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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
14 février 2018

WWIII : LE FACE A FACE DES ARMEES D'ORIENT ET D'OCCIDENT BAT SON PLEIN. J-1 pour les Palestiniens qui vont égorger...

Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. (ce Blog non professionnel, ne fait pas appel à la publicité ni à des subventions pour exister , il est gratuit et tenu par des bénévoles).

carte-syrie

WWIII : LE FACE A FACE DES ARMEES D'ORIENT ET D'OCCIDENT BAT SON PLEIN. J-1 pour les Palestiniens qui vont égorger les fils et les compagnes des Juifs Sionistes, dans une Marseillaise tout à fait propice pour sauver leurs terres.

Publié le 14 février 2018 par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : LE FACE A FACE DES ARMEES D'ORIENT ET D'OCCIDENT BAT SON PLEIN. J-1 pour les Palestiniens qui vont égorger les fils et les compagnes des Juifs Sionistes, dans une Marseillaise tout à fait propice pour sauver leurs terres.

Syrie: 1er clash Russie/USA.

Les forces américaines ont tué des dizaines de soldats russes en Syrie la semaine dernière, ce qui peut être considéré comme la confrontation la plus meurtrière entre les troupes des anciens ennemis depuis la guerre froide, a écrit le site web américain Bloomberg. Le Président Vladimir Poutine a promis de les venger en effaçant des camps Américains hors la Loi en Syrie.

Les colons vont devoir payer leurs implantations illicites et le bannissement des Arabes en camps de concentration autour d'Israël, terre de Satan, maintenue en vie que par la grâce de Lucifer, qui dirige les Armées de la Coalition. Après cela plus un seul Juif ne voudra faire son Alya, pour un D.ieu qui n'aime pas les Sionistes et qui les compare au Veau d'Or des 40 années dans le désert. Les Juifs n'ont rien appris de leur D.ieu, et le Rabbinisme Juif également, et comme il y a deux milles ans, il ferait dire à Saint Jean-Baptiste:

1Or, en ce temps-là vint Jean-Baptiste, prêchant dans le désert de la Judée; 2Et disant : Convertissez-vous; car le Royaume des cieux est proche.

3Car c'est ici celui dont il a été parlé par Esaïe le Prophète, en disant : la voix de celui qui crie dans le désert [est] : préparez le chemin du Seigneur, aplanissez ses sentiers.

4Or Jean avait son vêtement de poil de chameau, et une ceinture de cuir autour de ses reins, et son manger était des sauterelles et du miel sauvage. 5Alors les habitants de Jérusalem, et de toute la Judée, et de tout le pays des environs du Jourdain, vinrent à lui. 6Et ils étaient baptisés par lui au Jourdain confessant leurs péchés.

7Mais voyant plusieurs des Pharisiens et des Saducéens venir à son baptême, il leur dit : race de vipères, qui vous a avertis de fuir la colère à venir? 8Faites donc des fruits convenables à la repentance. 9Et ne présumez point de dire en vous-mêmes : nous avons Abraham pour père; car je vous dis que Dieu peut faire naître de ces pierres mêmes des enfants à Abraham. 10Or la cognée est déjà mise à la racine des arbres; c'est pourquoi tout arbre qui ne fait point de bon fruit s'en va être coupé, et jeté au feu.

11Pour moi, je vous baptise d'eau en [signe de] repentance; mais celui qui vient après moi est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de porter ses souliers; celui-là vous baptisera du Saint-Esprit, et de feu. 12Il a son van en sa main, et il nettoiera entièrement son aire, et il assemblera son froment au grenier; mais il brûlera la paille au feu qui ne s'éteint point.

