WWIII : G20 MACRON QUI A VENDU LA FRANCE N'A PLUS QUE AIRPARIF, ADP ET LE CLIMAT DANS SON SAC. TRUMP EN CAMPAGNE VEUT FAIRE ...
WWIII : G20 MACRON QUI A VENDU LA FRANCE N'A PLUS QUE AIRPARIF, ADP ET LE CLIMAT DANS SON SAC. TRUMP EN CAMPAGNE VEUT FAIRE VOLER EN ÉCLATS LES RESTES DU MONDE CAR LA FAILLITE DE L'AMÉRIQUE EST A L'ORDRE DU JOUR. POUTINE ET XI VONT LUI REFILER DES BONS DU TRESOR US. MACRON TEND LA MAIN POUR LE CLIMAT QUI N'EST PAS SEREIN ET PRÉCONISE DES TRAVAUX D'ISOLATION POUR METTRE LA FRANCE SOUS UN VOILE POUR 1 EURO. TRUMP VEUT BOMBARDER TOUT CE QUI BOUGE MAIS S'ARRÊTE QUAND ON LUI DIT QUE CELA VA LUI RETOMBER DESSUS. LA DEVISE DU G20 A OSAKA C'EST YAKAFAUCONS MIKEPOMPEO BOLTONJOHN.
LE PRESIDENT RUSSE VLADIMIR POUTINE ET XI JINPING SERONT EN CONTEMPLATION DANS LES POSITIONS DU SHINTOÏSME ET DU BOUDDHISME AVEC DEUX MOTS QUI REVIENDRONT SANS CESSE DANS LA CONVERSATION : NIET POPOV, ET XIANG YAO NI DE PIFU.
IL SE PEUT QU'AU SOMMET L'IRAN SOIT ATTAQUÉ, SUR UN DE CES RÉACTEURS NUCLÉAIRE, COMME ISRAËL ADMET AVOIR ATTAQUE CELUI DE SYRIE EN 2007. NETANYAHU DEVRAIT SE DISTINGUER EN TANT QU'ABSENT DE MARQUE, CAR LES SIONISTES SECONSIDÈRENT COMME LE PEUPLE ÉLU DE SATAN, QUI DOIT GOUVERNER ET METTRE EN ESCLAVAGE LE MONDE.L'IRAN SE PREPARE A CONTRER UNE ATAQUE AERIENNE D'ISRAËL.
AU PROGRAMME : Un conflit entre la Chine et les États-Unis pour la domination économique et technologique du Monde, un autre qui s’envenime à chaque instant autour de l’Iran : c’est dans un climat chauffé à blanc que vient de s'ouvrir le sommet du G20 à Osaka au Japon. Parmi les chefs d’État et de gouvernement représentant quelque 85 % du Produit intérieur brut mondial, un duo concentrera l’attention, comme lors de la précédente édition du G20, l’an dernier à Buenos Aires : Donald Trump et Xi Jinping les deux empereurs, dont il doit n'en rester plus qu'un.
Rencontre Trump-Xi :
L’entrevue entre le président américain Donald Trump et son homologue chinois Xi Jinping sera le temps fort du sommet des dirigeants des 20 plus grandes puissances de la planète.
Leur dernière rencontre remonte à début décembre, en marge d’un sommet du G20 à Buenos Aires : ils avaient alors déclaré une trêve mais, depuis, les négociations ont connu des hauts et de nombreux bas. Elles ont été interrompues en mai.
Si un accord définitif paraît peu probable selon les experts, les deux hommes pourraient décider de stopper l’escalade de taxes douanières punitives réciproques et relancer les discussions, mais tout tourne autour de l'invité qui ne l'est pas NETANYAHU, qui veut des avancées sur son Nouvel Ordre Mondial des Sionistes, le Grand Israël avec le DEAL DU SIÈCLE, la reconstruction du 3ème temple, et la reconnaissance de Jérusalem comme Capitale Mondiale, avec une religion Juive de gestion des GENTILS ESCLAVES, et une religion des ATHÉES devant se soumettre avec à sa tête le PAPE FRANCOIS.
