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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
6 janvier 2018

WWIII : ETAT DE DROIT DISPARU: ETAT DE GUERRE IMMINENTE : VIVE L'AVANCEE DE L'ARMEE RUSSE EN FRANCE !

Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. (ce Blog non professionnel, ne fait pas appel à la publicité ni à des subventions pour exister , il est gratuit et tenu par des bénévoles).

macron-bureau

WWIII : ETAT DE DROIT DISPARU: ETAT DE GUERRE IMMINENTE : VIVE L'AVANCEE DE L'ARMEE RUSSE EN FRANCE POUR LES GAULLISTES QUI ONT TOUJOURS SOUTENU LA RUSSIE.

Publié le 6 janvier 2018 par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : ETAT DE DROIT DISPARU: ETAT DE GUERRE IMMINENTE : VIVE L'AVANCEE DE L'ARMEE RUSSE EN FRANCE POUR LES GAULLISTES QUI ONT TOUJOURS SOUTENU LA RUSSIE PAR LA MISSION NORMANDIE-NIEMEN.

Les médias russes dans le viseur de la République ? Le porte-parole du gouvernement répond «oui-oui béni soit mon roi»

Malheur à la Ville dont le prince est un enfant (dont le titre est inspiré d’un verset de l’Ecclésiaste.

(il conclut que sa recherche du sens de la vie l'a amené au fait que le devoir primordial de l'humanité, et la seule chose durable, est de « craindre Dieu et garder ses commandements, car c'est là tout le devoir de l'homme » (12:13).) 

« Malheur au pays dont le roi est un enfant et dont les princes ont mangé dès le matin ») est l'une des premières œuvres de Montherlant, ébauchée dès 1912 sous le titre de Serge Sandrier, puis reprise et transformée pendant presque 40 ans avant d’être publiée en 1951 (version définitive : 1967). Cette pièce s’inspire de l’adolescence de Montherlant, et particulièrement de son renvoi du collège Sainte-Croix de Neuilly en 1912. Il s'y représente sous les traits d’André Sevrais. Le modèle de Serge, Philippe Giquel, deviendra un as de l'aviation durant la guerre de 1914-18, puis un militant des Croix-de-Feu. En 1971, un an avant sa mort, Montherlant écrira que l'inspirateur du personnage de Serge fut le seul être qu'il aima réellement de sa vie entière.

Son roman Les Garçons, publié en 1969, reprend et approfondit la même histoire (dans cette version, André Sevrais devient Alban de Bricoule, qui servit déjà de double à Montherlant dans Le Songe et Les Bestiaires). Montherlant avait lui-même pratiqué d’importantes coupes dans son roman. Une version intégrale paraîtra après sa mort, en 1973, avec des illustrations d’Édouard Mac-Avoy.

Les réseaux sociaux, Facebook en tête, saluent ceux qui adorent l'Islam, les migrants, le nouvel ordre Mondial, les fausses religions de l'apostasie et les faux papes, ceux qui croient en la démocratie actuelle de la France, ceux qui croient à leur carrières au sein de la Ripoublique Française, ceux qui admettent tout et se contentent de rien, aux bénis-oui-oui qui croient en leurs supérieurs tout en se trouvant inférieur au rayonnement qu'ils inspirent, aux Dieux de la République Laïque qui met en place la religion de Satan-Lucifer car personne ne peut désormais s'y opposer, même pas les niais et les petits chefs qui se sont tous opposés pour que la Macronite puisse enfin imploser.

Moralité, dans ce désert de cadavres de l'esprit, et dans cette disparition totale des classes politiques,  où les petits chefs sont contraints d'animer des bals publics, où la recherche de consensus n'a même pas pu se faire, où tous avaient le cul en face de leur nombril, et travaillaient pour le seul Dieu, qui devait être élu, un peu à la Castaner dans un univers corrompu, la France est à la solde du plus offrant, quand les traîtres se sont entendus, pour que la gestion soit sous la férule pétrinienne de la classe financière et de l'Eglise du reniement, qui va encore broyer du Français à la Guerre, sous prétexte de défendre une mère Patrie de leurs culs, qu'ils présentent à tout va pour se la faire mettre, en pédérastes et pédophiles patentés, dans une dernière bataille rangée de pédés.

Devant ce désespoir, les vérités affichées de RT et de Spoutnik, dérangent, il faut donc tuer l'information qui ne peut-être vraie, à partir du moment où elle ne plaît, car il vaut mieux se réfugier dans la compromission, que dans la luxure des idées et bradant nos idéaux, comme si à plusieurs, la lubricité, pouvait tour arranger.

Le Président Vladimir Poutine a prévenu, ce comportement de l'Otan et des élites débauchées, d'un énorme ego, et d'un piètre QI, se référant à des gloires passées, qui n'ont été glorifiées que pour servir à masquer leur médiocrité, il ne l'accepte pas et ne fera qu'une bouchée de ces brochets qui ont tout dans la gueule et rien de charnu dans la queue.

Tous les coups seront contrés, et il ne faudra se plaindre qu'à soit-même pour avoir cru à la tirade Républicaine, d'un Pays qui n'existe déjà plus, sauf comme Lander de l'Allemagne, et d'une Europe Euthanasiée par les migrations forcées qu'on nous demande d'accepter au nom de la Chrétienté et de l'Islamisation forcée, pour que tous ces beaux émules, puisse se sentir chez eux et aller combattre un Ours Russe Bolchévique qui a le couteau entre les dents, comme les Lisses lames de Daesh, qui nous incitent à nous soumettre dans une religion où la soumission aux puissants et un modèle pour nos dynasties de bon à rien qui frétillent de se voir confier une mission pour sauver la France qui n'en a même plus le nom.

Plus un con et con, et plus il se pavane devant nos télévisions à la gloire des milliardaires qui nous gèrent comme du bétail, et qui ont bien compris que l'habitant de Paris, ne voulait qu'une reconnaissance devant des caméras pour que sa gloire posthume, puisse se prévaloir de ce moment de Gloire et mourir enfin content d'avoir servi le communautarisme amené sur les Champs Elysées, appelés l'île blanche ou encore l'île des bienheureux. L'Élysées est le lieu des Enfers où les héros et les gens vertueux goûtent le repos après leur mort. Chez Homère, les champs Élysées se situent à l'extrémité occidentale de la Terre, près d'Océan. Dans l'Odyssée, Protée les décrit ainsi à Ménélas (IV, 563-568):

"Les Immortels t'emmèneront chez le blond Rhadamanthe,
Aux champs Élyséens, qui sont tout au bout de la terre.
C'est là que la plus douce vie est offerte aux humains ;
Jamais neige ni grands froids ni averses non plus ;
On ne sent partout que zéphyrs dont les brises sifflantes
Montent de l'Océan pour donner la fraîcheur aux hommes."

À l'époque d'Hésiode, les champs Élysées deviennent les Îles des Bienheureux, décrites par Pindare. Elles étaient placées aux confins occidentaux de la Libye (dans l'Océan Atlantique donc).