13Alors Jésus vint de Galilée au Jourdain vers Jean pour être baptisé par lui. 14Mais Jean l'en empêchait fort, en [lui] disant : J'ai besoin d'être baptisé par toi, et tu viens vers moi? 15Et Jésus répondant lui dit : Laisse [moi faire] pour le présent : car il nous est ainsi convenable d'accomplir toute justice; et alors il le laissa faire. 16Et quand Jésus eut été baptisé, il sortit incontinent hors de l'eau, et voilà, les cieux lui furent ouverts, et [Jean] vit l'Esprit de Dieu descendant comme une colombe, et venant sur lui. 17Et voilà une voix du ciel, disant : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai pris mon bon plaisir.
 
Jésus Christ est comme D.ieu, un protecteur des Esséniens, ce qui n'a rien à voir avec le Judaïsme d'aujourd'hui, ni avec les sous-hommes que sont les GOYIM. Le seul chemin pour aller au D.ieu des Hébreux est celui qui passe par Jésus-Christ, et par son Eglise de l'Apocalypse, Eglise de sa femme Marie-Madeleine, sise à Saint Bauzille de Montmel, au lieu dit Pic Saint Léon le Grand, dont la visite de ce dernier en 420 avait pour but de témoigner de la véritable Eglise du Christ et non du Cimetière de 6 Millions de Chrétiens que garde le Vatican sous ses pieds, sans compter les différents génocides comme ceux des Chrétiens d'Orient.

 

Les retombées mondiales de la guerre en Syrie.

Le Conflit militaire le plus significatif de notre décennie, la guerre en Syrie est aussi un moment charnière des relations internationales. Dans un infernal imbroglio qui évoque la guerre d’Espagne de 1936-1939, deux coalitions se rencontrent sur le territoire syrien. Une coalition « occidentale » (États-Unis, France, Grande-Bretagne, Arabie saoudite, Turquie, Qatar, Israël) affronte une coalition «orientale» (Syrie, Iran, Hezbollah, Russie) pour des enjeux syriens, moyen-orientaux et mondiaux. Le degré et le type d’implication des participants varient au gré des circonstances.

La nature des forces en présence distingue les deux camps. Tandis que la coalition « orientale » utilise ses soldats, la coalition « occidentale » mène une guerre par procuration où, à côté de forces aériennes et d’unités « spéciales », les troupes marchantes sont des milices djihadistes multinationales engagées dans une guerre de basse intensité, mêlant opérations militaires, attentats terroristes et sectarisme fanatisé.

Cette méthode consiste à opérer des conquêtes en employant des supplétifs irréguliers au lieu de son armée officielle. À l’invasion traditionnelle par une armée étrangère est substituée une entreprise de déstabilisation visant à envenimer des problèmes internes, à renverser un régime et à faire passer le pays visé sous le contrôle des forces externes qui l’ont déstabilisé. La guerre par procuration constitue un pis-aller auquel il est recouru quand l’attaquant n’est pas en mesure de réaliser une invasion de type classique.

Le caractère indirect de la guerre contre la Syrie procède de la difficulté pour Israël et les États-Unis d’exercer un contrôle militaire direct du Moyen-Orient. La guerre de 1973 démontre combien Israël a du mal à conserver ses conquêtes de 1967. En 2000, sous les coups du Hezbollah, il doit renoncer à son occupation du Liban commencée en 1978. Un nouvel essai en 2006 se solde par un nouveau revers aux mains du même Hezbollah.

Les États-Unis menaient leurs guerres contre le monde arabe par l’entremise d’Israël jusqu’à ce que la fin de l’URSS leur délie les mains et lève l’obstacle à l’intervention directe. Viennent sans délai la guerre contre l’Irak de 1991 puis son invasion en 2003. Ce régime change par voie d’occupation traditionnelle présage l’invasion claironnée de l’Iran et de la Syrie, de manière à réaliser la mise sous tutelle et le « remodelage » du « Grand Moyen-Orient » voulu par les néoconservateurs américano-israéliens.

