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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
20 avril 2018

WWIII : LA FRANCE DE MACRON QUI COORDONNAIT LA COALITION SUR LA SYRIE AVEC LES UK-USA, VIENT DE CONTAMINER LA SYRIE POUR ...

Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. (ce Blog non professionnel, ne fait pas appel à la publicité ni à des subventions pour exister , il est gratuit et tenu par des bénévoles).

WWIII : LA FRANCE DE MACRON QUI COORDONNAIT LA COALITION SUR LA SYRIE AVEC LES UK-USA, VIENT DE CONTAMINER LA SYRIE POUR PLUSIEURS MILLIARDS D'ANNEES. CRIMES CONTRE L'HUMANITE DONT MACRON EN TIENT LA RESPONSABILITE COMME COORDINATEUR DES FRAPPES.

Publié le 20 avril 2018 par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

Lors du déplacement d'Emmanuel Macron dans les Vosges ce mercredi, un homme de 61 ans a été interpellé pour avoir fait un doigt d'honneur au président de la République...Présumé coupable d’un doigt d’honneur au président dans la ville vosgienne, l’homme âgé de 61 ans a été placé en garde à vue, selon nos confrères de L'Est Républicain. Le Lorrain aurait reconnu les faits, commis lors d’un échange avec des retraités. Libéré, il passera finalement devant le tribunal pour un rappel à la loi fin mai, et une partie de sa retraite sera prélevée pour le Père Noël de l'Elysée.

 

WWIII : LA FRANCE DE MACRON QUI COORDONNAIT LA COALITION SUR LA SYRIE AVEC LES UK-USA, VIENT DE CONTAMINER LA SYRIE POUR PLUSIEURS MILLIARDS D'ANNEES. CRIMES CONTRE L'HUMANITE DONT MACRON EN TIENT LA RESPONSABILITE COMME COORDINATEUR DES FRAPPES DANS LE PC JUPITER DE L'ELYSEE.

CE N'EST PLUS UNE DEMISSION QU'IL FAUT DEMANDER A MACRON, C'EST LA PRISON COMME POUR NICOLAS SARKOZY OU CLAUDE GUEANT.

Crime contre l'humanité: Les Etats-Unis, Le Royaume Uni et la France viennent de contaminer la Syrie pour plusieurs milliards d'années.
Prenant prétexte d'attaques chimiques dont nul ne trouve trace, et dont aucune preuve n'existe, les trois états voyous (hors la loi) ont, par contre, répandu des produits autrement plus dangereux et nocifs que des produits chimiques : les produits nucléaires qui polluent l'air, l'eau, le sol , la nappe phréatique et tous les êtres vivants, y compris les arbres et les animaux. C'est manifestement un crime contre l'Humanité. La durée de vie de ces produits mortels dépasse celle de la Terre !!

On risque d'avoir plusieurs Présidents de la République Française en Prison, (voir fin de Page)

uranium appauvri: un vrai scandale, une vraie horreur

https://img.over-blog-kiwi.com/1/46/51/28/20180420/ob_7caf3b_mediapart.png

ven. 20 avr. 2018 20 avr. 2018 Édition de la mi-journée

(d'aprés international news)

Depuis la fin de la première guerre d’Irak (1991), les études, les reportages, les témoignages sur les effets des armes utilisées par les forces occidentales, dont l’uranium dit « appauvri » (UA) se comptent par dizaines. Les vétérans de Tempête du désert, qu’ils soient Américains, Français, Britanniques, Australiens ou autres, ont également dénoncé ces effets sur eux-mêmes et leur descendance depuis leur retour d’Irak en 1991. Depuis, la seconde guerre et            l’occupation n’ont fait qu’aggraver la situation dans un Irak littéralement empoisonné. Aujourd’hui, c’est un rapport d’enquête de l’OMS réalisée en 2012 qui fait scandale. Non pour ce            qu’il révèle, mais parce qu’il n’a pas été rendu publique.
Commencé en mai-juin 2012 et terminée en octobre de la même année, l’étude réalisée par l’OMS et le ministère irakien de la Santé, révèle un nombre  croissant de malformations congénitales et de cancers chez les enfants. Elle a été menée à Bagdad, Diyala, Anbar, Sulaymaniyah, Babel, Bassorah, Mossoul et Hi-Qar, où  18 000 foyers ont été visités. Selon le journal britannique The Independent, un rapport aurait dû être publié en novembre 2012.

En mars 2013, un représentant du ministère irakien de la Santé interviewé par la BBC, déclarait que « toutes les études publiées jusque-là par l’Irak apportaient la preuve d’une augmentation des  malformations congénitales et de cancers chez l’enfant ». Le rapport caché montre, quant à lui, que ce problème de santé publique consécutif à  l’utilisation d’armement toxique par les forces alliées, constitue un fléau majeur à venir pour les générations futures. Les gouvernorats de Ninive, Anbar, Bassorah et Najaf sont   particulièrement touchés. Ce qui correspond aux régions où les munitions à l’uranium ont été massivement utilisées. D’autres études, évidemment rejetées par les États responsables,            États-Unis, France et Grande-Bretagne en tête, ont montré des taux anormalement élevés de stérilité, de fausses couches ou de mortinatalité.

Face à l’attitude de l’OMS, 58 scientifiques,            professionnels de santé et avocats des droits de l’Homme ont écrit à l’OMS et au ministère irakien de la Santé pour leur demander la publication immédiate du rapport. Ils n’ont reçu aucune réponse.

Les signataires de la lettre étaient Irakiens, Iraniens, Libanais, Japonais, Européens, Australiens et Nord-Américains, des personnalités de tous ordres dont Noam Chomsky, Ken Loach, John Tirman.         Selon le Guardiandu 26 mai, Hans von Sponeck, ancien assistant du secrétaire général de l’Onu, « le gouvernement américain a essayé d’empêcher l’OMS de se  rendre dans le sud de l’Irak ou l’uranium a été utilisé et a eu des conséquences graves sur l’environnement et les populations. »

On se rappellera qu’outre les conséquences de            cette « sale guerre propre » les sanctions de l’Onu contre l’Irak après 1991 et jusqu’à la seconde guerre en 2003, ont tué, chiffres de la FAO, 576 000 enfants. Entre 2002 et 2005, les États-Unis ont tiré en Irak 6 milliards de balles et largué 2 000 à 4 000 tonnes de bombes sur les villes irakiennes, qu’elles ont empoisonnées avec leur composant d’uranium, de mercure, de plomb neurotoxique ou autres métaux toxiques. En 1991, la quasi-totalité des infrastructures comme les hôpitaux a été détruite,   le reste le fut en 2003. Le pays se situe actuellement parmi les plus pauvres du monde en terme de santé publique alors qu’avant 1999, il figurait dans les premières places du classement OMS.