 

 

Emmanuel Macron, les «fausses nouvelles» et la liberté d’expression
© AFP 2017 LUDOVIC MARIN / POOL

Points de vue

11:31 06.01.2018(mis à jour 11:43 06.01.2018) URL courte Jacques Sapir 1249

Emmanuel Macron, le mercredi 3 janvier 2018, lors de sa présentation de ses « vœux à la presse » s’est prononcé en faveur d’une loi contre les « fake news » (1). On sait que le Président de la République montre une certaine sensibilité à ce sujet. Cela a provoqué une certaine émotion, que ce soit sur les réseaux sociaux ou dans la presse (2).

Il s'en est pris aussi à Internet et il convient de reprendre le verbatim de l'allocution: « Des plateformes, des fils tweeter, des sites entiers inventent des rumeurs et des fausses nouvelles qui prennent rang au côté des vraies. La réalité est qu'il y a là une stratégie, une stratégie financée visant à entretenir le doute, à laisser penser que ce que disent les politiques et les médias est toujours plus ou moins mensonger. » Le Président de la République voudrait-il donc corriger la très mauvaise image que les français ont de la presse écrite, comme le montre un récent sondage (3)? Et pense-t-il que cette mauvaise image est elle-même un « fake news »? Cela pose plusieurs problèmes, et le premier d'entre eux n'est autre que le fait que toute nouvelle législation serait en réalité redondante avec celle qui existe déjà.

Le Président connaît-il la loi?

La loi Française punit actuellement de 35 euros la diffamation faites par des articles de moins de 3 mois, diffusés à plusieurs milliers d'exemplaires, par des journalistes amateurs, n'ayant pas de revenu de la propagation de ce type d'information, à condition que cette diffamation soit avérée et porte un préjudice certain. L'auteur seul est punit et non celui qui relaie l'information.

La question des « délits de presse » est une question délicate. Un équilibre doit être trouvé entre la protection de la liberté d'expression et la volonté, légitime, de sanctionner des délits et des abus. La Constitution de la Vème République garantit la liberté d'expression (4). Elle reprend la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789, déclaration qui, dans son article 11 stipule: «La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi».

La France s'est dotée, en juillet 1881, soit sous la troisième république, d'une loi codifiant la liberté de la presse (5). Cette loi, souvent amendée et mise à jour, est celle qui aujourd'hui encore définit les responsabilités des auteurs et des éditeurs de presse. Or, cette loi prévoit le cas de la diffusion de fausses nouvelles. Dans son article 27 elle précise:

« La publication, la diffusion ou la reproduction, par quelque moyen que ce soit, de nouvelles fausses, de pièces fabriquées, falsifiées ou mensongèrement attribuées à des tiers lorsque, faite de mauvaise foi, elle aura troublé la paix publique, ou aura été susceptible de la troubler, sera punie d'une amende de 45 000 euros.

Les mêmes faits seront punis de 135 000 euros d'amende, lorsque la publication, la diffusion ou la reproduction faite de mauvaise foi sera de nature à ébranler la discipline ou le moral des armées ou à entraver l'effort de guerre de la Nation. »

On ne saurait être plus clair et plus précis, et l'on ne voit pas ce qu'une loi supplémentaire pourrait ajouter de plus sans retrancher aux libertés publiques et individuelles. De fait, on se demande si Emmanuel Macron, Président de la République, connaît le Droit qu'il est censé protéger.

Comment définir une « fausse nouvelle »?

Emmanuel Macron

Un second problème vient de la définition de ce qu'est une fausse nouvelle. Bien entendu si j'écrivais que le Président de la République à trois bras et deux nez, tout le monde conviendrait qu'il s'agit d'une fausse nouvelle, de ce que l'on appelle aujourd'hui une « fake news ». Mais, quand des éditorialistes écrivaient, à la suite de la presse américaine en décembre 1989 (6), que la répression par le régime de Ceaucescu en Roumanie avait provoqué des centaines de morts à Timisoara, montraient même des photos de ces « charniers », alors que l'on a appris par la suite que tout cela était faux, comment l'appeler? Souvenons-nous: le 22 décembre 1989 Guillaume Durand, sur la chaîne La Cinq, parlait de plus de 4000 cadavres. Le 23 décembre c'était Serge July qui, dans son éditorial de Libération reprenait ce chiffre. Serge Halimi, sur le site Acrimed a recensé toutes ces fausses nouvelles (7). Pierre Bourdieu avait d'ailleurs, en son temps, analysé ce phénomène (8).

Plus proche de nous, quand ces mêmes éditorialistes nous promettent pour 2007 une économie rayonnante, alors même que l'on est au bord de l'une des pires crises financières internationales, comment qualifier cela? Faut-il parler d'aveuglement ou parler de désinformation consciente, impliquant un trafic de fausses informations?

Il faut donc revenir au point de départ: qu'est-ce qu'une fausse nouvelle? Cela peut-être une information qui a été insuffisamment vérifiée, et en ce cas l'excuse de « bonne foi » peut être invoquée. Mais, cela peut être aussi une information dont le journaliste sait pertinemment qu'elle est fausse mais qu'il la diffuse quand même car il estime que cette diffusion va servir les idées qu'il défend. Nous sommes là, évidemment, devant un acte délibéré. Mais, c'est justement cet acte que l'article 27 de la loi de 1881 punit. Et donc nous voilà ramené à notre point de départ. Quand une information fausse est sciemment et en toute connaissance de cause diffusée, nous sommes en présence d'un délit qui est déjà punit par la loi.

On le voit, le discours du Président de la République n'apporte rien, n'ajoute rien.

Fausse information et propagande

Alors, on se demande ce qu'a cherché Emmanuel Macron lors de sa présentation des vœux à la presse. En dénonçant les « fake news », mais sans s'interroger sur le processus qui aboutit à une production importante dans les médias institutionnels de « fausses nouvelles », il accrédite ainsi une forme de théorie du complot — en particulier quand il parle de « stratégie ». Or, la théorie du complot est un thème qui caractérise plutôt l'extrême-droite. En se proposant de faire voter une nouvelle loi, alors que la loi actuelle est entièrement suffisante pour protéger les individus ou l'ordre public tout en garantissant les libertés fondamentales, ne se livre-t-il pas à un exercice de pure gesticulation, de pure communication?

Le sujet est trop grave pour qu'un Président de la République puisse l'instrumentaliser à son gré à des fins de pure communication. L'outrance du propos pourrait fort bien déboucher sur la forfaiture.


