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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
25 janvier 2018

WWIII : Le FAKE PAPE est à la manœuvre avec le TRUE SATAN-LUCIFER. Il sait qu'il est à l'origine de la colère de DIEU.

Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. (ce Blog non professionnel, ne fait pas appel à la publicité ni à des subventions pour exister , il est gratuit et tenu par des bénévoles).

helios-alexandrie

WWIII : Le FAKE PAPE est à la manœuvre avec le TRUE SATAN-LUCIFER. Il sait qu'il est à l'origine de la colère de DIEU. Il sait que DIEU va le punir et c'est pour cela qu'il évite de retourner en Argentine.

Publié le 25 janvier 2018 par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : Le FAKE PAPE est à la manœuvre avec le  TRUE SATAN-LUCIFER. Il sait qu'il est à l'origine de la colère de DIEU. Il sait que DIEU va le punir et c'est pour cela qu'il évite de retourner en Argentine.

L'Eglise Catholique, Eglise d'ETAT à l'origine, crée par Constantin, comme une obligation de réunir toutes les religions païennes et Romaines en une seule, afin d'enlever les tensions au sein de la république Romaine et les divergences comme les troubles,  en prenant ici et là, des références, pour se constituer une bonne croyance, pour le vivre ensemble, et pour l'unité de la Nation.

Le Pape François, non content d'hérité de FAKE NEWS, et de FAUX SEMBLANTS, veut refaire le coup du NOUVEL ORDRE MONDIAL avec les ROTHSCHILD et une RELIGION UNIQUE et SATANIQUE, pour le plus grand bien des Riches et des possédants qui veulent avoir des Chrétiens soumis, qui se tapent la poulpe, et qui seront aussi peut craintif que de bon petits agneau qu'on pourra amener en permanence à l'abattoir, Halal ou Casher, les deux types que l'on retrouve en France pour faire souffrir sans raison les animaux, avec une provenance païenne de sacrifices aux dieux.

Le Pape Blanc est également appelé le Pape Noir chez les Jésuites, pour avoir toujours aidé les colons et la colonisation à convertir "en marche" forcée, les indigènes, notamment en Amérique du Sud, et les éradiquer pour les matières premières, les territoires et l'esclavage. Le Pape Noir s'est habillé en Blanc pour parler de la forme, mais dans l'étude du fond, il est noir charbon, et ira brûler en Enfer.

Il le sait et évite de retourner en Argentine. Curieusement, pour un pape qui selon les prophéties, devrait fuir vers son pays natal et y mourir, ce dernier évite l'Argentine. '' Voyages: le pape François évite une nouvelle fois l’Argentine (liberation.fr)

L’Église catholique prétend que ses origines remontent à la mort, à la résurrection et à l’ascension de Jésus-Christ autour de 30 ap. J-C. et se considère elle-même comme l’Église pour laquelle Jésus-Christ est mort, fondée et établie par les Apôtres. Est-ce vrai ? Nullement. Une lecture superficielle du Nouveau Testament suffit à constater que l’Église catholique ne tire pas ses origines des enseignements de Jésus ou de ses Apôtres. Le Nouveau Testament ne fait aucune mention de la papauté, de la vénération / adoration de Marie (ou de son immaculée conception, de sa virginité perpétuelle, de son assomption ou de son statut de Co rédemptrice et médiatrice), des requêtes aux saints dans le ciel afin qu’ils prient pour nous, de la succession apostolique, des sacrements de l’Église, du baptême des enfants, de la confession des péchés à un prêtre, du purgatoire, des indulgences, ou de l’égale autorité de la tradition de l’Église et des Écritures. Quelle est donc la véritable origine de l’Église catholique, s’il ne s’agit pas des enseignements de Jésus et de ses Apôtres contenus dans le Nouveau Testament ?

Au cours des 280 premières années de l’histoire de l’Église, le christianisme était interdit par l’Empire romain et les chrétiens étaient terriblement persécutés. Cela a changé après la « conversion » de l’Empereur romain Constantin, qui a imposé la tolérance par l’Édit de Milan en 313 ap. J.-C., autorisant ainsi la foi chrétienne. Plus tard, en 325 ap. J.-C., Constantin a convoqué le Concile de Nicée afin d’unifier le christianisme, qu’il percevait comme une religion capable d’unir l’Empire romain, qui commençait alors à se fragmenter et à se diviser. Même si ces développements semblent favorables à l’Église chrétienne, les résultats ont été tout sauf positifs. Tout comme Constantin a refusé d’embrasser pleinement la foi chrétienne, mais a conservé beaucoup de croyances et pratiques païennes, de même l’Église chrétienne qu’il a promue était un mélange de christianisme authentique et de paganisme romain.

