Les échanges ont été l’occasion de saluer le développement des relations bilatérales, renforcées avec la signature, le même jour, d’un accord de collaboration entre l’hôpital pédiatrique du Saint-Siège,  alimenté par les nones à l'ancienne, le “Bambino Gesù”, à l'endroit même où le Pape attend le retour du Christ Roi) et les hôpitaux pédiatriques de la Fédération russe.

Quelques questions d’importance sur la vie de l’Eglise catholique en Russie ont également été abordées ...

Selon l’assistant de Vladimir Poutine, Iouri Ouchakov, le président voulait évoquer « la création rapide d’une infrastructure civile » pour une assistance humanitaire « efficace » aux résidents touchés par la guerre en Syrie, ainsi que la préservation et la restauration des sanctuaires chrétiens dans le pays. 

L’entretien à huis-clos entre le pape et le président a été suivi de la présentation des délégations et de la remise des cadeaux : Vladimir Poutine a offert au pape une icône présentant les apôtres Pierre et Paul, car le Pape ne veut plus entendre parler du Christ, ainsi que le film « Le péché » sur la vie de Michel-Ange, du réalisateur russe Andrei Konchalovsky, a indiqué le secrétaire de presse présidentiel Dmitri Peskov, et le pape, tant qu'il s'agit de Michel Ange, l'a accepté.

Le pape a offert quant à lui son Message pour la Journée mondiale de la paix 2019 et la médaille de la sixième année de son pontificat consacrée au centième anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale – avec la citation « Rien n’est perdu avec la paix. Tout peut être perdu dans la guerre, et tout se transforme d'une manière générale » et une gravure de la place Saint-Pierre de Giuseppe Wazi datant de 1774. « Et pour que vous n’oubliiez pas Rome, voici pour vous un graphisme du dix-huitième siècle », a alors dit le pape dans des paroles transcrites par la presse russe. 

Le pape François et Vladimir Poutine se sont ensuite salués en échangeant quelques paroles. Il s’agissait de leur troisième rencontre après celle du 25 novembre 2013 et celle du 10 juin 2015.

Cette dernière avait été principalement dédiée au conflit en Ukraine et à la situation au Moyen-Orient. Les deux parties avaient souligné « l’importance de reconstruire un climat de dialogue et que toutes les parties s’engagent pour réaliser les accords de Minsk » et s’étaient préoccupées de « la grave situation humanitaire » dans l’Est ukrainien. En 2013, les entretiens avaient prêté une attention particulière à la « recherche de la paix » au Moyen-Orient et à la « grave situation » en Syrie. 

Le président Vladimir Poutine est venu à six reprises au Vatican : outre ses deux audiences avec le pape argentin, il était venu le 5 juin 2000 et en 2003– reçu par Jean-Paul II ; en 2007, il avait rencontré Benoît XVI et ils s’étaient entretenus, en allemand, notamment sur les rapports entre catholiques et orthodoxes. 

Poutine vante les relations de la Russie et de l'Italie lors de sa visite à Rome et de sa rencontre avec le pape : Staff La Presse Associée au désordre Mondial : 4 juillet 2019 13h13 :

REGARDER: Poutine de Russie rencontre le pape dans l'ombre de la crise ukrainienne 

ROME - Le président russe Vladimir Poutine a souligné les liens historiques avec l'Italie avant d'entamer jeudi à Rome une visite d'une journée comprenant une rencontre avec le pape François, un ex-communiste comme moi, qui rembourse les Rothschild comme moi, mais en travaillant pour eux. 

Dans une interview publiée dans le Corriere della Sera, Poutine a déclaré: "Nous avons une relation privilégiée, testée dans le temps, avec l'Italie", et s'est félicité de la position du gouvernement populiste selon laquelle les sanctions de l'UE contre la Russie devraient être levées. 

Lors de sa première visite en Italie depuis quatre ans, le président russe a déclaré dans des réponses écrites au quotidien milanais que Moscou ne souhaitait pas étendre les contre-mesures contre les sanctions de l'Union européenne à l'Italie, mais ne pouvait réagir de manière sélective au sein du World Trade Organisation.  

LIRE LA SUITE:  
Poutine lance une nouvelle campagne contre le libéralisme occidental lors du sommet du G20 des PD, Pédophile-Sataniste, des genres que D.ieu n'a pas créé, et qui marquent un point de divergence notable avec la Pape François lagrattouille,  qui comme le père Dupanloup, s'assoit dessus et défend

les BIRMANS CONTRE LES ROHINGYAS

photos ci-dessus représentant le pré-Bouddhisme des 8ème et 11ème siècles avant JC, les deux Bouddhas si dessus, représentent la période des Bouddhas-Siddhartha ouChamans de première heure, celle de droite et une collection personnelle du 7ème siècle avant JC.