(1) http://www.rfi.fr/france/20180104-voeux-presse-macron-annonce-loi-contre-fake-news-audiovisuel-public

(2) Le Monde s'en est ému, c'est dire…

http://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/01/04/legiferer-sur-les-fausses-informations-en-ligne-les-problemes-que-cela-souleve_5237606_4408996.html

(3) https://www.fiducial.fr/fr/Actualites-FIDUCIAL/Les-moyens-de-l-audiovisuel-public-et-les-menaces-pesant-sur-la-liberte-d-expression

(4) https://www.legifrance.gouv.fr/Droit-francais/Constitution/Constitution-du-4-octobre-1958

(5) https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=LEGITEXT000006070722

(6) http://www.nytimes.com/1989/12/23/world/upheaval-east-mass-graves-found-rumania-relatives-missing-dig-them-up.html

(7) http://www.acrimed.org/Les-vautours-de-Timisoara

(8) Bourdieu P., Sur la télévision, Paris, Raisons d'agir, 1996
 
Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.
Diffamation sur Internet : attention c'est du pénal !

Par Alexandre RODRIGUES | Mis à jour le 06/08/2014

Formidable outil de communication, l’Internet peut s’avérer être un instrument à double tranchant où les expressions légitimes côtoient les déclarations abusives. Mais il existe des moyens pour se défendre.

Alors qu’auparavant seuls les journalistes avaient un accès au public par voie de presse, Internet a permis à tout un chacun de s’exprimer publiquement et par des moyens très variés : blogs, site personnel, forum de discussion. Et naturellement, les premières visées sont généralement les entreprises qui ont davantage à craindre de ce nouveau moyen de communication que de la presse traditionnelle, car Internet laisse s’exprimer des personnes n’ayant pas la déontologie journalistique.

Toutefois, que les entreprises se rassurent : il existe des moyens juridiques pour se défendre face à la diffamation et autre dénigrement injustifié.

C’est une vieille loi du 29 juillet 1881 sur les infractions par voie de presse, qui régit la diffamation, qu’elle soit effectuée en ligne ou par voie de presse traditionnelle. Ainsi, selon l’article 29 de cette loi, est considéré comme diffamation « toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé ».

Les conditions préalables à l’infraction de diffamation

Avant d’aller voir un juge pour lui demander de condamner telle personne pour diffamation, il faut s’être assuré que les conditions pour retenir cette infraction soient présentes.

Concrètement, il faut réunir cinq éléments pour que l’infraction de diffamation soit caractérisée :

Un reproche

Il s’agit de la première condition à vérifier. Deux types de reproches peuvent être condamnables :

  • l’allégation, qui consiste à présenter un fait comme étant plus ou moins douteux, sans prendre personnellement la responsabilité de son exactitude.
  • L’imputation, qui consiste à affirmer personnellement un fait en le reprenant à son compte.

Néanmoins, les juges apprécient très largement la notion de reproche et ils ont ainsi assimilé à un reproche condamnable le propos dubitatif ou insidieux.

Le reproche doit porter sur un fait précis et déterminé

Cette deuxième condition est très facile à caractériser et ne nécessite donc pas d’explication particulière. Il suffira pour l’entreprise de rapporter les propos litigieux.

Le reproche doit être attentatoire à l’honneur ou à la considération

L’honneur est une conception personnelle, et est donc indifférent à l‘appréciation d’un tiers. Dès lors, même si pour le fautif, ça ne ressemble pas à une atteinte à l’honneur, cela peut très bien l’être pour la victime des propos.

En revanche, la considération correspond à l’image que l’on peut donner de soi aux autres : ici, il y a davantage une valeur sociale.

Un reproche à l’encontre d’une personne ou d’un groupe de personnes

Les propos litigieux doivent naturellement viser une personne ou un groupe de personnes déterminés. Par personne, on entend aussi bien les personnes physiques que les personnes morales.

Un reproche exprimé sciemment

Cinquième et dernière condition à respecter pour qu’il y ait diffamation : le reproche doit avoir été exprimé sciemment.

En pratique, pour retenir la diffamation, l’auteur des propos litigieux doit avoir eu conscience de porter atteinte à l’honneur ou à la considération d’autrui.

Néanmoins, que les victimes de la diffamation se rassurent, l’intention de diffamer est présumée. Il appartient donc à la personne que l’on accuse de diffamation de prouver sa bonne foi.

Le droit de réponse avant l’action en justice

Le premier réflexe de toute personne quand elle est attaquée consiste à se défendre en répondant aux propos jugés infondés. Le législateur a prévu cette possibilité pour l’Internet, à travers la loi pour la confiance en l’économie numérique du 21 juin 2004. Cette loi crée en effet un droit de réponse pour les contenus diffusés sur le Web.

L’article 6 de la loi du 21 juin 2004 pose le régime juridique de ce droit de réponse en ligne :

  • le droit de réponse est reconnu « à toute personne nommée ou désignée dans un service de communication au public par voie électronique ». Cela concerne aussi bien les personnes physiques que les personnes morales.
  • La personne désirant exercer ce droit de réponse ne doit justifier de rien, pas même qu’elle a subi un quelconque préjudice.
  • Le droit de réponse sur Internet s’exerce à titre gratuit.
  • Délai de trois mois pour exercer ce droit de réponse, délai qui court à compter de la mise à disposition en ligne du contenu litigieux.
  • L’insertion du droit de réponse doit s’effectuer dans les mêmes caractères et à la même place que le message litigieux.

Toutefois, la loi du 21 juin 2004 ne fixait que le régime et les conditions pour exercer le droit de réponse en ligne. Et il aura fallu ainsi attendre un décret d’application du 24 octobre 2007 pour enfin connaître la procédure à suivre pour appliquer ce droit de réponse. Ce décret précise :

  • comment demander le droit de réponse : il faut envoyer une lettre recommandée avec accusé de réception ou au moins pouvoir prouver l’envoi de la demande et sa réception. Dans cette lettre, il faut indiquer les références du contenu contesté, comment y accède-t-on sur le site qui le publie, qui en est l’auteur (s’il y en a un) ? Le demandeur mentionne le passage qui pose problème et naturellement quelle réponse il souhaite voir publiée.
  • À quoi doit ressembler la réponse : elle est forcément écrite, c’est-à-dire qu’on ne peut pas y répondre par une image, un son ou une vidéo. S’il s’agit d’un texte, la réponse ne doit pas être plus longue que ce dernier. Dans tous les cas, la réponse ne pourra pas dépasser les 200 lignes.
  • Ce que doit faire le responsable du site ayant mis en ligne le message litigieux : il doit publier la réponse dans les trois jours et indiquer explicitement qu’il s’agit d’un droit de réponse. Cette réponse doit être associée directement au message en cause, soit en étant accessible depuis un lien hypertexte, soit en lui succédant sur une même page. Si le message n’est plus en ligne, la réponse doit quand même être mise en ligne, mais il faut ajouter les références du message litigieux, la date et la durée pendant laquelle il a été disponible.

Ce droit de réponse en ligne a été mis en place pour permettre aux victimes de propos diffamatoires de limiter leur préjudice. Néanmoins, il faudra malgré tout passer par la case judiciaire pour faire retirer le message litigieux.

