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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
8 mars 2018

WWIII : L'Iran et Israël doivent s'affronter pour respecter le Plan des Francs-Maçons et celui d'Albert Pike. Israël a 400 ...

Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. (ce Blog non professionnel, ne fait pas appel à la publicité ni à des subventions pour exister , il est gratuit et tenu par des bénévoles).

iran-teheran

WWIII : L'Iran et Israël doivent s'affronter pour respecter le Plan des Francs-Maçons et celui d'Albert Pike. Israël possède 400 missiles nucléaires, et l'Iran en aurait autant.

Publié le 7 mars 2018 par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : L'Iran et Israël doivent s'affronter pour respecter le Plan des Francs-Maçons et celui d'Albert Pike. Israël possède 400 missiles nucléaires, et l'Iran en aurait autant.

L'Iran est sur la sellette: les récents essais de missiles balistiques qui, selon l’Occident, sont «capables de transporter des armes nucléaires» – une prétendue violation de la résolution 2231 de 2015 du Conseil de sécurité des Nations Unies.

La guerre  entre l’Axe de la Résistance (Syrie, Russie, Iran, Hezbollah) d’un côté et l’Axe du Mal (USA, Israël, Turquie, Arabie Saoudite) de l'autre, risque d’être relancée avec des interventions directes des armées arabes (du Golfe) et turque, et peut dégénérer en une guerre nucléaire de dimension mondiale, car ces derniers ont adapter leurs avions au transport d'armes nucléaires tactiques disponibles en Turquie, en Arabie et en Israël. 

 

Israël et l'Iran au seuil d'une grande guerre?
© Sputnik. Vladimir Fedorenko Lu dans la presse 13:50 07.03.2018(mis à jour 14:19 07.03.2018) URL courte Nezavissimaïa gazeta

Le gouvernement américain promet de sortir de l'accord nucléaire conclu entre l'Iran et les six pays médiateurs, a déclaré le vice-président américain Mike Pence pendant la conférence annuelle de l'organisation de lobbying "Comité israélo-américain pour les relations publiques" à Washington.

La volonté de l'Iran, d'Israël et des USA de défendre leurs intérêts pourrait prochainement déclencher une véritable guerre au Moyen-Orient, selon le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

«Il ne faut pas en douter: c'est la dernière chance pour les Iraniens. Si l'accord nucléaire n'était pas modifié dans les mois à venir, les USA sortiraient immédiatement de l'accord», a déclaré Mike Pence. Et de poursuivre: «Les USA ne laisseront jamais l'Iran obtenir l'arme nucléaire», cite Nezavissimaïa gazeta.

De son côté, l'ambassadeur d'Israël aux USA Ron Dermer a expliqué que la communauté internationale devait prendre conscience de la nécessité de respecter les intérêts de l'État hébreu au Moyen-Orient. Il a précisé qu'Israël était prêt à défendre de pied ferme les «lignes rouges» qu'il a tracées. En d'autres termes: personne n'est autorisé à porter atteinte à son intégrité territoriale, comme le montre la récente attaque israélienne contre des drones appartenant à l'Iran dans une région frontalière avec la Syrie.

Mais la communauté internationale, garante de l'accord nucléaire, n'est pas prête à suivre les USA sur toute la ligne. «L'Allemagne et l'UE ne soutiendront pas la sortie unilatérale des USA de l'accord parce que ce dernier est important pour Berlin. Il serait dangereux de détériorer les relations avec l'Iran à un moment où tout le Moyen-Orient est plongé dans le chaos. Le tout sur fond des nouvelles taxes américaines sur l'acier qui constituent une autre question très destructive et dangereuse du point de vue européen — ce qui détériore davantage les relations entre l'UE et les USA», explique Stefan Meister du Conseil allemand des relations internationales (DGAP).

Il ne fait aucun doute que prochainement, le thème de la confrontation avec l'Iran repoussera à l'arrière-plan les autres problèmes de la région. Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré lors de son entretien avec le président américain Donald Trump que l'Iran devenait le plus grand défi au Moyen-Orient, pour son État tout comme pour les USA.