LE D.IEU TÉNÉBREUX ET MISÉRICORDIEUX DES HÉBREUX HARÉDIM QUI ATTENDENT D'ISRAËL LA VENUE DE LEUR MESSIE FILS DE D.IEU, CRUCIFIÉ PAR LE SANHEDRIN PHARISIEN IL Y A DEUX MILLE ANS, NE VEULENT PAS LA GUERRE CAR LEUR D.IEU EST POUR LA PAIX ET POUR LE SAUVETAGE DE L’HUMANITÉ DES CIRCONCIS DE LA CHAIR ET DE L'ESPRIT. LES SIONISTES ONT POUR DIEU SATAN-LUCIFER-NETANYAHU. Le lobby juif Sioniste est la plus grave menace à laquelle la démocratie occidentale est confrontée.
Plus largement, les différends commerciaux entre les États-Unis et ses partenaires occuperont les débats du G20, une bataille s’annonçant sur le libellé du communiqué final, s’il y en a un.
Déjà au G20-Finances plus tôt dans le mois, les grands argentiers avaient mis une trentaine d’heures pour parvenir à trouver un compromis, s’alarmant au final d’une « intensification »des tensions.
Le dossier nucléaire nord-coréen :
Xi vient d’effectuer une visite triomphale en Corée du Nord, et le calendrier n’est pas anodin. Il a ainsi démontré à Donald Trump que la Chine était un allié incontournable de Pyongyang au moment où la relation entre le chef d’État américain et le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un bat de l’aile.
Dans les discussions à Osaka, l’homme fort de Pékin pourrait user de cette influence pour convaincre l’hôte de la Maison Blanche de réduire la pression commerciale sur la Chine, de l’avis des analystes. Après le G20, M. Trump prendra justement la direction de Séoul pour s’entretenir du programme nucléaire nord-coréen avec son homologue sud-coréen Moon Jae-in.
La poudrière iranienne:
Autour de la table, les discussions s’annoncent vives entre d’un côté les États-Unis et l’Arabie saoudite, grand rival régional de Téhéran, de l’autre, les Européens, la Chine et la Russie qui tentent de calmer le jeu.
L’hôte du G20, le Premier ministre japonais Shinzo Abe, a essayé de jouer le médiateur, mais sa visite historique en Iran a tourné au fiasco, ponctuée par des attaques contre des pétroliers attribués à Téhéran par Washington.Depuis, le ton ne cesse de monter entre les deux pays.
Face aux sanctions américaines, l’Iran a accusé mardi les États-Unis d’avoir « fermé de façon permanente la voie de la diplomatie » et a annoncé la réduction des engagements inscrits dans l’accord de 2015 sur le nucléaire.
Le président Trump, qui a annulé la semaine dernière des frappes militaires contre l’Iran à la dernière minute, a prévenu que toute attaque iranienne ferait l’objet de représailles « écrasantes ».
Turquie et Russie aussi:
À Osaka, Donald Trump rencontrera aussi le président turc Recep Tayyip Erdogan. Ce dernier entend faire jouer ses « bonnes » relations avec son homologue américain pour désamorcer la crise entre les deux pays au sujet de l’achat de missiles russes par Ankara, tout en assurant qu’il ne « ferait pas marche arrière ».
Washington a adressé un ultimatum à la Turquie, un membre de l’OTAN, lui donnant jusqu’à fin juillet pour renoncer au système russe de défense antiaérienne S-400, faute de quoi des sanctions pourraient être imposées.
Trump va par ailleurs s’entretenir avec le président russe Vladimir Poutine, une relation sur laquelle plane aux États-Unis une tempête judiciaire déclenchée par les soupçons d’interférence russe dans la campagne présidentielle de 2016.
Leur dernier tête-à-tête, à Helsinki, remonte à juillet 2018 : le ton jugé trop conciliant de Donald Trump avait alors choqué la classe politique américaine.
Le président du Conseil européen, Donald Tusk, a fait part vendredi de ses inquiétudes quant à de possibles manquements de l'Iran aux engagements pris dans le cadre de l'accord de 2015 sur son programme nucléaire, soulignant que l'Union européenne continuait de surveiller les activités nucléaires de Téhéran, bien que les USA et la France s'en soit retirer. Macron est pour une redéfinition.
L'Iran va continuer à réduire le niveau des engagements pris sur le contrôle de son programme nucléaire dans le cadre de l'accord conclu à Vienne en juillet 2015 et duquel se sont retirés les Etats-Unis l'an passé, a annoncé le président iranien Hassan Rohani.