L’assignation en référé : première étape judiciaire conseillée

En matière de diffamation plus qu’ailleurs, le recours à la procédure de référé s’avère primordial. En effet, avant d’attaquer sur le fond l’auteur des propos diffamatoires, il est vivement conseillé aux entreprises et à toute victime d’une diffamation de saisir le juge des référés qui est un juge agissant dans l’urgence, ce qui a pour avantage de faire retirer les propos litigieux du site plus rapidement afin de causer le moins de préjudices possible. L’action sera fondée sur l’article 809 du Code de procédure civile.

En général, les plaignants sollicitent du tribunal qu’il mette un terme à la diffusion des messages diffamatoires ou dénigrants.

Parfois, il est aussi demandé d’ordonner la cessation de tout nouveau propos diffamatoire ou dénigrant à l’encontre du plaignant. Toutefois, une telle demande semble davantage difficile à mettre en œuvre, car il faudra démontrer le risque sérieux de récidive.

Dans presque tous les cas, le tribunal, s’il constate l’existence d’une diffamation ou d’un dénigrement, ordonnera la publication de la décision de justice sur la page d’accueil du site de la partie condamnée, selon une durée et des modalités déterminées par le juge. Le juge ordonnera aussi dans certains cas la publication de la décision dans un ou plusieurs quotidiens régionaux ou nationaux.

Enfin, il est possible de demander au juge des référés l’allocation d’une indemnité provisionnelle qui sera laissée à son appréciation.

Conditions procédurales

Il convient de distinguer selon que l’auteur des faits litigieux a ou non invoqué des causes de non-responsabilité.

Procédure de l’action en diffamation

Il existe un formalisme à respecter, prévu par le Code de procédure pénale, et la loi du 29 juillet 1881 rajoute des exigences.

EXIGENCES COMMUNES À TOUS LES ACTES INTRODUCTIFS D’INSTANCE

À peine de nullité de l’action en justice, trois mentions doivent obligatoirement apparaître :

  • L’articulation des propos : le propos diffamatoire doit clairement être identifié dans l’acte introductif d’instance, afin de permettre au directeur de la publication du site Internet de savoir lequel de ses propos on lui reproche.
  • Qualification des propos : il faut bien préciser qu’il s’agit d’une diffamation, et mentionner la catégorie de personne visée (particulier, entreprise, institution…).
  • Confirmer le choix de la qualification en visant le texte qui dicte la peine encourue.

LES EXIGENCES PROPRES À LA CITATION DIRECTE DE LA PARTIE CIVILE

L’article 53 de la loi du 29 juillet 1881 impose deux formalités supplémentaires à peine de nullité :

  • la partie civile doit faire élection du domicile de la ville où siège la juridiction saisie. Concrètement, il faudra donc faire appel à un avocat qui siège dans le ressort du tribunal que l’on saisit
  • une copie de la citation doit être signifiée au ministère public.

DÉLAI DE PRESCRIPTION TRÈS BREF

En matière de diffamation, le délai de prescription est très bref : trois mois (au lieu de trois ans normalement en droit commun).

L’action en diffamation se prescrit donc après trois mois, à compter de la première mise en ligne des propos jugés diffamatoires. Il est donc vivement conseillé d’agir très rapidement en faisant immédiatement constater les propos par un huissier ou par l’Agence pour la protection des programmes, qui est également habilitée à dresser des constats reconnus en justice.

L’action doit être dirigée contre le directeur ou le codirecteur de la publication dont le nom et les coordonnées doivent obligatoirement être mentionnés sur le site Internet, sauf pour un site personnel (d’un salarié par exemple) lequel peut rester anonyme, mais il faut alors s’adresser à l’hébergeur de ce site et lui demander les coordonnées nécessaires.

Procédure supplémentaire en cas d’invocation d’une cause de non-responsabilité

La loi a créé un fait justificatif propre à la diffamation : il s’agit de l’exception de vérité qui permet à l’auteur de prouver que ses propos étaient vrais.

Et la jurisprudence a dégagé un autre fait justificatif, la bonne foi de l’auteur. Néanmoins, pour que ce fait justificatif soit admis, l’auteur des propos litigieux devra avoir réuni quatre conditions cumulatives :

  • il faut que l’auteur se soit exprimé en poursuivant un but légitime
  • l’auteur doit avoir agi sans intention de nuire
  • l’auteur doit avoir établi qu’il s’est exprimé avec prudence et mesure
  • l’auteur doit avoir vérifié la source de l’information

Autant dire que ces conditions sont très rarement toutes réunies et les victimes de propos diffamatoires n’ont généralement pas à s’inquiéter de l’invocation d’une cause de non-responsabilité. D’autant plus que les juges apprécient très rigoureusement ces conditions.

Quant à la procédure lorsqu’une cause de non-responsabilité est invoquée, l’auteur des propos litigieux dispose d’un délai de dix jours pour le faire après la signification de la citation en faisant connaître au ministère public ou au plaignant les faits qualifiés dans la citation et pour lesquels il entend prouver la vérité ainsi que les copies des pièces qu’il compte verser aux débats et les noms des témoins par lesquels il compte apporter les preuves de la vérité.

Le plaignant, victime des propos diffamatoires, aura ensuite 5 jours (en réalité, il doit le faire au moins trois jours francs avant l’audience) pour fournir une copie des pièces et les noms des témoins par lesquels il compte apporter la preuve contraire.

Quel tribunal saisir ?

La victime de diffamation pourra saisir le tribunal de son choix entre la juridiction du lieu où demeure le défendeur, la juridiction du lieu du fait dommageable ou encore celle dans le ressort de laquelle le dommage a été subi. En pratique, Internet étant un moyen de communication accessible dans toute la France (et même hors de nos frontières), tous les tribunaux du pays seront donc compétents.     
En résumé, la diffamation sur Internet peut être combattue, tout d’abord à travers le droit de réponse qui permet de limiter le dommage causé par le message diffamatoire. Ensuite, il s’agira d’avoir recours au juge des référés afin de faire retirer le message litigieux. Enfin, il sera temps de demander réparation du préjudice par une action au fond.

Un avocat compétent saura vous conseiller et vous guider dans ce long parcours pour défendre votre honneur et votre réputation.

RT Télévision OSE défier l’intelligentsia française !

Par Phil Butler, pour le blog du Saker US – le 23 décembre 2017 – Source The Saker

Du jamais-vu : c’est le seul mot pour décrire l’attaque contre les chaînes TV de Russia Today (RT) à l’étranger. L’ordre mondial libéral soutenu par les États-Unis a déclaré le djihad de l’information à un moment où la liberté de la presse et la vérité n’ont jamais été si vitales. Aujourd’hui, jetons un œil sur ces « terroristes de l’information » en France, et sur le rôle de l’intelligentsia et du ministère de la Vérité dans l’Union européenne.

