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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
12 avril 2019

WWIIII : GUERRE MESSIANIQUE LIBYE, VENEZUELA, SYRIE, IRAN, LIBAN ... N.O.M. CONTRE POUTINE ET BRICS SUR FOND DE PETROLE.

WWIIII : GUERRE MESSIANIQUE LIBYE, VENEZUELA, SYRIE, IRAN, LIBAN ... N.O.M. CONTRE POUTINE ET BRICS SUR FOND DE PETROLE. TRIPOLI VA TOMBER ? LE SU-57 BATTRA LE F-35. VLADIMIR POUTINE : SOUVENIR DE WWII. LA FSSPX EN CONTRADICTION AVEC LE PAPE?

Publié le 12 avril 2019 par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

 

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WWIIII : GUERRE MESSIANIQUE LIBYE, VENEZUELA, SYRIE, IRAN, LIBAN ... N.O.M. CONTRE POUTINE ET BRICS SUR FOND DE PETROLE. TRIPOLI VA TOMBER ?  LE SU-57 BATTRA LE F-35. VLADIMIR POUTINE : SOUVENIR DE WWII. LA FSSPX EN CONTRADICTION AVEC LE PAPE?

 

 

Israël et Netanyahu mènent la danse aidés par les USA qui sont contrôlé par le B'nai Brith, la France, bras armé de l'Eglise Catholique et Macron, Chanoine de Latran, représentent le Pays chef militaire de 10 Pays Européens qui va faire la Guerre au Christ et s'opposer à D.ieu par le Satanisme. 

 

Haftar fonce sur Tripoli malgré les appels de l'ONU  

Libye : Les forces loyales au maréchal Haftar poursuivaient samedi leur assaut vers la capitale libyenne où s'annonce une bataille féroce. 

 

Malgré les appels de la communauté internationale à la cessation des hostilités, les forces loyales au maréchal Khalifa Haftar poursuivaient samedi leur offensive vers Tripoli. La reprise de la capitale libyenne risquerait de plonger le pays dans la guerre civile. 

La progression de l'Armée nationale libyenne (ANL), dirigée par son chef autoproclamé M. Haftar, est ralentie par les forces loyales à l'autorité rivale - le Gouvernement d'union nationale (GNA) reconnu par la communauté internationale et basé à Tripoli. Celles-ci tentent de faire face à l'assaut lancé jeudi sur la capitale. 

Samedi, les forces pro-GNA ont mené au moins un raid aérien contre une position de l'ANL à une cinquantaine de km au sud de Tripoli, dans la région d'Al-Aziziya, a indiqué l'ANL, promettant de riposter. La Force de protection de Tripoli, une alliance de milices loyales au GNA, a confirmé que des raids aériens «intensifs» étaient menés contre l'ANL depuis l'aéroport de Mitiga à Tripoli et de Misrata (ouest). Au sol, les combats entre les deux camps rivaux s'intensifiaient au sud de la capitale. 

Au moins un groupe armé de Misrata, «la brigade 166», est arrivé à l'est de la capitale pour participer à la contre-offensive, a constaté un photographe de l'AFP. «Nous attendons les ordres pour repousser toute avancée de l'ennemi vers Tripoli», a déclaré le porte-parole de ce groupe, Khaled Abou Jazia. Des dizaines de véhicules armés notamment de canons antiaériens se sont rassemblés à Tajoura, dans la banlieue est de Tripoli, selon l'AFP. 

Sortir de l'impasse 

Depuis la chute en 2011 du régime Kadhafi, la Libye est plongée dans le chaos avec la présence de nombreuses milices et les deux autorités rivales du GNA et de l'ANL. La nouvelle escalade de violence intervient avant une Conférence nationale sous l'égide de l'ONU prévue mi-avril à Ghadamès, dans le sud-ouest du pays, afin de dresser une «feuille de route» avec la tenue d'élections pour tenter de sortir le pays de l'impasse. Le visage grave, l'émissaire de l'ONU pour la Libye Ghassan Salamé a déclaré samedi que la conférence serait maintenue, malgré l'assaut lancé par le maréchal Haftar sur Tripoli. 

«Nous sommes déterminés à organiser» cette conférence interlibyenne «à la date prévue», du 14 au 16 avril, «sauf si des circonstances majeures nous en empêchent», a-t-il dit lors d'une conférence de presse à Tripoli. Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a lui appelé à un «dialogue inclusif» et «sans les échéances artificielles que certains essaient d'imposer (aux Libyens) depuis l'extérieur», sans préciser ni à quelles «échéances» il se référait, ni qui il visait dans cette déclaration. 

A son départ de Libye vendredi, le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a dit quitter le pays «avec une profonde inquiétude et un coeur lourd» mais «espérant toujours possible d'éviter une confrontation sanglante à Tripoli et ses environs». Il avait rencontré jeudi à Tripoli le chef du GNA Fayez al-Sarraj et le maréchal Haftar à Benghazi (est) vendredi. 

Crainte des habitants 

Jeudi, Khalifa Haftar a ordonné à ses forces d'«avancer» en direction de Tripoli. «L'heure a sonné», a-t-il dit dans un message audio, promettant d'épargner les civils, les «institutions de l'Etat» et les ressortissants étrangers. La force de protection de Tripoli a aussitôt annoncé une contre-offensive et de puissants groupes armés de Misrata se sont dits «prêts à stopper l'avancée maudite» des pro-Haftar. 

Les forces de l'ANL ont été repoussées de quelques kilomètres vendredi soir après s'être emparées brièvement de l'aéroport international de Tripoli, à une trentaine de kilomètres au sud de la ville. Il est inutilisé depuis qu'il a été détruit en 2014 par des combats. Le chef du Gouvernement d'union nationale libyen Fayez al-Sarraj a accusé son rival de l'avoir «trahi» en lançant une offensive vers la capitale. Il a promis de répondre avec «force et fermeté». 