Pourquoi l’OMS ne publie pas ce rapport ?  Pourquoi les États-Unis ne veulent-ils pas d’enquête dans les zones les plus touchées au cours des deux guerres ? Depuis plus de vingt ans, maintenant, les gouvernements américain, britannique et français nient, en dépit de toutes les preuves indiscutables présentées par les vétérans et l’Irak, l’utilisation par leurs armées de munitions à uranium et d’armes toxiques.                      

Les armes à l’uranium sont aujourd’hui fabriquées par de nombreux pays et utilisées en   Afganistan, Palestine, Syrie. Ces États n’ont jamais été jugés, non plus, et malgré les plaintes déposées au niveau international, pour crime de guerre et crime contre l’humanité pour avoir bombardé en toute conscience et massivement les populations et les infrastructures publiques. L’embargo total proclamé par l’Onu sous la férule de Washington et ses locataires Bush père et fils, est également un crime contre l’humanité qui a tué plus d’un million de personnes et détruit totalement la société et l’économie irakiennes.

Et quand un juge d’instruction, comme Mme Bertella-Jeoffroy ,en France, a réuni suffisamment d’éléments, entendu tous les protagonistes, et devient dangereuse à l’issue d’une enquête minutieuse qui a duré près de vingt  ans, le ministère français de la Justice trouve un prétexte pour la « muter », en claire, lui offrir un placard capitonné et la remplacer par un juge « à la botte » et   qui ne connaît rien à un dossier lourd de plusieurs dizaines de milliers de pages.

L’histoire de l’Irak de ces vingt  dernières années figure, sans aucun doute, parmi les plus grands drames que l’on ait connus depuis la seconde guerre mondiale, l’un des plus grands scandales, aussi, et le crime contre l’humanité le mieux enterré  avec le Congo de notre histoire contemporaine, Saddam Hussein ou pas, par toutes les forces politiques occidentales, Gauche ou Droite françaises, Démocrates ou  Républicains américains, Travaillistes ou Conservateurs britanniques, confondues, tristement confondues.

(d'aprés international news)

Crime contre l'humanité: Les Etats-Unis, Le Royaume Uni et la France viennent de contaminer la Syrie pour plusieurs milliards d'années.
 

Prenant prétexte d'attaques chimiques dont nul ne trouve trace, et dont aucune preuve n'existe, les trois états voyous (hors la loi) ont, par contre, répandu des produits autrement plus dangereux et nocifs que des produits chimiques : les produits nucléaires qui polluent l'air, l'eau, le sol , la nappe phréatique et tous les êtres vivants, y compris les arbres et les animaux. C'est manifestement un crime contre l'Humanité. La durée de vie de ces produits mortels dépasse celle de la Terre !!

Tout d'abord, les Tomahawks américains contiennent au minimum 3Kg d'uranium sur les ailes des missiles (voir beaucoup plus si les têtes en contiennent aussi). On parle alors de 360kg.

"Considérons l’impact d’un missile de croisière Tomahawk qui porte 3 kg (meilleur cas) ou 400 kg (pire cas) d’uranium appauvri.
 

L’impact produit un nuage de détritus de dimension variable, après combustion violente à environ 5.000° C. Les grains de poussière sont, comme on l’a dit, composés de particules de dimensions de l’ordre du micron [0.5 - 5]. De 500 à 1.000 mètres de l’impact on peut respirer des nuages de densité suffisante pour causer des doses significatives, composées de particules qui ont une masse d’environ 0.6 à environ 5 nanogrammes (6-50 x 10-10gr.). Une estimation a été effectuée selon le code de calcul de doses GEN II [9], en négligeant les effets dus à l’incendie et en considérant seulement l’exposition pour une inhalation d’une heure due à la dispersion simple du matériau, sans considérer certains facteurs qui pourraient faire ultérieurement augmenter l’exposition. En une heure on peut inhaler des grains de poussière radioactifs provenant du nuage en quantité déjà notables". 

Le journal militaire de référence Jane a confirmé par deux fois le fait que les Tomahawk contiennent de l'uranium appauvri.

Scalp-EG / Storm Shadow

 

L'armée française, quant à elle, a utilisé 9 missiles Scalp via des Rafales et 3 missiles de croisière navals MdCN et les Tornadoes des Storm Shadow (en fait des Scalp pour le marché britannique).Un témoignage officieux au sein de l’armée française (soldat travaillant dans la gestion des munitions) a confirmé l’utilisation d’uranium dans le SCALP (Storm Shadow). 

Dans le passé, le ministère de la Défense Britannique a confirmé sur son propre site pour janvier 99 des "Recherches anglo-françaises sur une ogive tandem avec charge arrière doublée d'uranium appauvri". C'est exactement la description du missile Scalp-EG déployé à partir de 2002. Depuis, le site a censuré sa propre information mais Internet a bonne mémoire. L'armée française n'a évidemment pas du tout communiqué sur le sujet. On ne peut sur ce point lui reprocher son manque de discrétion. On ne connaît donc pas la quantité d'uranium appauvri dans les missiles mais il est peu probable qu'on en trouve moins que dans les Tomahawks américains.

Donc au minimum, 300 kilos d'uranium appauvri ont été pulvérisées dans le ciel et les terres syriennes cette semaine (potentiellement plus de 3,5 tonnes). 

Voyons un peu ce qu'est cet élément radioactif persistant.

"Les armes à l’uranium appauvri, c’est quoi ?"

L’uranium appauvri (isotope U238, abréviation « UA ») est un sous-produit de l’enrichissement de l’uranium et du traitement du combustible usé. Il ne possède pas les propriétés nécessaires pour être utilisé dans un réacteur mais cela ne le rend pas moins dangereux, bien au contraire. Cette substance est très toxique. Par ailleurs, de tous les éléments radioactifs, l’uranium appauvri est celui qui reste radioactif le plus longtemps, avec une demi-vie de 4,47 milliards d’années.

L’uranium appauvri est utilisé dans l’armement pour ses propriétés physiques. Étant un métal lourd, il est d’une efficacité redoutable pour transpercer les parois des chars blindés et des tanks. Il est tellement dur qu’il ne se déforme pas lorsqu’il entre en contact avec sa cible. On peut comparer cette pénétration à celle d’un caillou dans l’eau.