Quelques jours après l’annonce par RT TV d’une version française de sa diffusion indépendante, une attaque terroriste médiatique a été lancée par des célébrités journalistiques et des carriéristes russophobes sous la forme d’une lettre ouverte à Olivier Schrameck, président du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA). Dans la lettre, un certain nombre d’universitaires plaident pour la révocation de la licence de diffusion accordée à RT France, nouvellement lancée. En réaction, Philippe Leruth, le président de la Fédération internationale des journalistes (FIJ), a dit à Sputnik News jeudi que céder aux revendications d’importantes personnalités françaises visant à empêcher RT France d’émettre serait « une forme insidieuse de censure ». Avec à l’esprit tout ce qui se dit du « ministère de la Vérité » de la version allemande et européenne de la guerre symétrique de l’information, examinons maintenant une nouvelle lignée de terroristes – le monde libéral ordonne une censure style Gestapo.

Il y a quelques heures, mon collègue – le tireur d’élite des médias, Marcel Sardo – est allé derrière le mur payant du journal Le Monde afin de voir qui sont ces djihadistes. Selon Sardo, la première personne qui a signé la lettre ouverte aux responsables de l’audiovisuel était la russophobe de carrière, Galia Ackerman (une qui voudrait bien être Macha Gessen), qui vient juste d’être nommée présidente du « Forum européen pour l’Ukraine ». Ackerman, qui a écrit une série d’articles portant des titres comme « The Origins of the Gulag » [Les origines du goulag], « The Heirs of the KGB » [Les héritiers du KGB], « The Innocents Become Guilty » [Les innocents deviennent les coupables], « The Satrap of Belarus » [Le satrape du Bélarus], « A Woman in Putin’s Gulag » [Une femme dans le goulag de Poutine] – doit être l’Abu Bakr al-Baghdadi (le chef d’ISIS) de cette cellule de censure de ce nouvel ordre mondial. Russe juive, Ackerman est comme beaucoup d’autres farouches ennemis déséquilibrés de Poutine, comme Macha Gessen, une marionnette des dominants, aux yeux tristes, sans aucune niche à laquelle se cramponner, à part la russophobie.

Avec Ackerman, l’essayiste Antoine Arjakovsky (un Judas de la paix) est un autre terroriste du savoir ukrainien qui est directeur émérite de l’Institut d’études œcuméniques à Lviv. Cet article d’Arjakovsky dans l’America Magazine : « The Jesuit Review » trahit sa position de soldat de l’« ordre » dont le siège est à Kiev. Le rôle d’Arjakovsky est en fait celui de Judas en cela qu’il est un faux disciple des Écritures prêchant la paix mondiale sans valeurs chrétiennes. Lisez son évaluation de la situation en Ukraine et ses solutions. L’homme élève Boris Nemtsov au rang de Martyr, mais assez sur ce djihadiste chouchouté par les universitaires néocons tueurs.

Aux côtés d’Arjakovsky, pour signer ce formulaire demandant de censurer la pensée, on trouve une brochette d’obscurs universitaires comme l’historien Vladimir Berelowitch, Pierre Caussat, professeur de philosophie et linguiste, spécialiste de l’Ukraine, Irina Dmitrichine, la fan révisionniste de Taras Boulba, et Jean Duchesne, conseiller spécial de l’archevêque de Paris (intéressant). Pour trouver le fil conducteur qui parcourt ce plaidoyer libéral adressé aux responsables français, nous pouvons examiner les œuvres du dernier signataire, Duchesne. Dans son article « The French Debate on Gay Marriage » sur le site The Catholic Thing, l’assistant de l’archevêque révèle la nature diabolique de l’ennemi pour notre écrivain. Le texte est un mensonge aux multiples facettes conçu pour faire comme si Duchesne était aux côtés du clergé catholique dans son opposition au mariage homosexuel en France. En lisant entre les lignes, n’importe quel auteur ou journaliste peut découvrir l’affirmation de « bon sens » de Duchesne sur l’homosexualité. Je n’ai ni la place ni le temps pour creuser ici l’histoire de cet apologiste catholique (en 1998, un antisémitisme profondément enraciné dans le catholicisme français) de la collaboration passive de l’Église avec la France de Vichy pendant la Seconde Guerre mondiale. Le fait qu’il conseille l’archevêque catholique à Paris me dit tout ce que j’ai besoin de savoir.

La liste des citoyens établie par Marcel Sardo comprend aussi Michel Eltchaninoff, le rédacteur en chef adjoint du magazine Philosophie, qui a publié « Dans la tête de Vladimir Poutine », sans même avoir psychanalysé le président russe sur son divan. Michel Eltchaninoff, docteur en philosophie, est rejoint par Philippe de Lara, censé être un expert de l’histoire des régimes totalitaires, professeur à Paris enseignant aussi en Ukraine. Bernard Marchadier, traducteur à l’UNESCO, a également signé, tout comme Hélène Sinany et la professeur Françoise Thom. Parmi ces derniers auteurs de la doctrine orwellienne, Thom est la plus intéressante. Née en France, Thom a passé quelques années en Union soviétique. Au centre de ses études et de ses écrits, il y a eu « l’URSS barbare » illustrée par sa fixation sur Laurent Beria, qui a été une figure importante de l’époque stalinienne, et l’homme le plus connu pour son rôle dans le massacre de Katyń pendant la Seconde Guerre mondiale. Son ouvrage, « Beria : the Janus of the Kremlin » [Beria : le Janus du Kremlin], est une biographie qui excelle à réviser l’histoire, du moins pour ce que j’ai pu glaner. Quelqu’un qui tente de percer les mystères de l’homme qui a créé le SMERSH et qui a dirigé la sécurité intérieure et extérieure de l’Union soviétique doit avoir une motivation plus forte que l’attrait de vendre de livres.

Agendas. Tout notre travail porte sur les agendas et les causes sous-jacentes à l’étude, à l’investissement en énergie, en temps et en argent. Nous investissons dans ce que nous voulons. Pour ces gens brièvement décrits comme des « terroristes des médias », l’agenda n’est pas caché. Chacun d’eux a un « compte à régler » avec la Russie de Poutine. Le cas de Françoise Thom est le plus transparent à mes yeux, elle sait s’emparer d’une icône de la russophobie pour perpétuer une carrière de maître de conférence et susciter la peur et la haine de l’ennemi par excellence – quelqu’un et quelque chose perçus comme l’ennemi de  la bourgeoisie ou de l’intelligentsia occidentale. Et voilà la vérité sur le sujet de RT TV  partout à l’ouest du Dniepr. La russophobie créée et perpétuée par une classe d’élites intellectuelles et bancaires, c’est le cœur pourri de l’ordre libéral mondial. On peut lire le récit fait par Londres, Bruxelles, Berlin et Washington sur le pays de Poutine dans l’article de Françoise Thom, « Russie Europe, les risques du ‘redémarrage’ » qui date de 2010. On peut déduire la fourberie à peine voilée du Vatican à l’égard de l’Église orthodoxe dans la récente doctrine anti-propagande de l’UE ou dans l’apparition soudaine de l’intelligentsia catholique contre n’importe quelle opinion émise par la Russie par le biais de RT TV. Là, mes amis j’ai décrit pour vous le réseau terroriste médiatique asymétrique – ceux qui voudraient imprimer leurs idées et leur volonté sur la France et sur le monde.