L'escalade de la violence aux portes de Tripoli suscite la crainte des habitants, même si le centre-ville reste calme, ont constaté des journalistes de l'AFP. La circulation était fluide malgré des embouteillages provoqués par les files d'attente devant les stations-services et les supermarchés. 

Réunis vendredi en France, les ministres des Affaires étrangères des sept pays les plus industrialisés (G7) ont «exhorté» tous les acteurs à stopper «immédiatement» tous «les mouvements militaires vers Tripoli, qui entravent les perspectives du processus politique mené par les Nations unies». «Il n'y a pas de solution militaire au conflit libyen», ont-ils souligné. (ats/nxp)  

Libye. Haftar se prépare à attaquer Tripoli.   

En mars 2011, le Royaume-Uni, la France et les États-Unis ont entrepris de détruire le gouvernement libyen. La milice des Frères musulmans et les forces alignées avec Al-Qaïda, équipées par le Qatar et soutenues par la Grande-Bretagne, ont pris la ville de Benghazi, dans l’Est du pays. L’armée de l’air américaine a détruit les troupes gouvernementales sur le terrain et a aidé les terroristes islamistes à capturer, violer et supplicier Mouammar Kadhafi. Le chaos s’en est suivi alors que diverses forces tribales, milices locales et islamistes se disputaient le contrôle des villes et du butin, y compris les femmes et les esclaves. L’ancien général Khalifa Haftar a tenté de s’immiscer dans le chaos en tant que nouveau chef de la Libye. Le coup a échoué et depuis 1990, Haftar vivait en Virginie, à 10 minutes du siège de la CIA, et il est également devenu citoyen américain.  

La situation a changé en 2014 après que l’armée égyptienne a chassé du pouvoir le président Morsi, chef des Frères musulmans. Avec l’argent des EAU, le soutien aérien égyptien, les fournitures russes, les services de renseignement français et les forces spéciales, Haftar a peu à peu défait les divers gangs islamistes et pris le contrôle de Benghazi. 

Haftar enverra du pétrole en Europe et stoppera les migrants 

Vous pouvez bien imaginer la tension lorsque le Premier ministre libyen assiégé, Fayez al Serraj, a rencontré l’émissaire de l’ONU Ghassan Salamé dans son bureau à Tripoli lundi matin. Non loin de là, dans le sud de la capitale libyenne, les troupes de l’armée nationale libyenne dirigées par le général Khalifa Haftar avaient fait des progrès rapides. Ils avaient pris la coquille de l'aéroport international de Tripoli et s'étaient dirigés vers la route qui relie la Libye à la Tunisie. Les troupes de Haftar, bien armées et bien disciplinées, s'étaient déplacées vers le nord en direction du quartier Ain-Zara. Lundi, l’aviation de Haftar a bombardé le seul aéroport en activité à Tripoli - à Mitiga. 

Les USA ont estimé que leur homme - Haftar - serait capable de prendre les rênes et de s'emparer de la Libye pour le compte des États-Unis. Mais quand Haftar est arrivé à Benghazi, il a découvert que les Arabes du Golfe - notamment les Qataris - avaient déjà choisi le prochain dirigeant de la Libye, leur banquier Mahmoud Jibril. Les États-Unis et la France ont bombardé la Libye à mort et le Qatar a remporté le premier round, avec Jibril à la tête du gouvernement. 

La Libye est tombée dans la pire des rivalités des Arabes du Golfe. L'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis - avec leur ami proche l'Égypte - se disputent contre l’autre clan des Frères Musulmans avec le Qatar  et la Turquie. En 2014. L'Égypte et les Émirats arabes unis, ainsi que l'Arabie saoudite, avaient déjà décidé que Haftar serait leur homme contre le Jibril du Qatar. Les bombardiers égyptiens et émiriens ont apporté un soutien aérien à Haftar lorsqu’il poursuivait sa guerre à Benghazi puis tentait un coup d'État manqué en Libye en 2014. Haftar est apparu aux saoudiens et aux émiratis en tant que version libyenne du président égyptien Abdel Fattah el-Sissi. Gouvernement des Nations Unies 

Il y a quelques jours, le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, s'est rendu en Libye. Il avait espéré négocier une paix. Rien ne semblait possible. "Je quitte la Libye avec le cœur lourd et profondément inquiet", a déclaré Guterres. Guterres avait été accompagné dans ses voyages pour voir al-Serraj (le Premier ministre soutenu par l'ONU) et Haftar.  

Al-Serraj, issu d’une famille riche et bien connectée, a toujours été le premier ministre de l’ONU. On dit depuis longtemps en Libye que le gouvernement d’Al-Serraj est plus intéressé par le soutien «international» (c'est-à-dire occidental) que par le soutien libyen. Les besoins essentiels de la population n'ont pas été satisfaits, l'électricité et l'eau constituant un défi et la sécurité inexistante dans certaines parties du pays. Le gouvernement d’Al-Serraj a été renforcé par certaines milices devenues puissantes grâce à la guerre de l’OTAN. Des désaccords sur le rôle de l’islam politique ont déchiré les institutions libyennes, une chambre des représentants de la ville de Tobrouk, dans l’est du pays, refusant de reconnaître le gouvernement de Tripoli. 

Haftar et al-Serraj ont eu plusieurs réunions. Les États-Unis, les Arabes du Golfe, la France, l'Égypte et la Russie ont hâte de voir des progrès entre les deux parties. Le Premier ministre et le général se sont rencontrés au Caire (février 2017), à Abou Dhabi (avril-mai 2017) et à Paris (mai 2018). À chaque réunion, ils se sont largement accordés sur les principes de base - une solution pacifique, par exemple - mais ne se sont pas mis d’accord sur les détails. Les responsables du gouvernement al-Serraj ont déclaré qu’ils espéraient faire venir Haftar à la tête de l’armée du gouvernement d’accord national. Mais Haftar avait d'autres rêves. Il a constaté qu'il y avait des troubles à Tripoli à propos de l'inefficacité et de la négligence du gouvernement. Il y avait même une protestation contre Salamé. Haftar est le genre d'homme qui a une grande ambition mais pas de véritable agenda. Il prendra toute la Libye, mais il n'a pas dit ce qu'il en ferait. 