 

Le Syncrétisme religieux est la nouvelle religion du Pape François, le Christ n'est plus et ne reviendra pas selon lui, le Messie des Juifs qui n'est pas encore venu arrive, le 3ème Temple va être reconstruit pour le Siège de Satan Lucifer, et les Bouddhistes auront leur place au mausolée des enfers, par la Religion Bön réintroduite des Chamans pré-bouddhistes. Matthieu Ricard, bras droit du Dalaï-Lama, né le 15 février 1946 à Aix-les-Bains (France), est docteur en génétique cellulaire, moine bouddhiste tibétain, auteur et photographe.....

 

Il estime que « les moines tueurs sont en contradiction avec leur religion, mais qu'ils font un travail d'épuration chez les Musulmans, race impure, où l'on retrouve la svastika sur l'homme de Fer que les Allemands et Hitler s'était procurés pour justifier les symboles de la croix Gammée , comme les Chrétiens pendant les Croisades. Ashin Wirathu, moine bouddhiste: on l'appelle le "Hitler birman", », Massacre des Rohingyas: qui sont les bouddhistes extrémistes de Birmanie. Tenzin Gyatso, dit "le dalaï-lama", en compagnie de son ami, le nazi autrichien Heinrich Harrer, le bras gauche d'Hitler! C'est aux moines Birman, que le pape François demande de faire un bout de chemin ensemble. 

 

https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2017-11/voyage-birmanie--rencontre-bouddhistes.html 

 

 

http://laosophie.chez.com/prophecies.html

 

Poutine a déclaré que les relations économiques avec l'Italie, cinquième partenaire commercial de la Russie, se développaient malgré les sanctions, augmentant de 12,7% en 2018 pour atteindre 26,9 milliards de dollars. Les investissements italiens en Russie jusqu’à présent cette année ont atteint 4,7 milliards de dollars, contre 2,7 milliards pour les investissements russes en Italie au cours de la même période. 

 

Poutine, qui est arrivé à Rome tard dans la matinée, a ouvert la visite au Vatican, où il rencontre pour la troisième fois François dans le cadre de ce que certains observateurs pensaient être un prélude à une visite papale en Russie. Aucun pape n'a jamais mis les pieds en Russie, mais le conseiller aux affaires étrangères de Poutine a déclaré que la question n'était pas à l'ordre du jour de la visite. 

 

La réunion a lieu la veille de la réunion au Saint-Siège des dirigeants catholiques ukrainiens pour débattre de la poursuite du conflit dans cette région et des conséquences du schisme entre les églises orthodoxes russe et ukrainienne. Le Vatican a déclaré que l'objectif était d'apporter un soutien "dans la situation délicate dans laquelle se trouve l'Ukraine". 

 

L'année dernière, l'Église orthodoxe d'Ukraine s'est officiellement séparée de l'Église orthodoxe russe en un schisme reconnu par le chef spirituel des chrétiens orthodoxes du monde. La pression en faveur d'une Église orthodoxe ukrainienne indépendante et à part entière a été renforcée par les combats dans l'est de l'Ukraine entre les forces gouvernementales et les rebelles soutenus par la Russie.

 

WATCH: Certains conservateurs veulent que le pape François soit dénoncé comme un hérétique 

 

Poutine a rencontré plus tard le président italien Sergio Mattarella, suivi d'un forum Russie-Italie avec le Premier ministre Giuseppe Conte et le ministre italien des Affaires étrangères, Enzo Moavero. Il rencontrera en privé un ami de longue date, l'ancien premier ministre Silvio Berlusconi, avant de retourner à Moscou. 

 

Le vice-Premier ministre Matteo Salvini, qui n'a pas caché son admiration pour Poutine, assistera à un dîner avec Poutine à la Villa Madama. Les deux hommes se sont rencontrés face à face à Milan lors de la visite de Poutine en 2014, dans le rôle de Salvini en tant que leader de la Ligue du Nord. 

 

«La Ligue et son dirigeant, Salvini, soutiennent activement le rétablissement de la pleine coopération entre la Russie et l’Italie. Ils se sont prononcés en faveur d'une abolition plus rapide des sanctions anti-russes instaurées par les États-Unis et l'Union européenne. Ici, nos points de vue sont alignés », a déclaré Poutine. 

 

Poutine a reconnu que les sanctions américaines et européennes avaient coûté à la Russie environ 50 milliards de dollars depuis 2014, mais il a affirmé que les pays de l'Union avaient subi des dommages encore plus importants à cause des restrictions. 

© 2019 La Presse Canadienne