Êtes-vous surpris que ce ne soit pas les Russes ?

Phil Butler

 

J’ai partagé récemment sur Facebook (comme souvent) un article de Riposte Laïque de Thérèse Zrihen Dvir que j’apprécie beaucoup pour la clarté et la qualité de ses articles :

« L’islam, c’est la fusion du racisme, de l’apartheid et de l’esclavage »

Par principe sur Facebook, les contrôleurs de la censure, pudiquement appelés les modérateurs, qui sont par ailleurs localisés dans les pays Arabes, comme tous les services d'aide du consommateur de Marques, vous conditionnent en effaçant les articles qui ne plaisent pas, ou qui font l'objet de contestation des associations antiracistes, cléricales, pro-nouvel ordre mondial. Ces effacements comme pour les gosses que l'on punit où qui ne sont pas sages, vont de la mise à pied de la page pendant 6 à 12 jours, à l'effacement complet avec transfert de vos données aux services de la DGSI par l'intermédiaire de la société Américaine PALANTIR, qui fait le relais entre les réseaux sociaux et la DGSI.

L’article se termine par ces lignes :

……Nonie Darwish écrit que «l’islam est très utile aux régimes totalitaires : l’islam fournit aux gouvernements faibles une formule légale et religieuse qui permet le contrôle totalitaire et soumet les citoyens ». Elle souligne que « l’appel de l’islam aux politiciens de gauche occidentaux, qui devraient savoir mieux, défie la logique ». Darwish affirme qu’« un milliard et demi de musulmans vivent sous l’esclavage de l’Islam, et qu’ils ne se révolteront jamais aussi longtemps qu’ils pourront simplement se réfugier dans l’Occident – où ils travailleront pour imposer la charia au reste d’entre nous. »

http://ripostelaique.com/lislam-cest-la-fusion-du-racisme-de-lapartheid-et-de-lesclavage.html

Je salue Nonie Darwish qui est une grande combattante de la cause anti-musulmane.

J’ai commencé mon partage par cette courte introduction :

« L’islam c’est la somme de tout ce qu’il y a de plus mauvais en l’homme et l’abolition de tout ce qu’il pourrait y avoir de bon.

L’islam est le mal absolu depuis 1400 ans.

Et j’emmerde Facebook et ses censeurs musulmans dont je souhaite la dislocation, la chute et la disparition définitive pour les crimes d’approuver et de favoriser le fléau de l’islam et de museler tous ceux qui ne sont pas musulmans.

Il existe d’autres réseaux sociaux et nous ne serons pas en manque.

Facebook est de fait le défenseur de toutes les saloperies de l’islam, la dictature mentale, l’obscurantisme, la haine de tout et de tout le monde, l’incitation à la haine et au meurtre, l’esclavage, l’inégalité homme/femme, la pédophilie, le terrorisme, les guerres incessantes, les persécutions, les génocides, la peine de mort pour apostasie, la lapidation, la décapitation, la pendaison, la crémation vive, etc.

Je considère personnellement que Facebook devrait être traduit devant la cour européenne des droits de l’homme. »

Ce « réseau social » créé en 2004 et dirigé par Mark Zuckerberg réunit plus de 2,1 milliards d’abonnés et rapporte des fortunes considérables à son concepteur par la publicité.

Facebook est un lieu planétaire sympathique de contact et de rencontres. Mais c’est aussi un univers complexe et sophistiqué qui dissimule des choses beaucoup moins belles.

Mark Zuckerberg a depuis longtemps ouvert pour de l’argent et de l’influence son réseau à toutes les polices et les justices du monde afin de ne pas être inquiété lui-même par ce qui s’y passe.

Et qu’est-ce qui s’y passe ?

En dehors de la majorité des échanges « normaux » que nous avons tous, de type Bisounours et simples discussions de café du commerce, les échanges sont parfois plus poussés et nous permettent de partager ce que nous pensons de ce qui se passe aujourd’hui dans notre monde, à tous les niveaux de la société. Nous commentons et critiquons l’information (celle qui nous est jetée au compte-goutte en pâture pas les médias) et parfois nous allons plus loin en extrapolant ou en condamnant sévèrement ce que nous apprenons et qui nous pousse à exprimer notre indignation, notre colère ou notre ulcération.

Nos pays occidentaux dans lesquels nous sommes nés et vivons sont l’objet de conspirations, de complots, de machinations et de manipulations des masses intolérables.

Nos dirigeants élus selon un modèle prétendument démocratique (mais nous savons tous ce qu’il en est réellement) s’évertuent à faire de nos vies un enfer et à conduire nos pays vers une ruine inéluctable, au nom de la démocratie, des droits de l’homme, de la « mixité sociale » (cohabitation des classes sociales, encore une idée loufoque mise en pratique par la folle Hidalgo, à Paris, en installant des camps de migrants dans le XVIe arrondissement), du « vivre ensemble », du « multiculturalisme » et de toutes sortes d’autres âneries dont tout le monde sait depuis la nuit des temps qu’elles ne sont que les prémices à l’effondrement de toute civilisation.

Il ne faut jamais mélanger des groupes humains de cultures ou de modes de vie diamétralement opposés. C’est de la plus grande stupidité. Seuls des groupes humains proches par la culture et le mode de vie peuvent coexister harmonieusement en ayant la volonté de le faire. Or, cette volonté, les musulmans ne l’ont pas dans la mesure où ils considèrent les non musulmans comme des êtres inférieurs juste bons à être leurs esclaves.

Nous avons huit ou dix millions de chômeurs (vrais chiffres) des millions de pauvres et de retraités qui ne s’en sortent pas, des institutions ravagées par le manque d’argent (santé, enseignement, justice, police, armée – voir mon article : http://ripostelaique.com/a-tous-nos-amis-policiers-et-gendarmes-assassines-ou-suicides.html )

Et notre dette extérieure globale tourne autour de 2500 milliards d’euros. C’est-à-dire que nous n’avons aucune chance de nous en sortir sans traverser une crise extrêmement grave si nous ne faisons pas de gros efforts et si nous ne relançons pas notre machine économique en augmentant nos exportations et en faisant passer notre pays avant toute chose.

Il faudra aussi expulser de France les millions de clandestins qui n’ont rien à faire ici et en déchoir des milliers de la nationalité française qu’ils sont très loin d’avoir méritée.

Mais au contraire, afin de redresser notre pays, nos dirigeants ont une grande idée : celle de faire encore rentrer sur notre territoire des millions de « migrants » qui seront une « chance pour notre pays » et un « vivier inépuisable de travailleurs » pour nos entreprises et notre économie… !

Des populations uniquement musulmanes fuyant prétendument des zones de guerre (faux pour la plus grande majorité) qui abandonnent leur pays et leur famille afin de tenter leur chance chez nous en parasitant nos ressources et en attendant le rapprochement familial qui suivra forcément.
Des populations dont la plus grande partie est analphabète, inculte et parfois sauvage et barbare du fait de sa religion musulmane. Par contre, uniquement des hommes à la force de l’âge et prêts à rejoindre les armées secrètes et souterraines des forces d’Allah dans nos cités, quartiers et banlieues à forte concentration musulmane (99%).