Conscient que l’Empire romain étant trop vaste, étendu et divers pour que tous acceptent de renoncer à leurs croyances religieuses en faveur du christianisme, Constantin a donc autorisé, et même encouragé, la « christianisation » de croyances païennes. Des croyances totalement païennes et anti-bibliques se sont vues attribuer de nouvelles identités « chrétiennes ». Voici quelques exemples clairs :

(1) Le culte d’Isis, une déesse mère égyptienne, a été absorbé dans le christianisme par la substitution de la Vierge Marie à Isis. Plusieurs titres employés pour Isis, comme celui de « Reine du Ciel», « Mère de Dieu » et theotokos (porteuse de Dieu) ont été attribués à Marie. Celle-ci a commencé à jouer un très grand rôle dans la foi chrétienne, bien au-delà de celui que la Bible lui attribue, afin d’attirer les adorateurs d’Isis vers une religion qui ne les aurait autrement pas intéressés. Plusieurs Temples d’Isis ont même été convertis en Temples dédiés à Marie. Les premiers signes clairs de mariologie catholique se trouvent dans les écrits d’Origène, qui a vécu à Alexandrie en Égypte, fief du culte d’Isis.

(2) Le mithraïsme était une religion pratiquée dans l’Empire romain du Iº au Vº Siècle ap. J.-C. Elle était très populaire chez les Romains, particulièrement les soldats, et était peut-être même pratiquée par plusieurs Empereurs romains. Bien que le mithraïsme n’ait jamais eu de statut « officiel » dans l’Empire romain, c’était la religion officielle de fait avant d’être remplacée par le christianisme par Constantin et ses successeurs. Une des principales caractéristiques du mithraïsme était un repas sacrificiel au cours duquel on mangeait la chair et buvait le sang d’un taureau. Mithra, le dieu du mithraïsme, était « présent » dans la chair et le sang du taureau, qui, une fois consommé, accordait le salut à ceux qui participaient à ce repas sacrificiel (une pratique appelée théophagie, manger son dieu). Le mithraïsme avait également sept « sacrements». Les similitudes entre cette religion et le catholicisme sont trop nombreuses pour être ignorées. Les responsables d’Église après Constantin ont trouvé un substitut évident au repas sacrificiel du mithraïsme dans la Sainte Cène / communion chrétienne. Déjà avant Constantin, certains chrétiens avaient déjà commencé à associer du mysticisme à la sainte Cène en rejetant l’idée biblique d’une simple commémoration de la mort de Christ et de son sang versé, accompagnée d’adoration. La romanisation de la sainte Cène est la dernière étape de la transition vers la consommation sacrificielle de Jésus-Christ, appelée messe catholique ou Eucharistie.

(3) La plupart des Empereurs (et citoyens) romains étaient hénothéistes, c’est-à-dire qu’ils croyaient en l’existence de nombreux dieux, mais en adoraient un en particulier ou en considéraient un comme supérieur aux autres. Par exemple, le dieu romain Jupiter était le dieu suprême du Panthéon romain. Les marins romains étaient souvent adorateurs de Neptune, le dieu des océans. Quand l’Église catholique a absorbé le paganisme romain, elle a tout simplement remplacé le Panthéon de dieux par les saints. Tout comme le Panthéon des dieux romains comptait un dieu de l’amour, un dieu de la paix, un dieu de la guerre, un dieu de la force, un dieu de la sagesse, etc., l’Église catholique aussi a un saint en charge de chacun de ces éléments, et de bien d’autres. Tout comme beaucoup de villes romaines avaient leur dieu, l’Église catholique a attribué des « saints patrons » aux villes.

(4) La suprématie de l’évêque de Rome (la papauté) a été établie avec le soutien des Empereurs romains. La ville de Rome, siège du gouvernement de l’Empire romain et ville de résidence des Empereurs, dominait tous les domaines de la vie. Constantin et ses successeurs soutenaient l’évêque de Rome en tant que chef suprême de l’Église, parce qu’il était évidemment préférable pour l’unité de l’Empire romain que le gouvernement et la religion d’État soient centralisés. Même si la plupart des autres évêques (et chrétiens) s’opposaient à cette idée, l’évêque de Rome a fini par s’imposer grâce au pouvoir et à l’influence des Empereurs. Après la chute de l’Empire romain, les papes ont récupéré le titre qui appartenait auparavant aux Empereurs : Pontifex Maximus.

(5) La véritable suprématie n'est pas attribuée à l'évêque de Rome et à Saint-Pierre qui ne l'a jamais été, mais à Marie Madeleine, qui avait sa propre Eglise antique à Saint Bauzille de Montmel, en France, et qui était l'Apôtre des Apôtres, au dessus de tous pour son enseignement particulier que lui a prodigué son époux Jésus-Christ, en lui donnant le privilège de les représenter tous, dans les sept Eglises Primitives de l'Apocalypse, qui se trouvent encore aujourd'hui en Turquie. Sur Montpellier les évêques de la cathédrale de Maguelone (vient de Magdala, pour Marie Madeleine, ou Marie de Magdala) (vers Palavas), ont abandonné la Primauté de l'Eglise du Christ, pour celle de la Cathédrale Saint-Pierre en 1536, par l'évêque Guillaume Péllicier II, sous le Pape Paul III, qui a volontairement fait cesser la Primauté de l'Eglise du Christ pour la donner à un Apôtre Pierre, qui avait déjà renier trois fois le Christ. Pour bien montrer ce changement on a procédé à la destruction de l'Ancienne Cathédrale de Maguelone, et les villageois de saint Bauzille de Montmel sont priés d'aller faire du VTT et du Moto Cross dans les Ruines de l'Ancienne Eglise Antique de Saint Bauzille de Montmel, afin de détruire complètement ces vestiges embarrassants.