Le pétrole et l'Ouest 

L'Europe veut du pétrole libyen. Ses sources d’énergie ont été perdues une par une par des guerres  occidentales. Il a d'abord perdu l'accès à l'énergie iranienne à cause du régime de sanctions imposé par les États-Unis et Israël (de 2006 à aujourd'hui). La guerre de l’OTAN contre la Libye a empêché le pétrole libyen - le plus facile à raffiner - de traverser la mer Méditerranée (2011). Elle a ensuite perdu l'accès à l'énergie russe, notamment au gazoduc crucial Nord Stream (Russie-Allemagne), après le conflit en Ukraine (2014). Il ne fait aucun doute que l’Europe est avide de pétrole libyen. Cela a été dit assez directement.

Les troupes de Haftar ont saisi les gisements de pétrole du sud de la Libye (y compris le plus grand, Sharara, au sud de Tripoli) et contrôlent la plupart des installations pétrolières situées sur le littoral. Il est déjà - substantiellement - responsable du pétrole. Si Haftar est en mesure de prendre les terminaux pétroliers de Zawiya, il contrôle tout le pétrole et ses sorties. 

Il y a une bonne raison pour laquelle les États-Unis ont retiré leurs forces de la Libye alors que Haftar s'approchait de Tripoli. Ils ne veulent pas être obligés de défendre le gouvernement des Nations Unies contre un homme qui sera prochainement désigné comme dirigeant du pays. La France entretient des liens très étroits avec Haftar. Son ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, est un invité régulier en Libye, rencontrant al-Serraj et Haftar. Des sources proches de Haftar disent que Le Drian et le général sont très à l'aise l'un avec l'autre. 

Si Haftar prend la Libye, les Saoudiens et les Émiratis auraient leurs tentacules dans la majeure partie de l’Afrique du Nord (Égypte et Libye). L'année dernière, le prince héritier saoudien Mohammed bin Salman a effectué une tournée dans le reste de l'Afrique du Nord, y compris en Algérie. Il a reçu un accueil  froid du peuple et des dirigeants libyens à Tripoli. Les choses changeront pour lui si ses proches mandataires sont en charge de la moitié nord. 

L’Occident et les pays du Golfe ont laissé la Libye à l’homme fort. 

L'Europe a une autre préoccupation: les réfugiés. Il y a un sentiment que Haftar apportera la stabilité au pays et arrêtera le mouvement des personnes vers le nord. Les valeurs européennes sont assez claires: ils veulent que le pétrole aille vers le nord, pas les gens. Haftar, aux frais des Libyens eux-mêmes, y parviendra. 

Un homme fort gouvernant toute la Libye depuis Tripoli est certainement meilleur pour le pays et son peuple que le long chaos qui a suivi la guerre menée par les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France. Avec le temps, Haftar pourrait bien atteindre cet objectif.  

Le Su-57, sérieux concurrent du "monstrueux" F-35  

Le F-35, construit par un consortium conduit par Lockheed Martin, ne parvient toujours pas à réaliser les performances multi rôles pour lesquelles il a été pré-vendu. En outre les tensions entre l’Otan et la Turquie devraient conduire à retirer ce pays des fabricants partenaires. Un malheur n’arrivant jamais seul, la Russie devrait mettre sur le marché son Su-57, bien meilleur et plus de deux fois moins cher. 

Le directeur adjoint de Rostec, Viktor Kladov, a annoncé que le président Poutine approuverait prochainement l’exportation de l’avion « invisible » Su-57. Le prix d’un Su-57 est de 45 millions de dollars, alors que le F-35 coûte 100 millions de dollars. 

Le premier groupe d’acheteurs approuvés comprend la Turquie avec 60 avions, l’Égypte et l’Algérie avec 29, le Vietnam 12. L’Inde avait été intéressé par cet avion dans un premier temps, mais a abandonné son programme de développement, retardant le lancement de la production de 4 ans. C’est pourquoi l’Inde n’a toujours pas approuvé l’achat de Su-57. 

L’avion est supérieur au F-22 et au F-35 dans le combat rapproché, et dans la manœuvrabilité. Le Su-57 possède 16 points d’accrochage dont 8 ont été montés dans les compartiments internes. Le Su-57 dispose de 4 compartiments entièrement carénés avec une capacité interne supérieure de 150% au F-22A et de 250% au F-35. 

Pour devenir compétitif, la Russie a créé 14 nouveaux types d’armes nouvelles pour le Su-57. L’arsenal du Su-57 comprend des missiles antiradar Kh-58UShK, des missiles de croisière 35UE, X-74M2, des missiles air-sol Kh-38M, des bombes « intelligentes » KAB-250, KAB-500. Le Su-57 est équipé de missiles BVR (beyond-visual-range) de type K-77M d’un rayon d’action maximal de 200 km. Pour les combats aériens rapprochés, le Su-57 utilise des missiles K-74M2 d’une portée de 40 km. 

La Russie pourrait également vendre les missiles hypersoniques Kinzhal X-47M2 (portée 2 000 km) et 3 M-22 zircon (portée 1 000 km) adaptés pour le su-57. 

Une sérieuse alternative pour la Turquie  

Les déclarations du ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, ouvrant la voie à une acquisition par la Turquie d’avions de chasse auprès d’un pays tiers si les États-Unis refusent de lui livrer ses F-35, ont tourné les projecteurs sur le modèle russe Su-57. 