Alexandre Soljenitsyne a écrit : « Afin de détruire un peuple, il faut commencer par détruire ses racines. »
C’est exactement ce que nos dirigeants sont en train de faire en Europe occidentale.

Notre président Macron a été porté au pouvoir non pas par le vote démocratique, mais par la puissance de l’argent de la haute finance française et européenne qui a financé sans limites sa campagne présidentielle. Macron n’est pas un président, mais un larbin. Il est le valet de la haute finance mondiale qui l’avait détecté comme un pantin facile à manipuler (par son intelligence limitée (constatable par tous), ses ambitions démesurées et son ego surdimensionné) au sein de la banque Rothschild.

En tant qu’économiste, il a prouvé sa totale incompétence au ministère du budget. Il est par ailleurs dépourvu de toute expérience politique de gouvernance.

Le but est d’islamiser notre pays pour faire baisser drastiquement son niveau intellectuel et produire un maximum de crétins soumis et dépourvus de toute capacité de compréhension, de critique et de rébellion, comme on peut le voir dans les pays du Maghreb et du Moyen-Orient.

Le monde musulman exerce d’énormes pressions et fait de somptueux cadeaux à nos élites (intellectuels, médias…) et aux gouvernements du monde pour que l’on ne parle pas de lui en termes négatifs et que l’on ne parle pas de lui du tout, de préférence, en attendant la grande explosion guerrière finale des armées djihadistes en sommeil dans les pays d’Europe contre les peuples de souche.

Seulement, si nos dirigeants nous prennent pour des imbéciles, nous ne le sommes pas tous et nous voyons très bien ce qui se passe, que verrait d’ailleurs un enfant de 6 ans.

C’est pour cela que nous utilisons le réseau Facebook mais aussi d’autres réseaux comme VK, pour échanger nos informations, dialoguer sur les perspectives d’avenir et comment nous allons pouvoir résister et survivre à la révolte, la guerre civile ou la révolution qui se prépare et qui va forcément arriver, car il y a statistiquement trop longtemps que nous sommes en paix sur notre territoire et que notre peuple a perdu les réflexes, le sens et les gestes de la guerre.

L’islam est là pour nous conquérir, nous écraser et nous faire disparaître, mais cela ne plaît pas aux censeurs et modérateurs de Facebook qu’on en parle, et parmi eux beaucoup sont des Marocains musulmans, au Maroc.

Lorsque nos échanges portent sur ces sujets, Facebook nous censure et bloque notre compte (9 fois sur 10 sur délation d’un « ami », il faut le dire) pour 3 jours, 15 jours ou un mois et parfois même clôture le compte qui est irrécupérable.

Un conseil, donc, utilisez des mots codés faciles à saisir avec vos amis lorsque vous parlez de ces sujets et à la place de « muz », par exemple, écrivez des mots comme « soumis », « aliens » ou « martiens » qui feront très bien l’affaire. Les robots ne les comprennent pas et les censeurs auront du mal à vous bloquer sans pouvoir le justifier, faute de clarté du texte.

Facebook nous emmerde, c’est clair. Nous sommes désarmés et impuissants. Alors, il faut ruser.

D’ailleurs, savez-vous que si vous critiquez vertement l’islam ou les musulmans sur Facebook, vous serez bloqués, mais que les musulmans, eux, sur leurs pages Facebook, peuvent cracher tout leur venin contre les Français, les juifs, les chrétiens, les blancs, les « souchiens », les occidentaux, les faces de craie, les chiens, les singes, les rats et les ânes que nous sommes, selon eux, et tenir envers nous des propos racistes et haineux d’un niveau que vous ne pouvez même pas imaginer, sans risquer la moindre sanction de la part de Facebook qui est de leur côté, tout comme notre gouvernement est du côté des racailles, des vermines et des assassins de flics… https://www.lexpress.fr/actualite/societe/meurtre-d-un-couple-de-policiers-a-magnanville_1801940.html

Récemment (réveillon de la St Sylvestre), trois policiers ont été passés à tabac par des racailles et battus dans le but de les tuer. Ils en ont réchappé. Macron a juré que des sanctions seraient prises et les auteurs de l’agression n’ont pas été retrouvés ou ont été relâchés au bout d’une heure.
Croyez bien qu’il ne sera donné aucune suite à cette affaire, comme d’habitude lorsqu’il s’agit des protégés de l’état. http://www.charentelibre.fr/2018/01/02/trois-policiers-passes-a-tabac,3188103.php

La haine de l’autorité publique, du pouvoir et de tout ce qui peut  les représenter de près ou de loin, même les pompiers qui ne sont là que pour sauver des vies, cette haine est aujourd’hui terrible, destructrice et mortifère. Elle est devenue une véritable menace pour l’ordre et la paix publique et il est plus que temps qu’une personne douée d’un minimum d’intelligence et d’amour de son pays, à la tête de l’état (sûrement pas le jeune premier de cinéma périmé qu’on a installé à l’Elysée), en prenne conscience et agisse en conséquence.
https://www.dreuz.info/2018/01/03/gilles-william-goldnadel-lynchage-de-deux-policiers-a-champigny-nommons-les-faits/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29

Si vous voulez faire le test de l’objectivité de la censure de Facebook, rendez-vous sur des pages musulmanes ou créez une fausse page Facebook pro musulmane et vous verrez ce que ça donne…

Laurent Droit

Non, mais, le toupet de ce jeune perdreau, qui a déjà fait preuve de tant de goujaterie envers le Peuple qu’il a eu l’outrecuidance de vouloir gouverner bien qu’il le déteste et le méprise, n’a vraiment aucune limite !

Sa dernière lubie étant de vouloir lutter, au moyen d’une loi, contre les « fausses informations », alors que ces dernières émanent précisément, et abondamment des médias achetés par millions de subventions, auxquels s’ajoutent une ribambelle d’associations bidons, créées et financées dans le même but : museler ceux qui osent braver les infos officielles biaisées pour diffuser les vraies, que tout un chacun pourrait vérifier.

La première mesure consistant, à traîner la prétendue « fachosphère » devant la justice, les tribunaux ; en apparence principale raison d’être d’un certain nombre d’associations dont l’action pour laquelle elles ont été officiellement créées est inversement proportionnelle aux mannes dont elles ont généreusement été arrosées par les gouvernements félons qui se sont succédé, et dont le nouveau ne fait pas exception à la règle !

Les tracasseries incessantes pour attaquer au porte-monnaie les officines de ré-information, le flicage des patriotes sur les réseaux sociaux, les « fiches S » sur « certains » gaulois (bien plus « à jour » que celles des djihadistes)… tout ceci ne donnant pas satisfaction assez rapidement aux désirs de Jupiter II, voilà qu’il se tourne vers une nouvelle arme destinée à faire taire définitivement les importuns, l’empêchant de tricher en rond… la chasse aux fausses informations.