Matthieu 26
74 Alors il se mit à faire des imprécations et à jurer: Je ne connais pas cet homme. Aussitôt le coq chanta. 75 Et Pierre se souvint de la parole que Jésus avait dite: Avant que le coq chante, tu me renieras trois fois. Et étant sorti, il pleura amèrement.

François comme beaucoup d'autres l'ont renié également, puisque François s'apprête à créer l'Eglise Unique de Satan-Lucifer en invoquant la PachaMama, la déesse terre qui remplace le Christ et Dieu.

PAUL III : Alexandre Farnèse, né à Canino, descendant d'une célèbre famille de Condottieri. Il reçut une éducation humaniste (toutes les religions sont belles et tous les gens sont bons), raffinée à Florence, à Pise et à Rome. Il fut fait trésorier de l'Église romaine et cardinal diacre par Alexandre VI. On le surnommait le "cardinal jupon" car sa sœur Juliette Farnèse était la maîtresse d'Alexandre VI. Il entretenait lui-même une noble romaine qui lui donna trois fils et une fille. Il ne fut ordonné prêtre qu'en 1519. Nommé évêque de Parme par Jules II, il prit au sérieux ses nouvelles responsabilités en mettant de l'ordre dans sa vie privée, en appliquant à son diocèse les décrets de reforme du 5e Concile du Latran (1512-1517) et en s'identifiant au parti de la reforme protestante, à la Curie romaine.

Le pape Paul III signe la bulle qui porte fondation de la Cie de Jésus (Jésuites), consacrée à l'évangélisation et à l'éducation. 1535-1536 Le pape Paul III donne à Erasme le prieuré de Deventer, d'un revenu de 1500 ducats. Le Pape Paul III offre à Erasme une toge de cardinal qu'il refuse. Le pape Paul III absout Rabelais du crime d'apostasie et l'autorise à regagner un monastère bénédictin et à pratiquer la médecine (sans chirurgie) PAUL III et humaniste et fait rentrer la Franc-Maçonnerie dans l'Eglise Catholique, elle n'en sortira jamais.