Depuis quelques semaines, des responsables américains évoquent la menace d’annuler la vente et donc la livraison à la Turquie des chasseurs F-35 si Ankara n’annule pas l’achat du système de défense anti-aérienne russe S-400. 

Dans des déclarations sur le sujet, le Chef de la diplomatie turque a évoqué, mercredi, la possibilité d’acquérir "ailleurs" les avions nécessaires pour la défense de son pays. 

Cette affirmation, qui coïncide au lendemain du voyage du Président turc Recep Tayyip Erdogan en Russie, a porté au-devant de la scène l’alternative russe. 

F-35 : L'avion de combat le plus controversé de l'histoire de l'aviation militaire 

L'avion de combat multinational F-35, doté de 300 milliards de dollars, est le plus vaste programme militaire de l'histoire de l'aviation militaire. Il s’agit de l’avion de combat le plus cher jamais construit, même si sa conception n’est ni belle, ni futuriste, à la différence des avions F-15 et F-14 qui l’étaient au moment de leur lancement. Sans parler des conceptions pointues des avions de combat russes, en particulier de la famille Flanker, qui est vraiment en avance sur tout ce qui vole avec un moteur à réaction dans le ciel. Le problème est que le F-35 n’est pas une conception de chasseur éprouvée, avec des performances de base démontrées en service. Il était une fois des ingénieurs américains chargés de construire des avions de combat et le résultat fut fantastique. Avec le F-35, lobbyistes avides et parasites s'immiscèrent dans la corruption à l'intérieur ou à proximité du complexe militaro-industriel, non seulement ils ont ruiné ce projet, mais l'ont rendu plus onéreux que la construction d'une colonie habitée sur Mars! 

Comment les États-Unis ont fait de la Russie le leader mondial de la défense aérienne 

Face à un adversaire doté d'une vaste flotte aérienne et enclin à niveler les villes, les Soviétiques n'avaient d'autre choix que de consacrer des énergies énormes à des contre-mesures 

Avec la plupart des armes sur le marché, l’achat de matériel russe signifie que vous obtenez quelque chose d’aussi sophistiqué que le modèle occidental, mais à un meilleur prix. Si vous avez besoin de détruire quelque chose dans le ciel, les Russes disposent des missiles les plus puissants. Ironiquement, les États-Unis ont beaucoup fait pour que cela se produise. 

En 1945, l'Union soviétique est sortie victorieuse de la Seconde Guerre mondiale mais a été complètement dévastée. Elle avait perdu 27 millions de personnes dans un conflit qui a rasé plus du tiers de son territoire. Pourtant, ici et maintenant, la Russie fait face à un adversaire encore plus puissant que l’Allemagne nazie. 

Les Soviétiques déployaient de loin la plus grande armée de terre en Europe, mais les Américains possédaient la plus grande flotte aérienne que le monde ait jamais vue. Une flotte aérienne qui venait de passer des années à pratiquer et perfectionner la science des bombardements terroristes sur les villes et qui avait prouvé ses capacités et son expertise sur Tokyo et sur Dresde [1]. Pire encore, les États-Unis avaient des bombes atomiques alors que l’URSS  mettrait des années à développer et à  déployer en nombres comparables. 

Les planificateurs militaires moscovites avaient toujours accordé une grande attention à la défense aérienne, mais leurs efforts ont été vains.  

Devenues une branche indépendante de l'armée en 1949, les forces de défense aérienne étaient reconnues dès 1954 comme équivalentes aux branches terrestre, navale et aérienne de l'armée soviétique. 

Selon la compréhension américaine, «défense aérienne» est synonyme d’artillerie de défense aérienne, mais l’armée de défense aérienne soviétique a également déployé des milliers de jets intercepteurs spécialement conçus pour la vitesse pure et la vitesse de montée. Les Soviétiques n’ont pas simplement accru l’importance des forces de défense aérienne, ils ont également investi massivement dans ses technologies. 

Ils avaient toutes les raisons de. Constamment, les États-Unis violaient l’espace aérien soviétique en envoyant parfois leurs avions parcourir toute la largeur du pays. 

Non seulement les Soviétiques ne faisaient rien de comparable sur le continent américain, mais c’étaient des vols de reconnaissance menés par une puissance ayant la plus grosse facture de boucheries humaines du monde. Les bombardiers américains avaient tué peut-être 2 millions de personnes en Corée du Nord et des centaines de milliers de personnes au Vietnam, sans utiliser de bombes nucléaires qui seraient sûrement utilisées contre l'URSS. 

Le SR-71… 

Les Soviétiques comprenaient parfaitement les survols américains destinés à tester leurs réponses et à collecter des données de ciblage pour une éventuelle guerre future. Les US étaient tellement dévoués à ces vols qu’il a conçu et construit des avions d’espionnage spéciaux, les U-2 et le SR-71. 

Le U-2 construit à cet effet constituait un défi pour les défenses antiaériennes soviétiques, mais il fut finalement surmonté. Le SR-71 était un os encore plus dur, mais c’était un avion coûteux et peu pratique, rarement exposé de la même manière que son prédécesseur moins cher. 

C’était une course technologique au rythme rapide, mais celle où les Rouges rattrapaient définitivement leur retard. Si en Corée l'artillerie de défense aérienne fournie par l'Union soviétique était pratiquement incapable d'empêcher les B-29 de transformer le nord en cendres, pendant  la guerre du Vietnam, il en fut autrement  la technologie soviétique a fait payer une taxe très pénible aux bombardiers américains. Les États-Unis ont perdu 3.500 aéronefs à voilure fixe au Vietnam, principalement à cause d'armes au sol. 

… ET finalement vint le S-400 

Aujourd'hui, la surveillance aérienne a depuis longtemps cédé la place à l'espionnage par satellite dans l'espace, et si des munitions nucléaires sont envoyées, elles seront livrées via des missiles balistiques intercontinentaux contre lesquels il n'y a même pas de défense théorique. 