Au contact de sa cible, l’uranium s’enflamme, relâchant en grande quantité de minuscules particules radioactives. Transportées par le vent, ces particules peuvent se retrouver dans l’eau, le sol, les nappes phréatiques… contaminant tout l’environnement."

"Quels sont les impacts des armes à l’uranium appauvri ?"

Les propriétés chimiques et radiologiques de l’uranium appauvri ont des impacts désastreux sur l’environnement et les êtres humains. La contamination à l’uranium appauvri se fait quasi exclusivement de manière interne, car le rayonnement émis par l’UA est de type alpha, et donc très court. Ainsi, il y a trois voies majeures de contamination, par inhalation, ingestion ou lésion cutanée. C’est l’inhalation de particules qui est la plus dangereuse pour les êtres vivants.

Étant à la fois chimiotoxique et radiotoxique, l’uranium appauvri atteint les reins, les poumons, le squelette, les organes reproducteurs, la thyroïde, les muscles, les ganglions lymphatiques ainsi que le système neurologique. Les types de pathologies observées sont principalement les cancers (dont leucémies) et les malformations congénitales. Les effets ne sont pas les mêmes selon l’intensité et la durée d’exposition, mais aussi selon la nature physique et chimique de l’uranium appauvri, qui peut varier d’un obus à l’autre. En outre, les enfants sont beaucoup plus vulnérables aux effets de l’uranium appauvri. Même une faible dose peut avoir des effets. La Commission Internationale de Protection Radiologique a été obligée d’admettre officiellement que, si le risque augmente en fonction de la dose reçue, il n’existait pas de seuil d’innocuité.

On observe ces pathologies chez les populations victimes de bombardements à l’uranium appauvri, mais aussi chez les vétérans des conflits irakiens, des Balkans ou encore d’Afghanistan".

Conclusion

Ces trois pays ont donc riposté à une attaque chimique (au mieux fictive, au pire très limitée dans sa zone d'action) par des frappes qui vont contaminer de façon étendue et particulièrement persistante la Syrie et ses habitants déjà très éprouvés par 7 années de guerre. Comme toujours, ce seront les plus vulnérables, les bébés, qui risqueront de souffrir de graves malformations et de cancers.

Voilà donc la seule "riposte humanitaire" qu'ont trouvé à faire nos gouvernements (épris d'humanité et de démocratie que l'on veut imposer à coup de bombes atomiques aux populations récalcitrantes) face à la tragédie syrienne.

Quand l'hypocrisie occidentale atteint des sommets...

Vidéo: 

Uranium appauvri en Irak: des générations détruites pour des millions d'années
Uranium appauvri, un tueur très présentable - (Documentaire 2012)


- Source : Fawkes News

 

Un garçon de Douma révèle des détails sur le tournage de la vidéo sur «l’attaque chimique»

 

https://3.bp.blogspot.com/-bzzboUxRlME/WthEWdi_gHI/AAAAAAAAUDw/wawTkxm1qo4TT87Bb3ptTlgWMEtmZmntwCLcBGAs/s400/1036012510.jpg

Le garçon syrien Hassan Diab, présenté par les Casques blancs comme une personne touchée par la présumée attaque chimique le 7 avril à Douma, a raconté à un journaliste russe comment la vidéo sur «l’attaque» a été filmée.

Il n’y a eu aucune «attaque chimique» à Douma, une banlieue de Damas, le 7 avril dernier et les personnes qui «auraient été touchées par un agent chimique» ont été invitées par les Casques blancs, a annoncé mercredi Hassan Diab, un garçon de 11 ans qui figurait dans la vidéo.

«Nous étions dans un sous-sol. Maman m’a dit qu’il n’y avait rien à manger et qu’on mangerait demain. Nous avons entendu des cris dans la rue, on criait "Allez à l’hôpital". Nous avons accouru à l’hôpital et dès que j’y suis entré, on m’a attrapé et on a commencé à m’asperger d’eau. Ensuite, on nous a mis sur des lits à côté d’autres personnes», a indiqué le garçon à la chaîne de télévision Rossiya 24.

Le correspondant de guerre de la chaîne, Evguéni Poddoubny, a noté qu’on avait obligé le garçon à tourner dans cette vidéo.

«L’enfant n’avait rien à manger. On lui a donné du riz, des dattes et des biscuits pour ce tournage», a indiqué le journaliste.

Le père d’Hassan a confirmé ce récit, ajoutant qu’il n’y avait eu aucune attaque chimique dans la ville.

«Quand j’ai appris que mon enfant était à l’hôpital, j’ai demandé de m’absenter de mon travail pour y aller. J’ai fumé dehors, je n’ai rien senti. Je suis entré à l’hôpital et j’ai vu ma famille. Les extrémistes ont donné des dattes, des biscuits et du riz aux participants à ce tournage avant de nous laisser rentrer chez nous. Mon enfant se portait parfaitement bien», a indiqué l’homme.

Le correspondant Evguéni Poddoubny a publié un reportage sur Instagram où il montre la salle d’hôpital qui a servi de lieu de tournage pour les Casques blancs

L’uranium “appauvri” dans les missiles et GBUs / “Depleted” uranium in missiles and GBUs

English below ! Just scroll down please.

Meilleure preuve : confirmation par des officiers en charge de l’entraînement au tir de missiles Milan de ce que le missile emploie l’uranium appauvri, et d’ailleurs ils disent eux-même que “c’est dangereux”.

Une expérience naturelle : le suivi du nuage d’uranium appauvri répandu par les frappes en Syrie du 14 avril 2018 en Europe (Tomahawks, Scalp, MdcN, JASSM).

BeauvaisDonnées de radioactivité à Beauvais fournies par l’IRSN – on voit très bien l’augmentation après le début de la guerre en Irak. Mêmes résultats avec données EURDEP (Commission européenne) avec une augmentation de 3,3 nanoSv/h en moyenne sur un échantillon très large, aux Pays Bas

Un groupe appelé International Coalition to Ban Uranium Weapons prétend combattre les armes à uranium. Mais ce groupe a une définition très limitée de ces armes. Il croit qu’il y a un nombre limité d’armes à uranium, à savoir les obus de tank de 105 et 120 mm, et des balles de petit calibre (15 / 25 / 30 mm). En conséquence, un petit nombre de personnes qui croient cela vont critiquer le gouvernement américain et d’autres gouvernements seulement lorsqu’ils utilisent ces munitions, et ignorent totalement les bombes larguées par avion (GBUs), les missiles de croisière et d’autres missiles anti-char. Pourquoi ? Car bien sûr les gouvernements ont plus ou moins reconnu l’utilisation d’uranium dans ces armes. Mais il est utilisé beaucoup plus largement, car l’uranium est le meilleur pénétrateur au monde contre les chars et les bunkers. Les gouvernements ont reconnu l’usage d’uranium dans un petit nombre de munitions qui ne sont pas réellement utilisées dans les zones habitées par les civils (un tank tirera ses obus essentiellement contre d’autres tanks, et on s’attend à ce que les combats entre tanks se passent dans la campagne, comme à Koursk), de sorte que les électeurs puissent croire que les zones urbaines ne sont pas contaminées. Mais l’ICBUW avale ça tout rond, en dépit des nombreuses preuves qui ont été amassées pour démontrer l’emploi d’uranium dans les missiles de croisière et autres bombes guidées fréquemment utilisés dans les zones urbaines. Essayons de les lister. Par exemple…