Un traumatisme

Or, le triomphalisme et la fabulation sont vite chassés par la réalité : la guerre n’est pas un montage hollywoodien, mais un traumatisme où même des Américains perdent la vie. Fini le mythe du « zéro mort » (américain). Le fiasco en Irak, comme celui en Afghanistan, endeuille des milliers de familles, réveille le « syndrome du Vietnam » et contribue à mettre Obama à la Maison-Blanche. Les fantassins des prochaines guerres ne seront plus des troupes régulières, mais des djihadistes, désoeuvrés depuis leur prestation contre l’URSS en Afghanistan durant les années 1980. Plutôt que par l’invasion-occupation classique, la conquête de la Syrie se ferait par la déstabilisation.

La guerre syrienne est un tournant […] Malgré l’ampleur des ressources déployées, l’intervention de supplétifs irréguliers n’a pas mieux réussi que l’usage d’armées régulières. La tentative de démembrement se poursuivra, désormais par Kurdes interposés, mais sans espoir de contrôle du pays. En attendant leur reddition, les milices djihadistes enfermées à Idleb ne servent plus qu’à prolonger la guerre et à irriter les forces russes.

Des résidus de Daech ((le groupe armé État islamique) seraient redéployés en Afghanistan, les rapprochant de la Russie et de la Chine. Cette transhumance est révélatrice : les projets de prise en mains du « Sud » n’ont entraîné que déboires et déconvenues, nonobstant les milliers de milliards dépensés, pendant que la suprématie américaine s’érodait au profit de deux puissances qui prônent un monde multipolaire et qui demandent — question fatidique — si l’état réel de l’économie américaine justifie les privilèges dont jouit le dollar.

Un retour s’ensuit aux méthodes classiques en vue d’affaiblir la Russie et la Chine. Obama avait déjà commencé l’encerclsamir_saulement de la Chine en 2011, accentué celui de la Russie et programmé en 2014 une modernisation de l’arsenal nucléaire étatsunien au coût de mille milliards. Trump emboîte le pas en ciblant nommément ces deux puissances « révisionnistes » (de l’hégémonie américaine) et en misant sur la recherche d’armes nucléaires de faible puissance pour usage désinhibé dans des « guerres nucléaires limitées », vu l’insuccès avéré des armées conventionnelles et des auxiliaires djihadistes. On peut douter que les destinataires de tels engins se « limitent » à encaisser.

Samir Saul : professeur d’histoire à l’Université de Montréal, CERIUM

LE JOUR J, C'est dans 10 Jours.

Le jour J, le Hezbollah prêt à défoncer le mur construit par « Israël 

 
frontiere_palestine_mur
Liban - Moyent-Orient - Spécial notre site Le Hezbollah ne semble nullement préoccupé par les efforts israéliens déployés à la frontière de la Palestine occupée avec le Liban qui se partagent quelque 80 km.

« La résistance est entièrement préparée et possède désormais tous les moyens, non pas seulement ceux qui permetent l’infiltration d’individus mais aussi le flux de ses groupes en direction de la Palestine », a commenté sous le couvert de l’anonymat un observateur proche du Hezbollah, cité par le journal libanais al-Akhbar.

Il faisait allusion à la construction par Israël d’un mur qui sépare les régions palestiniennes frontalières qu’il occupe de celle du Liban. En cas de guerre, l’entité sioniste voudrait à tout prix éviter le scénario selon lequel les combattants du Hezbollah pourraient investir les colonies frontalières avec le Liban. Un scénario auquel le numéro un du Hezbollah a fait allusion dans l’un de ses discours.

Cette édification a été entamée à partir de juin 2017. Le mur d’une hauteur qui varie entre 8 et 10 mètres devrait s’étendre sur deux tronçons : le premier, d’une longueur de 5.8 km,  débutera dans le secteur occidental de Naqoura, en direction du passage Shlomi. Le second, s’étendra sur une longueur de 7.5 km depuis la colonie de Miskefaam et jusqu’à l’ancien mur de Al-Mtallé.

La construction de ce mur se fait sur le territoire libanais et plus précisément sur la Ligne bleue, un tracé conçu au lendemain de la libération du sud Liban en l’an 2000,  avec la contribution de l’Onu. Il était considéré comme une délimitation temporaire entre le Liban et la Palestine occupée. 13 points sont contestés par Beyrouth alors que Tel Aviv ne parle que de 3.