Malgré tout, l’héritage de la course entre les vastes capacités aériennes des États-Unis et les contre-mesures soviétiques persiste. Cela se traduit par l'attention extraordinaire et les ressources consacrées par les Russes aux armes anti-aériennes à ce jour et par le savoir-faire qu'ils ont pu acquérir.    
 
La civilisation-JSF 

Je trouve que nous faisons des progrès, notamment avec le constat que nos entreprises les plus vaines, les plus stupides, les plus coûteuses et les plus catastrophiques, commencent à laisser derrière elles des traces particulièrement choquantes. Il faut que je m’explique minutieusement, à la lumière de la perte d’un F-35 (version F-35A) japonais, perdu corps et biens en mer sans qu’on sache ni pourquoi, ni comment. On sait simplement qu’à un moment, le F-35 a disparu des écrans-radar (« a disparu du suivi-radar », selon les sources officielles), donc on en a déduit qu’il lui était arrivé quelque chose et un peu plus tard l’affreuse nouvelle fut confirmée. 

Il y en a certains qui ont tout de même remarqué l’étrangeté du fait qu’un avion qui intègre les technologies furtives pour échapper au repérage des radars puisse être l’objet d’un “suivi-radar”, jusqu’à provoquer une alerte qui s’avère fondée lorsqu’il disparaît des écrans. Le F-35, qui est également JSF, n’est jamais avare de nous produire des surprises : quand il devient ce qu’il devrait être (invisible), c’est qu’il est en perdition comme un vulgaire 737 Max. [Voir : USA. Boeing terne la réputation technologique des États-Unis]. 

Cela pour observer aussitôt que l’accident a fait grand bruit. C’est le troisième JSF détruit par accident de vol, et le premier dans le cours de ce qui semble être un vol soi-disant en “service opérationnel”. Voici deux exemples de réactions à la suite de cet accident.   

Hannibal GENSERIC 

Poutine : « La vie est une chose simple, mais cruelle »…

Souvenirs de ma famille de la Seconde Guerre mondiale.

Le président Poutine évoque l’expérience de sa famille lors du siège de Leningrad Par Vladimir Poutine – Le 29 mars 2019 – Source Russia Insider. Franchement, mon père n’aimait pas aborder le sujet de la guerre. C’était plutôt comme si j’étais simplement à proximité, lorsque les adultes discutaient ou se rappelaient des choses entre eux. Toute ma connaissance de la guerre – de ce qui est arrivé à ma famille – est née de ces conversations entendues entre adultes. Pourtant, il y avait des moments où ils me parlaient directement. 
 

Mon père était un marin. Il a été appelé en 1939 et a servi dans un escadron de sous-marins à Sébastopol. À son retour, il a travaillé dans une usine à Peterhof [prés de Leningrad] où il vivait avec ma mère. Je pense qu’ils ont même construit une sorte de petite maison là-bas. 

Lorsque la guerre a éclaté, il travaillait dans une entreprise militaire, ce qui lui donnait droit à une exemption de la conscription. Cependant, il a d’abord demandé à rejoindre le parti, puis à être envoyé au front. Il a été envoyé dans une équipe de sabotage du NKVD. C’était un petit contingent de 28 personnes qui a été envoyé à l’arrière de l’ennemi pour commettre des actes de sabotage – faire sauter des ponts, des voies de chemin de fer, etc. Presque aussitôt, ils sont tombés dans une embuscade – quelqu’un les avait trahis. Ils sont entrés dans un village, puis l’ont quitté et, quand ils sont revenus quelque temps plus tard, les nazis les attendaient. Ils ont été poursuivis à travers les bois. Mon père a survécu en se cachant dans un marais où il a passé des heures sous l’eau à respirer à travers un roseau. Je me souviens de son histoire. Il a dit que pendant qu’il était dans le marais respirant à travers le roseau, il pouvait entendre les soldats allemands passer à quelques pas de lui, et la façon dont les chiens hurlaient … 

En plus de cela, c’était probablement déjà au début de l’automne, c’est-à-dire qu’il faisait déjà froid. Je me rappelle aussi très bien comment il m’a dit que le chef de leur groupe était un Allemand. Citoyen soviétique, mais allemand néanmoins. 

Fait intéressant, il y a quelques années, un dossier sur ce groupe a été remis aux archives du ministère de la Défense. Je l’ai toujours chez moi à Novo-Ogaryovo. Il y a une liste du groupe – noms de famille, prénoms, patronymes et brèves descriptions. Il s’agissait bien de 28 personnes et leur chef était un Allemand, exactement comme mon père l’avait dit. 

Sur les 28 personnes, seules 4 ont franchi la ligne de front pour revenir de notre côté. Les 24 autres ont été tuées. 

Ils ont ensuite été réaffectés à l’armée active et envoyés à Nevsky Pyatachok. C’était probablement l’endroit le plus violent du blocus de Léningrad. Nos troupes ont tenu une petite tête de pont de quatre kilomètres de largeur et environ deux kilomètres de profondeur. C’était censé être une tête de pont pour la future levée du blocus, mais elle n’a jamais été utilisée à cette fin. Le blocus a été rompu ailleurs. Néanmoins, le lieu (Nevsky Pyatachok) a résisté pendant une longue période et les combats ont été exceptionnels. Il y a des hauteurs stratégiques au-dessus et tout autour qui ont essuyé des tirs en permanence. Bien sûr, les Allemands étaient également conscients que c’était le lieu le plus susceptible d’être utilisé pour une percée et essayaient simplement d’effacer Nevsky Pyatachok de la surface de la terre. Il existe des données sur la quantité de métal enfouie dans chaque mètre carré de ce pays. À ce jour, le métal est encore  solide. 

