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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
18 novembre 2017

WWIII : MACRON JUBILE, HARIRI A PARIS APRES DE NOMBREUSES MENACES DE MORT,mais deux de ses enfants sont des otages de l'Arabie

LAOSOPHIE par opposition à Démosophie

Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. (ce Blog non professionnel, ne fait pas appel à la publicité ni à des subventions pour exister , il est gratuit et tenu par des bénévoles).

saad-hariri

LAOSOPHIE par opposition à Démosophie

Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. (ce Blog non professionnel, ne fait pas appel à la publicité ni à des subventions pour exister , il est gratuit et tenu par des bénévoles).

Publié le 18 novembre 2017 par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : MACRON JUBILE, HARIRI A PARIS APRES DE NOMBREUSES MENACES DE MORT, mais deux de ses enfants sont des otages de l'Arabie Saoudite.

Pour Macron ce n'est juste qu'un coup médiatique, et il en a bien besoin tellement les sondages se perdent en conjecture. Mais pas seulement, car Saad Hariri est aussi la courroie de transmission entre le Qatar et l'Arabie Saoudite pour le conflit Syrien, dont la France s'est engagée à tuer Bachar Al Assad et des milliers de victimes civiles au nom de DAESH groupement terroriste financé conjointement entre ces différents Pays. Pour nos pilotes, ils ont des cibles factices quand il s'agit de détruire une implantation de Daesh vide.(ils font du bon boulot dit Fabius et l'Armée Russe aussi!)

Pour Hariri, il n'a pas réussi à sauver sa famille et deux de ses enfants sont resté en Arabie saoudite, une pression sans équivalent en Politique quand on veut garder le collier sur celui qui va faire la promotion de l'Arabie Saoudite en France. Il aurait bien pu embarquer avec tous ses enfants, c'est d'ailleurs ce qui était prévu, mais le nouveau Roi Mohammad Ben Salmane, ne laisse pas partir facilement ses ressortissants et mêmes ses visiteurs.

L'Ami de L'Arabie Saoudite : Israël, pourrait mettre la main sur son Pétrole en cas de faillite de celle-ci, Haaretz le prédit.

En déplacement à Moscou pour négocier avec son homologue russe, le ministre libanais des Affaires étrangères a dénoncé les tentatives visant à «destituer le chef du Liban», deux semaines après l'annonce de la démission du Premier ministre libanais.

«Certains pays, certaines forces sont en train d'essayer de destituer le chef du Liban. Ces mêmes forces qui ont déclenché la guerre en Syrie (Coalition US-EU-France), qui arment les terroristes et qui tentent maintenant de nuire au Liban», a déclaré Gebran Bassil, le ministre libanais des Affaires étrangères, le 17 novembre dans une interview à l’agence russe Interfax. Le diplomate se trouve actuellement à Moscou, où il doit rencontrer son homologue russe Sergueï Lavrov. 

Le Président Russe Vladimir Poutine a coupé court aujourd'hui à tout dérapage de la Coalition occidentale, en soutenant le Hezbollah et le Liban du Président Aoun. Toutes interférences avec les accords de Moscou entre l'IRAN et le LIBAN, seront repoussées sur le terrain. Il donne également des gages à l'Arabie Saoudite pour ne pas tomber dans l'escarcelle US-Israël, suite à une faillite.

Le Président Aoun, un allié du mouvement de résistance du Hezbollah au Liban, avait souligné plus tôt que Hariri vivait dans des "circonstances mystérieuses" à Riyad, sa liberté étant restreinte en violation des règles internationales des droits de l'homme. Aoun a également refusé d'accepter la démission de Hariri, affirmant qu'il devait d'abord retourner au Liban et convaincre le président que sa démission avait été volontairement offerte.
En lisant sa déclaration de démission, Hariri a déclaré que le Premier ministre n'était plus tenable pour lui en raison de ce qu'il a appelé l'intervention du Hezbollah et de l'Iran.
L'Iran et le Hezbollah ont catégoriquement démenti ces allégations, les qualifiant de scénario de la part des sionistes, des saoudiens et des Etats-Unis pour créer de nouvelles tensions au Liban et ailleurs au Moyen-Orient.
Hariri a également dit qu'il a senti un complot ourdi contre sa vie. Les services de renseignement et de sécurité libanais ont démenti l'existence d'un complot visant à assassiner Hariri.
Les analystes affirment que Hariri a été la cible de l'Arabie saoudite alors qu'il refusait d'adopter une approche conflictuelle contre le Hezbollah, un puissant parti politique qui fait partie du gouvernement de coalition dirigé par Hariri.
Selon des sources bien informées, les autorités saoudiennes ont donné deux options à Saad Hariri: Premièrement, retourner à Beyrouth, mais adopter une position agressive constante contre le Hezbollah et tout gouvernement auquel le Hezbollah participe. Deux: s'exiler partout en Europe, garder le silence et quitter la politique pour de bon.
Les rapports indiquent également que les Saoudiens essayent de placer le frère de Saad Hariri, Bahaa, comme le chef du futur mouvement au Liban et le nouvel "homme d'Arabie Saoudite" dans le pays.