Contre cette intrusion et violation de la résolution 1701, les protestations libanaises officielles  devant l’instance onusienne se sont avérées inefficaces.

Le Haut conseil de la défense, instance conçue pour planifier la défense du Liban en cas de danger, a été chargé d’empêcher la construction de ce mur sur le côté libanais de la frontière, quitte à s’accrocher avec l’ennemi israélien.

Le Hezbollah aussi se prépare au pire. Effectuant non stop des manœuvres dans cette zone, il se dit capable de défoncer toutes les barrières ennemies, le jour J.

Syrie: 1er clash Russie/USA

Les forces américaines ont tué des dizaines de soldats russes en Syrie la semaine dernière, ce qui peut être considéré comme la confrontation la plus meurtrière entre les troupes des anciens ennemis depuis la guerre froide, a écrit le site web américain Bloomberg.

L’article corédigé par Stepan Kravchenko et Henry Meyer et publié le 13 février 2018 par Bloomberg, affirme que plus de 200 soldats sous contrat, principalement des Russes, combattant pour le gouvernement de Bachar al-Assad, sont visés et tués, dans une attaque par erreur des forces américaines et leurs alliés dans la région pétrolifère de Deir ez-Zor. Selon les États-Unis, 100 personnes ont été tuées et de 200 à 300 autres ont été blessées, sans pouvoir pour autant préciser le nombre de soldats russes tués dans cette frappe aérienne.

Bien que Bloomberge évoque, dans une partie de cet article, la mort de « 200 soldats russes » et dans une autre partie, la mort de « 200 mercenaires pour la plupart des Russes », toutefois il semblerait que ce chiffre ne corresponde pas forcément qu'aux soldats russes. Tout porte à croire que parmi les morts, « un grand nombre d’entre eux » soient des soldats « russes ».

L’article estime que cette frappe montre que le conflit syrien est beaucoup plus compliqué de ce que l’on croit.

« Ce qui n’était qu’un conflit interne s’est transformé, au fur et à mesure, en une guerre par procuration et régionale impliquant des extrémistes, des Kurdes ainsi que des acteurs régionaux et extrarégionaux », écrit Bloomberg. L’armée russe dit que les États-Unis avaient revendiqué cette attaque. Le secrétaire américain à la Défense James Mattis a qualifié la situation de « perplexe », sans fournir aucun autre détail.

« Les responsables de la coalition étaient en communication régulière avec leurs homologues russes avant, pendant et après l'attaque non provoquée », a déclaré le colonel Thomas F. Veale, porte-parole de l'armée américaine.

Selon ce dernier, la frappe de la semaine dernière a eu lieu à environ 8 kilomètres à l'est de la ligne de démarcation de l'Euphrate, le 7 février, lorsque les forces de l’ennemi ont commencé à tirer et à avancer dans le cadre d'un bataillon d’infanterie, soutenu par l'artillerie, les chars et les systèmes de missile.

Le colonel Thomas F. Veale, porte-parole de l'armée américaine, a précisé dans un communiqué qu’aucun décès n'avait été signalé du côté de la coalition et que «les véhicules et le personnel de l'ennemi qui sont retournés vers l'ouest n'ont pas été ciblés».

Le gouvernement syrien a qualifié cette attaque de « frappe barbare » et de « crimes de guerre ». Le nombre de victimes côté russe est cinq fois supérieur à l’ensemble de soldats russes tués depuis leur arrivée en Syrie en 2015.

Un élément pro-russe ayant gardé l’anonymat a déclaré à Bloomberg, lors d’un entretien téléphonique, que les pertes ne cessent de s’alourdir et que les blessés sont soignés dans des hôpitaux militaires à Moscou et Saint-Pétersbourg.