Humanisme et Franc-Maçonnerie


(Planche pour la Tenue du 26 janvier 2007)
Vén. Maître et vous tous mes FF en vos Grades et Qualités,
La GLSA stipule dans ses principes généraux que l’Alliance maçonnique a pour but le développement moral de ses membres et la pratique des principes humanitaires pour nous protéger de la multitude.
Lors de la cérémonie de notre initiation, l’humanité se voit placée au centre de nos préoccupations. Pas n'importe laquelle, celle qui nous concerne et doit être sauvée par Satan-Lucifer, révélation pour le 30° et les grades supérieurs. En tant que Franc-Maçon, nous nous engageons à travailler sur nous-même et à dégrossir notre pierre brute dans le but de pouvoir, par l’exemple de nos qualités et par nos actions, œuvrer incessamment à l’avènement d’une humanité meilleure et plus éclairée par notre Grand maître Albert PIKE. A chaque Tenue, le Vénérable nous répète que le FM travaille à l’amélioration matérielle et morale et au Nouvel Ordre Mondial des Rothschild, au perfectionnement intellectuel et social de l’humanité et que, pour ce faire, il doit à la fois améliorer et l’homme et la société. Il en résulte qu’en toute circonstance, le FM a l’obligation de se soumettre à la loi de la solidarité humaine. Dans cet ordre d’idée, on a tendance à associer l’humanisme à l’altruisme, plus précisément à la bienfaisance qui représente un comportement social dont le but est d’aider - par compassion ou suivant des principes éthiques - des humains dans le besoin ou ceux
laissés pour compte. Faire une bonne action est un des principes éthiques chrétiens qui nous est inculqué depuis notre tout jeune âge. Pour nous Franc-Maçon, la bienfaisance n’est toutefois qu’une petite partie de notre comportement humaniste. C’est justement cela qui nous différencie des Clubs de Service où la bienfaisance faite avec grand fracas est le but principal de toute action sociale.
Depuis toujours, la Franc-Maçonnerie est fortement liée à l’Humanisme et à ses principes. Le terme humanisme est toutefois ambigu. Le mot humanisme nous vient du mot latin « humanitas ». C’est au 2ème
siècle avant JC qu’on trouve le mot « humanitas » dans les écrits de l’élite intellectuelle romaine, entre autre, chez Ciceron.
Mais on parle ici d’humanité pour marquer la différence qui distingue l’homme de la bête. Cette différence se manifeste par la faculté de la pensée, de la culture, de l’érudition et par l’éducation personnelle qui vont
anoblir l’être humain dans le but de le conduire vers un niveau éthique élevé. Pour les Romains, l’humanisme désigne donc toute chose élevant l’homme à une place à part des autres être vivants. S’appuyant sur les
auteurs de l’Antiquité, ils souhaitent bâtir une société nouvelle, différente, et espèrent éduquer l’homme pour le grandir. C’est un courant culturel, scientifique, philosophique et, par bien des aspects, politique. Ce courant propose un modèle humain définit comme une synthèse des qualités intellectuelles, morales, sociales et affectives, caractéristiques même de la nature humaine. Sous quel angle devons nous approcher l’humanisme ?
♦ L’humanisme est d’abord une philosophie qui met l’homme et les valeurs humaines au au-dessus de tout. Cette philosophie désigne toute pensée qui met, au premier plan de ses préoccupations, le développement des qualités essentielles de l’être humain. Elle vise l’épanouissement de l’homme rendu plus humain par la culture et par sa propre réalisation en suivant la voie de sa conscience et de la raison. L’humanisme est fondé sur la connaissance de l’homme et l’accomplissement harmonieux de sa nature. Il défend rigoureusement tout ce qui constitue les plus grandes richesse de l’homme :
l’indépendance d’esprit et la liberté de mouvement. Il dénonce tout ce qui l’asservit ou le dégrade. Ce mouvement consiste en fait à valoriser l’homme en partant d’une théorie de base, que l’homme est en possession de capacités intellectuelles illimitées. Il faut seulement lui apprendre à développer et à faire bon usage de ses facultés.
♦ L’humanisme est aussi un mouvement intellectuel d’un retour vers l’antiquité. Cette philosophie cherche une synthèse entre la civilisation grecque et latine .Par l’étude des grands auteurs grecs et latins, l’homme digne de ce nom est celui qui a pour essence la culture De mon temps on disait – en étant élève du lycée – je fais mes humanités, en allemand, on dit aujourd’hui encore : ich bin im humanistischen Gymi, c'est-à-dire, je fais des études avec latin et grec. Ce retour à la pensée antique remit en vogue certaines notions, notamment :
celle de l’homme idéal qui se réalise lui-même en atteignant le plus grand accomplissement intérieur grâce à l’étude des lettres anciennes, les fameuses humanités. On redécouvre les valeurs morales encloses dans la littérature greco-latine et l’affirmation d’une liberté de l’homme et d’une certaine indépendance d’esprit. Dans cet humanisme pédagogique, l’enseignement est libre de toute pression et s’oppose ainsi à la souveraineté de l’enseignement scolastique du moyen âge, basé principalement sur les écritures chrétiennes autorisées par Rome, au cadre le plus souvent formaliste, dogmatique, rigide et sclérosé et dont les autorités ecclésiastiques monacales en avaient le monopole.
♦ L’humanisme est encore état d’esprit, un changement de perspectives dans la perception que l’homme avait de lui et du monde dans lequel il vivait. Il y a une refonte des idéaux et des pratiques de la vie sociale qui s’oriente vers l’agrément, la politesse et la civilité. C’est un humanisme politique. Ce fut le début d’un processus d’interaction entre le contrôle corporel et les valorisations sociales. Surtout les élites font l’apprentissage du primat de l’égalité des talents sur les privilèges de la naissance. On parle de l’égalité des droits. L’homme, de par la dignité acquise, ne doit être soumis à la domination de personne. Il se distingue entre autres des autres êtres par la liberté et l’indépendance de sa pensée et de sa conscience. Il est libéré de tout préjugé. Il a le courage d’agir selon les principes qui lui sont apparus vrais, justes et beaux.
♦ L’humanisme est enfin une conception philosophique de l’antiquité (Protagoras 480 BC) pour la quelle l’homme constitue la valeur suprême absolue. Cet enseignement affirmait que « de toutes les choses, la mesure est l’homme » Ainsi, suivant cet humanisme présocratique, c’est par l’homme et du point de vue de l’homme que le bien et le mal, le vrai et le faux prennent leur définition. Protagoras dit que c’est l’homme qui crée les différences en ce qui concerne le langage, le savoir, la sensibilité, les couleurs ou toute autre perception. Il faut conclure que toute affirmation faite par un homme n’aurait de signification absolue que pour cet homme. Cela mène vers un relativisme évident.