Riyad appellent ses ressortissants à quitter le Liban : L’Arabie Saoudite voulait à travers la démission de Hariri, exposer le Liban à une attaque israélienne.

Le Premier ministre libanais démissionnaire Saad Hariri s'est entretenu samedi à Paris avec le président Emmanuel Macron, pour tenter de trouver une issue à la crise libanaise qui reste entière, avant un retour annoncé pour mercredi à Beyrouth.

Arrivé par avion privé tôt samedi à l'aéroport du Bourget, au nord de Paris, M. Hariri s'est rendu à la mi-journée à la présidence de la République française. Il a eu un bref entretien avec le chef de l'État, avant un déjeuner en compagnie de leurs épouses et du fils aîné de M. Hariri.

Les deux autres enfants du couple, adolescents, sont restés en Arabie Saoudite, où ils résident et sont scolarisés.

© Archives Nazek Hariri-En haut: la famille hariri au grand complet: Rafik et Nazek Hariri entourés de Nizar et Joumana Dalloul, Bahaa, Fahed, Hind, Ouday, Saad, Ayman

"Ahlan wa sahlan! Bienvenue à Paris Saad Hariri", a tweeté le président Macron, en postant une vidéo tournée dans l'Elysée.

Un peu plus tôt, M. Macron s'était entretenu au téléphone avec le président libanais Michel Aoun, qui "l'a remercié pour l'action de la France en faveur du Liban", a indiqué l'Élysée.

Le président Aoun lui a également confirmé que Saad Hariri "sera(it) à Beyrouth le 22 novembre, jour de la fête nationale", comme l'avait annoncé précédemment la présidence libanaise.

"Le président Aoun a reçu ce matin un appel téléphonique de M. Hariri l'informant qu'il se rendra au Liban pour participer à la célébration de la Fête de l'indépendance", avait tweeté cette dernière.

Ancienne puissance mandataire du Liban, la France a joué les médiateurs et le président Macron a invité à Paris M. Hariri et sa famille "pour quelques jours ou quelques semaines", afin de tenter de sortir de l'impasse née de sa démission annoncée le 4 novembre à Ryad. Une solution acceptée par M. Hariri avec l'accord du parrain saoudien.

Le président Macron a précisé qu'il recevrait Saad Hariri "en tant que Premier ministre" du Liban car "sa démission n'est pas reconnue dans son pays puisqu'il ne s'y est pas rendu".

Le séjour prolongé de M. Hariri en Arabie Saoudite et le fait qu'il ne soit pas revenu au Liban pour remettre par écrit sa démission au président comme le veut la tradition a fait l'objet d'intenses spéculations. Le président Aoun l'avait qualifié d'"otage" de l'Arabie saoudite.

Dans un tweet, M. Hariri avait affirmé que son séjour à Ryad visait simplement "à mener des consultations concernant l’avenir du Liban et ses relations avec ses voisins arabes". "Tout ce qui se dit (...) sur mon séjour (...) n’est que rumeurs", avait-il ajouté.

- 'Confrontations politiques et peut-être militaires'

L'arrivée à Paris de Saad Hariri a été "expressément saluée" par le ministère allemand des Affaires étrangères.

"Nous avons en raison de la situation actuelle (au Proche-Orient) de grandes inquiétudes quant à la stabilité de la région et appelons toutes les parties à réduire les tensions", a indiqué un porte-parole du ministère dans un communiqué.

L'Arabie saoudite a décidé de rappeler son ambassadeur à Berlin pour protester contre des déclarations du ministre allemand des Affaires étrangères Sigmar Gabriel qui avait laissé entendre que M. Hariri subirait l'influence de Ryad, a annoncé samedi l'agence officielle saoudienne SPA.