Selon Alexandre Lonov, qui dirige un groupe soutenu financièrement par le Kremlin et qui a des liens avec les éléments qui se sont battus aux côtés des forces de l’armée syrienne dans la région, la plupart des soldats russes tués ou blessés dans cette frappe américaine sont des vétérans du conflit dans l'est de l'Ukraine.

Il se peut que les « mercenaires » dont parle Bloomberg, soient des forces syriennes sur le terrain qui sont soutenues par Moscou.

Des reportages dans les médias russes ont indiqué que Wagner - une organisation mystérieuse connue sous le nom de « réaction de la Russie à Blackwater » - avait été engagée par Assad ou ses alliés pour protéger les installations énergétiques syriennes.

Yury Barmin, un analyste des questions du Moyen-Orient au Conseil des affaires internationales de Russie, a déclaré que Moscou soutenait les efforts d'Assad pour reconquérir la région « cruciale » de Deir ez-Zor ainsi que sa raffinerie occupée auparavant par Daech, afin de financer son plan national de reconstruction et de réconciliation.

Cependant, certains responsables et diplomates russes évoquent ceci comme un « grand scandale » pour les États-Unis, puisqu’ils cherchent à trouver un prétexte pour justifier leur présence illégitime en Syrie et y accéder à leurs intérêts économiques : la lutte contre le terrorisme est le dernier objectif de Washington.

Pour Vladimir Frolov, ancien diplomate russe et législateur qui est maintenant un analyste politique indépendant, cet incident meurtrier est « le premier échange armé entre deux grandes puissances depuis la guerre du Vietnam ».

Un "Sud Liban bis" bientôt au Golan?

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Les agissements israélo-américains auraient mis en colère la Russie notamment après la mort de plusieurs soldats russes lors des récentes attaques américaines à Deir ez-Zor. Assad et ses alliés ont visiblement la main haute. 

« La récente attaque syrienne contre un chasseur israélien de type F-16 a eu lieu après l'aval donné par la Russie », estime l’analyste russe Matzov sur Al-Jazeera. Pour lui, Moscou est en colère contre les Américains et Israël après la mort de plusieurs militaires russes, tués lors des raids US contre les positions des forces syriennes et de leurs alliés irakiens, les Hachd al-Chaabi. « Cet incident ira décider la Russie de changer de cap et de riposter aux attaques américaines, ce qui n'était pas le cas il y a encore quelques semaines », précise l’analyste russe.

Interrogé par la chaîne arabophone, Al-Alam, l’analyste iranien Hossein Rouyvaran affirme de son côté : « La Russie semble être revenue sur ses accords signés avec Israël, ce qui explique l'élargissement de ses liens avec ses nouveaux alliés. Auparavant, Israël  était en mesure d'imposer sa suprématie à Damas surtout dans le Sud syrien. Ce qui n'est plus le cas à présent. L'Iran soutient l'État syrien à défendre sa souveraineté dans le Sud syrien », ajoute Al-Jazeera.

Pour ce qui est du rôle de la Russie en pleine guerre syrienne, la Syrie considère la Russie comme étant l'un de ses plus proches alliés. Et c'est justement pour cette même raison que Netanyahu a contacté, juste après l'abattage du F-16, le chef du Kremlin pour le persuader à donner un coup de frein à la riposte syrienne. 

« En tout état de cause, les récents incidents dans les frontières israélo-syriennes ont eu un message important à faire passer aux agresseurs : la stratégie de dissuasion d’Israël est désormais remise en cause", explique l'analyste d'Al-Jazeera. 

Reste à savoir si Israël sera ou pas à même de faire respecter désormais "ses lignes rouges" au Golan ou si l’Iran sera à même d’imposer une nouvelle équation consistant à faire émerger "un Sud Liban bis" sur les frontières syriennes avec Israël.

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Commentaires
Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
  • La Laosophie est une philosophie de l'existence, très ancienne puisque nous l'avons fait remonter aux sources mêmes du début de la Philosophie Grecque, soit au VIIème siècle avant notre ère par l'intermédiaire de la première femme philosophe, SAPPHO.
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