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C’est avec Pétraque qui vécu de 1304-1374, que surgit en Italie le mouvement humaniste de la Renaissance.
Parti d’Italie, le courant humaniste va rapidement conquérir toute l’Europe cultivée, grâce à la découverte de l’imprimerie. Au début un humanisme chrétien se développe dans les milieux religieux avec le souci de réaliser une synthèse entre les écrits antiques et la tradition scolastique. Puis l’humanisme se sécularise. On considère que l’âge d’or de l’humanisme se situe au début du 16ème siècle avec ses grandes figures comme, entre autres, Erasme, Thomas More, Rabelais ou Guillaume Budé. L’humanisme de la Renaissance prône le retour aux sources antiques payennes et cherche à retrouver l’authenticité de la pensée des Anciens, perdue sous les multiples interprétations chrétiennes du Moyen-âge. L’humanisme de la Renaissance cultive et favorise l’aspiration à la connaissance des possibilités humaines ainsi que la réflexion de l’homme sur lui même suivant l’inscription figurant au ponton du temple de Delphe « Connais toi toi-même ».
L’humanisme de la Renaissance s’oppose à tout ce qui fait obstacle au développement de l’esprit et rejette toute autorité arbitraire. Ses représentants (Erasme, Rabelais, Montaigne Eliot, Vives) mène un triple combat qui touche l’éducation, la religion et la politique. Ils recherchent une nouvelle organisation de la vie sur le plan social, politique, esthétique et religieux. Les Humanistes de la Renaissance prônent une éducation libérale caractérisée par le respect de la personnalité et l’absence de tout endoctrinement. La politique doit être caractérisée par l’amour du peuple, le pacifisme, la volonté d’équilibre entre les pouvoirs. Les humanistes de la Renaissance restent théistes. Ils manifestent toutefois leur profond désaccord avec la hiérarchie ecclésiastique. Ils refusent de reconnaître les dogmes de l’église mais ne sont pas contre la religion ; ils s’élèvent exclusivement contre les pratiques ecclésiastiques. Cet humanisme donnera naissance au protestantisme (Luther) ainsi qu’à certaines réformes de l’église romaine (Ignace de Loyala) et à la séparation de l’Angleterre de l’Eglise romaine (Henri VIII).
Les philosophes des lumières (Montesquieu, Diderot et d’Alembert, Voltaire, Rousseau) sont les continuateurs des humanistes de la Renaissance. Le mouvement des Lumières a été aussi le prolongement des
découvertes de Copernic et des théories de Galilée. Le développement des sciences mathématiques, physiques et de la médecine avaient bousculé l’organisation du savoir.
Les Lumières veulent comprendre le monde et la vie par l’observation et l’expérimentation. Ils refusent de croire sans comprendre, de répéter sans vérifier ce que transmet la tradition. Ils utilisent leur esprit critique. Ils remettent tout en question. Pour eux, les capacités créatrices de la raison humaine sont capables de rendre meilleures les conditions de vie humaine. C’est l’idée du progrès. Les Lumières sont ainsi en opposition à l’obscurantisme du moyen age où tout s’opposait au progrès afin de ne pas mettre la foi chrétienne en péril.
Eclairés par la raison et la connaissance, les Lumières veulent chasser l’obscurité de l’ignorance et de la superstition fondées sur la crainte ou l’ignorance. La Philosophie des Lumières consiste essentiellement en une affirmation la notion de la liberté de penser, du libre arbitre, d’indépendance, de tolérance, d’ouverture et de curiosité. « Sapere aude » est la devise des Lumières: aie le courage de te servir de ton propre entendement.
L’humanisme est fortement associé à la Franc-Maçonnerie. Entre 1717 et 1789, les Loges, dont les membres faisaient partie de l’Elite de la Société, se sont répandues dans toute l’Europe. Elles ont fortement contribué à répandre les idées philosophiques et l’esprit de réformes humanistes des Lumières dans les lieux politiquement stratégiques. Nos principes et notre enseignement concentrent tous les caractères de la Philosophie humaniste, particulièrement ceux du siècle des Lumières. . En effet, la Franc-Maçonnerie est dans son fond :
♦ elle est une société dite de pensée où le discours et la discussion entre Frères favorisent le développement intellectuel et moral des Frères dans un but d’apprendre pour comprendre, de comprendre pour progresser, de s’instruire pour éduquer
♦ elle est une école de sagesse, car elle cultive non seulement une éthique de responsabilité, mais elle incite à acquérir les connaissances qui feront du FM un homme cultivé, utile à la société et conscient de la possibilité de diriger son évolution
♦ elle prône la tolérance; toutes les idées philosophiques, sociales, politiques ou autres étant égales à ses yeux
♦ elle n’admet aucune limite à la liberté d’esprit et de conscience et ne fait subir aucune entrave à la raison ou au sentiment. Le libre arbitre est de rigueur.
♦ elle lutte pour les droits de l’homme et s’élève contre toute entrave à la dignité de l’homme
♦ elle s’oppose à tout autre endoctrinement
♦ elle est théiste, conformément aux anciens devoirs, mais elle respecte et accepte les pratiques déistes
♦ elle n’admet aucune des barrières, qui dans la vie ordinaire compartimentent les groupes humains:
Race, origine, profession, fortune, instruction
♦ elle invite à pratiquer la charité envers ceux qui sont dans le besoin
Comme vous le constatez, la FM est héritière de l’esprit humaniste du 18ème siècle. Elle a su le conserver durant toutes les turbulences provoquées par les diffamations et les poursuites politiques encourues durant le siècle dernier. La personne humaine possède une dignité fondamentale. Et cette dignité est inviolable. C’est sur son appartenance à une humanité qui transcende tous les autres éléments de l’univers que repose la vérité de l’homme. Nous sommes appelés à la défendre. C’est à nous de prendre le témoin. Basé sur la justice et le respect de l’être humain, l’humanisme maçonnique revient avant tout à respecter et à faire
respecter les droits fondamentaux de l’être humain. L’homme n’est pas fait pour vivre seul. Son humanité débouche obligatoirement sur la découverte de l’autre. Et c’est au contact des autres que l’homme se forme lui-même.