"Ces déclarations sont hasardeuses, fondées sur des informations erronées et ne servent pas la stabilité dans la région", a commenté le porte-parole du ministère saoudien des Affaires étrangères, cité par SPA.

Jeudi, M. Gabriel avait déclaré lors d'une conférence de presse à Berlin avec son homologue libanais Gebrane Bassil que "le Liban risqu(ait) de retomber dans de graves confrontations politiques et peut-être militaires".

Le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian avait, lui, rencontré jeudi M. Hariri à Ryad, où le chef de la diplomatie saoudienne Adel al-Jubeir avait assuré qu'il était libre de partir "quand il veut".

Détenteur de la nationalité saoudienne, M. Hariri, 47 ans, possède une résidence à Ryad où sa famille est installée. Il a repris le flambeau politique à la mort de son père, Rafic Hariri, un ancien Premier ministre tué dans un attentat à Beyrouth en 2005 pour lequel cinq membres du Hezbollah chiite libanais sont accusés.

En annonçant sa démission, M. Hariri avait invoqué la "mainmise" du Hezbollah --membre du gouvernement et soutenu par l'Iran-- sur la vie politique au Liban et des craintes pour sa vie, au moment où Ryad fulminait contre les ingérences prêtées au rival iranien dans la région.

Pour plusieurs médias libanais, si M. Hariri devait confirmer sa démission, la crise s'aggraverait au Liban.

Proche de M. Aoun, le ministre libanais des Affaires étrangères Gebrane Bassil a prévenu jeudi qu'en cas d'ingérence étrangère, son pays risquait de connaître le même sort que la Syrie voisine, ravagée par une guerre civile complexe et où l'implication militaire du Hezbollah auprès du régime divise le Liban.

Jeudi, le chef de la diplomatie saoudienne s'en est violemment pris au Hezbollah. "C'est une organisation terroriste de première catégorie", a-t-il soutenu, en l'accusant d'avoir "pris en otage l’État au Liban et d'être devenu un instrument aux mains" de l'Iran.

A ses côtés, M. Le Drian a déclaré que la France était "inquiète" de la "tentation hégémonique" de l'Iran au Proche-Orient, s'attirant les foudres de Téhéran.

L’ex Premier Ministre du Qatar : Le Printemps arabe est notre conspiration pour détruire les gouvernements légitimes de certains pays arabes

Il y a quelques jours, l'ancien Premier ministre et ministre des Affaires étrangères du Qatar, Hamad Bin Jassim, dans une interview à la BBC, a annoncé que son pays fournissait toutes sortes d'assistance aux groupes d'opposition armés en Syrie à travers la Turquie depuis des années. Dans le même temps, Doha n'était pas le seul à montrer son soutien aux forces anti-Assad, car elles étaient rejointes par les États-Unis, l'Arabie Saoudite, la Jordanie, les EAU, Israël, le Maroc et la Turquie.

Selon  New Eastern Outlook” ,tout cela a commencé en 2007 après qu'Israël ait subi une défaite humiliante au Sud-Liban, tout en étant incapable de surmonter la résistance du Hezbollah en 2006. Selon l'ancien Premier ministre qatari, le Qatar était en charge du soi-disant "dossier syrien" au nom des États-Unis et l'Arabie Saoudite, ajoutant qu'il avait accès aux documents américains et saoudiens sur la mise en scène d'une soi-disant "guerre civile syrienne".

Hamad Bin Jassim a annoncé que des armes et du matériel ont été distribués à toutes sortes de groupes d'opposition via la Turquie. Ces opérations étaient une routine commune des militaires américains, turcs et saoudiens dans ce pays. Dans le même temps, la base de l'armée de l'air d'Incirlik hébergerait un quartier général opérationnel commun, où des officiers du renseignement des États-Unis, Turquie, Arabie Saoudite, Émirats Arabes Unis, Maroc, Jordanie, Israël, France et Grande-Bretagne coordonneraient les opérations en Syrie. Washington est allé jusqu'à envoyer 6 satellites de reconnaissance spéciaux pour que ces officiers puissent observer 24 heures sur 24 l'ensemble du territoire syrien. Ce centre de commandement opérationnel était chargé des opérations militaires dans le nord de la Syrie. En ce qui concerne les opérations dans le sud de la Syrie, la coordination de ceux de Washington a créé un centre de commandement similaire sur la base aérienne de King Hussein en Jordanie, où des officiers de Jordanie, d'Israël, des États-Unis, d'Arabie Saoudite et du Qatar joignaient leurs efforts dans le but d’abattre le gouvernement syrien.