Ce texte entre d'une part l'Iran et d'autre part les pays membres du groupe P5+1 (Chine, Russie, USA, France, Grande-Bretagne et Allemagne) prévoit un contrôle du programme nucléaire iranien en échange d'une levée progressive des sanctions économiques. Donald Trump, qui estime que cet accord est l'un des plus mauvais signés par les Etats-Unis, a décidé de s'en retirer en mai 2018, comme il s'est retiré des accords sur le climat, et a remis en vigueur des sanctions économiques contre l'Iran. Ces sanctions concernent en particulier les exportations de pétrole iranien que le président américain entend tarir afin de contraire le gouvernement de Téhéran à revenir négocier un autre accord.
L'Iran a déjà suspendu le mois dernier certains engagements prévus dans le cadre de l'accord de Vienne et a donné 60 jours aux pays signataires encore participants d'honorer leurs engagements, notamment dans les secteurs pétrolier et bancaire. Les Etats-Unis menacent d'imposer des sanctions contre les Etats qui continueront à commercer avec l'Iran ou à acheter son pétrole. L'Iran n'est pas allé jusqu'à annoncer sa sortie de l'accord mais a fait savoir qu'à défaut d'une action des Etats signataires, il se mettrait à enrichir de l'uranium à un niveau plus élevé.
Le Groupe des vingt (G20) est un groupe composé de dix-neuf pays et de l'Union européenne dont les ministres, les chefs des banques centrales et les chefs d'État se réunissent annuellement. Il a été créé en 1999, après la succession de crises financières dans les années 1990. Il vise à favoriser la concertation internationale, en intégrant le principe d'un dialogue élargi tenant compte du poids économique croissant pris par un certain nombre de pays. Le G20 représente 85 % du commerce mondial, les deux tiers de la population mondiale et plus de 90 % du produit mondial brut (somme des PIB de tous les pays du monde). Le 15 novembre 2008, pour la première fois de son histoire, les chefs d'État ou de gouvernement se sont réunis. Le G20 se décline sous trois formes : les G20 regroupant des chefs d'État et de gouvernement, les G20 finance regroupant les ministres des finances et les gouverneurs des banques centrales et, depuis les 20-21 avril 2010, des G20 sociaux, réunissant les ministres de l'emploi.
La dominance US à "spectre intégral" vers la défense russe à « spectre intégral »
L’adoption récente par l’Inde et la Turquie du système de défense avancé S-400 de la Russie représente un tournant majeur dans la bataille internationale en cours entre deux paradigmes opposés des affaires mondiales.
Les deux pays résistent aux pressions immenses exercées par un empire anglo-américano-sioniste (l’Empire) qui travaille depuis 2007 avec acharnement à la construction d'une vaste infrastructure militaire autour de la Russie, dans le cadre de la doctrine utopique de la «domination à spectre intégral» “Full Spectrum Dominance” (avec la conviction qu'une guerre nucléaire peut être gagnée avec une première frappe).
Ce bouclier antimissile a commencé à viser la Chine et le flanc sud du Pacifique sud de la Russie en 2011, quand Obama a dévoilé la branche militaire du «Pivot vers l’Asie» antichinois [1].
La solution S400 comme réponse à la domination à spectre intégral:Toutefois, si des nations comme l’Inde et la Turquie, censées participer à l’encerclement de la Russie et de la Chine, devaient adopter des systèmes de radar / missile défensifs de nouvelle génération tels que le S400 de la Russie, la formule complète de la domination unipolaire s’effondrerait. La Chine a déjà adopté le S400 à partir de 2015, qui prévoit une interception supersonique à courte et longue portée pour contrer les missiles, les avions et les bombes à une altitude de 38 km et à une distance de 400 km. Parmi les autres pays qui ont manifesté leur intérêt pour le S400, on peut citer le Qatar, l’Arabie saoudite, l’Égypte, l’Algérie, le Maroc et le Vietnam.