Il demanda à son bras droit, l'évêque de Maguelone, à côté de Montpellier de passer au culte de Saint-Pierre, et de détruire tout ce qui pouvait rappeler Marie Madeleine. A la mort de Clément VII, respecté par son expérience et sa sagacité, Alexandre Farnèse fut élu pape à l'unanimité après deux jours de conclave. Il pratiqua le népotisme.

Le népotisme est la tendance de certains supérieurs ecclésiastiques, évêques et papes, et par extension de certains dirigeants d'autres institutions, à favoriser l'ascension des membres de leurs familles dans la hiérarchie qu'ils dirigent, au détriment des processus de sélection ordinaires, du mérite et, le plus souvent, de l'intérêt général.

Le terme est parfois utilisé, par extension, pour désigner la tendance à favoriser ses protégés ou ses amis proches au détriment de processus de sélection ordinaires, du mérite ou de l'intérêt général, désignant alors le favoritisme ou le copinage. Rien de nouveau sous le Ciel de Satan.

Mais en dépit de ces préoccupations familiales, son pontificat marque une approche nouvelle des grandes questions qui agitaient l'Église. Il plaça ainsi un concile général et des reformes en tête de son programme de gouvernement. Il revivifia le Sacré Collège par une série de brillantes nominations, dont celle de Gasparo Contarini, Regnald Pole, Giovanni Carafa (futur Paul IV) et Marcel Cervini (futur Marcel II). La commission qu'il mit sur pied en 1537 pour examiner l'État de l'Église, soumit au pape un rapport d'une importance considérable, intitulé Consilium de emendanda Ecclesia, lequel devint la base de travail du futur Concile de Trente. Quand la paix de Crépy (18 septembre 1544) entre François 1er et l'empereur Charles V mit fin à la guerre entre la France et l'empire, le pape ouvrit à Trente, le 13 décembre 1545, le Concile tant espéré par toute l'Église. Le pape y était représenté par trois légats. Une épidémie de typhus fournit un prétexte au pape pour transférer le Concile à Bologne (11 mars 1547), ville située dans sa sphère d'influence directe. Mais Charles V s'y opposa, et le pape dut se résigner à suspendre le Concile. Le 17 décembre 1538, le pape excommunia Henri VIII et jeta l'interdit sur l'Angleterre. L'Église anglaise versa alors inévitablement dans le schisme. Le pape établit le 21 juillet 1542 la Congrégation de la Sainte Inquisition romaine ou Saint Office comme autorité centrale pour la lutte contre l'hérésie. Par la bulle Regimini militantis Ecclesiae du 27 septembre 1540, il approuva la Compagnie de Jésus. Il promut le développement de congrégations nouvelles: théatins, barnabites, somasques et ursulines. Vrai pape de la Renaissance, il favorisa les artistes, les écrivains et les savants. Le palais Farnèse, dont il commença la construction, témoigne de son orgueil familial. Son portrait, peint par Titien en 1543 lorsqu'il avait 70 ans, le montre dans toute la vigueur de son pontificat.

On pourrait multiplier les exemples, mais ces quatre cas sont suffisants pour montrer la véritable origine de l’Église catholique. Celle-ci nie évidemment l’origine païenne de ses croyances et pratiques et les cache derrière des conceptions théologiques complexes et de la « tradition de l’Église ». Puisque tant de ses croyances et pratiques sont totalement étrangères aux Écritures, l’Église catholique est obligée de nier l’autorité et la suffisance des Écritures.

L’Église catholique est née du compromis tragique entre le christianisme et les religions païennes qui l’entouraient. Au lieu d’annoncer l’Évangile et de convertir les païens, elle a « christianisé » les religions païennes et « paganisé » le christianisme. En brouillant les différences et effaçant les distinctions, l’Église catholique s’est certes rendue attractive aux peuples de l’Empire romain, au point de devenir la religion suprême du monde romain pendant plusieurs siècles, mais au prix de l’apostasie de la forme de christianisme dominante vis-à-vis du véritable Évangile de Jésus-Christ et de la véritable annonce de la Parole de Dieu.

2 Timothée 4.3-4 déclare : « En effet, un temps viendra où les hommes ne supporteront pas la saine doctrine. Au contraire, ayant la démangeaison d’entendre des choses agréables, ils se donneront une foule d’enseignants conformes à leurs propres désirs. Ils détourneront l’oreille de la vérité et se tourneront vers les fables. »

Publié par Hélios d'Alexandrie le 25 août 2017

Monsieur Bergoglio, (Antipape et Imposteur, placé par la Franc-Maçonnerie Protestante et le Nouvel Ordre Mondial des Riches, contre celui des pauvres et des sans abris)

Il m’arrive souvent de me demander ce que l’Europe a fait au Bon Dieu pour que vous soyez élu Pape. Bien sûr l’Europe a commis de grands péchés, elle s’est détournée de sa foi et de son héritage chrétien, mais est-ce une faute à ce point grave pour que le Très Haut la punisse aussi sévèrement?