L'ancien Premier ministre du Qatar a annoncé que 137 milliards de dollars avaient été gaspillés dans les tentatives de renverser le gouvernement Assad depuis le début de la guerre, alors que certains de ces fonds ont été volés par divers commandants qui sont devenus millionnaires du jour au lendemain. En outre, des ressources considérables ont été gaspillées sur les tentatives de corruption des militaires de la Syrie, dans le but de les persuader de trahir leur pays ou de déserter leurs positions. En moyenne, un officier syrien recevrait de 15 à 30 mille dollars pour avoir trahi son pays.
L'ancien responsable qatarien annoncerait que l'ex-Premier ministre de la Syrie, Riyad Farid Hijab, a été persuadé de fuir la Syrie par son cousin, jordanien depuis longtemps. Pour cette trahison, Riyad lui a versé une belle somme de 50 millions de dollars. En outre, l'ancien commandant de la Garde républicaine, Manaf Tlass échangerait son pays d'origine contre une chance de demander l'appui des EAU en raison des tentatives réussies de sa sœur pour le persuader de partir. La sœur, Madihi Tlass a joui de la citoyenneté française depuis qu'elle est devenue la veuve de l'homme d'affaires syro-saoudien Akram Aja. Ce fait a permis aux services de renseignement français de l'approcher pour mener à bien l'opération susmentionnée.
Selon Hamad Bin Jassim, le Premier ministre libanais Saad Hariri a joué un rôle majeur dans la promotion du conflit syrien avec un large soutien de plusieurs responsables libanais pro-saoudiens. En outre, l'ancien Premier ministre qatari a mentionné le rôle joué par les Kurdes irakiens dans la «guerre civile» syrienne, en particulier Massoud Barzani. A la fin de l'interview, il a annoncé que son gouvernement avait joué un grand rôle dans la destruction de l'Égypte, (de la Tunisie), de la Libye, de la Syrie et du Yémen, tout en agissant au nom de Washington.
Il est difficile de dire ce qui a incité une telle figure à faire ces révélations. La plupart des faits qu'il mentionne étaient connus des analystes qui suivaient de près les événements syriens. Mais cette fois, au lieu de voir des rapports de "certaines sources de confiance", mais une véritable confession faite par l'homme qui était derrière le soi-disant mouvement des révolutions de couleur (ou Printemps Arabe) dans le monde arabe. Peut-être suivait-il les ordres de l'Émir, qui s'est retourné contre l'Arabie Saoudite, les Émirats Arabes Unis et la Jordanie, rompant toutes relations diplomatiques avec les monarchies du Golfe Persique.
Mais alors la question se pose: pourquoi l'ancien premier ministre a-t-il parlé du rôle des États-Unis et de la Turquie? des États avec lesquels Doha entretient des liens étroits depuis longtemps? Aujourd'hui, Hamad Bin Jassim s'est retrouvé dans une situation difficile, car le Qatar Investment Fund est devenu légendaire dans le monde arabe pour ses pratiques de corruption. Les services de renseignement américains et britanniques ont accumulé suffisamment de dossiers discriminatoires pour faire chanter l'ancien fonctionnaire à vie. Et avec Riyad, il ne sert à rien de gâcher la relation, étant donné que le roi Salman est sur le point d'abandonner son poste en faveur de son fils, le prince héritier Mohammed. Et le Qatar aura alors une chance de trouver un langage commun avec l'Arabie Saoudite.
Cependant, le raisonnement de Jassim derrière ces révélations est un sujet beaucoup moins intéressant que la réticence des agences internationales à ouvrir une enquête internationale sur toutes les circonstances du renversement des gouvernements légitimes d'une poignée d'États du Moyen-Orient (Tunisie, Libye, Égypte), ainsi que les tentatives continuelles de détruire le Yémen et La Syrie, ce qui constitue une violation flagrante des normes du droit international et de la Charte des Nations Unies. Et tous les responsables des pays mentionnés par le Premier ministre du Qatar, y compris lui-même, doivent être arrêtés et jugés par la Cour pénale internationale pour leurs actions qui ont entraîné la mort de centaines de milliers de personnes. Il est clair que ces agences se sont compromises depuis longtemps, mais la justice mérite un essai. Où au moins on pourrait attirer une plus grande attention à l'interview des responsables qataris. De telles révélations ne doivent pas être ignorées. Elles le sont par contre par notre armée française sous pavillon corsaire, qui pense encore que bombarder la Syrie, c'est défendre la Patrie.
 