La perspective d'un scénario militaire en Iran est très certainement à l'étude, estiment les experts russes. «Le risque d'une frappe militaire pèse depuis longtemps sur l'Iran. Pour se représenter le scénario exact, il faut comprendre de quelle frappe il s'agit parce que les militaires américains ont parlé d'activités militaires avec un différent niveau d'invasion (frappes aériennes, frappes chirurgicales contre les sites d'infrastructure nucléaire, opération de grande envergure). Tout scénario «léger» peut dégénérer en une véritable guerre, sachant que les USA ne pourront pas préalablement sécuriser tous leurs sites dans la région et protéger leurs alliés du Golfe», explique Ioulia Svechnikova du Haut collège d'économie. Et de conclure: «La conscience des risques catastrophiques, y compris des victimes humaines en Iran même, était probablement jusqu'à présent le facteur de dissuasion le plus important: il est tout simplement déraisonnable d'engager de telles actions. Alors que l'Iran, comprenant l'impossibilité de gagner dans un conflit armé à part entière, s'est concentré sur une réaction asymétrique… Par conséquent, même si l'Iran ne peut pas compter sur un grand potentiel dans un conflit ouvert, il signale toujours qu'il peut gâcher la vie à ses voisins.»

Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur de l'article repris d'un média russe et traduit dans son intégralité en français.

Manœuvres israélo-américaines: préparation à une « attaque globale »

7 mars 2018
Rédaction du site

Pour la neuvième fois consécutive, les USA et l’entité sioniste ont lancé des manoeuvres militaires conjointes simulant une  attaque globale  contre « Israël » à partir de tous les fronts, a rapporté le quotiden libanais alAkhbar.

Ces manœuvres visent à « former des soldats à tester divers systèmes de missiles, navires de guerre, hélicoptères et drones » mais aussi à coopérer avec « des forces US débarquant en Israël après avoir été attaqué par des roquettes sur différents fronts »  et à « exécuter « plusieurs scénarios pour faire face à une attaque similaire en recourant à des systèmes de défense antimissiles tels que Gates , le dôme de fer et la fronde de David et Patriot ».

L’armée israélienne a décrit les manœuvres, baptisées « Jennifer Cobra », et qui dureront deux semaines, comme « énormes » sachant qu’elles impliquent 2500 Marines et 2000 soldats israéliens des forces de l’Armée  de l’Air israéliennes et autres unités.

Les exercices comprendront « l’atterrissage des forces aériennes à l’intérieur des lignes par des hélicoptères et des drones décollant  d’un navire ».

A noter que le navire de guerre américain Aws Ejima a accosté dans le port de Haïfa avant le début des manœuvres,  transportant des soldats, 30 chasseurs et un hélicoptère. Il y a deux ans, quelque 3 200 soldats israéliens et américains ont participé à des exercices similaires.

Source: Médias

Le Drian : des entretiens « francs »

Au terme de sa visite à Téhéran, le ministre français des Affaires étrangères a souligné que ses négociations avec les autorités iraniennes avaient été « transparentes », « sincères » et « fermes » et que les deux parties avaient exprimé clairement leurs points de vue sur divers dossiers.

Des entretiens « francs » et « fermes », c’est ainsi que Jean-Yves Le Drian a résumé sa visite en Iran.

S’exprimant devant un parterre de journalistes, il a tenu à faire allusion à ses rencontres avec le président iranien Hassan Rohani, le secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale Ali Chamkhani ainsi qu’avec son homologue Mohammad Javad Zarif pour dire qu’il s'était entretenu longuement avec eux. « Vu la situation critique que connaît la région, ces rencontres ont été très importantes », a-t-il ajouté.

Évoquant le fait que la crise syrienne avait été l’un des sujets abordés lors de ces entrevues, le chef de la diplomatie française a déclaré que cette crise pourrait se transformer en une « catastrophe humaine ».

Selon le premier diplomate français, la partie iranienne s’est déclarée préoccupée par la situation humanitaire en Syrie notamment dans la Ghouta orientale, souhaitant l’accès à une solution afin d’éviter une catastrophe.

Plus loin dans ses propos, Le Drian a dit avoir discuté avec les responsables iraniens d’importants sujets, dont les crises régionales et le rôle que l'Iran compte jouer pour le règlement de ces conflits. « L’Iran est un poids lourd du Moyen-Orient, ayant les capacités d’un grand pays. Nous avons eu l’occasion d’aborder tous ces sujets-là avec franchise et sans ambiguïté », a-t-il ajouté tout en connaissant qu'un pays de stature de l'Iran pourrait aussi influer sur son environnement.