La liste WDU est une liste de têtes explosives pour missiles dont l’acronyme fait irrésistiblement penser à “DU” pour “Depleted Uranium”. Le Tomahawk utilise par exemple une WDU-25/B (ou WDU-36 pour le Tomahawk naval block III), le JSOW AGM-154 utilise la WDU-44/B et la WDU-45/B, le JASSM utilisé pour la première fois en Avril 2018 en Syrie (cf. le lien sur le suivi du nuage d’uranium appauvri !) utilise la WDU-42 (selon le CSIS “Missile Threat”), l’AGM-65 Maverick utilise la WDU-20/B et WDU-24/B, l’AIM-9 et ATM-9 Sidewinder utilisent aussi une WDU, tout comme l’AMRAAM, le missile sol-sol ATACMS utilise la WDU-18/B qui est aussi utilisée dans l’AGM-84 SLAM…

Le laboratoire d’A.Q. Khan, renommé Kahuta Laboratories, fabrique des missiles antichar et signale même qu’il s’agit de fission nucléaire… (A.Q. Khan est le célèbre “inventeur” de la bombe pakistanaise)

Ensuite il y a la liste des brevets de ces armes qui autorisent l’utilisation d’uranium. Il y a plus de quinze ans Dai Williams en a établi une première. Mais bien sûr on en trouve beaucoup d’autres, comme par exemple celui-ci qui confirme l’emploi d’uranium comme “matériau réactif” (incendiaire) dans les missiles (et donne tout à croire que l’uranium employé à ces fins n’est pas appauvri). Bien sûr on nous répond qu’un brevet n’est pas forcément employé. Certes, certes… Mais il y a mieux. Il y a tout simplement le fait que de nombreux sites détruits par ces bombes radioactives sont eux-même radioactifs : on y trouve plus de Sieverts que la normale, et des échantillonnages en laboratoire montrent bien une concentration anormale d’uranium (le taux considéré comme normal est de 2 mg / Kg). Si l’on prend par exemple le bunker Amariyah détruit par deux GBU-27 en 1991 (causant la mort de plus de 400 civils brûlés dans l’incendie), on observait toujours une radioactivité importante dans ce bunker 10 ans après (dans le reportage “Irak, d’une guerre à l’autre” diffusé en 2002 – voir vidéo).

Doug Rokke aussi, le vétéran avec un doctorat en radioprotection, qui est malade à cause de cette contamination, signale que des zones détruites par des missiles de croisière étaient radioactives en Irak. La vidéo qu’il a fait pour l’armée américaine dans le cadre d’un programme qu’il avait été chargé de préparer afin d’informer les soldats des dangers de l’uranium (programme de formation de 40 heures ensuite mis aux oubliettes) expliquait bien que l’uranium n’était pas utilisé uniquement dans du petit calibre et des obus de tank mais aussi comme “ballast” dans les missiles (écoutez ici pour le moment précis où la vidéo le mentionne. Il s’agit bien de ce qui devait devenir une vidéo officielle d’entraînement sur les “dangers de l’uranium appauvri”).

Plus encore : Le journal Jane’s, la référence sur les armes, a reconnu deux fois, en 1998 et 2000, l’emploi d’uranium dans deux missiles très largement utilisés, le Maverick et le Tomahawk. Le journal a bien sûr retiré ensuite ces infiormations, mais sans doute sous le coup de la censure. Jane’s a longtemps indiqué sur son site Web que l’uranium était utilisé pour augmenter la pénétration des “armes guidées”, ce qui n’inclut ni le petit calibre ni les obus de tank mais bien les missiles et autres bombes planantes GBU. L’information a été également censurée mais on peut toujours la retrouver grâce à l’Internet Wayback Machine : ici on peut lire que “Il est vrai que certaines armes guidées emploient l’uranium appauvri pour augmenter l’effet de pénétration“. J’ai aussi vu une autre vidéo dans laquelle des journalistes entrent dans un bâtiment détruit par un GBU avec un compteur Geiger (bien qu’il était étroitement surveillé par des militaires américains) et y trouvent également un niveau très élevé de radioactivité (les imiter et entrer dans une zone où l’on suspecte une contamination, ceci dit, est une très mauvaise idée, même les masques les plus fins laissent passer l’uranium pulvérisé par les bombes et laissé en suspension dans les bunkers). En Bulgarie aussi, on a trouvé d’importants niveaux de radioactivité dans un missile de croisière américain qui avait atterri sans exploser, en 1998 (le missile était destiné à la Bosnie mais avait changé de trajectoire en vol). Et un ministre de l’Environnement finlandais, Satu Hassi, a déclaré dans une lettre à tous ses collègues qu’il y avait 3 kgs d’uranium dans chacun des 1500 missiles tirés en Serbie et au Kosovo (ce qui correspond tout à fait à la masse d’uranium que l’on s’attendrait à trouver dans un missile de type Maverick ou Hellfire).

Il y a eu de la recherche commune anglo-française sur des liners à uranium “appauvri” pour charges creuses – le liner est la charge utile qui est déformée par l’explosion et projetée en avant, l’uranium et ses capacités incendiaires ainsi que sa grande ductilité le rendent idéal pour cette mission. Ci dessous comparaison cuivre (en haut) et uranium (en bas).

Copper Uranium Shaped Charge Army Research Lab

Cf. MODDUAppendix A2002. (page 2 en bas – “rear” signifie arrière, car il y a une petite charge creuse à l’avant du missile pour active les explosifs de protection des tanks, et une charge creuse principale plus en arrière dans la plupart des missiles modernes) Actuellement AREVA est directement impliquée dans le développement de missiles MBDA. On se demande bien ce qu’ils vont y faire… Ou pas : AREVA via sa filiale la SICN a déjà produit des obus à uranium à Annecy !

