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Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
4 novembre 2017

WWIII : Jouez et anticipez le BIG KRACH à venir, qui va détruire l'économie Mondiale

LAOSOPHIE par opposition à Démosophie

Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. (ce Blog non professionnel, ne fait pas appel à la publicité ni à des subventions pour exister , il est gratuit et tenu par des bénévoles).

billbonner

WWIII : Jouez et anticipez le BIG KRACH à venir, qui va détruire l'économie Mondiale, et vous permettre de gagner des Milliards en Monnaie de Singe le 8 décembre 2017.

Publié le 4 novembre 2017 par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : Jouez et anticipez le BIG KRACH à venir, qui va détruire l'économie Mondiale, et vous permettre de gagner des Milliards en Monnaie de Singe le 8 décembre 2017. 100000 fois Zéro donne toujours Zéro. Encore un système Pyramidal qui va tuer les derniers arrivés.

Sinon achetez avec votre argent tout ce qui est nécessaire pour survivre à cette période, nourriture, eau, pharmacie, sécurité contre les pillages, énergie individuelle, moyens de locomotion sans essence, petites coupures de monnaies. Le Big Krach sera préalablement précédé par une guerre nucléaire, qui va précipiter les évènements. Courage, fuyons les combats ou engageons nous dans des milices privées.

Voici un message privé :

"Ils ont pris le contrôle de l’ÉLYSÉE en truquant les élections.

"La Crise actuelle, c'est la mise à mort des classes moyennes. La crise actuelle c'est votre mise à mort>

Voici les premiers mots d’une enquête vidéo qui circule sur Internet sur la corruption du pouvoir et des milieux financiers.

Je vous la recommande. Les résultats de dimanche dernier prennent tout leur sens…

Elle est réalisée par Olivier Perrin, qui tient le blog Le Vaillant petit économiste. Il ne se contente de dresser le constat mais vous donne aussi les solutions faciles et efficaces à prendre immédiatement pour vous protéger.

Cliquez ici pour voir l’enquête.

Sincèrement,

Henri Bonner"

 

 

 
BusinessBourse
 

L’avenir des monnaies nationales menacé: la déclaration fracassante de Christine Lagarde

Vendredi 29 Septembre 2017 à Londres, Christine Lagarde, directrice générale du Fond Monétaire International a expliqué à la Banque d’Angleterre devant une assemblée atterrée, comment les crypto-monnaies remplaceraient les monnaies nationales en se passant des banques centrales.

Christine Lagarde: « Les monnaies virtuelles sont différentes car elles ont leur propre unité de compte et leur propre système de paiement. Et ces systèmes permettent des transactions entre particuliers sans chambre de compensation centralisée, sans Banque Centrale. Aujourd’hui, les monnaies virtuelles telles que le Bitcoin menacent à peine l’organisation actuelle des monnaies fiduciaires et des banques centrales. Et pourquoi donc ? Parce qu’elles sont trop volatiles, trop risquées, trop énergivores et parce que les technologies sous-jacentes ne sont pas encore suffisamment développées. Et beaucoup sont trop obscures pour les régulateurs et certaines ont été piratées. Mais beaucoup de ces problèmes sont des défis technologiques qui pourront être relevés avec le temps. Il n’y a pas si longtemps des experts clamaient que les ordinateurs personnels n’auraient jamais de succès. Et certains soutenaient même que les tablettes étaient bonnes à servir de plateau pour le café. Aussi, je pense qu’il n’est pas avisé d’ignorer les monnaies virtuelles en bloc. Pensez par exemple à des pays aux institutions faibles et aux institutions instables. plutôt que d’adopter la monnaie d’un autre pays comme par exemple les Etats-Unis. Certaines de ces économies pourraient voir se développer l’usage de monnaies virtuelles… appelons cela… Dollarisation 2.0 »

Charles Sannat: « Laissez tomber le Bitcoin. Or et effondrement. La preuve par le Venezuela »

Thami kabbaj: Ne me dites pas que les états ne peuvent rien contre les crypto-monnaies ou vous êtes débile

Source: le-vaillant-petit-economiste

LaCroix Le Pape Prévient

Un krach financier imminent ?

Un trader à Paris,le 6octobre 2008. Un krach désigne un effondrement brutal et spectaculaire des cours des actions cotées en bourse. et, plus généralement, des valeurs mobilières sur un marché financier. / Patrick Kovarik/Afp

Un krach désigne un effondrement brutal et spectaculaire des cours des actions cotées en bourse et, plus généralement, des valeurs mobilières sur un marché financier. La chute, généralement plus de 20%, peut se dérouler sur une ou plusieurs séances de cotation.

Un bref regard rétrospectif sur la chronologie financière nous permet de prendre conscience d’un fait bien singulier. Le mois d’octobre est le mois des krachs boursiers les plus marquants : 24 octobre 1929, 19 octobre 1987, 6 octobre 2008. Simple coïncidence ou peut-on imaginer, à l’approche des dates anniversaires, que le mois d’octobre 2017 verra la survenance d’un nouvel écroulement des cours boursiers ?

Les krachs boursiers de 1929, 1987 et 2008

Le krach de 1929 est survenu à la suite d’une bulle spéculative, dont la genèse remonte au début des années 1920. Entre 1921 et 1929, les États-Unis ont connu une période de croissance vigoureuse, qui a si soutenu l’essor des marchés financiers que des millions d’Américains ont été touchés par la fièvre de la spéculation. L’immense majorité des transactions se réalise à crédit mais cela ne pose pas de problème puisque la hausse des cours est là. Fin octobre 1929, à la suite de rumeurs, l’effondrement boursier ne peut être évité. Le Dow Jones, indice phare de Wall Street, recule très fortement. Ce retournement de marché conduit à la ruine de nombreux investisseurs et entraîne, dans la tourmente, les établissements financiers. Cet effondrement boursier marqua l'entrée des États-Unis dans la « Grande Dépression ».