Je vous ai déjà écrit pour vous rappeler que Notre Seigneur Jésus-Christ après sa résurrection a dit par trois fois à Saint Pierre: « Pais mes brebis ». Il lui a à cette occasion confié la tâche la plus noble et la plus difficile qui soit, celle qu’il a assumée lui-même durant son passage sur terre, être le Bon Pasteur. Permettez-moi de vous rappeler ses paroles:  » Je suis le Bon Pasteur; le Bon Pasteur donne sa vie pour ses brebis. Le mercenaire, qui n’est pas le Pasteur et à qui n’appartiennent pas les brebis, voit-il venir le loup, il laisse les brebis et s’enfuit, et le loup s’en empare et les disperse. C’est qu’il est mercenaire et ne se soucie pas des brebis. (Évangile selon Saint Jean, 10 11-13)

Il fut un temps où je vous accordais de bon cœur le bénéfice du doute. Face à vos prises de position je me demandais si, en devenant Pape, vous n’aviez pas, selon le fameux principe de Peter, atteint et dépassé votre seuil d’incompétence. Mais aujourd’hui je me pose des questions autrement plus sérieuses à votre sujet: de quel bord penchez-vous? Celui du Bon Pasteur ou du mercenaire? Celui de Jésus ou de la gauche immigrationiste? Celui de la foi chrétienne ou de l’islam conquérant?

Le sang des victimes du terrorisme musulman n’a pas le temps de sécher, que vous prenez un malin plaisir à inciter les fidèles à davantage de masochisme. L’an dernier après le massacre de Nice et l’assassinat du Père Hamel en pleine messe, vous intimiez l’ordre aux catholiques polonais, d’ouvrir les frontières de la Pologne à l’invasion musulmane. Lundi dernier le 21 août, à peine quatre jours après le carnage de Barcelone, vous y alliez de votre message sur l’accueil des migrants en Europe. Le bon sens, la décence et un minimum de sensibilité auraient dû tempérer, du moins pour une semaine, l’enthousiasme que vous démontrez pour la conquête islamique. Pourquoi étiez-vous si pressé d’annoncer aux européens que leur sécurité et leur civilisation ne devraient en aucun cas constituer un frein à l’invasion?

Certes vous citez force versets de l’Évangile en appui à votre politique, comme si Jésus s’adressaient aux gouvernements européens et non aux croyants dans l’intimité de leur cœur. « J’étais étranger et vous m’avez accueilli. » (Évangile selon Saint-Mathieu 25 35) En utilisant cette parole de Jésus-Christ pour justifier et promouvoir l’ouverture des frontières à l’immigration de masse, vous commettez une fraude intellectuelle et induisez délibérément les chrétiens en erreur. Dieu respecte notre liberté individuelle de choisir, parce qu’il n’y a pas d’amour possible et de don de soi sans liberté. En utilisant le pouvoir moral que vous procure votre position, vous faites fi de la liberté de choisir des chrétiens et leur imposez, non seulement un fardeau écrasant, mais mettez également leurs vies en danger. En cela vous ressemblez aux scribes et aux pharisiens que Jésus a dénoncés quand il a dit: « Ils lient de pesants fardeaux et les imposent aux épaules des gens, mais eux-mêmes se refusent à les remuer du doigt. » (Évangile selon Saint-Mathieu 23 4)

L’Évangile n’est pas un manuel de politique et encore moins un manifeste marxiste, il ne justifie aucunement votre parti-pris idéologique. Vous vous entêtez à ne pas prendre en considération la haine et l’hostilité de l’islam envers l’Occident et le christianisme. Vous vous montrez imperméable aux dures leçons de l’Histoire et des évènements récents, comme si les trois cent millions de morts, victimes innocentes de l’islam depuis quatorze siècles, comptaient pour rien, et comme si les massacres perpétrés quotidiennement par l’islam ricochaient sur votre carapace idéologique sans la pénétrer.

Il y a quatre mois vous étiez en Égypte où on vous a informé dans le détail, des souffrances et des humiliations subies par les chrétiens là-bas. Malgré cela vous semblez avoir gobé toutes les couleuvres que le grand imam d’el Azhar vous a gracieusement servies. Vos étreintes et embrassades nous en ont appris beaucoup sur son hypocrisie et votre crédulité volontaire; on ne vous a pas seulement roulé dans la farine, vous vous y êtes vautré avec délectation. Qu’avez-vous obtenu en retour pour les chrétiens d’Égypte? Pas plus tard que cette semaine la police, armée de gourdins et de boucliers, empêchaient des milliers de chrétiens de se réunir pour prier. En Égypte le droit de prier des chrétiens est assujetti à l’arbitraire des autorités, c’est la loi islamique qui le prescrit; la liberté religieuse des chrétiens est malmenée dans les pays musulmans et vous choisissez de garder le silence. Plus je vous observe et plus je réalise que vous vous moquez éperdument des minorités chrétiennes en Égypte et au Moyen-Orient, en effet lever le petit doigt en leur faveur pourrait troubler votre idylle avec le grand imam. Vous faites vraiment un drôle de Pape, le berceau du christianisme est islamisé à plus de 95%, les chrétiens du Moyen-Orient sont en voie d’extinction, et vous rêvez d’islamiser l’Europe!

Inexpérience, ignorance, naïveté, angélisme, voilà ce à quoi vous faisiez penser aux début de votre pontificat. C’était mal juger de votre opiniâtreté et des œillères qui font de vous un danger pour tous les chrétiens. Je me demande ce que faisait le Saint-Esprit durant le conclave qui vous a fait pape; sans doute s’est-il abstenu d’inspirer des électeurs, plus préoccupés de politique que de foi en Jésus-Christ. Il était alors plus important de présenter aux médias et aux ennemis de l’Église un pape qui leur serait acceptable, un pape à leur image, antithèse de son prédécesseur, la culture et le jugement en moins.