Un témoignage officieux au sein de l’armée française (soldat travaillant dans la gestion des munitions) a confirmé l’utilisation d’uranium dans le SCALP (Storm Shadow).

Une source intéressante pour observer l’utilisation d’uranium dans les obus et missiles est à trouver dans les filtres à air perfectionnés qui sont utilisés pour détecter les contaminations radioactives – ici à Aldermaston au Royaume-Uni :

Aldermaston

On observe des pics d’uranium qui correspondent très bien aux conflits au Moyen-Orient. Dans le cas de l’Afghanistan en particulier les tanks ne sont pas réellement entrés en action, il s’agissait bien de raids avec des bombes lourdes et des missiles de croisière. Impossible que le petit calibre des A10 soit vaporisé jusqu’en Europe…

De la même façon, Andor Kerekes trouve une augmentation importante dans les filtres pour l’uranium en Hongrie pendant la guerre au Kosovo en 1999. Impossible que cela ait été causé par le petit calibre des A10 ! L’ICBUW ne veut pas le reconnaître.

Asaf Durakovic et l’UMRC / UMRI ont mesuré des niveaux très significatifs d’uranium, ainsi qu’une collection de maladie du type du syndrome du Golfe, près de zones bombardées par des missiles et des bombes guides GBU. Lire cet article de la BBC pour les résultats de leurs prélèvements. Son équipe a remarqué que les bombes avaient traversé des étages entiers de béton et s’étaient retrouvées à 3 – 4 mètres sous terre avant d’exploser, d’une façon caractéristique pour l’uranium ultra-dense. Le PNUE a délibérément exclu les cibles de missiles et de bombes guidéess de ses deux études sur les Balkans. Des requêtes formelles au Parlement anglais n’ont pas eu plus de réponse. Toujours est-il qu’un rapport du PNUE sur l’uranium dans les Balkans mentionne l’usage d’uranium dans les ballasts de missiles (lire l’annexe), ce qui signifie évidemment que l’uranium est utilisé pour frapper un plus grand coup (donc qu’il est utilisé en grands volumes). Rappelons aussi comme mentionné plus haut que les études du PNUE de 2006 au Liban démontraient que la concentration d’uranium était multipliée par 10 dans le cratère de Khiam.

Les Nations Unies reconnaissent d’ailleurs aussi implicitement la chose…

Even the UN ODA is more curious than the ICBUW, uses a picture of an antitank missile for its DU webpage

Lire aussi l’article de Barbara Koeppel pour le Washington Spectator pour un autre cas où des concentrations d’uranium plus importantes ont été retrouvées près du cratère de bombes, à Tora Bora en Afghanistan.

Une étude de Souad Naji Al-Azzawi, géologue et ingénieur environnemental, a aussi démontré une contamination significative près de sites bombardés par des missiles AGM 154 JSOW en Irak.

Une autre preuve est ici. L’effet météorologique ne peut avoir d’explication naturelle, la structure des nuages était beaucoup trop géométrique ! Les particules bêta des produits fils de l’uranium (Th234 et Pa234m) pourraient expliquer ce phénomène selon Roland Desbordes. Malheureusement je n’ai pas eu l’occasion (pour des raisons indépendantes de ma volonté) de faire tester ces obus, et je ne possédais pas à l’époque de Geiger.

Après un débat houleux sur Wikipédia (version anglaise de l’article sur l’uranium appauvri), un utilisateur bien décidé à censurer toutes mes informations a néanmoins… reconnu de lui-même, spontanément, que la version de série du GBU-27 est fabriquée avec de l’uranium “appauvri” ! (“depleted” uranium, DU)

 

Pourquoi le seul GBU-27 alors que beaucoup d’autres bombes et missiles en ont aussi besoin ? Pourquoi pas le GBU-24, le GBU-28, le GBU-31, le GBU-37, le GBU-43 Mother of All Bombs, tous les missiles antichar, les missiles de croisière, les obus d’artillerie anti-char, etc. ? Tous les pilotes de char le savent que l’uranium est utilisé systématiquement dans les missiles antichar…

Un commentaire sur la pétition ICBUW évoque aussi l’utilisation d’uranium appauvri dans des missiles antichar (TOW 2) ! En 2009 déjà mais l’ICBUW est bien entendu restée silencieuse…

commentaire ICBUW TOW DU

A noter aussi : Le PNUE a trouvé dans le cratère Khiam (causé par un missile en 2006 au Liban, vidéo ici (au début)) une concentration d’uranium de 26 mg/Kg (on est bien au-delà des valeurs normales), avec 0.7% de 235U et 0,005% de 234U (hautement radioactif et radiotoxique). Ce ratio de 235U est utilisé, en dépit de toute évidence, pour affirmer qu’il s’agit d’uranium en provenance du sol… Le rapport du PNUE note aussi que “the natural uranium content in the area (a localized zone of about 100 x 100 m [the bomb site]), was higher than average by a factor of about 10” ! – “la concentration d’uranium naturel dans la zone (un périmètre localisé de 100 * 100 m [le site de l’explosion] était plus important d’un facteur 10 que la moyenne” (voir ici p. 151). Tsahal aurait donc trouvé une mine d’uranium ? On se doute bien que non, c’est géologiquement impossible. Il suffit de comprendre qu’Israel ajoute moins d’uranium appauvri que les autres pays (qui de toute façon n’est PAS nécessaire à la pénétration des blindages et à la destruction des bunkers !). Environ quatre fois moins. Le PNUE a refusé de prendre en compte cette évidence…

La présence d’uranium est par ailleurs confirmée par des relevés indépendants, ceux de Chris Busby et Dai Williams, au Liban et à Gaza, qui eux trouvent des ratios isotopiques un peu différents.

busby-williams-report-gaza-screen

Leur échantillon de Khiam (le dernier de la liste) provient d’un cratère adjacent au cratère principal ce qui explique certainement que leur résultat en termes de concentration d’uranium est inférieur (la radioactivité y était aussi plus faible). La présence d’uranium dans les filtres à air ne peut également être expliquée par des raisons naturelles.

On parle bien d’échantillons pris sur des sites bombardés par Israel avec des missiles ou des bombes guidées GBUs, pas mitraillées par des A10s qui tirent du petit calibre ou détruites par des obus de tank. Des niveaux élevés de radioactivité ont été trouvés dans les deux cratères de Khiam : avec des niveaux de bruit de fond de 0,03 / 0,06 uSv/h, la radioactivité trouvée dans le cratère principal est de 0,8 uSv/h, et de 0,3 / 0,4 uSv/h dans l’autre (où la concentration d’uranium retrouvée est plus faible).