Hannibal GENSERIC

Hariri à Paris sans ses deux enfants .. Riyad appellent ses ressortissants à quitter le Liban

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Rédaction du site
 

Le Premier ministre libanais  Saad Hariri est arrivé samedi matin à Paris, accompagné de son épouse , où il doit rencontrer le président Emmanuel Macron au cours d’un déjeuner,  selon la chaine satellitaire libanaise alMayadeen.

Selon le correspondant d’alMayadeen, deux de ses trois enfants sont restés en Arabie, notant que M.Hariri a contacté le président libanais Michel Aoun et l’a informé qu’il compte se rendre au Liban pour participer à la cérémonie de commémoration de l’Independance du Liban.

Selon un communiqué diffusé par le bureau politique du courant du Futur, ses deux enfants, AbdelAzziz et Laura, sont restés à Riyad pour des raisons scolaires, liées à leurs examens.

Le convoi de sept véhicules a quitté peu après 7H00 l’aéroport parisien du Bourget, ont constaté des journalistes de l’AFP.

La chaîne libanaise Future TV, propriété de la famille Hariri, et une source proche du Premier ministre libanais avaient annoncé son arrivée en France.

A son arrivée à son domicile parisien, M. Hariri, téléphone à l’oreille, a emboîté le pas à son épouse Lara, qui l’a précédé de quelques secondes, selon des images retransmises en direct par la chaîne libanaise LBCI.

Avant de s’envoler pour la France, Saad Hariri s’est entretenu avec le prince héritier Mohammad ben Salmane. « Il a tenu une réunion excellente, fructueuse et constructive avec le prince héritier », a confié à l’AFP une source proche de M. Hariri sous couvert de l’anonymat.

Répondant aux propos du ministre allemand des Affaires étrangères Sigmar Gabriel,  dans lesquels il a affirmé que « le comportement de l’Arabie Saoudite envers Hariri n’est pas habituel », M.Hariri a déclaré dans un tweet , que  » tout ce qui est diffusé sur sa prétendue détention en Arabie Saoudite , n’est que mensonge ».

M.Gabriel avait déclaré lors d’une conférence de presse qu' »il se réjouit de l’invitation du président français au Premier ministre Hariri de visiter Paris » ajoutant que « sa visite en France montrera que ses déplacements ne sont pas restreints » .

Par ailleurs,  l’ambassade saoudienne au Liban a demandé à ses ressortissants saoudiens de quitter le Liban le plus tôt possible.

Auparavant,  l’ambassade saoudienne avait affirmé dans un communiqué qu' »elle suivait avec intérêt  les atteintes portées contre les biens de deux femmes saoudiennes agressées  par un groupe de jeunes hommes dans la région Musaytbeh à Beyrouth. Elle communique avec  les autorités et les agences de sécurité libanaisse pour découvrir les circonstances de ce qui est arrivé ».

Selon la déclaration, « cette attaque attise les sentiments de haine » et « appele à l’identification des coupables pour les traduire en justice ».

Pour rappel, l’Arabie saoudite a demandé le 9 Novembre ses ressortissants « de quitter le Liban immédiatement ». Une source officielle du ministère des Affaires étrangères a déclaré que « compte tenu de la situation au Liban, le Royaume demande à ses ressortissants en visite et résidant au Liban de quitter le plus tôt possible le pays, et conseille ses citoyens de ne pas voyager au Liban « .

Le Koweït, le Bahreïn et les Émirats arabes unis ont rejoint de l’Arabie dans cette décision.

Source: Médias

samedi 18 novembre 2017 -au Liban : menacé de mort par le Hezbollah et l’Iran, le Premier Ministre libanais Hariri démissionne.

Le Premier ministre libanais Saad Hariri a annoncé samedi sa démission en accusant le Hezbollah et son allié iranien de “mainmise” sur le Liban et en disant craindre pour sa vie.

“J’ai senti ce qui se tramait dans l’ombre pour viser ma vie”, a dit Hariri, affirmant que le Liban vivait une situation similaire à celle qui prévalait avant l’assassinat en 2005 de son père Rafic Hariri, lui aussi ancien premier ministre.