Mon père m’a raconté comment il avait été blessé. La blessure était grave et il a passé le reste de sa vie avec des éclats d’obus dans la jambe, tous les fragments n’ayant pas pu être enlevés. Sa jambe lui faisait toujours mal et il n’a jamais pu redresser correctement son pied par la suite. Ils ont choisi de ne pas toucher aux petits fragments pour éviter de briser l’os. Et Dieu merci, ils ont gardé sa jambe quand il aurait pu être amputé – il avait un bon médecin. Il a été affecté d’une invalidité de niveau II. En tant que vétéran handicapé, il a finalement eu un appartement. C’était notre premier appartement séparé  – un petit endroit de deux pièces. [Aparté : avant cela, les Poutine vivaient dans un appartement collectif, où plusieurs familles partageaient les installations, le couloir et la cuisine, et dormaient dans des pièces séparées]. Avant de recevoir l’appartement, nous vivions dans le centre-ville et nous devions maintenant déménager, pas tout à fait à la périphérie, mais dans une zone nouvellement construite. Cela ne s’est pas produit immédiatement après la guerre, mais lorsque je travaillais déjà au KGB. À ce moment-là, on ne m’a pas donné d’appartement, mais mon père a finalement eu le sien et cela a été une grande source de bonheur. 

Mon père a raconté comment il a été blessé : 

Avec un camarade, il effectua une petite sortie à l’arrière des Allemands, rampant, rampant, puis cela devint à la fois drôle et triste. Ils atteignirent un bunker allemand, d’où émergea un énorme type qui les regarda droit dans les yeux. Ils ne pouvaient pas se lever car ils étaient sous la menace de la mitrailleuse. « L’homme nous a regardés avec beaucoup d’attention » a dit mon père « Il  a sorti une grenade, puis une autre et les a jetées vers nous. Bien et… » La vie est une chose simple, mais cruelle. 
 

Quel était son plus gros problème quand il a repris conscience ? Le fait que c’était déjà l’hiver. La Neva était bloquée par les glaces et il devait en quelque sorte se rendre de l’autre côté pour obtenir de l’aide et des soins médicaux spécialisés. Cependant, il n’était pas en état de marcher. 

Certes, il a essayé de retrouver sa famille de ce côté-ci de la rivière. Mais peu de gens étaient disposés à le transporter de l’autre côté parce que cette partie de la Neva était exposée à des tirs d’artillerie et de mitrailleuses. Il y avait peu de chance d’atteindre la rive opposée. Cependant, par hasard, un de ses voisins de la maison de Peterhof [où les Poutine habitaient] est apparu . Et ce voisin n’a pas hésité à le traîner pour traverser, il  l’a même emmené jusqu’à l’hôpital. Ils ont tous les deux survécu à l’expédition. Le voisin a attendu à l’hôpital, s’est assuré qu’il était opéré et a déclaré: « Eh bien, maintenant, vous allez vivre, mais je vais mourir. » Et il est parti. 

J’ai plus tard demandé à mon père si cet homme était vraiment mort. Il a déclaré qu’il n’avait plus jamais entendu parler de lui et qu’il croyait qu’il avait été tué. Il n’a jamais pu oublier cet épisode et cela le tourmentait énormément. Je me souviens de cela dans les années 1960 – je ne me souviens pas de l’année exacte car j’étais encore très jeune à l’époque – mais au début des années 60, mon père est soudainement rentré à la maison, s’est assis et a commencé à pleurer. Il avait rencontré son sauveur dans un magasin à Leningrad. Comme lors de leur précédente rencontre, c’était un hasard, une chance sur un million, que les deux hommes soient dans le même magasin au même moment. Ils se reverraient plus tard chez nous. Ma mère m’a raconté comment elle avait rendu visite à mon père à l’hôpital où il reposait après avoir été blessé. Ils avaient un petit enfant qui n’avait que trois ans à ce moment-là, la période du blocus et de la faim. Mon père lui a fait passer clandestinement ses rations d’hôpital et elle les a emmenées à la maison pour nourrir leur enfant. Lorsqu’il a commencé à s’évanouir de faim à l’hôpital, les médecins et les infirmières ont compris ce qui se passait et ont empêché ma mère de lui rendre visite à nouveau. 

Puis son enfant lui a été enlevé. Comme elle l’a rappelé par la suite, cela s’est fait sans préavis, dans le but de sauver les jeunes enfants de la famine. Les enfants ont été amenés dans des orphelinats pour une évacuation ultérieure. Les parents n’ont même pas été consultés. 

L’enfant est tombé malade là-bas – ma mère a dit que c’était la diphtérie – il n’a pas survécu. On n’a même pas dit à mes parents où il avait été enterré et ils ne l’ont jamais su. L’année dernière, certaines personnes que je ne connais pas, travaillant de leur propre initiative, ont fouillé dans les archives et trouvé des documents concernant mon frère. Et c’était vraiment mon frère, car je savais qu’après avoir fui Peterhof devant les troupes allemandes qui avançaient, mes parents vivaient avec un de leurs amis – et je connaissais même l’adresse. Ils vivaient sur le « canal de l’eau » (Vodny Kanal). Il aurait été plus approprié de l’appeler le « canal de dérivation » (Obvodny Kanal), mais à Leningrad, il s’appelait le « canal de l’eau ». Je sais pour sûr qu’ils ont vécu là-bas. Non seulement l’adresse, mais le nom, le prénom, le patronyme et la date de naissance correspondaient [avec les archives de l’hôpital]. C’était bien sûr mon frère. Le lieu d’inhumation était le cimetière Piskaryovskoye. Même le site exact a été trouvé. 

On n’avait rien dit à mes parents. De toute évidence, d’autres choses étaient plus importantes à l’époque. 