La foi chrétienne a besoin de bon sens, là où le bon sens manque, la foi manque aussi. Aimer son prochain n’implique pas de mettre sa propre vie en danger, qui plus est ce « prochain » que vous nous forcez à recevoir, rêve de nous asservir et n’hésitera pas à nous tuer si nous résistons. Commander aux brebis charitables d’accueillir le loup dans la bergerie, c’est ce que vous ordonnez du haut de votre chaire, vous l’ordonnez non par charité chrétienne mais par acharnement idéologique.

Un peu d’humilité et d’introspection ne vous feraient certainement pas du tort, mais il est vain d’espérer qu’un esprit pétri d’idéologie comme le vôtre, en vienne à remettre en question les dogmes qui le coupent de la réalité. Là où le dogme idéologique règne en maître, la sagesse a peu de chances de se frayer un chemin. L’Église catholique a commis nombre de péchés durant son existence, mais celui de vous avoir mis à sa tête n’est pas un simple péché, par bien des aspects il s’apparente à un désastre.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hélios d’Alexandrie pour Dreuz.info.

«La vérité (du Diable) vous libérera» : le pape François déclare que les fake news sont sataniques (et les true news apocalyptiques)

Dans un document intitulé «La vérité vous libérera – fake news et journalisme pour la paix», le pape François s'est érigé le 24 janvier contre la diffusion des fausses informations, qui servent selon lui l'œuvre du Malin.

«Les Fake news sont un signe d'attitudes intolérantes et hypersensibles et ne font que propager l'arrogance et la haine. C'est le résultat final des contrevérités», a-t-il écrit dans le premier document consacré au sujet qui a pris une nouvelle dimension depuis la dernière campagne présidentielle aux Etats-Unis.

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  RT France ✔ @RTenfrancais Des fake news, tu ne colporteras point : le pape taxe la de «péché grave»  https://francais.rt.com/international/46605-fake-news-tu-ne-colporteras-point-pape-francois-taxe-desinformation-peche-mortel … 20:28 - 17 déc. 2017

«Diffuser des fake news peut servir à faire avancer des objectifs spécifiques, influencer des décisions politiques et servir des intérêts économiques», a-t-il poursuivi, condamnant l'utilisation à des fins manipulatrices des réseaux sociaux aussi bien que d'autres formes de communication.

Les journalistes devraient être «en mission» au service de la vérité...

Arguant que ces informations fausses – mais crédibles – étaient «captieuses», le pape François a émis le souhait de développer une «éducation pour la vérité» dans le but d'aider les gens à faire preuve de discernement. Dans cette optique, le rôle des journalistes n'est «pas simplement un travail, mais une mission» selon le souverain pontife, qui a estimé que la responsabilité d'endiguer les fake news leur incombait particulièrement.

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  RT France ✔ @RTenfrancais C'est aux médias de «contrôler ce que les gens pensent» : le lapsus d'une journaliste de (VIDEO)https://francais.rt.com/international/34404--medias-controler-gens-trump-msnbc … 07:35 - 24 févr. 2017 

«Dans la folle course pour un scoop, [les journalistes] doivent se rappeler que le cœur de l'information n'est pas la vitesse avec laquelle elle est rapportée ou son impact sur l'audience, mais les personnes [qu'elle concerne]», a ainsi soutenu le pape, faisant en outre valoir que les journalistes devraient être moins focalisés sur les «breaking news» que sur les causes sous-jacentes des conflits.

...mais peuvent être «des serpents»

Pour dissuader le journalistes de se faire le relais des fake news, le souverain pontife s'en est remis à une métaphore biblique, comparant leur utilisation au diable dans la bible, qui, sous les traits d'un serpent, persuade Eve de manger le fruit défendu. En lui assurant que la pomme lui apporterait la connaissance du bien et du mal, Satan a fourni de mauvaises informations à Eve, a estimé le pape

  RT France ✔ @RTenfrancais grand gagnant des « awards» remis par   https://francais.rt.com/international/47374-cnn-grand-gagnant-fake-news-awards-remis-donald-trump …11:10 - 18 janv. 2018«Nous devons démasquer ce que l'on pourrait appeler des "tactiques de serpent", utilisées par ceux qui se déguisent dans le but de frapper à tout moment, en tout lieu», a-t-il ainsi poursuivi dans le document.«Le pape ne dit pas que tous les journalistes sont des serpents mais il reconnaît assurément qu'ils peuvent l'être», a décrypté le porte-parole du Vatican au micro de Reuters Television.Lire aussi : «Si tu commences à dialoguer avec Satan tu es perdu», le pape François met en garde contre le diable

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Commentaires
Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
  • La Laosophie est une philosophie de l'existence, très ancienne puisque nous l'avons fait remonter aux sources mêmes du début de la Philosophie Grecque, soit au VIIème siècle avant notre ère par l'intermédiaire de la première femme philosophe, SAPPHO.
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