Le patron de la diplomatie française a déclaré également avoir parlé avec les Iraniens de leur point de vue concernant leur programme balistique sans évoquer toutefois le mot de "négociation". Le chef de la diplomatie française aurait eu même l'impression de ne pas du tout avancer dans ce sens : « Il y a encore beaucoup de travail à faire sur la question du programme balistique iranien ». 

Les divergences de vue sur les missiles iraniens persistant, le ministre a souligné en revanche la convergence Téhéran-Paris sur la question liée à l'accord nucléaire. 

Selon le ministre français, les autorités iraniennes ont affirmé être résolus à préserver l’accord sur le nucléaire; ils feront ce qu'ils jugent nécessaire pour le maintenir en place.

« Sur le maintien de l'accord nucléaire, nous sommes tout à fait en phase, d'ailleurs la France l'a montré parce qu'elle a supprimé ses sanctions et nous avons permis une reprise des relations commerciales entre la France et l'Iran », a dit Jean-Yves Le Drian. Il « faut tout faire pour que cet accord-là, qui est un accord historique, puisse tenir ».

En réponse à la question « rentrez-vous déçu » de l'Iran, le ministre français a rétorqué : « Non, j'y suis allé pour discuter et leur transmettre les inquiétudes et les positions de la France. Je pense que nous avons eu des négociations efficaces et chacun a exprimé librement ses points de vue. Nous avons décidé de nous revoir encore prochainement. Dans la conjoncture actuelle, le dialogue avec tout le monde s’avère nécessaire. Je l’ai fait en Russie, il y a quelques jours. »

Est que l'Iran est un "pays hémégonique"? C'est la question que les journalistes ont posé à M. Le Drian. Le ministre a préféré rester trop vague allant jusqu'à mettre de l'eau dans son vin puisqu'il a répondu : "laissez-moi vous dire qu'il y a trop à faire. Nous avons eu des discussions très fermes et très libres et chacun y est allé avec franchise, fermeté et sincérité". 

Pour qui rame Le Drian en Iran ?

Le ministre français des AE est arrivé dimanche soir à Téhéran, espérant pouvoir maintenir l'accord nucléaire tout en forçant l'Iran à négocier ses capacités balistiques.

Pourtant, à peine quelques heures avant ce déplacement, le ministère français des AE a publié un communiqué qui insiste sur l’importance du respect de l’accord nucléaire par toutes les parties, et menace l’Iran de nouvelles sanctions s’il ne prend pas en compte les préoccupations à propos de son programme balistique. 
La France refuse étrangement d’évoquer le volume très important des échanges économiques entre l’Iran et la France. 

De plus, le communiqué du ministère français des AE a été publié quelques heures après un article paru dans le quotidien Les Échos écrit par Aliza Bin-Noun, l’ambassadrice d’Israël en France. Dans cet article, l'ambassadrice appelle la France à ne pas laisser l’Iran imposer son hégémonie au Proche-Orient. 
Pour qui va ramer Le Drian durant cette visite ? La France, les USA ou Israël ?

Nous avons analysé cette visite avec Fabrice Beaur, expert pour l’ONG EODE.

Sur l'hypocrisie française

Mehran Kamrava Mehran Kamrava

 

Au cours des derniers mois, la France a pris la tête des pays européens en pressant l'Iran sur son programme de missiles balistiques, appelant la République islamique à réduire la portée et le nombre de ses missiles. Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, est allé jusqu'à menacer la République islamique de nouvelles sanctions supplémentaires si l'Iran ne renonce pas à son programme de missiles.  Selon le site Internet du ministère français des Affaires étrangères, la France considère le programme de missiles de l'Iran comme «un facteur de déstabilisation [qui] pose un problème de sécurité à plusieurs de nos alliés».

 

Ironiquement, en même temps qu'elle a revendiqué le rôle de défenseur de la stabilité régionale au Moyen-Orient en essayant de maîtriser les missiles iraniens, la France a attisé les tensions régionales et l'instabilité en livrant son matériel militaire à plusieurs de ses propres alliés régionaux, en particulier ceux de la région du golfe Persique.