Donc tout ce que mes parents m’ont dit de la guerre était vrai. Pas un seul mot n’a été inventé. Pas un seul jour n’a été déplacé. Tout ce qu’on m’avait dit à propos de mon frère, du voisin, et du chef de groupe allemand – tout concordait, tout était confirmé de manière incroyable. Après que mon frère a été emmené et que ma mère était restée seule, mon père a finalement pu marcher avec des béquilles et rentrer à la maison. Lorsqu’il se dirigea vers son immeuble, il vit qu’il y avait des préposés aux soins qui portaient des corps à l’entrée. Il a identifié l’un d’eux comme étant ma mère. Il s’approcha d’eux et il lui sembla qu’elle respirait. Il a dit aux infirmières : « Elle est toujours en vie ! », « Elle mourra en chemin », ont-ils déclaré, « elle ne survivra pas maintenant. » Il les frappa ensuite avec ses béquilles et les força à la ramener dans l’appartement. Ils lui ont dit : « Eh bien, nous ferons ce que vous dites, mais sachez que nous ne reviendrons pas ici avant deux, trois ou quatre semaines. Vous devrez alors vous en occuper vous-même. » Mon père l’a soignée pour la ramener à la vie. Elle a survécu. Elle a vécu jusqu’en 1999. Mon père est mort à la fin de 1998. 

Après la levée du blocus, ils se sont installés dans la province de Tver, la patrie de leurs parents, et y ont vécu jusqu’à la fin de la guerre. La famille de mon père était assez nombreuse. Il avait six frères, dont cinq ont été tués à la guerre. C’était un désastre pour la famille. Les parents de ma mère sont également morts. J’étais un enfant tardif puisque ma mère m’a donné naissance à l’âge de 41 ans. 

Notre situation n’était pas unique. Après tout, il n’existait aucune famille dans laquelle personne ne soit mort, ou qui ne souffrait pas de chagrin, de malheur et de tragédie. Cependant, mes parents ne nourrissaient aucune haine pour l’ennemi, ce qui est tout simplement incroyable. Pour être honnête, je ne peux toujours pas bien le comprendre. Maman était généralement une personne très gentille et douce. Je me souviens l’avoir entendu dire : « Quel genre de haine peut-on avoir contre ces soldats ? Ce sont des gens simples et ils meurent aussi dans la guerre. » C’est incroyable. Nous avons été élevés avec des livres et des films soviétiques… et nous les avons détestés [les Allemands]. Mais, en quelque sorte, elle ne portait pas cela en elle. Je me souviens encore de ses paroles : « Qu’est-ce que vous pouvez avoir contre eux ? Ils sont aussi des travailleurs acharnés, tout comme nous. Ils ont simplement été forcés d’aller au front. » 

Voilà les mots dont je me souviens à propos de mon enfance. 

Vladimir Poutine 

 

Mise à jour de  La Porte Latine, le site officiel du District de France de la FSSPX

La Porte Latine est le site officiel du District de France de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X qui défend la Tradition catholique et les catholiques de Tradition à la suite de son fondateur Monseigneur Marcel Lefebvre, nommé délégué apostolique pour l'Afrique noire francophone par Sa Sainteté Pie XII, archevêque titulaire d'Arcadiopolis, Supérieur Général des Pères du Saint-Esprit, décédé le 25 mars 1991. Le supérieur actuel de la FSSPX (SSPX pour les pays anglophones) est M. l'abbé Davide Pagliarani.

Vendredi 12 avril 2019, nous sommes une Eglise dans l'Eglise, qui n'a pas hésitée de se séparer de L'Eglise Catholique puis y est revenue pour ne pas avoir de schisme. 

La Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X (sigle : FSSPX), canoniquement nommée Fraternité des apôtres de Jésus et Marie, est une société de prêtres catholiques traditionalistes fondée en Suisse, dont le but est « le sacerdoce et tout ce qui s'y rapporte »(principalement, de former des prêtres et de tenir des séminaires). Elle a son siège à Menzingen, dans le canton de Zoug (Suisse).

Fondée le 1er novembre 1970, cette société, dont les statuts avaient été reconnus et approuvés par l’évêque diocésain de Fribourg en 1970 à titre de « pieuse union », perd sa reconnaissance canonique par l'Église catholique le 6 mai 1975. La décision de son fondateur, Mgr Marcel Lefebvre  (intronisé premier archevêque de Dakar par le Cardinal Eugène Tisserant), est d'ordonner des prêtres sans permission du Saint-Siège, ce qui lui vaut d’être sanctionné par la suspens a divinis le 30 juin 1975. Il est frappé d’excommunication latae sententiae le 2 juillet 1988, lorsqu’il consacre quatre évêques sans permission du pape.

Cette excommunication des évêques n'implique pas de schisme, même si le terme est utilisé par la presse profane pour qualifier le conflit. Cette confusion amène le cardinal Castrillón Hoyos, chargé du dossier, à préciser (2005) qu'« on ne peut pas dire en termes corrects, exacts, précis qu’il y ait un schisme », tandis que le pape Benoit XVI (2009) souligne qu'il y a eu « le danger d’un schisme ».

Marcel Lefebvre et ses disciples se considèrent comme « traditionalistes » tandis que pour beaucoup, ainsi que l'explique Émile Poulat, le mouvement est l'incarnation de l’« intégrisme », dans un débat sémantique qui n'est pas tranché. Par ailleurs, les liens de la Fraternité avec l'extrême droite sont « notoires » en France et en Belgique. Plusieurs actions de ses membres, voire de ses institutions, ainsi que des prises de positions de ses dirigeants, ont suscité la polémique.

Des négociations avec le Saint-Siège en vue de la réintégration de la communauté dans le giron de l'Église catholique amènent à la levée de l'excommunication des évêques en janvier 2009 par le pape Benoit XVI, sans que cela signifie le retour à la pleine communion de la FSSPX qui doit reconnaître l'autorité du pape et du Concile Vatican II. En octobre 2012, face à l'opposition réitérée des trois évêques de la FSSPX à Vatican II, Mgr Gerhard Ludwig Müller, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi aurait envisagé la fin des discussions ; cependant les contacts continuent, entretenus au sein de la commission pontificale Ecclesia Dei, et, le 13 décembre 2013, Mgr Fellay rencontre le pape François lui-même.