Se souvenir aussi de l’uranium “non appauvri” mais trouvé en grande quantité par Asaf Durakovic et son équipe en Irak (pollué à l’U236, confirmant que ça n’est pas la géologie du sol… en fait l’U236 est une preuve pour la fission nucléaire).

234U Durakovic south Iraq measurements

En d’autres mots : Il y a des preuves DEFINITIVES que l’uranium est utilisé dans les bombes GBU et dans les missiles de croisière, ainsi que dans les missiles anti-char tel que le Javelin et les obus d’artillerie tels que le BONUS et l’Excalibur. Il est utilisé de façon SYSTEMATIQUE pour polluer les sols et empoisonner les populations, puisqu’il n’est PAS nécessaire au percement des blindages, la nano-bombe nucléaire incorporée dans chaque missile suffisant amplement. Les organisations qui travaillent sur les armes à uranium doivent mettre à jour leurs logiciels intellectuels et doivent comprendre l’emploi d’uranium dans les bombes GBU, les missiles anti char et missiles de croisière, et toutes les charges creuses (lire aussi mon autre article sur l’utilisation de l’uranium dans les charges creuses – ENCORE D’AUTRES PREUVES !). Tant que nous échouons à les prendre pour cible les militaires ne nous prendront pas sérieusement. Le débat s’est concentré sur quelques pénétrateurs cinétiques à uranium car ce sont ceux que l’armée américaine a bien voulu reconnaître comme contenant de l’uranium (il faut dire aussi que l’uranium dans ces projectiles est souvent visible, contrairement aux charges creuses et autres GBUs où il est à l’intérieur de l’arme). Mais les tanks qui tirent ces obus ne les utilisent que rarement dans des zones urbaines. Les missiles et bombes GBUs, au contraire, SONT utilisés dans les zones urbaines, et ils contiennent un volume TRES IMPORTANT d’uranium, plusieurs centaines de kilos par missile lourd parfois. C’est beaucoup plus que les obus des chars. C’est la raison pour laquelle l’armée ne veut pas en parler. L’uranium appauvri est utilisé systématiquement alors qu’il n’est PAS nécessaire pour traverser les blindages, je le répète, ce pourquoi son usage constitue bien un crime contre l’humanité.

Best confirmation (in French) : soldier saying the officers training him to fire Milan antitank missiles in Canjuers told them not to go near the targets of the Milan, “it’s dangerous because of depleted uranium”. And another soldier saying that they know “since very long” for the massive use of DU.

One good test case : the April 14th, 2018 strikes in Syria created a cloud of depleted uranium easily traced on radioactivity beacons in Europe.

BeauvaisIRSN provides data from its beacons, on ambient radioactivity, the peak matches obviously the Iraq War. Data from EURDEP (European Commission) leads to the same conclusion (a 3,3 nanoSv/h increase in average over a very large sample).

 

There is a group called the International Coalition to Ban Uranium Weapons which fights against uranium weapons. But this group has a very limited definition of uranium weapons. It believes that there is a limited number of uranium weapons, which are 105 mm and 120 mm tank shells, and 30 mm bullets of A-10 Thunderbolt planes. As a consequence, a number of people who believe this will criticize the US or other governments only when they do a move which involves such weapons, and ignore totally the GBUs, cruise missiles and other anti-tank missiles. Perhaps PCness ? because indeed governments have more or less recognized the uranium content of this list of weapons. But there is much more, because uranium is the best penetrator in the world for anti-armour fight, it’s the best against bunkers and any solid target which will resist all of its competitors, but not uranium. Governments have acknowledged the use of uranium in a few weapons which are not really used in civilian areas (because a tank will fire its shells mostly in open land, not in urban areas), so that people can believe urban areas are not contaminated with it. That’s the explanation of the policy. But the ICBUW is gullible enough to believe them, even though many proofs have been accumulated to demonstrate that cruise missiles and GBU bombs include uranium too.

The WDU list is a list of explosive warheads for missiles whose acronym makes you irresistibly think of DU for Depleted Uranium. The Tomahawk uses for instance a WDU-25/B (or WDU-36 for the sea launched Tomahawk block III), the JSOW AGM-154 uses the WDU-44/B and the WDU-45/B, the JASSM used for the first time in Syria in April 2018 (see the tracking down of the depleted uranium cloud I have done with radioactivity beacons) uses the WDU-42 (according to the CSIS “Missile Threat”), the AGM-65 Maverick uses the WDU-20/B and WDU-24/B, the AIM-9 and ATM-9 Sidewinder also use a WDU, like the AMRAAM, the ground-to-ground ATACMS missile also uses the WDU-18/B which is also used in the AGM-84 SLAM…

Kahuta Labs =A.Q. Khan’s laboratories. Anti tank missiles, and a flag indicating use of fission. Pakistanis love to brag… (if you don’t know who A.Q. Khan is, look for him on a search engine)

There is also the list of patents of aerial bombs and cruise missiles which include uranium. Here is a first one recorded by David Williams. But that’s not the only one, there are more recent patents (the list is from 2002), like this one for a « reactive material » used in missiles to create fire. To this list the ICBUW replies that « patenting something does not mean you will use it ». Really. But there is more. The second proof is even more accusing : the simple fact that places that were destroyed by missiles and GBU bombs have been tested with a Geiger counter, and radioactivity has been found here. Take for instance the Amariyah bunker destroyed by two GBU-27s in 1991 (it killed more than 400 people, many from the fire created by the weapons, fire from a GBU indicates clearly the pyrophoricity of uranium) : 10 years after it is still radioactive (see this video).

See also implicit acknowledgement by the UN ODA :

Even the UN ODA is more curious than the ICBUW

 

Doug Rokke too, the veteran with a Ph.D in health physics, who is sick because of contamination, indicates that places that were destroyed by cruise missiles were radioactive in Iraq. The video he did for the U.S. Army as part of a program he had been tasked to prepare in order to warn soldiers about the dangers of depleted uranium (the 40-hours long program was later shelved) said uranium was used not only in tank shells and small caliber ammunition, but also « as ballast in missiles » (listen here for the precise moment when the video mentions that uranium is used as ballast in missiles. Please again note that this was intended to be an official military training video on « uranium hazard awareness »).