La montée en puissance du S400-S500 et la nouvelle architecture de sécurité qui l'accompagne sont désormais connus sous le nom de «Défense à spectre intégral» et constituent l'une des transformations les plus importantes de l'ordre mondial. Conjuguée à l’Initiative élargie Belt and Road Initiative (Route de la Soie) étendue dans le monde entier (étroitement intégrée à l’Union économique eurasienne et à l’Organisation de coopération de Shanghai), elle représente le plus grand espoir actuellement disponible pour l’humanité.
Certaines personnalités particulièrement cinglées à l'OTAN et du complexe militaro-industriel préféreraient tristement brûler en enfer plutôt que servir au paradis et continuer à adhérer au texte désuet écrit au début de 2007, lorsque le son du tambour pour la guerre avec l'Iran battait à tout rompre. Ces personnes, telles que Patrick O'Shanahan, Mike Pompeo et John Bolton sont convaincues qu'une guerre nucléaire avec la Russie et la Chine est encore quelque part gagnable… si seulement des pays «renégats» comme la Turquie et l'Inde revenaient et se ralliaient à ce scénario!
Jusqu'à l'entrée de la Russie dans une Syrie assiégée en septembre 2015, il est apparu que ces utopistes néocons pouvaient disposer d’une main gagnante. L'alliance anglo-américaino-israélienne semblait être la seule à maîtriser le jeu . En l'absence d'opposition sérieuse à la puissance militaire de l'OTAN associée à la puissance économique du système bancaire de la City de Londres-Wall Street, que peuvent faire des puissances moyennes comme la Turquie ou l'Inde pourrait-elle faire d’autre que "suivre pour s'entendre"?
2e chance de la Turquie :
La Turquie a rapidement été cramée lors de sa décision de rejeter le nouveau paradigme dirigé par la Russie et la Chine lorsqu’on lui avait offert un poste d’entrée à l’Union économique eurasienne (EEU) en 2011, puis elle a signé le statut de «partenaire de dialogue» (un cran inférieur au statut d’observateur). Au moment même où l'encre apparaissait sur le protocole d'accord Turquie-UEE de 2011, plusieurs autres pays se préparaient à rejoindre l'initiative dirigée par la Russie, notamment l'Ukraine, l'Arménie, la Moldavie, la Mongolie et le Kirghizistan (ce dernier étant désormais membre à part entière). La vilaine agression contre la Libye, suivie de la tentative de duplication de cette catastrophe en Syrie, ont mis fin à la décision de la Turquie de rejoindre l’UE à cette époque. Un coup d’Etat lancé par les nazis en novembre 2013 a également mis un terme aux perspectives d’adhésion de l’Ukraine.
Un ultimatum simple a été donné à la Turquie: adhérez au plan de guerre anti-Russie / anti-Chine de « Dominance à Spectre intégral » en tant que membre loyal de l'OTAN et certaines récompenses vous seront garanties.
La Turquie devait être pleinement admise dans le «prestigieux» club de l'Union européenne, pourvu que son adhésion à l'OTAN reste toujours fondée. Une partie de la splendeur de l'Empire ottoman serait récupérée puisque le statut de direction serait octroyé à la Turquie sur de vastes étendues du Moyen-Orient, désormais libérées des dirigeants nationalistes arabes gênants. Adhérer à cette politique était censé être facile. Tout ce que Erdogan avait à faire, c’était d’apporter un soutien caché à l’extension d’ISIS (alias Etat Islamique, alias Daech) en Syrie et de conserver une attitude agressive à l’égard de la Russie. Les services de renseignement anglo-américano-israéliens et saoudiens se chargeraient des opérations lourdes.
Pas si.
Avec l’intrépide entrée de la Russie en Syrie en septembre 2015, tout a changé. En moins de deux mois, la Turquie était horrifiée de se retrouver face à une guerre nucléaire entre l'OTAN et la Russie après avoir abattu un avion de chasse russe tuant son pilote et avoir menti aux Britanniques (qui présidaient alors le Conseil de sécurité des Nations Unies) en affirmant que l’avion russe avait violé l’espace aérien souverain de la Turquie. La tension engendrée par cet affrontement militaire a non seulement rapproché le monde d'une guerre nucléaire, mais a également provoqué une gifle qui a fait réfléchir Erdogen qui a commencé son long chemin vers le repentir en écrivant une lettre publique d'excuses pour la Russie le 27 juin 2016. Cette lettre était de trop pour certains bellicistes de l’Ouest.