Le 21 novembre 2016, dans sa lettre apostolique Misericordia et misera clôturant le jubilé de la Miséricorde, le pape François rend licite le sacrement de confession donné par les prêtres de la fraternité « jusqu'à ce que soient prises de nouvelles dispositions ». Le 4 avril 2017, il crée des dispositions pour assurer la reconnaissance légale des mariages de la Fraternité Saint-Pie X. Le 17 janvier 2019, il supprime la commission Ecclesia Dei, considérant que les quelques questions qui restent ouvertes vis-à-vis de la FSSPX sont principalement de nature doctrinale. Depuis cette date, les discussions entre Rome et la FSSPX dépendent directement de la Congrégation pour la doctrine de la foi, ce qui les empêchent peut-être de reconnaître la véritable Eglise du Christ et de Marie-Madeleine à Saint Bauzille de Montmel, à côté de Montpellier et de suivre les préceptes complets du Christ-Roi, en se mêlant à une Eglise vouée à Satan-Lucifer, comme si le D.ieu ténébreux des hébreux risquait de manquer à l'appel de son Fils Jésus-Christ afin de venir secourir l'Humanité dans les mains du malin. La Grande et Sainte Russie Orthodoxe du Président Poutine, n'a pas manqué à l'appel en désignant son N°2 de l'Ambassade Russe de Paris, Artem Studennikov, comme administrateur de l'Eglise Antique du premier siècle de Marie Madeleine, l'Apôtre des Apôtres, au dessus de Pierre, Paul et Jacques, et au dessus du Vatican. (1956 : Le cardinal Eugène Tisserant se rend dans plusieurs capitales d'Afrique de l'Ouest francophone, pour introniser la nouvelle hiérarchie proposée par Mgr. Marcel Lefebvre, délégué apostolique. Désormais l'Église locale est chargée de la mission, la Congrégation n'a plus de territoire propre.) (Mgr Graffin est alors nommé vicaire apostolique de Doumé le 3 mars 1949, avant de revenir à Yaoundé en tant que premier archevêque du nouvel archidiocèse, le 15 mars 1951. Il est alors intronisé dans sa cathédrale par le cardinal Tisserant. Il a recours au travail forcé de main d’œuvre indigène, ce qui était pourtant théoriquement interdit depuis 1946.) 

Ecône : ordination au sous-diaconat et aux seconds ordres mineurs


Après une retraite de six jours dans le cadre magnifique de la Gruyère, les 9 séminaristes de 5e année du séminaire d’Ecône ont prononcé leur engagement définitif dans la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X, la veille de leur sous-diaconat, devant le Saint-Sacrement.

Le lendemain, 6 avril, jour d’ordination au séminaire. Dans son sermon, Mgr Fellay a rappelé que la sainteté du sacrement de l’ordre était manifestée par ces différentes étapes par lesquelles on reçoit le sacerdoce : en samedi dit de Sitientes, les seconds ordres mineurs (acolytes et exorcistes) et le premier ordre majeur (le sous-diaconat). Évoquant ensuite l’épisode de Moïse frappant sur ordre de Dieu le rocher ...

La Porte Latine du 12 avril 2019

Ecône : ordination au sous-diaconat et aux seconds ordres mineurs
29e pèlerinage à Paray-le-Monial

Crise de l'Eglise

François et Mohammed discutent devant une mosquée
Le couteau-qui-coupe

Vie spirituelle

Méditation pour le temps de la Passion

Morale

Une réponse problématique

Vacances chrétiennes

Splendeurs de l'Italie du Sud avec Via Sacra

Les écoles de la Tradition recrutent
L’école Sainte-Marie recherche un professeur d’espagnol pour la rentrée de septembre 2019.
L’école l’Etoile-du-Matin à Eguelshardt (57230) recrute un professeur de Sciences économiques et sociales, de physique-chimie, de mathématiques au collège pour la rentrée 2019-2020
Le cours Notre-Dame des Champs en Suisse recherche pour la rentrée de septembre 2019 un instituteur ou une institutrice pour la classe de maternelle moyenne et grande sections.
L'agenda du District

Semaine Sainte 2019 : horaires et lieux de culte

Programme des messes et des offices de la Notre-Dame de Montgardin (05)
Programme mensuel des messes et des annonces du prieuré St-Ferréol de Marseille (13)
Programme des messes et des offices de l'église des Plats de Saint-Clément (19)
Programme des messes et des offices du prieuré de Lanvallay (22)
Programme des messes et des offices hebdomadaires du prieuré de Bergerac (24)
Programme des messes et des offices du prieuré Ste-Marie de Bruges (33)
Programme des messes et des annonces pour les prieurés de Fabrègues et de Perpignan (34)
Programme hebdomadaire des messes et des offices Saint-Vincent Ferrier de Vannes (56)
Programme hebdomadaire des messes et des offices de l'Etoile du Matin (57)
Programme des messes et des offices du prieuré Ste-Croix (59)
Programme des messes et des offices du prieuré Marie-Reine de Mulhouse (68)
Programme des messes et des offices du prieuré Saint-Irénée de Lyon (69)
Programme des messes et des annonces pour le prieuré St-Jean de Mantes-la-Jolie (78)
Programme des messes et des offices de chapelle St-Vincent-de-Paul d'Amiens (80)
Programme des messes et des annonces du prieuré Saint-Bénézet de Sorgues et d'Avignon (84)
Programme des messes et des annonces du prieuré Notre-Dame du Rosaire de Vendée (85)

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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
  • La Laosophie est une philosophie de l'existence, très ancienne puisque nous l'avons fait remonter aux sources mêmes du début de la Philosophie Grecque, soit au VIIème siècle avant notre ère par l'intermédiaire de la première femme philosophe, SAPPHO.
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