Ne croyez pas braves gens, que du coup les J.T. des grandes chaînes vont enfin cesser de nous enfumer avec de fausses nouvelles, et que grâce à celui qui « ne se sent plus pisser » (comme disait ma grand-mère) depuis qu’il se croit devenu le « roi du monde », les choses vont rentrer dans l’ordre…

Que nenni ! C’est juste le contraire puisque Macron, au cas où vous ne l’auriez pas encore constaté, est avant tout le Grand Manitou du mensonge à grande échelle et à hautes doses.

Sauf que les œillères de son ego surdimensionné l’ont empêché de voir que sa nouvelle arme anti-peuple-libre, n’est finalement, avant même d’avoir commencé la première ligne de sa fameuse loi, qu’un boomerang qui va lui revenir à fond la caisse, dans sa belle figure de traître à la Patrie.

Passons sur les mensonges ou demi-vérités de sa campagne, pour souligner simplement ce qu’il a osé soutenir lors du fameux débat contre MLP, à propos des fichés S parmi les terroristes ; c’est Europe 1 qui avait relevé dès le lendemain l’erreur, vraisemblablement volontaire… à moins qu’elle ne démontre une légèreté inadmissible à ce niveau, dans les infos recueillies par le candidat.

Mais dans l’un ou l’autre cas, cela souligne que monsieur Macron n’est pas digne d’être président de la République Française !

https://www.youtube.com/watch?v=5eMnISFxGLY&feature=youtu.be

Et c’est d’ailleurs un véritable « chœur de fake news » (comme on dit un chœur de Gospel) qui entoure servilement le président-roi-empereur « en marche » vers la dictature, en diffusant ce qui doit être diffusé (les véritables fausses nouvelles) et muselant ce qui doit être tu (les vraies vérités, prétendues fausses).

Et pourquoi tous ces mensonges ?

Au bout du compte, n’en doutons pas, c’est avant tout pour empêcher les citoyens (du moins ceux qui ronronnent encore auprès du feu, sans se douter de ce qui nous attend tous, ou presque) de s’apercevoir que tout est fait pour nous imposer l’invasion des masses, prétendues malheureuses dans leurs pays, lesquelles ne pourront dans la foulée, que justifier la période d’austérité sans précédent qui s’annonce… sauf pour ceux qui, prétendus éminemment supérieurs à la plèbe, sauront tirer les marrons du feu, selon leurs bonnes vieilles habitudes.

Sans doute serait-il prudent pour ces ignares, de relire cette grande Histoire qui est la nôtre, où précisément il y est fait allusion à l’immense fureur d’un peuple n’en pouvant plus de l’arrogant mépris de ceux qui se gavaient à s’en faire éclater la panse, quand lui devait depuis toujours se serrer la ceinture (*), et des inévitables débordements, horreurs, tueries… en découlant.

(*) toute ressemblance avec des personnages existant actuellement, est totalement volontaire.

En attendant, une chose est quasiment certaine, Monsieur Macron, c’est que compte tenu des preuves irréfutables détenues contre vous et votre camp d’assistés, si vous voulez jouer avec les « fake news » vous allez vous ramasser, car vous pouvez compter sur nous pour les diffuser, malgré votre loi ; ayant tellement su vous-même depuis votre scandaleuse élection, démontrer « qu’une loi ça se contourne »… puisque c’est ce que vos sbires (et vos protégés islamistes) font en permanence !

Et si effectivement quelques fausses nouvelles paraissent parfois sur les réseaux sociaux, soit directement dans le but de discréditer les ré-informateurs, soit par de simples crétins inconscients du mal qui en résultera, il est une évidence incontournable pour une majorité croissante de citoyens ; celle que vous et vos gens détenez de loin la palme des mystifications, calomnies, dissimulations… et autres déviations de la stricte vérité, qui vous dérange tant puisqu’elle tend à démasquer l’imposteur que vous êtes.

Pas sûr que vous ne sortiez grandi de ce bras de fer, si l’on juge déjà le nombre de textes vous mettant le nez dans votre sournoiserie !

Marcus Graven pour Riposte Laïque, nous livre quelques petits rappels sur la presse « mainstream » et ses indignations à géométrie variable :
https://ripostelaique.com/projet-de-loi-contre-les-bobards-macron-i-fake-you.html

Maxime pour Résistance Républicaine, souligne les bobards au sujet du statut de Brigitte Macron
http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/04/psst-macron-jai-trouve-une-fake-news-a-propos-dune-certaine-brigitte-macron/?

Charlotte d’Ornellas, pour Valeurs Actuelles, reprise par FDesouche, évoque l’ensemble des médias « tout-à-fait classiques » qui avaient nié en chœur l’infiltration de Daesh dans les vagues migratoires.
http://www.fdesouche.com/931711-loi-anti-fake-news-dornellas-rappelle-linfiltration-daesh-vagues-migratoires-etait-qualifiee-a-tort-de-fake-news#

Il est clair que l’ancien clivage gauche contre droite a volé en éclat avec toutes les traîtrises des uns et des autres, se précipitant à la soupe qu’ils ont copieusement dénigrée auparavant… pour être remplacé par celui de la tricherie contre l’honnêteté.

Christine Tasin le soulignait déjà en mai 2017, en ajoutant au bas d’un article :

« Vulgarité, snobisme, fric et cervelle de moineau du côté de Macron avec des soutiens de l’étranger.
Intelligence, charme, savoir vivre du côté de Marine avec les ralliements de Marie-France Garraud et de Nicolas Dupont-Aignan… Tout est dit. Les deux France sont là. »

http://resistancerepublicaine.eu/2017/05/15/macron-cest-lhillary-clinton-francais-foi-de-madonna/

Il semblerait donc hautement légitime que pour les prochains « Bobards d’or » décernés par La Fondation Polémia depuis 2010, cette cérémonie parodique distinguant les « meilleurs des journalistes », c’est à dire, ceux qui n’hésitent pas à mentir délibérément pour servir le politiquement correct, devrait en toute justice en ce début 2018 couronner précisément leur donneur d’ordres, monsieur le simili président d’une république qu’il s’applique à déshonorer de maintes manières.

https://www.youtube.com/watch?v=Px2QCipyteM

D’ailleurs, lui qui aime tant les titres de gloire, il me semble que « Roi des bobards » lui irait comme un gant… en tout cas bien mieux que président !

C’était bien la peine d’épouser une femme plus âgée, donc supposément plus raisonnable, et prof de surcroît, pour mentir à ce point et avec autant d’aplomb… Pas bien du tout monsieur Macron !

Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression

 

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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
  • La Laosophie est une philosophie de l'existence, très ancienne puisque nous l'avons fait remonter aux sources mêmes du début de la Philosophie Grecque, soit au VIIème siècle avant notre ère par l'intermédiaire de la première femme philosophe, SAPPHO.
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