Son père, qui fit fortune en Arabie saoudite et qui dirigea plusieurs gouvernements de 1992 à 2004, fut tué le 14 février 2005 à Beyrouth lors d’un attentat-suicide à la bombe. Chargée de 1800 kg d’explosifs, la camionnette utilisée le tua, ainsi qu’une vingtaine de passants.

Le ministère iranien des Affaires étrangères a estimé que la démission de Saad Hariri, est un “scénario sioniste, saoudien et américain qui a pour but d’alimenter la tension au Liban et dans la région”, selon un communiqué rapporté par des médias.

Faouzi Ahmed – © Le Monde Juif .info | Photo : DR

Yadlin: L’Arabie Saoudite voulait à travers la démission de Hariri, exposer le Liban à une attaque israélienne.

Depuis 46 minutes 18 novembre 2017

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Rédaction du site

Le président de l’Institut israélien de recherche sur la sécurité nationale, le général Amos Yadlin, a affirmé que « les intérêts saoudiens se recoupent presque entièrement avec les intérêts israéliens », soulignant que « le royaume peut aller très loin avec Israël » a rapporté la chaine satellitaire libanaise almayadeen.

Commentant  l’interview du chef d’état-major israélien Gadi Eizenkot avec le site saoudien Elaf , le général Amos Yadlin a confirmé que « les relations entre l’Arabie et Israël se déroulent dans les coulisses, reste que le plus important est que la diffusion de cette interview a bénéficié du feu vert saoudien ».

M. Yadlin a été chef de l’agence de renseignement militaire israélienne Aman entre 2006 et 2010.

Selon Yadlin, « les intérêts saoudiens se croisent avec dans leur totalité avec ceux d’Israël, l’Iran nucléaire les inquiète beaucoup. Ce que fait l’Iran en Syrie, au Yémen, en Irak et au Liban les préoccupent sérieusement ».

Le chef de l’institut de recherche israélien a également souligné que « les Saoudiens ont tenté de créér une occasion à une attaque israélienne contre le Liban, via le retrait du Premier ministre Saad Hariri ».

M.Yadlin a également révélé qu' »il rencontre parfois des princes saoudiens non pas à Riyad ou à Tel Aviv mais en Europe et aux Etats-Unis ».

Il a indiqué que « ces princes ne cessent de répéter que l’Iran est l’ennemi, ils nous tuent et vous ne le faites pas, et donc certainement il y a une alliance entre nous ».

Dans le même contexte, la chaine israélienne Canal 10 a rapporté que l’interêt de l’entretien du chef d’état-major avec le site saoudien réside dans la tenue de de cette entretien et dans ce qu’a révélé l’interview dans le renforcement des relations entre les deux parties. Aussi,  l’interview a confirmé l’existence d’une coopération entre les deux pays, un prélude pour une normalisation future et officielle des relations et une tentative pour préparer l’opinion publique à cet effet.

Source: Médias

Liban : la Russie prend position en faveur du Hezbollah Depuis 3 heures 18 novembre 2017

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L’ambassadeur russe en poste à Beyrouth a déclaré samedi 18 novembre que la demande de l’Arabie pour la mise à l’écart du Hezbollah du cabinet libanais était exclue et qu’il n’était pas nécessaire de s’en exprimer.

Selon la chaîne d’information qatarie, Al Jazeera, l’ambassadeur russe en poste à Beyrouth, Alexandre Zasypkin a déclaré que son pays qualifiait d’inadmissible cette exigence de Riyad.

« Ce qui s’est produit au Liban laissera de vastes répercussions dans la région », a-t-il prévenu.

Aux dires du ministre d’État saoudien pour les Affaires du golfe Persique Thamer al-Sabhan, les Libanais devraient choisir entre vivre en paix et vivre sous l’emprise du Hezbollah.
« Le gouvernement libanais aurait dû œuvrer pour contrer le Hezbollah. Il revient aux Libanais de décider du sort des relations saoudo-libanaises », a-t-il affirmé.

Saad Hariri a présenté le 4 novembre sa démission depuis Riyad alors qu’il critiquait dans son communiqué l’Iran et le Hezbollah. Selon certains analystes, cette démission-surprise n’en est pas réellement une puisque l’Arabie, mentor de Saad Hariri, n’est parvenue à aucun de ses objectifs au Liban après la désignation de Michel Aoun à la tête de l’État.

Source: Press TV

L’accord énergétique iranien avec la Russie a tué quatre oiseaux avec une seule pierre

L’accord énergétique gigantesque de 30 milliards de dollars entre la Russie et l’Iran a simultanément atteint quatre objectifs essentiels aux grands objectifs stratégiques derrière le « Pivot vers l’Oumma » de Moscou.