More again : the military journal Jane’s (the reference in weapons) acknowledged twice, in 1998 and 2000, the use of uranium in two very widely used missiles, the Maverick and the Tomahawk. The journal later withdrew the information but this is probably a consequence of censorship. Jane’s also once reported on its website that uranium had been used to increase the penetration effect of guided weapons (the information was later removed). But it can still be accessed through the Internet Wayback Machine : here you will see that « It is true that some guided weapons used depleted uranium to increase the penetration effect« . By guided weapons, understand missiles and GBUs. Note that the BBC also once reported that GBUs are made with uranium. I have also seen another video where journalists enter a building destroyed by a GBU with a Geiger counter (in spite of the fact it was closely guarded by the US military) and also find a lot of radioactivity inside (don’t do that ! Never ! It’s highly radiotoxic and dust is able to penetrate the best masks as it is so thin !). In Bulgaria, in a US cruise missile from the Bosnia war that had landed unexploded, in 1998, high levels of radioactivity had been found. And Satu Hassi, Environment minister of Finland, sent to all his European counterparts a letter stating that the majority of the 1500 missiles used against Serbia and Kosovo included uranium, about 3 kilograms each (which would absolutely match the uranium content expected in a Maverick or in a Hellfire, for the shaped charge versions – the kinetic energy penetrator version of the Maverick ought to contain about 100 kilograms).

There has been joint Anglo-French research on shaped charges liners with uranium – this has been recognized on the official UK Ministry of Defense website : see MODDUAppendix A2002. (page 2 at the bottom – « rear » means it’s the main shaped charge, not the smaller front charge used to activate explosive tank armour)- Here is a comparison between copper (on top) and uranium.

Copper Uranium Shaped Charge Army Research Lab

Currently AREVA is directly involved in the development of MBDA missiles ! What are they doing there ? They already are well skilled in the making of uranium weapons as AREVA, through its SICN subsidiary, actually manufactured uranium arrows for kinetic energy tank shells, in Annecy.

It has emerged from an anonymous testimony in the French military that SCALP missiles (known as Storm Shadow in the UK) include a mass of uranium. The soldier who provided this testimony works in weapon preparation in the French army.

Add to this the fact that uranium was detected in Aldermaston air filters immediately following the start of the 2003 Iraq War.

Aldermaston

This seems consistent with the massive air raids against Iraqi targets, starting from the very beginning of the war, and it seems very unlikely that the sole A10s bullets are responsible for uranium detected thousands of kilometers away ! Massive bombs that spray oxyde dust at high altitudes are much more likely to cause dust to be spread in the winds and detected as far as in England.

Similarly, Andor Kerekes et alii found an acute increase in uranium from filters in Hungary during the war au Kosovo in 1999. No way this could come from A10 bullets. No tanks were used in the war. The only possibility : the dust came from GBUs and missiles used by the fighter jets. Which the ICBUW does not want to acknowledge.

Asaf Durakovic and the UMRC / UMRI measured very significant levels of uranium, as well as a collection of « Gulf War like-illnesses » in Afghanis near places destroyed by missiles and bombs. See this BBC article for the results. His team noticed the weapons punched through several concrete floors and walls, then buried 3 to 4 meters in the earth before exploding. Bombs and missiles targets are conspicuously absent from both UNEP Balkans DU studies. Formal queries in the UK parliament returned a denial. Still, one UNEP report on uranium in the Balkans mentions the use of uranium in missile ballasts (in the annex), which obviously means that the uranium is used to pack a bigger punch and is used in great volumes. Let’s mention again the fact that uranium concentration was increased by a factor of 10 in the Khiam crater in Lebanon according to the UNEP report of 2006.

Read also Barbara Koeppel’s article for another case where higher concentrations of uranium were found in and near craters of bombs, in Tora Bora, Afghanistan.

A study by Souad Naji Al-Azzawi, a geologist and environmental engineer, also demonstrated significant contamination near places bombed by AGM 154 JSOW missiles in Irak.

One other proof is here. The meteorological effect can not be explained with natural causes, the structure of the clouds is too much geometrical. Beta particles of daughter products of uranium (Th234 and Pa234m) could explain this phenomenon according to Roland Desbordes of the CRIIRAD. Unfortunately I haven’t had the opportunity to test that ammunition with Geiger counters at that time.

The debate has focused on cinetic energy penetrators because these were those that the military indulged in acknowledging they include uranium. But they are not really directly used in urban areas, except perhaps the small caliber A-10 ammunition. Cruise missiles and laser guided bombs, however, are fired directly at military targets hidden deep inside urban areas from GPS guided aircrafts, boats or submarines. They also include generally a mass of uranium that is much heavier than the tank shells. GBU bombs may weigh more than a ton, a high percentage of which is “depleted” uranium. There is also the use of uranium in shaped-charge warheads, as a liner. This is heavily demonstrated by the numerous patents for explosively formed penetrators which include uranium as a liner (for example: the K-charge 6 393 991 in David Williams’ list). The liner is the part that is directed by the power of the explosion of the charge directly toward the target. See also my article on shaped charge liners and uranium which includes EVEN MORE PROOF.

A comment on the ICBUW petition also mentions use of depleted uranium in anti tank missiles (TOW 2) ! Since 2009, no reaction from the ICBUW…

commentaire ICBUW TOW DU

Last but not least : following a heated debated on the Wikipedia talk page for the “depleted uranium” article, one user who suppressed all my inputs on uranium and missiles / GBUs nevertheless… acknowledged himself that one big GBU bomb, at least, is industrially produced with a “depleted” uranium penetrator ! (DU for Depleted Uranium)

 

Why would it be solely used in the GBU-27, and not in the GBU-24, the GBU-28, the GBU-31, the GBU-37, the GBU-43 Mother of All Bombs, etc. ? And not in all the other heavy bombs and missiles that need it ? All tank drivers know it that uranium is used systematically in anti tank missiles…

Also, note : UNEP finds in the Khiam crater in Lebanon (2006 war) 26 mg/kg of uranium 238, with 0.7% 235U and 0,005% 234U (highly radioactive and radiotoxic). This 235U ratio is used to claim that it is uranium from the ground, even though the report of the UNEP also notes that « the natural uranium content in the area (a localized zone of about 100 x 100 m [the bomb site]), was higher than average by a factor of about 10 » ! (see here p. 151) – Seems that the Israeli Defense Force did a geological survey and decided to target a uranium vein ! (… No they didn’t) – See video of the bombing here (at the beginning of the tape), looks very much like it is a missile and not a GBU (since the weapon is too fast to be seen). It is very obvious that Israel simply adds LESS depleted uranium than other countries (in this case, four times less). UNEP, then under the executive direction of Achim Steiner, decided not to take into account these facts. UNEP decided to claim this was nothing of an uranium weapon, in spite of the evidence.

busby-williams-report-gaza-screen

Also note the findings of uranium dust in Lebanon and in Gaza by Dai Williams and Chris Busby, with slightly different results, i.e. an isotopic ratio under the ratio of natural uranium (137.88), which indicates slightly enriched uranium (so we can discard the ridiculous hypothesis that this is « uranium sublevated from the soil »). The Lebanon soil comes actually from another crater near Khiam. I explain how ALL conventional weapons use nuclear fission and thus do NOT need the addition of depleted uranium.