Donc, le 15 juillet 2016, le moment était venu de punir Erdogan.
Les réseaux anglo-américano-sioniste contrôlant l'Etat profond turc, ont activé tous les agents actifs à leur disposition au sein de la bureaucratie militaire et gouvernementale afin de renverser Erdogan et tous ses fidèles. La forme de cette opération a été façonnée par les vastes réseaux de l’actif de la CIA, avec leur marionnette Fethullah Gulen, un étrange dirigeant religieux milliardaire, chef du «Hizmet», basé aux États-Unis, dont les adeptes et l’argent avaient pénétré profondément dans toutes les branches des secteurs public et privé turcs. Au cours de cette tentative de coup d'Etat, des avions de combat turcs ont tiré sur leur propre bâtiment du Parlement.
Le chef des états majors, Hulusi Akar, a été enlevé par ses propres forces de sécurité. Des milliers de militaires sont descendus dans les rues, faisant 241 morts et 2.149 blessés. En raison de renseignements de dernière minute fournis par des sources dont beaucoup pensent être liées à la Russie, Erdogan a échappé à un destin funeste et a repris le contrôle à temps pour purger le gouvernement des principaux zombies Gulen.
Depuis lors, la Turquie a retrouvé son contrat initial avec le diable beaucoup moins attrayant qu’en 2013.
L'effondrement de l'Ouest et la montée d'un nouveau paradigme :
Abraham Lincoln a dit un jour "une maison divisée ne peut pas durer longtemps" et aucun corps politique n'est plus divisé aujourd'hui que l'Union européenne. Tous les jours, les États membres de l’UE se battent entre eux et contre les technocrates sociopathes de Bruxelles (les euronouilles) qui ne peuvent que condamner avec rage les «délinquants climatiques et fiscaux» qui tentent de défendre leurs populations contre le chômage, l’austérité et la finance spéculative.
Cette rupture a poussé les nations européennes avant-gardistes à se préparer à s'échapper du Titanic et à rejoindre le seul jeu viable en ce moment et pour l’avenir: la Chine et la Nouvelle Route de la Soie (BRI). Plus récemment, l'Italie a rejoint la Nouvelle Route de la Soie en avril 2019 et la Grèce a rejoint les 17 + 1 pays d'Europe centrale et orientale pro-BRI quelques semaines plus tard. L’Union économique eurasienne (EEU), qui s’est unie étroitement avec la Nouvelle Route de la Soie, accueille actuellement de nouveaux membres à bras ouverts avec l’Ouzbékistan, la Moldavie, le Tadjikistan, l’Azerbaïdjan, la Mongolie et même la Syrie, dans la ferme intention de s’affilier à court terme. L’OCS et l’EEU, qui font partie intégrante de ce nouveau paradigme, sont ouvertes à tous, y compris à la Turquie.
Avec la réélection de Narendra Modi en mai 2019 et les rencontres positives entre Modi, Xi Jinping et Poutine lors du sommet de l'OCS des 13 et 14 juin, la tension créée artificiellement à travers l'Asie semble enfin se résorber. Le Pakistan et l’Inde (qui sont maintenant membres à part entière de l’OCS) ont une infinité d’intérêts communs à collaborer avec la BRI et avec l’intégration pacifique de la Corée du Nord dans un plan économique coopératif avec la Chine et la Corée du Sud, le pivot vers l’Asie des États-Unis- ( qui se justifiait par la dangerosité supposée de la Corée du Nord) s'est effondré.
La bataille opposant les forces nationalistes aux États-Unis et les idéologues de l'état profond / de l'OTAN est une lutte à peine gagnée mais qui sera façonnée en grande partie par les réunions bilatérales de Trump avec Modi, Erdogan, Xi et Poutine les 27 et 28 juin au Japon (s’ils ne sont pas sabotés).
[1] La branche de la guerre économique du pivot de l’Asie était régie par le Partenariat transpacifique (TPP), qui visait à couper la Chine de ses alliés du Pacifique tout en donnant aux sociétés privées le pouvoir de disposer d’un pouvoir juridique plus grand que celui de gouvernements souverains. Le TPP a été tué par le président Trump comme son premier geste en janvier 2017.
Source : Full Spectrum Dominance vs Full Spectrum Defense