Par Andrew Korybko – Le 4 novembre 2017 – Source Oriental Review

Rencontre trilatérale entre Vladimir Poutine, le président iranien Hassan Rouhani et le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev à Téhéran, le 1er novembre 2017 (PHOTO: KREMLIN.RU)

 

 

 

 

Le PDG de Rosneft, Igor Sechin, a annoncé que sa société avait signé une feuille de route pour investir 30 milliards de dollars dans le secteur iranien de l’énergie suite à la visite en République islamique du président Poutine pour entamer des pourparlers tripartites avec l’Azerbaïdjan. Ce coup de maître de la diplomatie énergétique n’aurait pas été possible sans Trump, qui aura éloigné les investisseurs occidentaux de l’Iran et poussé le pays à se rapprocher de la Russie. Cela a complètement inversé la dynamique prévue par l’administration Obama qui cherchait à réorienter l’Iran dans la direction opposée à travers les multiples concessions offertes à travers l’accord nucléaire de l’été 2015. Les « progressistes » de la politique étrangère de la Russie font des progrès rapides dans la réalisation de leur grand objectif stratégique du XXIe siècle : positionner Moscou comme la force d’équilibre suprême du supercontinent eurasien, accélérant ainsi la transition mondiale vers un ordre mondial multipolaire.

Afin d’apprécier à quel point le mouvement géostratégique que Moscou a accompli cette semaine est particulièrement significatif, il ne faut pas aller plus loin que les quatre objectifs qui ont été immédiatement avancés dans la feuille de route énergétique russo-iranienne.

Dévoilement d’un pipeline trans-azéri

La Russie a l’intention de construire un oléoduc trans-azéri vers l’Iran, qui renforcera non seulement les relations bilatérales russo-iraniennes et leur expansion trilatérale avec l’Azerbaïdjan, mais démontrera également le succès du récent rapprochement russo-azéri de l’année dernière. Moscou considère Bakou comme un pays intégrationniste dans le sens où il facilite l’objectif transcontinental de la Russie et de la Chine de réunir les masses continentales, tandis que l’Arménie, un allié traditionnel de la Russie, est perçue comme un pays pro-occidental avec une politique d’obstruction, et devenue soudainement un partenaire égaré.

Cela ne devrait pas être interprété comme une coïncidence si cette nouvelle étape énergétique dans les relations russo-azerbaïdjanaises a eu lieu quelques semaines avant la signature prévue du « nouvel accord global et renforcé » de l’Arménie avec l’UE. La dichotomie de l’Azerbaïdjan se rapprochant de la Russie au moment même où l’Arménie dérive vers l’Occident devrait avoir de sérieuses implications pour le processus de paix au Nagorni-Karabakh car cela suggère que Moscou pourrait soutenir plus fermement la solution avancée par Bakou dans ce conflit. Cette solution suivrait le droit international alors que l’Occident (fortement influencé par le puissant lobby arménien basé aux États-Unis) pourrait soutenir l’occupation continue de la région par Erevan.

Démarrage du flux sud-asiatique

L’autre résultat important de ce sommet trilatéral est que la Russie a également annoncé qu’elle avait l’intention de construire un oléoduc entre l’Iran, le Pakistan et l’Inde, ce qui pourrait signifier, et l’auteur en a récemment parlé,  que la Russie a réussi à réduire le soutien de l’Inde au terrorisme Baloutche contre le Pakistan en raison du nouvel intérêt personnel de New Delhi à la stabilité de cette région transnationale, à cause du “courant sud-asiatique”. S’elle réussit avec cette stratégie, Moscou pourrait prouver qu’elle est en effet la seule force d’équilibre capable de maintenir la stabilité dans la région pivot du Moyen-Orient et de l’Asie du Sud, en raison de l’influence que la Russie peut encore exercer en «  modérant» le pivot pro-occidental que l’Inde a engagé ces dernières années.