 

En tant que l'un des plus gros exportateurs d'armes au monde, la France a été le premier fournisseur d'armes avancées au Moyen-Orient, bien sûr, à l'exclusion de l'Iran.  De 2010 à 2014, pas moins de 38% des ventes totales d' armes de la France sont allées au Moyen-Orient.  Parmi ceux-ci, l'écrasante majorité s'est retrouvée dans la région du golfe Persique, et en particulier sur les deux principaux adversaires régionaux de l'Iran, l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis.

 

Selon les données de l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm, SIPRI , de 2009 à 2013, la France a vendu pour 12,5 milliards de dollars d'armements aux six Etats du Conseil de coopération du Golfe, avec plus de 6,2 milliards de dollars. en Arabie Saoudite, suivi de près par les EAU à 5 milliards de dollars. Depuis lors, les choses ne se sont améliorées que pour les exportations d'armes françaises. En 2016, Le Drian, ministre de la Défense à l'époque, se vantait de ce que la France avait "atteint un nouveau sommet avec plus de 20 milliards d'euros de commandes".

 

L'année suivante était encore meilleure pour les fabricants d'armes du pays.  Fin 2017, le Qatar a passé une commande de 14,8 milliards de dollars pour des armes françaises. Lors de voyages à Riyad et à Abu Dhabi à peu près au même moment, le président Macron a vendu avec succès des armements supplémentaires à l'Arabie saoudite et aux EAU, également estimés à des dizaines de milliards de dollars.

 

Accablé de sanctions globales depuis près de deux décennies et incapable de se procurer des armes auprès de fournisseurs internationaux, le développement de ses capacités de missiles est l'un des seuls moyens dont dispose l'Iran pour assurer sa défense militaire.  Ironiquement, au moment même où la France appelle l'Iran à réduire son programme de missiles, il accentue le sentiment d'insécurité de la République islamique en aidant ses adversaires régionaux à renforcer leurs capacités militaires.

 

Il est douteux que les décideurs politiques français soient inconscients des conséquences de leurs politiques envers l'Iran et ses voisins arabes du sud.  Macron aurait déclaré: « Nous pouvons réconcilier le réalisme avec la défense de nos valeurs .» En invoquant les valeurs françaises, Macron signifiait censément paix et stabilité. Mais les conséquences réelles de la politique de Macron au Moyen-Orient, et en particulier dans la région du golfe Persique, sont tout sauf la paix et la stabilité.

 

Peut-être que les Français essaient délibérément d'attiser davantage les tensions régionales afin de vendre plus d'armes à des clients de plus en plus insécurisés. Ou peut-être qu'ils essaient de forcer l'Iran à abandonner son programme de missiles locaux en faveur des importations d'armes françaises.

 

Il n'est pas non plus impossible de supposer qu'il pourrait y avoir un motif plus sinistre au travail ici. Malgré toutes les preuves que l'Iran a abandonné son programme d'armement nucléaire en 2003, la France, avec d'autres partenaires européens et américains, a imposé des sanctions paralysantes sur le pays dans une crise artificiellement artificielle. Après de nombreuses tensions et une amère acrimonie, l'Iran et les puissances mondiales ont finalement conclu un accord en 2015 dans lequel l'Iran a accepté de limiter ses activités d'enrichissement en échange d'une levée partielle des sanctions. Aujourd'hui, on demande à l'Iran de limiter les moyens viables dont il dispose pour renforcer ses défenses militaires alors que ses adversaires continuent de s'armer jusqu'aux dents.

 

Peut-être, juste peut-être, ce n'est pas le programme nucléaire iranien, ou son programme de missiles, auquel les Français et leurs alliés s'opposent, mais le fait que l'Iran cherche un chemin indépendant des armes occidentales et de la dépendance militaire étrangère .

 

La «crise nucléaire» d'hier s'est transformée en une nouvelle «crise des missiles» aujourd'hui. Qu'est-ce que ce sera demain, une «crise de l'automobile» ou peut-être une «crise minime»?

 

La noble rhétorique de la recherche de la paix et de la stabilité ne peut cacher la réalité des ventes d'armes françaises en augmentation constante, et la propre culpabilité de la France à propager l'instabilité et l'insécurité au Moyen-Orient et ailleurs.  Quelles que soient les raisons de la politique française au Moyen-Orient, son hypocrisie flagrante n'est que trop évidente.

Mehran Kamrava est professeur et directeur du Centre d'études internationales et régionales de l'Université de Georgetown au Qatar. Il est l'auteur des prochaines eaux troubles: l'insécurité dans le golfe Persique .

 

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