la Russie a besoin pour sécuriser son  avenir.
Au sens le plus large, Poutine a maintenant placé tous ses alliés sous le même parapluie nucléaire. Et cela devrait faire réfléchir Israël et les Occidentaux à deux fois avant d’attaquer la Syrie ou l’Iran, y compris avec des armes nucléaires.
La Syrie est maintenant un jeu d'attrition que Damas et Moscou vont gagner.
Avec la victoire massive de Trump à la CPAC [2] et les élections à mi-parcours à l'horizon, attendez-vous à un grand sommet entre Trump et Poutine cette année. Trump ne peut pas se cacher derrière la démence des démocrates face à ce que Poutine vient d'annoncer.
Les deux présidents doivent parler formellement de la façon de sortir le monde de ce qui semble être le bord de la guerre.
NOTES
[2] La Conservative Political Action Conference (CPAC, prononciation en anglais : /ˈsiː.ˌpæk/) est une réunion politique organisée par les conservateurs américains. Elle a lieu chaque année aux États-Unis et rassemble jusqu'à 10 000 participants.
S'y retrouvent les personnalités les plus en vue des différents courants du mouvement conservateur américain, tant élues, militantes ou dirigeants d'organisation que personnalités des médias.
La CPAC organise également un vote informel de la personnalité la plus représentative du mouvement, qui est généralement considéré comme un baromètre pour le choix du candidat républicain à l'élection présidentielle américaine.
VOIR AUSSI : 

Poutine menace de réduire l'Amérique en cendres nucléaires

Révélations de religieuses exploitées par l’Église catholique et violées.
© REUTERS/ Mariana Bazo
Société 13:17 03.03.2018(mis à jour 13:18 03.03.2018) URL courte 17138

Un magazine du Vatican a dénoncé le fait que les religieuses sont souvent traitées comme des servantes par les cardinaux et les évêques de l’Église catholique. Obligées de cuisiner et de faire le ménage pour un salaire quasi nul, ces femmes exigent la fin immédiate de la servitude.

L'édition de mars de Women Church World, le magazine féminin mensuel du journal du Vatican L'Osservatore Romano, parue jeudi a mis en lumière les difficultés auxquelles sont confrontées les religieuses de l'Église catholique.

L'article propose les récits de plusieurs religieuses qui témoignent sous le couvert de pseudonymes de leurs expériences de travail gratuit ou très peu payé dans l'Église catholique.

Par exemple, Sœur Maria a déclaré que plusieurs religieuses travaillaient de longues heures dans les maisons d'évêques et de cardinaux, affectées au ménage et à la cuisine, et n'étaient même pas invitées à partager les repas à leur table.

«Elles sont profondément frustrées, mais elles ont peur d'en parler parce que, derrière tout cela, il peut y avoir des histoires très complexes», a expliqué Sœur Maria.

Une autre religieuse nommée Sœur Paule a déclaré que les sœurs n'ont souvent aucun contrat avec les paroisses où elles travaillent et gagnent peu, voire rien.

Selon les nonnes interrogées par le média, le manque de reconnaissance reste le plus grand problème.

Les métiers masculins sont valorisés, alors que le travail des femmes ne l'est pas, déplorent-elles mettant en évidence l'inégalité au sein de l'Eglise.

«Mes sœurs et moi, nous vivons très mal et nous ne visons pas la richesse, mais nous voulons seulement vivre simplement dans des conditions décentes et justes. C'est une question de survie pour nos communautés», a déclaré une autre religieuse, Sœur Cécile.

Les religieuses déclarent en outre que certaines sœurs titulaires d'un doctorat dans des matières telles que la théologie sont affectées sans aucune explication à des tâches domestiques.

 

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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
  • La Laosophie est une philosophie de l'existence, très ancienne puisque nous l'avons fait remonter aux sources mêmes du début de la Philosophie Grecque, soit au VIIème siècle avant notre ère par l'intermédiaire de la première femme philosophe, SAPPHO.
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