Neutraliser l’Iran en tant que concurrent européen

Conformément à la stratégie, mentionnée ci-dessus, de l’administration Obama pour faire entrer doucement l’Iran et son gouvernement « modéré » dans le giron occidental, une grande partie de la vision avait à voir avec l’utilisation des investissements occidentaux pour finalement transformer le pays en un formidable concurrent de la Russie sur le marché européen. Tout ce plan a été neutralisé à cause de l’agression de Trump contre la République islamique et la “mission de sauvetage” des investissements énergétiques russes maintenant engagés pour “sauver” l’économie du harcèlement anti-iranien de ses partenaires occidentaux (en dépit du déni public du président). Ce harcèlement semble prendre la forme de sanctions sectorielles imminentes contre ses ressources. Dans ces circonstances, qui mettent en mouvement des stratégies reformatées depuis des années par toutes les parties, il est pratiquement impossible que les États-Unis puissent “orienter” l’Iran dans la direction voulue pour en faire un concurrent sérieux de la position de la Russie sur le marché européen.

Rassurer Téhéran sur le rapprochement russo-saoudien

Enfin, l’Iran avait toutes les raisons d’être préoccupé par le rapprochement russo-saoudien si ses décideurs le considéraient sous un angle néo-réaliste “à somme nulle”, même si l’intention de Moscou était de forger une solution gagnant-gagnant conservant la paix d’État à État au Moyen-Orient. Mais toutes ces craintes ont été apaisées après l’annonce des plans d’investissement énergétique de 30 milliards de dollars de Rosneft en République islamique. Téhéran peut maintenant être assuré que Moscou ne « se vend » pas aux Saoudiens, mais tente en réalité de trouver un équilibre dans les relations interétatiques complexes du Moyen-Orient, d’où le succès de la visite du président Poutine en Iran pour prouver le succès du “Pivot de l’Oumma” de la Russie, qui se profile.

Andrew Korybko

Haaretz prévoit un écroulement économique pour le royaume saoudien  18 novembre 2017

economie
 

 
Alors que Riyad fait aveuglément confiance à Israël quitte à mettre tous ses œufs dans le panier israélien, Tel-Aviv prévoit une faillite économique pour le premier producteur mondial du pétrole.

Ben Salmane se sentirait bien déçu s’il se mettait à feuilleter ces jours-ci les journaux israéliens toutes tendances confondues. C’est le cas de Haaretz qui pose dans l’un de ses derniers articles la question suivante: faut-il s’attendre à une intifada politique et économique en Arabie une fois le roi Salmane abdiqué en faveur de son fils Mohammed? La famille royale acceptera-t-elle le règne de Ben Salmane? Haaretz répond qu’il est difficile de prévoir la réaction des princes et roitelets saoudiens à l’annonce de l’intronisation de Ben Salmane.

Une intifada politique et économique?

« Le retrait du roi en faveur de son fils marquera au mieux la fin du pouvoir héréditaire horizontal, au pire, le début d’une longue période d’instabilité en Arabie saoudite avec en perspective des centaines de rivaux proclamés ou en puissance, emprisonnés ou bannis », écrit Haaretz qui fait appel ensuite aux experts occidentaux qui eux, prévoient « la fuite des capitaux saoudiens au moins pour une période de six mois », fuite dont les prémices se font déjà sentir après la première vague d’arrestations, de détentions et d’assignation à résidence.

Avec toutes les bonnes volontés du monde, écrit le journal, les sociétés dont les principaux actionnaires sont aujourd’hui en prison ne sauront assurer les investisseurs étrangers. Les actions du prince Walid Ben Talal se sont d’ailleurs écroulées à la bourse à l’annonce de son arrestation, à peine deux semaines après un flamboyant discours où il promettait monts et merveilles aux Saoudiens à la faveur des réformes. Talal n’est désormais plus qu’un détenu, dont le portable a été confisqué et qui n’a même pas le droit d’avoir une télévision dans sa cellule.

Plus loin dans son article Haaretz affirme :

« De plus, en qualité du chef de la commission de lutte contre la corruption, Ben Salmane dispose d’ailleurs de larges prérogatives qui lui permettent de constituer pour chacune de ses victimes de gros casiers. Et c’est ce qu’il est en train de faire. La lutte contre le blanchiment d’argent et la malversation soit le double cheval de bataille de Ben Salmane conduira des dizaines de fortunes saoudiennes à la faillite. Et les entreprises étrangères qui risqueront d’y rester liées suivront. En réalité, les investisseurs étrangers sur l’aide de qui Ben Salmane a largement compté ne pourront prendre le risque dans un climat instable et tendu. Les grosses entreprises ne répondront pas à l’appel d’ouverture de Ben Salmane, si l’insécurité, les règlements de compte, la vague d’arrestation persistent ».

Source: Press TV

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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
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