> Lire aussi  : Le monde croule sous les dettes

Près de 60 ans plus tard, en octobre 1987, la remontée des taux directeurs de la Federal Reserve et de plusieurs autres grandes banques centrales conduit les investisseurs à s’orienter alors massivement vers les obligations au détriment des actions. Du fait de l’automatisation des transactions - les ordinateurs vendent tout seuls -, le Dow Jones recule, le 19 octobre, de 22,6%. C’est un krach boursier. Dans un contexte de plus en plus mondialisé, les autres places boursières sont également touchées.

20 ans plus tard, survient la crise des subprimes. Avant 2007, les défauts pour les crédits subprimes restent rares. En cas de saisie immobilière, la banque n’encourt que peu de risque dans un contexte de hausse du marché immobilier. Mais, de plus en plus de ménages deviennent insolvables et, les établissements financiers sont alors affectés du fait que ces crédits ont été titrisés puis revendus sur les marchés financiers. Une psychose s’empare des banques qui se suspectent mutuellement de détenir une quantité de créances douteuses pouvant les mettre en difficulté. À la suite de la faillite de Lehman Brothers, le marché interbancaire se grippe, propageant la crise. La semaine du 6 octobre, les places boursières de New York, de Paris et de Tokyo reculent respectivement de 21 %, de 22 % et de 24 %.

Pourquoi se poser la question aujourd’hui ?

Aujourd’hui, si, au plan macroéconomique, la croissance mondiale semble être là (Selon le Fonds monétaire, elle atteindra, en 2017, 3,6% et 3,7% l'an prochain) et si les scénarii monétaires ne sont pas remis en cause, il semble qu’au plan financier, nous soyons entrés dans une « exubérance irrationnelle ».

Les indices des marchés financiers mondiaux atteignent, en effet, de hauts niveaux historiques et affichent désormais, depuis le début de l’année, des progressions à deux chiffres. Les performances et les niveaux de valorisation atteints rendent les investisseurs de plus en plus exigeants. Par ailleurs, sur le marché de la dette, rarement les gérants n’ont demandé des primes de risque si faibles, signe qu’une défaillance de l’emprunteur ne fait absolument pas partie de leur préoccupation. Enfin, le prix de l’immobilier dans de nombreuses villes occidentales a retrouvé, et largement dépassé, son niveau d’il y a 10 ans.

> Lire aussi  : Les Bourses de New York et de Tokyo battent des records

L’actuel optimisme boursier aux États-Unis reposerait malgré tout sur un équilibre précaire et des fondamentaux fragiles. Tout le monde semble ignorer les risques qui planent. Pourtant, cette situation, qui s’est déjà produite en octobre 1987, ne doit pas nous laisser indifférents et doit nous inciter à nous interroger une nouvelle fois sur la question du risque d’un retournement de tendance et d’une action correctrice. Oubliés les ouragans, le Brexit, la Corée du Nord et la Catalogne, l’excès de confiance est partout - l’indice Vix, mesure de la volatilité, appelé fréquemment l’« indice de la peur » a rarement été aussi bas - et cela finit par inquiéter car il y a de grandes analogies avec les périodes antérieures de crise !

Pour combien de temps ?

Si un repli semble inéluctable - d’autant que pour nombre d’opérateurs de marché, les prévisions boursières pour la fin 2017 sont déjà atteintes - beaucoup ne craignent aucune inversion brutale de tendance à brève échéance. En effet, la politique monétaire menée depuis une dizaine d’années a troublé l’ensemble des repères et a incité les banquiers centraux à une prudente posture sous peine de détruire ce qu’ils ont patiemment engendré : une croissance économique basée sur… une forte hausse des cours des marchés de capitaux grâce à une forte baisse des taux d’intérêt (Cette bulle de liquidités est d’ailleurs visible dans l’incohérence des prix des actifs). C’est pourquoi, les investisseurs semblent avoir aujourd’hui un sentiment d’invulnérabilité.

Mais si rien ne laisse penser à une action vigoureuse de la Federal Reserve et/ou de la Banque centrale européenne, le mauvais signe peut venir d’ailleurs. Aux États-Unis notamment, le possible rapatriement d’importants montants de la part des multinationales du secteur de la technologie (Apple, Facebook…) mais surtout la perspective, au dernier trimestre, d’une forte baisse du taux de l’impôt sur les sociétés qui profitera à toutes les firmes américaines et améliorera mécaniquement le résultat par action des sociétés cotées, risquent de créer un risque inflationniste qui pourrait pousser à un relèvement sensible des taux d’intérêt et faire éclater la bulle des actions, comme en 1987. Mais, la situation est aussi problématique dans le scénario inverse - plans de relance de Donald Trump contrariés par le Congrès - : l’impact risque de décevoir les investisseurs (moindres bénéfices) et les titres financiers d’enregistrer une correction de leur cours.

Le pire serait ainsi de considérer que « cette fois-ci, c’est différent » et de croire que l’ensemble des cours boursiers peuvent effleurer le ciel.

Michel Ruimy, spécialiste des banques et professeur à l’ESCP-Europe
Diverses "unes" de la presse parisienne et internationale sont accrochées à la g...
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Commentaires
Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. Seul le Peuple est souverain
  • La Laosophie est une philosophie de l'existence, très ancienne puisque nous l'avons fait remonter aux sources mêmes du début de la Philosophie Grecque, soit au VIIème siècle avant notre ère par l'intermédiaire de la première femme philosophe, SAPPHO.
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