These samples were made near places bombed by Israel, with missiles / GBU, not with A10s, for instance. The Lebanon sample, in Khiam, is particularly significant in that it was a target of GBU / cruise missiles, there were not fired by tanks (it was an air raid), and it was not of course bullets from A10s that caused these craters ! The presence of uranium in air filters cannot be explained naturally, it MUST be because of uranium sprayed by the weapons.

Strong levels of radioactivity were also found in other Lebanese craters : with background levels of 0,03 / 0,06 uSv/h, the radioactivity in the craters reached 0,3 / 0,4 uSv/h. The radioactivity reported in the main crater is 0,8 uSv/h.

Remember how Asaf Durakovic and his team also found similar concentrations with a LOT of uranium, yet not “depleted”, in Iraq (and contamination with U236 again confirming it’s not the ground geology…).

234U Durakovic south Iraq measurements

In other words : there is DEFINITIVE proof that uranium is being used in GBU bombs and in cruise missiles, as well as in, for instance, anti-tank missiles like the Javelin and artillery shells like the Excalibur and BONUS. It is used SYSTEMATICALLY while it is NOT needed for armour piercing as the nano nuclear bomb in all explosive warheads is obviously enough for armour piercing. The organisations working on uranium weapons need to update their intellectual software and to understand the use of uranium in GBU bombs, in cruise / anti-tank missiles, and in shaped charge warheads. So long as we fail to target these, we won’t be taken seriously by the military. It is used systematically but is NOT needed for armour piercing, which is why its use is a true crime against humanity.

Vive les Présidents de notre Ripoublique en Prison!

Claude Guéant, cas d’espèces

Par Renaud Lecadre — 20 mars 2018 à 21:06 

L’ancien homme fort de la sarkozie semble avoir été le principal bénéficiaire du cash qui circulait à droite durant la campagne de 2007.

  • Claude Guéant, cas d’espèces

Grandeur et décadence d’un présumé grand serviteur de l’Etat. Claude Guéant, couteau suisse de la sarkozie, n’en finit plus de porter sa croix pénale, pour son amour immodéré du cash. Dans l’affaire libyenne, les enquêteurs ont relevé cette incongruité : entre 2003 et 2012, il n’aurait retiré que 800 euros en espèces sur ses comptes. Dans le même temps, les enquêteurs pointent un flux suspect de 120 000 euros en liquide.

Sacoches

On connaît sa ligne de défense: il s’agirait d’un prélèvement de 5 000 euros mensuels sur les frais d’enquête du ministère de l’Intérieur, théoriquement dévolus aux flics de base plutôt qu’aux dignitaires de la Place Beauvau. A ce titre, Guéant a été condamné en janvier 2017 à un an de prison ferme pour détournement de fonds publics, la justice pointant au passage sa tartufferie, lui qui proclamait au milieu des années 90, alors directeur général de la police nationale, que ces frais d’enquête ne sauraient «en aucun cas être considérés comme permettant d’alimenter un régime indemnitaire».

Mais le compte n’y est pas. Les 110 000 euros ainsi soutirés en liquide au ministère de l’Intérieur ne sauraient expliquer d’autres mouvements suspects. Entre autres «usages immodérés des espèces», les enquêteurs ont relevé diverses remises (entre 2008 et 2013) d’un montant total de 160 000 euros à son fils, François Guéant, avocat fiscaliste et ex-cadre des jeunes UMP. Via de grosses coupures de 100 ou 200 euros, selon le témoignage de sa belle-fille. Cerise sur le gâteau, le «Cardinal» payait aussi au black la femme de ménage de sa résidence secondaire, 200 euros mensuels pendant dix ans (2003-2013), pour un montant total de 23 400 euros non déclarés.

Autre source possible de cash : le colonel Kadhafi. A entendre l’intermédiaire Ziad Takieddine (lire ci-contre), c’est dans les mains plus ou moins propres de Guéant qu’il aurait remis deux sacoches contenant 3,5 millions d’euros en provenance de Tripoli entre fin 2006 et début 2007. Une troisième avec un reliquat de 1,5 million aurait été remise selon Takieddine directement à Nicolas Sarkozy, place Beauvau. Mardi sur France Info, Guéant a nié en bloc : «Je n’ai jamais vu un centime de financement libyen».

Tableaux

Aucun élément matériel ne permet à ce stade de valider les dires de Takieddine. On doit se contenter de cette anecdote : durant la présidentielle de 2007, Guéant avait loué non pas un coffre, mais une «chambre forte» dans une agence de la BNP place de l’Opéra à Paris - une salariée mesurant 1 m 63 indiquant qu’elle pouvait y entrer debout. Pour y stocker quelques archives élyséennes, se justifie Guéant. Quoi qu’il en soit, il paraît être le principal bénéficiaire des espèces circulant à cette époque dans la galaxie sarkozienne (lire page 4). Primus inter pares, Claude Guéant fut le premier mis en examen dans l’affaire dite libyenne, en mars 2015, pour faux et blanchiment en bande organisée, dans un sous-volet n’ayant a priori rien à voir avec Kadhafi. Il s’agissait de l’achat, quasi cash, d’un appartement parisien en mars 2008 pour 717 500 euros. Alors ministre de l’Intérieur, il justifie l’apport de fonds par la vente de deux tableaux flamands que personne n’a jamais vus - pas même sa femme de ménage parisienne. Mais rachetés au prix fort (500 000 euros, alors que Christie’s les évalue entre 20 000 et 30 000) par un avocat malaisien agissant pour le compte d’un homme d’affaires saoudien. Outre que Guéant n’avait rien déclaré à l’époque (l’exportation de tableaux entraîne une taxe de 4,5 %), rares sont les enquêteurs qui croient à cette explication alambiquée. Dans une écoute téléphonique d’une discussion avec sa fille, cette dernière l’enjoignait de tout raconter sur la sarkozie, le père faisant mine de camper le vieux sage ne disant rien et prenant tout sur lui.

Renaud Lecadre 

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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
  • La Laosophie est une philosophie de l'existence, très ancienne puisque nous l'avons fait remonter aux sources mêmes du début de la Philosophie Grecque, soit au VIIème siècle avant notre ère par l'intermédiaire de la première femme philosophe, SAPPHO.
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